Mélanie, putain du mitard

Le bâtiment, d’un gris crasseux, se dresse au milieu d’une plaine hostile. De forme rectangulaire, une construction brute, de trois niveaux, cernée par une double ceinture de barbelés, traversée par tous les vents et surveillée par quatre miradors. Fabre, le directeur gère cet établissement expérimental d’une main ferme. David, Guillaume et Sébastien le secondent dans ses tâches. Cette prison, modèle unique en France, ne regroupe que des délinquants sexuels. Une population masculine à 95 %. Les femmes disposent de leur propre environnement et ne sont pas autorisés, en principe, à croiser les hommes. Un règlement intérieur draconien qui vaut autant pour les prisonniers que pour le personnel.

Aujourd’hui, Sébastien, Guillaume et David doivent réceptionner une certaine Mélanie, condamnée pour exhibition sur la voie publique et outrage public à la pudeur. Les trois hommes ont pu consulter le dossier de la jeune femme avant son incarcération. Il s’avère que Mélanie est une multirécidiviste, ce qui explique la raison de sa présence dans le fourgon pénitentiaire. Cette fois-ci, elle s’est faite arrêter en compagnie de trois hommes alors qu’ils étaient en train de la ramoner sévèrement dans un jardin public.
Comme d’habitude, les trois complices savent que cette nouvelle arrivante va exciter la convoitise des hommes embastillés. En effet, pour accéder au quartier féminin, il faut passer par la zone masculine. Dans le dossier, il y a une photo de la future arrivante. Une vraie gueule, mélange de rébellion et de promesse de luxure profonde. Dans le regard, une étincelle de débauche. Une très belle proie.

Les trois hommes quittent leur bureau. Quand ils paradent ainsi à travers le secteur masculin, ce n’est jamais pour faire dans la dentelle.
Dès leur arrivée dans le couloir principal, les cris fusent. Amenez-nous de la salope !! Il nous faut de la grosse pute !! Les mecs deviennent dingues. Il va être difficile de les contenir. Mais ça, c’est le boulot de David, Guillaume et Sébastien.
D’un pas résolu, Ils s’avancent vers la camionnette. Un maton vient se placer au devant d’eux et déverrouille la portière.
Mélanie lève son visage vers ces hommes venus l’accueillir. Les poignets et les chevilles de la jeune putain sont entravés. Elle ne porte qu’un débardeur large qui laisse nettement deviner ses seins aux tétons percés, un jean taille basse qui dévoile le haut de sa raie ainsi qu’une paire de baskets. S’imaginer traverser le quartier des hommes dans cette tenue relève de la folie.
Guillaume ouvre le dossier. La photo est conforme.
- Mélanie Jeanne, c’est bien toi ?
Le regard de celle qui s’apprête à être incarcérée se fait provocant.
- Oui.
Une première baffe fuse. David n’y est pas allée de main morte.
- On ne t’a pas appris les bonnes manières, petite pute ? Quatre ans de prison, ça va être long si tu refuses de t’adapter. Avec un tel pedigree, il y en a qui sauront se faire plaisir.
Mélanie renonce à baisser les yeux.
- Oui, messieurs.
- J’aime mieux ça. On y va. Vous pouvez lui retirer les menottes.
Un maton s’exécute et ne manque pas de lorgner la nouvelle arrivante. Le comportement de la jeune effrontée trouble les trois hommes.
Précédés par leur précieuse cargaison, Sébastien, Guillaume et David s’avancent vers l’entrée. Une grille que Sébastien ne regarde pas. Ses yeux sont obnubilés par la poitrine offerte de Mélanie. Par ses tétons dressés et percés. Il s’autorise à glisser une main à l’intérieur du jean de la jeune putain.
- C’est bien ce qui me semblait. Elle ne porte rien dessous.

- Passe la première, petite catin.
Mélanie obtempère. Tandis qu’elle avance vers sa nouvelle destinée, ses yeux s’attardent sur cette construction massive, ornée de ses miradors. Elle a à peine le temps de frémir. Guillaume la pousse fermement dans le dos.
- Avance, on ne va pas y passer la journée.
Ce qui presse l’un des responsables de cette prison particulière, c’est surtout de savoir comment va se passer la traversée du quartier des mâles. Une telle situation, risquée mais pleine de promesses, l’excite copieusement, tout comme ses collègues.
Les trois hommes et la jeune femme parviennent au premier sas. Derrière un guichet, un surveillant les attend avec une caisse de la taille d’une boîte à chaussures.
- Vos affaires. Portefeuille, montre, ceinture, lacets de chaussures.
Sous le regard égrillard de l’agent pénitentiaire, Mélanie s’exécute. Elle retire ses lacets, glisse son portefeuille dans la boîte.
- Rien de plus ? Pas de ceinture ?
Mélanie lève les bras en l’air pour montrer qu’elle n’a rien d’autre à donner. Son jean tient avec aisance sur ses hanches.
- Circulez.
Le quatuor reprend sa progression. Mélanie devine que le maton, du regard, ne lâche pas son cul. Encore un qui prendrait du plaisir à la défoncer.

