Marquee moon

J'étais en déplacement pour deux jours. Je roulais tranquillement sur l'autoroute. L'auto radio captait mal, je cherchais donc une autre station. C'est là que j'entendis cette chanson anglophone. Je l'avais déjà entendu c'est certain mais il me fallut la réécouter sur mon ordinateur une fois à l'hôtel pour me souvenir. le groupe c'était "Télévision" et le titre de la chanson "Marquee moon".

Cela me ramenait presque trente ans en arrière en 1994.J'avais alors 22 ans.





J’étais super heureuse de partir en vacances à moto. Sandra une très bonne amie derrière Laurent et moi derrière Michel, une connaissance commune. Nous allions faire le tour de la Bretagne allant de camping en camping. Sandra et moi aurions notre tente, Laurent et Michel la leur.



Michel venait me chercher !

Sandra et Laurent ne sont pas avec toi ?

Non, Laurent a un petit souci sur la moto, rien de grave. Ils nous rejoignent rapidement à la première étape. Ils m’ont demandé de réserver la place pour deux tentes.

Cela ne me plaisait pas vraiment, l’idée c’était de rouler ensemble. Enfin j’avais toute confiance en Sandra et en Laurent, donc c’était parti.



Nous roulions tranquillement en suivant la cote. Il faisant beau, c’était très agréable. Nous nous arrêtions assez souvent pour admirer le paysage. Michel regardait souvent l’heure, il semblait inquiet.

"Je ne comprends pas nous roulons vraiment lentement, nous nous arrêtons souvent et ils ne nous ont toujours pas rejoint. A moins qu’ils aient pris une autre route. Bon on va aller directement au camping."

C’était un endroit sympathique proche de Paimpol à un kilomètre de la plage qui fait face à l’ile de Bréhat.

La tente était montée, le soir approchait mais toujours pas de Sandra et de Laurent.

La nuit était tombée et nous étions toujours seuls.

Bon, moi je vais me coucher dis-je à Michel, je suis fatiguée et ça ne donne rien de plus de poireauter comme cela.

Je vais attendre encore un peu !

Je me couchais. Je n étais pas vraiment tranquille et encore moins lorsque Michel vint se coucher, je faisais semblant de dormir les mains au dessus de mon sac de couchage les avant bras posés sur la poitrine. Je finissais par légèrement m'assoupir. Lorsqu'il prit ma main pour la poser sur son sexe en érection. Il me fallu un petit moment pour comprendre quelques secondes certainement pas plus.

Je n'étais plus une gamine et s'il s'y était pris autrement peut être, enfin peut être ........ Mais là non !







Ma réaction fut vive et immédiate. Je regroupais mes affaires dans mon sac à dos et je quittais à pied le camping. Il ne me restait plus qu’à trouver un coin tranquille sur la plage pour dormir à la belle étoile, mais c’était sans compter sur la météo Bretonne. Ce n’est pas qu’il pleuvait beaucoup, mais ça mouillait tout de même. Je me dirigeais donc vers le port et je trouvais dans ce bar un abri provisoire.



Aout 1994



Il y a une ambiance particulière dans cet endroit enfumé. Ça rit, beaucoup d’hommes, certainement des marins vu leurs vêtements. Derrière le bar une femme de petite taille, ronde, certainement la patronne. Il y a aussi cette fille. Elle porte une sorte de bermuda en jean et un grand teeshirt épais qui a vécu. Assise, dos au bar, elle me regarde tout en buvant une bière dans un grand verre, une pinte je pense. La mousse lui fait une moustache blanche qui tranche avec la couleur brune presque noire de son épaisse chevelure frisée. Ses pieds nus posent sur une barre transversale du haut tabouret. Elle n’est pas la seule à me regarder, loin de là. Presque tous les regards sont fixés sur moi.

La jolie brune tire le tabouret le plus proche d’elle et me fait comprendre de venir m’y assoir, ce que je fais.

Les discussions et les rires reprennent.

« Qu’est ce qui t’amène dans se repère de pirate, ma jolie ? Excuse ma question, les présentations d’abord moi c’est Clo me dit-elle en me tendant la main.

