PLAISIR
SODOMIE ET PLAISIR DE L'ÉJACULATION.
La distinction actif / passif est classique mais bien relative.
Il y a autant de plaisir à enculer qu'à être enculé !
C'est super bon de se prêter à la sodomie, d'écarter les cuisses et les fesses et de s'abandonner au partenaire qui vous prépare l'anus avec les doigts, qui vous lubrifie et qui commence à chercher la direction du conduit anal avec son gland décalotté et dilaté.
Le sphincter est forcé et la bite peut s'enfoncer et commencer son va et vient jouissif avec de plus en plus d’énergie.
Elle ressort puis rentre et les couilles du partenaire viennent frapper la rondelle !

J'adore être enculé par un partenaire dont la bite est bien raide et résistante.
Mon anus étant serré, la jouissance que j'attends passe par une préparation qui ouvre mon cul au plaisir.
Doigts, lubrifiant et plugs de diamètres croissants sont nécessaires pour débrider, dilater, épanouir la rondelle.
La porte anale du plaisir est élastique.
Elle se prête à l'invasion qui va faire jouir l'homme.
Pour autant elle ne veut pas être déchirée !
J'aime me sentir forcé par le gland de mon partenaire mais j'ai répugnance à devoir serrer les dents en étant sodomisé.
L'enculade douloureuse n'est pas mon trip !
D'ailleurs c'est tellement agréable de se faire trifouiller l'entrée et le vestibule du cul en sachant que la bite de l'amant va y trouver et y donner du plaisir !
C'est divin aussi d'être l’enculeur, de préparer sa queue à la pénétration anale par un peu de branlette, de bien dénuder le gland qui est la tête de la lance à foutre.
Une fois que le gland a dépassé le verrou d’entrée, la queue se sent pressée par le cul qui l’accueille, comme aspirée, pompée, massée.
C'est là, la supériorité d'une enculade.
Le mouvement que l'on imprime à la bite renforce cette impression et rien n'est plus divin que de la pousser aussi loin que les couilles peuvent le permettre.
Cracher le jus de couilles n'est pas le terme du plaisir.
Certes sentir l'éjaculation chaude est jouissif pour chacun des partenaires mais si la bite est restée ferme, poursuivre la sodomie en profitant du foutre éjaculé comme d'un lubrifiant est un plaisir supplémentaire !
Et à la fin, voir s'écouler de l'anus le jus de couilles est un spectacle très érotique pour le visiteur du cul et une sensation jouissive supplémentaire pour l'enculé qui a été inséminé !
N'est-ce pas ?
La distinction actif / passif est classique mais bien relative.
Il y a autant de plaisir à enculer qu'à être enculé !
C'est super bon de se prêter à la sodomie, d'écarter les cuisses et les fesses et de s'abandonner au partenaire qui vous prépare l'anus avec les doigts, qui vous lubrifie et qui commence à chercher la direction du conduit anal avec son gland décalotté et dilaté.
Le sphincter est forcé et la bite peut s'enfoncer et commencer son va et vient jouissif avec de plus en plus d’énergie.
Elle ressort puis rentre et les couilles du partenaire viennent frapper la rondelle !

J'adore être enculé par un partenaire dont la bite est bien raide et résistante.
Mon anus étant serré, la jouissance que j'attends passe par une préparation qui ouvre mon cul au plaisir.
Doigts, lubrifiant et plugs de diamètres croissants sont nécessaires pour débrider, dilater, épanouir la rondelle.
La porte anale du plaisir est élastique.
Elle se prête à l'invasion qui va faire jouir l'homme.
Pour autant elle ne veut pas être déchirée !
J'aime me sentir forcé par le gland de mon partenaire mais j'ai répugnance à devoir serrer les dents en étant sodomisé.
L'enculade douloureuse n'est pas mon trip !
D'ailleurs c'est tellement agréable de se faire trifouiller l'entrée et le vestibule du cul en sachant que la bite de l'amant va y trouver et y donner du plaisir !
C'est divin aussi d'être l’enculeur, de préparer sa queue à la pénétration anale par un peu de branlette, de bien dénuder le gland qui est la tête de la lance à foutre.
Une fois que le gland a dépassé le verrou d’entrée, la queue se sent pressée par le cul qui l’accueille, comme aspirée, pompée, massée.
C'est là, la supériorité d'une enculade.
Le mouvement que l'on imprime à la bite renforce cette impression et rien n'est plus divin que de la pousser aussi loin que les couilles peuvent le permettre.
Cracher le jus de couilles n'est pas le terme du plaisir.
Certes sentir l'éjaculation chaude est jouissif pour chacun des partenaires mais si la bite est restée ferme, poursuivre la sodomie en profitant du foutre éjaculé comme d'un lubrifiant est un plaisir supplémentaire !
Et à la fin, voir s'écouler de l'anus le jus de couilles est un spectacle très érotique pour le visiteur du cul et une sensation jouissive supplémentaire pour l'enculé qui a été inséminé !
N'est-ce pas ?
2 years ago