David s’arrête devant une lourde porte gardée par un maton. Il n’y a d’yeux que pour la jeune chienne. Pour un peu, il en oublierait l’objet de sa mission. Les trois chefs rajustent le col de leur chemise réglementaire, vérifient leur matraque. Prête à l’emploi.
- Tu es prête ? Il y a une bonne cinquantaine de mecs en rut derrière cette porte. La configuration de la prison oblige les dames à emprunter ce long couloir.
Mélanie soutient son regard. Confiante.
- Allons-y. Je suis curieuse de voir ça, messieurs.
Le surveillant déverrouille la porte et, aussitôt, une immense clameur fait vibrer toute la zone. Ça crie, ça chahute, ça invective, ça siffle, ça insulte.
- Hé, la grosse pute, viens te mettre à poil au milieu du couloir ! Qu’on te voit bien !
Mélanie s’avance avec lenteur sous les yeux écarquillés des cinquante taulards, tous fichés comme délinquants sexuels à des degrés divers. Certains hommes ont déjà sorti leurs bites et entreprennent de se branler.
Elle progresse jusqu’au milieu de l’allée. À cet emplacement précis, tous ces obsédés pourront parfaitement profiter du spectacle.
Sous les encouragements des gars, la jeune catin se décide à franchir le pas. Un fantasme qui la tenaille depuis si longtemps. Être livrée en pâture à tous ses déviants. Mine de rien, atterrir dans cette prison peut présenter certains avantages à ses yeux.
Accompagnée par les applaudissements des mecs, Mélanie retire son débardeur. Ses seins magnifiques, d’un volume honnête, et aux tétons percés, apparaissent.
Les gars en veulent plus.

Une intense frénésie s’est emparée du quartier des hommes. Dans les cellules, les barreaux menacent de céder sous la pression. Au milieu de cette agitation, Mélanie s’emploie à retirer lentement son jean. Elle le fait glisser le long de ses cuisses, l’abandonne sur le sol, à côté de ses baskets.
Elle ne cherche pas à se cacher ou à couvrir une partie de son intimité. Ce serait aller contre sa nature.

Dans les cellules, on profite, on se branle avec avidité. On essaye de forcer sur les barreaux. Ça va bien finir par céder.
Sans tarder, les trois hommes prennent la direction des opérations. D’emblée, Guillaume se dirige vers Mélanie, la fait pivoter afin qu’elle se mette à genoux pour le pomper. Pas de ménagement, il impose d’office une gorge profonde. La jeune prisonnière bave à foison, elle en redemande alors que sa chatte commence déjà à couler. Puis, dans une certaine forme d’alternance, elle se retrouve aussi à sucer les queues de Sébastien et David. Elle salive avec excès, ses bruits de succion, malgré la furie des taulards, est conséquent.
Ceux-là sont à point. Les barreaux de la cellule 7 viennent de rompre dans un impressionnant craquement métallique. Les quatre hommes qui la composent se précipitent vers Mélanie. À force de les exciter, elle va obtenir ce qu’elle souhaite ardemment depuis si longtemps. Les trois chefs surveillants laissent faire. Après tout, on n’est plus à ça près.
Les bites sont raides d’avoir trop attendu. Entre leurs mains, Mélanie n’est plus qu’un morceau de viande. Ses trous se retrouvent rapidement investis. Terriblement excitée, elle ne sait plus où donner de la tête. Elle tient deux queues épaisses dans ses mains, une autre occupe sa bouche pendant qu’elle se fait perforer le cul sans ménagement. Entre deux gorges profondes savamment maîtrisées, elle gémit, elle hurle.

Une seconde cellule vient de s’ouvrir. Cette fois-ci, les trois taulards agissent de la même façon que leurs prédécesseurs. Tout n’est que furie et gestes rageurs. La jeune prisonnière ne demande pas tant. On fouille son corps, ses trous, on insère des doigts dans sa bouche. Elle bave encore plus violemment. Elle vomit. Les doigts insistent.
- Tu vas voir, grosse putain, ce que c’est la loi de la prison.
Après avoir visité sa bouche, les doigts avides visitent sa rondelle en profondeur. Mélanie a à peine le temps d’exprimer sa joie qu’une autre bite épaisse entreprend de limer sa bouche avec vigueur. Elle bave à n’en plus finir, parvient à gémir lorsque sa gorge est libérée pour quelques secondes.

Une troisième cellule vient de céder à son tour. Trois nouveaux prisonniers, le regard exorbité, la bite à l’air, se joignent à la fête. Mélanie est débordée pour son plus grand plaisir. Sans savoir à qui elles appartiennent, elle enquille les queues dans sa bouche. Les chibres se succèdent également dans sa chatte enfiévrée et dans son cul incendié. Les détenus s’en donnent sans compter, comme si on leur avait accordé une permission plus qu’exceptionnelle. Ce qui n’échappe pas aux trois surveillants en chef, restés légèrement en retrait.
- Je savais qu’on avait affaire à une récidiviste, mais de ce niveau-là, non, commente Guillaume.
- Laissons faire les détenus pour l’instant. Faut bien qu’ils se divertissent un peu, approuve David.
- Belle recrue. Elle me plaît bien, approuve Sébastien.