« Moi Ellen «

« Veux-tu prendre un verre Ellen, c’est pour moi ! Tu mettras ça sur ma note Mireille ».

« Qu’est-ce que je te sers me demande alors Mireille »

« Pareil » répondis-je sans réfléchir »

« Allons- y une pinte de kriek «

Heu, non, non, un plus petit verre s’il vous plait.

Ça n’excite pas les petits verres ici, dit Clo en riant, t’inquiète les toilettes sont nickels ici, tu pourras pisser tranquille.

« Bon va pour une pinte, alors ! ».

Clo vide son verre d’une traite « La même chose Mireille s’il te plait ! On n' trique pas le verre vide ».

Elle se roule une cigarette, je la vois légèrement titubante et au son de sa voix je comprends qu’elle a dû déjà pas mal boire.

Elle a des mains de bucheron, de gros doigts tous abimés.

On trique ! Santé.

Alors maintenant que nous avons fait connaissance, tu me dis ce qui t’as amenée ici ?

Je me sens en confiance, alors je lui raconte sans entrer dans les détails gênants.

« Quel connard ! Si tu veux je peux demander à mes potes de lui expliquer ce que c’est que le respect envers les femmes, ils peuvent être très pédagogues, si tu vois ce que je veux dire.

Je ne peux m’empêcher de rire. Oui je pense voir ce que tu veux dire, mais non merci.

On papote, le temps passe agréablement, nous buvons un autre verre. Effectivement les toilettes sont propres, pour les femmes c’est à l’arrière du bar chez Mireille.

« Bon minuit et demi, il va falloir que je rentre je bosse tôt. Viens dormir chez-moi si tu veux, alors ce n’est pas le grand luxe, il n’y a qu’un seul lit, enfin un canapé convertible. Mais au moins tu seras à l’abri.

C’est une proposition qui vu la situation m’est difficile de refuser et puis je ne suis pas mécontente de passer plus de temps avec elle.

C’est à peine à une centaine de mètre du bar, mais Clo s’appuie sur moi pour ne pas chavirer, alors que je suis moi- même assez peu stable. Nous montons un escalier en colimaçon les marches grincent sous nos pas. Troisième et dernier étage, enfin !

Ah oui c’est petit ! Une seule pièce, un canapé déplié avec des draps en tire-bouchon, une table basse, un coin cuisine et une douche dans un angle, un grand placard auquel il manque une porte et qui sert apparemment de range tout et n’importe quoi.

Tout en ouvrant son frigo elle me demande si je veux manger un bout, mais elle referme le frigo dépose une bouteille de bière sur la table basse encombrée puis ouvre le meuble au-dessus de la gazinière crasseuse.

« Biscote pâté, ça te tente ?»

Je comprends bien qu’il n’y a que ça, alors pour ne pas faire ma difficile je lui réponds « parfait «

Tout compte fait ça fait du bien de manger un petit morceau.

« Bon tu m’excuses un moment je vais prendre une douche » me dit-elle en se mettant à poil sans pudeur. Quand je dis à poil, c’est au sens propre, je n’ai jamais vu un minou et des aisselles aussi fournies. Je détourne le regard un peu gênée. Mais lorsqu’elle est sous la douche dont les parois sont transparentes, je la regarde discrètement.

Je la trouve particulièrement belle, très attirante.

« Mets de la musique si tu veux »

« A cette heure-là ? »

Oui ! C’est ma grand-mère qui habite en dessous, elle est sourde comme un pot.

A côté du canapé dans l’angle coté fenêtre il y a une platine disque, l’ampli est resté allumé, je prends le premier 33 tours sur le haut de la pile.

Télévision Marquee moon.

C’est rock, assez répétitif et très entrainant.

Elle sort de la douche en s’essuyant les cheveux.

Elle doit sentir ma gêne de la voir nue.

Ha pardon !

Elle prend une autre serviette dont elle s’entoure.

Si tu veux te doucher !

Je ne voudrais pas abuser.

Oui c’est ça, dis plutôt que tu ne veux pas que je te voie nue.

Touché ! Elle a raison ! Mais, pour lui donner tort je me déshabille prend la serviette dans mon sac.

