Symphonie en chattes majeurs 2

Je me réveille et me lève vers 5 heures.Le restaurant n’est pas encore ouvert, je prends donc un expresso au distributeur. Je remonte dans ma chambre et de nouveau je m’amuse avec le micro.

Dans le parc la nature se réveille. C’est un concert de chants d’oiseaux, de battements d’ailes et de sons que je n’identifie pas.

7h30 Après avoir pris ma douche, je descends prendre mon petit déjeuné. Je reçois un SMS de Stéphanie.

« Passe à 12 heures, j’ai commandé japonais et nous aurons le studio rien qu’à nous jusqu’à 15 heures ».

« Oh ! tu es très belle Stéphanie, c’est la première fois que je te vois porter une robe »

Sur la pointe des pieds elle vient poser un baiser sur mes lèvres.

« Avec vingt kg de moins, c’est plus facile de s’habiller « me dit-elle en soulevant sa robe me montrant qu’elle ne porte pas de culotte »

Ces grandes lèvres charnues et serrées sont lisses, un petit triangle de poils roux orne son pubis.



« Je te fais écouter ce que j’ai fait hier ? »

« Oui volontiers »

Stéphanie se met au commande de la table de mixage, me donne un casque et pose le sien sur ses oreilles.



Waouh, c’est impressionnant, complètement délirant. Elle a réalisé une série de boucles en sélectionnant quelques passages de l’enregistrement. Je sais de quoi il s’agit, c’est ma chatte qui chante. Mais je n’aurai pas deviné. Ensuite elle me fait écouter ce que le micro d’ambiance a enregistré en me disant qu’elle a isolé ma respiration, mes gémissements. Et, là, rapidement je mouille ma culotte.

Elle m’explique comment elle a procédé, les fréquences, l’accélération ou ralentissement, les tonalités, en fait je ne comprends pas grand-chose.

L’on frappe à la porte !

Je sursaute « tu m’avais dit que nous serions tranquilles ! »

« Oui, t’inquiète, c’est Sophie une amie, elle est au courant, je lui ai proposé de participer, c’est une excellente musicienne » me dit-elle en riant alors qu’elle se dirige vers la porte et l’ouvre,

Sophie est une jolie blonde, les cheveux mi- long, elle est toute fine, sa robe verte bouteille serrée à la taille s évase sur ses hanches, un décolleté laisse deviner une petite poitrine aux tétons pointant sous le tissus fin.

Sophie me fait la bise et embrasse Stéphanie à pleine bouche. Elle soulève sa robe à l’intention de Stéphanie, lui montrant qu’elle non plus ne porte pas de culotte, lui disant « J’ai suivi tes consignes »,




Bon je vous propose que l’on se mette au travail tout de suite avec un premier enregistrement après on mange.

Moi j’enregistre ! Alors Ellen tu vas être la soliste et Sophie l’instrument.

Stéphanie a installé une chaise longue et juste à côté un tabouret.

Nous avons toutes les trois un casque afin d’entendre uniquement le micro directionnel. Sophie s’installe sur la chaise à demi allongée, elle remonte sa robe sur sa poitrine plie ses jambes pour poser les pieds sur le rebord et ouvre ses cuisses.

Donc c’est bien ce que j’avais cru comprendre, c’est à moi de jouer.

C’est une jolie foufoune, comme je les préfère c’est à dire naturelle presque hirsute. Des petites lèvres charnues déjà brillantes de liqueur intime. Sophie semble très à l’aise, elle m’offre son instrument sans pudeur aucune, je suis intimidée, la situation y est pour beaucoup. Je me mets donc rapidement à l’ouvrage en commençant par peigner de mes doigts ses longs poils blond doré. J’entends avec une précision incroyable les crissements de sa fourrure sous mes caresses. Du bout de l’index, je masse lentement son clito caché dans son fourreau, je sens son ventre monter et descendre au rythme lent de sa respiration et je vois perler à la base de son vagin, une, puis deux petites gouttes de son nectar de plaisir.

Je fais descendre mon doigt entre ses lèvres jusqu’à l’entrée de sa grotte .Un clapotis irrégulier se fait entendre, encore léger et subtil. Je la pénètre sans plus de préliminaires et la masturbe vigoureusement. Le chant de sa chatte se fait vacarme humide, allant de sons de sussions, de ventouses, de splash assourdissants. Je sens les muscles de son vagin comprimer mes doigts en elle. Je ne bouge plus, mais trop tard, elle jouit. Je la laisse retomber et retire mes doigts dans un dernier schloop , tonitruant . Un filet de mouille translucide s’écoule lentement, s’étale sur la chaise, glisse entre deux barreaux et vient finir sa course dans une petite flaque sur le plancher.

Je porte mes doigts à la bouche, enlève mon casque, je suis complètement retournée par ce qui vient de se passer. Stéphanie arrive avec un rouleau d’essuie tout, s’apprête à essuyer la minette de son amie, lorsque celle-ci l’arrête.

« Non, non, laisse moi faire toute seule, là c’est trop sensible, tu vas me faire sauter au plafond.

De retour devant les consoles nous partageons des sashimis, tout en écoutant l’enregistrement ou plutôt les enregistrements, car Stéphanie passe ensemble les deux micros. Avec le casque sur les oreilles nous ne nous entendions pas. Là en plus du chant de sa chatte il y a nos respirations, nos gémissements, car je ne m’en apercevais pas mais je gémissais aussi. Et au moment où elle crie son orgasme, je l’accompagne avec des oui lubriques, j’en ai presque honte et je sens le rouge me monter aux joues. Trois minutes seulement, un record d’après Sophie.

« Du coup il nous reste pas mal de temps, ça va être à mon tour « nous dit Stéphanie.

Ellen si tu veux bien je te laisse aux commandes, c’est simple et elle m’explique comment démarrer les enregistrements et régler le volume de chaque micro.

Elles vont s’installer, Stéphanie sur la chaise longue, Sophie sur le tabouret !

Je lance le top départ