Mélanie se fait secouer dans tous les sens. Elle se fait fouiller littéralement, avec une avidité toujours plus prononcée. Son anus distendu fait preuve d’une réelle souplesse. Ça gicle, ça gémit, c’est puissant. Elle n’a jamais rechigné à se faire traiter comme la dernière des catins. C’est même sa vocation. Elle se laisse totalement dominer par les hommes qui se succèdent dans ses trous de putain.
Comme elle aime le répéter, elle est née pour servir. Elle se livre sans compter aux assauts des bites impérieuses.
Sébastien, lui, n’en a pas assez et enfonce sa matraque réglementaire dans le fondement de la jeune prisonnière. D’abord une légère résistance, un cri puis le passage se fait. Dans sa gestuelle, il est imité par Guillaume et David. Les trois matons alternent leur position dans le trou le moins lisse de Mélanie.
- Putain !!!!! C’est trop bon !!!! Continuez mes salauds !!!!
Au milieu du couloir, elle hurle à n’en plus finir. Son excitation constante se répercute sur les parois du quartier masculin. Son jus se fait toujours plus conséquent et c’est désormais à grands jets que celui-ci s’expulse de sa chatte enfiévrée.
- T’en veux encore, grosse traînée ??!!
Elle n’a pas le temps de livrer une réponse. Cette fois-ci, c’est au tour de David de baiser la bouche de Mélanie. Comme les autres mecs, il ne s’en prive pas et ne laisse que peu de répit à la jeune prisonnière. Durant de courtes pauses, elle le supplie du regard pour que la cadence soit moins imposante, mais lui, comme Guillaume, choisit son propre rythme.
Elle s’arrête d’ailleurs un instant, une pause un peu plus longue que d’habitude. Calé derrière elle, Guillaume, d’une belle gifle, la ramène à l’ouvrage.
- Pompe encore, grosse truie !!
Mélanie, trop ravie de subir autant, s’exécute sans broncher. Entre ses cuisses, la bave et le vomi s’accumulent. Dans son cul, les bites se succèdent sans qu’elle puisse en faire le compte. On lui pince les tétons. Avec des gestes parfois mal maîtrisés tant l’excitation est énorme, on joue avec sa chatte baveuse. Les fluides coulent. Les prisonniers s’agitent encore un peu plus.
Mélanie, tel un pantin désarticulé entre les mains de ces pervers, sent bouillir les bites. La jeune putain n’est plus qu’un vulgaire morceau de viande qu’on se prête, dont on abuse sans limites ni considération. On s’installe à deux dans sa rondelle, on continue de forcer et de pilonner sa bouche.
Et, de concert, comme s’ils s’étaient donné le mot, les mecs déchargent leur foutre presque tous en même temps. La gorge de Mélanie se gave de sperme, son cul se remplit et déborde d’une semence épaisse. On ne manque pas d’inonder son visage de truie.
Ses trous ne suffisent plus à contenir l’avalanche de foutre. La prisonnière s’en lèche les doigts et sa langue vient même laper ce qui a coulé sur le sol. Elle n’ignore pas, qu’aux yeux de ses pervers, son statut a changé.
Published by devintaylor
2 years ago
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LiliMarlene
to devintaylor : c'est pour garantir laz fraicheur et l'origine
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devintaylor
devintaylor Publisher 1 year ago
to LiliMarlene : Mmmmmmmmm
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LiliMarlene
to devintaylor : je prefere prelever moi même directement a la source
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devintaylor
devintaylor Publisher 1 year ago
to LiliMarlene : Une banque du sperme !
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LiliMarlene
to devintaylor : oui j'ai des envies de braquer une banque
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devintaylor
devintaylor Publisher 1 year ago
to LiliMarlene : Tu pourras faire mieux ?!
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LiliMarlene
to LiliMarlene : je n'ai que deux condamnations pour exhibition sexuelle t racolage je suis moins chevronnée que melanie
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devintaylor
devintaylor Publisher 1 year ago
to LiliMarlene : Ouais, ça t'irait très bien !! Il y a d'autres textes qui devraient te plaire...
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LiliMarlene
je me verrais bien a la place de melanie
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ccandau
ccandau 2 years ago
to devintaylor : tu es super
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devintaylor
devintaylor Publisher 2 years ago
to ccandau : Merci Christian !
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ccandau
ccandau 2 years ago
bravo Guillaume très belle pute à déguster génial comme toujours
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devintaylor
devintaylor Publisher 2 years ago
to sebx666 : Merci Seb !!
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sebx666
sebx666 2 years ago
Effectivement un récit qui décrit cette chienne à la perfection :wink:
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devintaylor
devintaylor Publisher 2 years ago
Avec grand plaisir, Mélanie !!
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devintaylor
devintaylor Publisher 2 years ago
to caso29 : Yep !!
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caso29
caso29 2 years ago
Cette garce de Mélanie va apprécier le traitement que tu lui fais subir :wink:
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