« Dit donc ! T’es canon ! »

Je dois être rouge écarlate, je file sous la douche.

Elle a monté le son, a servi deux verres de bière et elle danse un verre à la main une cigarette dans l’autre.

J’en profite pour me laver m’essuyer rapidement et comme elle j’enroule la serviette au-dessus de mes seins.

"J’ai oublié de récupérer mon linge propre chez Mamie, je pourrais t’emprunter une culotte Ellen, je te la rends demain propre bien sûr".

Je prends deux culottes dans mon sac et lui tend la rose échancrée sans réfléchir.

Merci t’es chou me dit-elle en déposant un petit baiser innocent sur mes lèvres.

Tout innocent soit-il je suis hébétée !

Je prends le verre de bière qu’elle avait servi à mon intention et en avale deux grandes gorgées.

Prenant mes mains dans les siennes elle me dit ! Tu danses ?

La musique est entrainante, je suis une piètre danseuse mais je danse et m’amuse follement. Sa serviette tombe à ses pieds et là !

J’éclate de rire ! "Je n’aurais pas dû te donner cette culotte."

T’es pas cool dit-elle en s’assaillant jambes pliées sur le côté et un prenant un air boudeur sur-joué.

Oui ! je sais je suis super poilue, et je ne m’entretiens pas, la dernière fois que j’ai voulu me raser c’était massacre à la tronçonneuse. Ma grand-mère a dû m’amener aux urgences pour une transfusion sanguine.

Non ?

Si, si ! Je ne te plais pas c’est ça ? Tu me trouves moche ?

Je la regarde sans répondre, elle me fait craquer et là c’est moi qui pose un baisé sur ses lèvres.

L’on se regarde un long moment, je me perds dans ses grands yeux noirs et dans un élan commun nous nous enlaçons et nous embrassons à pleine bouche.



Nous faisons l’amour.



Le réveil sonne. Il est 3heures 30 et nous n’avons pas dormi.

Faut que j’aille bosser.

A cette heure ?

Oui, je travaille à la criée !

Mais tu n’as pas dormi.

C’est mieux ! Avec ce que j’ai bu, j’aurais dormi, je serais dans le brouillard, là ça va !

Bon je te laisse ta culotte de fillette imberbe je mets l’autre. Tu ne te sauves pas, Ellen, je fini vers 11 heures, promets-moi que tu seras là !

Promis

Si tu sortais t’inquiète pas pour la porte, je ne ferme jamais.

Elle m’embrasse puis s’en va.

Je m’endors.

C’est l’envie de pipi qui me réveille, mais je n’ai pas vu de toilettes, je sors donc sur le pas de la porte. Une porte à ma gauche non, là c’est placard à balais et poubelles, celle d’en face ? Sauvée.

Il est 9 heures j’ai bien dormi, j’ai un léger mal de tête, mais c’est supportable. Je vois la culotte rose sur la table de salon, je souris en pensant à cette nuit et je l’enfile. Oui, ok, je ne sais pas pourquoi j’ai prise celle-ci, moi aussi ça déborde.

Je termine de m’habiller puis je descends prendre un café et un croissant au bar. Je demande à Mireille ou je pourrais faire quelques courses.

Tu sors sur ta droite et prends la deuxième rue à gauche, tu trouveras une supérette.



Une jolie voiture coupée noire est garée sur le trottoir en face de la superette. Une femme portant un grand chapeau et des lunettes de soleil est à son volant. En passant à coté, il me semble voir ses yeux dans le rétroviseur côté conducteur alors qu’elle regarde par-dessus ces lunettes. C’est étrange on dirait les yeux verts d’un chat.

Alors que je vais pour entrer dans le magasin une très belle jeune femme asiatique en sort. Elle me salue d’un « Bonjour » souriant et monte côté passager.

Je fais mes quelques courses, juste du basique, des pâtes, du jambon, des œufs, des jus de fruits….. Mais je prends aussi un lot de rasoirs jetables, de la crème à raser et une lotion après rasage, là y a pas beaucoup de choix et c’est uniquement pour homme.

A la pharmacie, je trouve une crème réparatrice pour mains abimées.

En remontant les courses dans l’appartement, je croise Mamie.

« Vous êtes une amie de Clotilde ! Cela ne vous dérange pas de prendre son linge, elle a oublié de le récupérer hier. »

« Non, bien sûr ! Je dépose mes courses et redescends le prendre ! lui dis-je . Effectivement elle n’entend rien puisqu’elle me tend une grande panière »

Je pose donc mon sac de courses et monte la panière en premier.

J’ouvre la porte fenêtre qui donne sur un tout petit balcon avec vue sur le port.

Je fais un peu de rangement et de ménage, c’est rapide vu la taille de l’appart.

Il est 10 heures 30, je mets un peu de musique, le même disque que cette nuit et m’assoie sur le canapé que j’ai eu peine à replier.

Je repense à Clo et à cette nuit de folie.



J’aime bien le sexe entre filles. Je me suis souvent amusée avec des copines .On a tendance à faire à l’autre ce que l’on aime, ça marche assez bien.
Moi je suis plutôt léchouilles et ou caresses appuyées du clito, la pénétration est accessoire. Enfin, ça c’était avant cette nuit, car c’est en explorant lentement de ses doigts mon vagin , puis en me doigtant vigoureusement ,que par trois fois elle m’a fait atteindre l’orgasme. De mon côté j’ai l’impression de ne pas avoir été à la hauteur, j’ai rapidement perdu le contrôle emportée par mon plaisir et me suis abandonnée à ses caresses .
Mais je compte bien me ratt****r.



« Bonjour Ellen, tu vas bien » puis en s’approchant « Je peux t’embrasser ? »

« Bien sûr quelle question «

« Ben, je préfère demander « hier nous avions bu, tu pourrais regretter ce qui s’est passé »

« Tais- toi et embrasse-moi idiote »

« J’ai ramené deux portions de moules frites, tu aimes ça ? »

« Super, j’adore »

« Bon je me lave vite fait ! Après on ira au bar, faut que je règle ma note, on mange un bout et je ferais une petite sieste, je suis morte. Ça te va ?

« Parfait, je profiterais de ta sieste pour aller voir au camping si Sonia et Laurent sont arrivés et régler mes comptes avec Michel »

Tout à l’heure j’ai un peu fouillé dans la panière de linge propre, que des pantalons ou des bermudas en jean, rien de très féminin.

Pendant qu’elle prend sa douche je sors de mon sac une petite robe à bretelles, légère, blanche à petites fleurs rouges. Une large bande élastique serre le bas du torse et la taille. Cette robe est parfaite lorsque je ne souhaite pas porter de soutif.

« Tiens essaye ça ! »

« Tu rigoles ? »

« Ben, non, je suis sure qu’elle te va très bien »

« Je suis pas ta poupée ! «

« Ok , comme tu veux puis tout bas je pense pas rester très longtemps si c’est comme ça !».

« Ho , la salope ,j’y crois pas, tu me fais du chantage ? Ok je vais la mettre ta robe, mais tu me le payeras »

« Regarde toi dans la glace tu es magnifique »

« Ouais dit-elle en levant les bras pour me montrer ses poils «

« Bon, je n’avais pas prévu de faire ça tout de suite, mais là il y a urgence, enlève la et assieds-toi sur le rebord de la table »

Je sors le nécessaire et lui rase les aisselles.

« rhabille toi et viens te voir à nouveau ».

Clo est rayonnante et je vois bien que son image dans le miroir ne lui déplait pas.

« Alors ? »

« Ça change ! »

Bon aller on va au bar

« Ah , non ,je sors pas comme ça , je veux bien faire un effort pour te faire plaisir mais y a des limites , en plus y a même pas de poche ,j les mets ou mes sous et mes clopes »

« Donne je vais les mettre dans mon sac, aller enfile tes sandalettes, oui celle-ci ! ».

Je la prends par la main et l’entraine dans les escaliers.

Une fois dans la rue

« Ellen, je suis pas bien là, j’ai des vertiges »

« T’avais qu’à moins boire »

Je suis presque obligée de la tirer pour qu’elle rentre dans le bar. Elle va directement au comptoir s’assied sur un tabouret dos à la salle. Je m’assoie à côté d’elle.

« Bonjour Mesdames, Hé bien Clo ! On n’a pas l’habitude de te voir comme cela, tu es ravissante » nous dit Mireille « Je vous sers quoi comme d’habitude » Je m’empresse de répondre « Ce sera un Orangina pour moi » Clo hésite, me regarde « Pour moi aussi, un Orangina ».

D'autres habitués entrent dans le bar. Les compliments fusent, Clo est aux anges, elle reprend son naturel et tourne sur son tabouret pour faire face à la salle. Je lui donne un coup de coude, puis un autre.

"Quoi me dit elle"

"Tes jambes"

"Quoi mes jambes ?"

"Tu es en robe !"

Elle resserre, les jambes et pose ses mains sur ses genoux.



Nous remontons à l'appartement. Devant moi dans les escaliers elle s'amuse à me montrer son cul.

"Tu vois j'ai bien fait d'insister pour la robe"

"Oui ! Tien pour te remercier tu peux faire un bisous" me dit-elle en baissant sa culotte et en tendant son postérieur"

Mais c'est une claque sur la fesse qu'elle reçoit.

"Aller avance"



Moules et frites froides ! Bon ça se mange tout de même.



Clo s'est endormie, elle en culotte, je la regarde, elle est tellement belle !



Merde , Ellen, tu es amoureuse



A SUIVRE
Published by elenamark
2 years ago
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Catwomanmeows
Catwomanmeows 2 years ago
You are a bold women, Ellen. I would have reacted the same with Michel if I was ever with a guy, lol. But I could never find the courage to react with Clo like you did. Kissing her. Shaving her armpits. Making her wear your dress !! You would be a helpful companion with shy girls like myself.
I had to look up the rock band Television from the 1970s in New York. Punk era, but their sound was a mixture of jazz and even progressive rock !! Sweet !! Thank you for the history lesson and a page or two from your personal memoirs. Meow. 
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Catwomanmeows
Catwomanmeows 2 years ago
to laurent7891 : He does sound a bit like Mick Jagger  😊
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DrWhoWhatandWhere
DrWhoWhatandWhere 2 years ago
to laurent7891 : you seem to be missing but Ellen now says we will see you in the next episode
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laurent7891
laurent7891 2 years ago
to DrWhoWhatandWhere : how should it be taken dear Art? :wink::smile::smile:
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laurent7891
laurent7891 2 years ago
to elenamark : hum....que va t il donc arriver... hum.... :wink::wink:
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elenamark Publisher 2 years ago
to DrWhoWhatandWhere : You will know a little more about Laurent in the next episode
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elenamark Publisher 2 years ago
to laurent7891 : C'est un beau roman c'est une belle histoire ! merci Laurent
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elenamark Publisher 2 years ago
J'ai été très surprise d'entendre ce morceau à la radio. Ce n'est pas très connu !  Contente que cela te rappelle à toi aussi de bons souvenirs
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elenamark Publisher 2 years ago
Merci à toi Chan ! 
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DrWhoWhatandWhere
DrWhoWhatandWhere 2 years ago
A lovely start to your journey with Clo. You are loosely like the female Professor Higgins from "My Fair Lady"...and Eliza from there is your Clo...putting her in a dress where all take notice of her beauty...especially you!

But what about Laurent..where is he..I never knew him to be so unreliable lol
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laurent7891
laurent7891 2 years ago
C'est un sensible récit que tu nous partage là Ellen... teinté d'érotisme et de beaucoup de tendresse... c'est un bel amour de vacances qui commence et se vit pleinement...  et bien sûr, je n'ai pu résister de lire cette belle histoire avec Marquee Moon en fond sonore... que je ne connaissais pas..c'est très sympa, rock mais cool.. le chanteur a une voix qui fait penser à Mick Jagger par moment....https://www.youtube.com/watch?v=jlbunmCbTBA  Ton beau récit me fait aussi penser à la chanson de Michel Fugain : "C'est un beau roman, c'est une belle histoire" dont les circonstances sont proches des tiennes dans ce récit sentant les vacances et les aventures sentimentales.... https://www.youtube.com/watch?v=AErazxVXkHw
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