JEUX.
Jeux pas interdits.
De l’exhibitionnisme au dogging.
Arrivés tous deux à la cinquantaine, nos enfants élevés et ayant quittés le foyer familial, nous décidâmes de pigmenter notre vie de vieux couple par des activités coquines.
Puisque mon épouse avait toujours apprécié de montrer ses atouts nous décidions à nous livrer à quelques sorties exhibitionnistes.
Avec l’âge et ses trois maternités le corps de ma femme s’était quelque peu relâché et je pensais moins attirant.
Mais la suite me prouva qu’elle attirait encore beaucoup de charognards affamés et en manque de sexe.
Cela démarra gentiment, nous y allâmes « crescendo ».
Après s’être rencardé sur le net des lieux de dragues dans notre secteur, nous partîmes la nuit tombée, en exploration avec plus ou moins de succès.
De façon classique dans ce genre d’exercice, arrivé sur place ma femme se défaisait pour mettre à l’air ses nibards et nous attendions l’arrivé d’éventuelles voyeurs.
La première fois, la voiture était tous phares éteints et les clients tardaient à venir.
Nous étions déçus.
Je décidais donc d’allumer le plafonnier éclairant ainsi le buste dénudé de mon épouse.
L’effet fut immédiat, les voyeurs vinrent se coller à la vitre comme les moustiques attirés par la lumière.
Nous nous contentions juste de montrer.
Je prenais les nichons de ma femme dans les mains et le levaient bien pour les montrer aux spectateurs.
Des queues sortirent des pantalons et des types se branlèrent éjaculant sur la vitre et la portière.
Les premières fois nous nous contentâmes de ça.
Cela nous avait procuré suffisamment d’émotion.
Puis un jour, alors que les clients étaient massés à la portière, sans en avertir ma femme, j’appuyais sur le bouton d’ouverture de la vitre côté passager.
La réaction ne se fit pas attendre.
Aussitôt des mains s’engagèrent à l’intérieur du véhicule pour se saisir de la poitrine de ma femme.
J’étais follement excité mais ma femme était encore sous l’effet de surprise
- « Oh ! Tu es fou ! » me dit-elle.
Je lui dis :
- « Allez !!! laisse-toi faire, tu vas trouver ça bon ! ».
Pour cette soirée, ils en restèrent à la palpation de ses seins mais pour terminer, deux clients entrèrent leur zob à l’intérieur de la voiture et se masturbèrent en éjaculant sur ma femme.
Ces séances se succédèrent dans différents lieux de la région au fil des mois et au gré de nos envies.
Notre méthode évoluant au fur et à mesure de nos expériences.
Avant de partir de notre domicile ma femme n’enfilait plus que son imperméable rouge totalement nu en dessous.
Ainsi en arrivant sur place la marchandise Ă©tait plus rapidement en vitrine.
Elle avait cette façon bien à elle de se cambrer en creusant son dos pour projeter sa poitrine en avant, l’offrant ainsi aux clients comme on tend un paquet de bombons à des enfants en leur disant :
- « Allez y servez-vous les enfants, c’est Maman qui régale ! »
C’est enfants-là ne se faisaient pas prier.
Cela se passait un peu près toujours de la même façon :
Une main s’avançait et venait se poser timidement sur un sein comme ci ils doutaient d’avoir réellement le droit de toucher puis voyant que mon épouse se laissait faire une deuxième main venait se poser sur l’autre sein et commençaient à la caresser doucement…
Ma femme commençait alors à haleter ce qui excitait ses peloteurs qui du coup, s’enhardissaient.
Leurs caresses devenaient de plus en plus insistantes.
Ma femme haletait de plus en plus puis les caresses se transformaient en pétrissage de ses mamelles elle se mettait alors à pousser des gémissements qui encourageaient ses clients à malaxer ses nichons de plus fort et de plus en plus violemment puis à s’occuper de ses tétons qu’ils pinçaient, faisaient rouler entre leurs doigts et étiraient tant que faire se peut jusqu’à ce qu’elle se mette à crier de plaisir.
Une fois, je crus bon intervenir par peur qu’ils ne la blesse mais mal m’en pris, ma femme se retourna vers moi et me dit :
- « Occupe-toi donc de toi, et laisse-les faire ! »
A ces paroles, les caresses de ses clients redoublèrent d’intensité.
Ils n’avaient plus aucune retenue.
Puisque ma femme acquiesçait ils lui travaillèrent les seins sans ménagement.
J’ai souvent été surpris par tout ce que le corps humain pouvait supporter comme mauvais traitement.
Mais non, là au contraire, ma chérie gémissait de plaisir, cela lui déclenchait des orgasmes.
Des bites entrait dans l’habitacle qu’elle gobait au gré de ses envies.
Pendant tout ce temps je me masturbais en jouissant du spectacle.
Puis des mains descendaient vers son sexe et se mettaient à fouiller son intimité.
Pour leur faciliter la tâche ma femme basculait le dossier en arrière et mettait ses pieds sur le tableau de bord en écartant bien les cuisses.
C’était un déchaînement de mains…
Elle en avait partout sur son corps, d’où venaient toutes ces mains…
Étaient-elles bien propres ?
Tant de questions qu’il était bien tard pour se poser.
Un jour alors que ma chérie était dans cette position, un type plus téméraire que les autres s’enhardit et ouvrit la portière.
Il attrapât les jambes de ma femme et d’autorité lui fit faire un quart de tour sur le siège dirigeant ainsi ses orifices vers l’extérieur de la voiture.
Sans plus attendre, en la tenant par les jambes je le vis fourrer sa bite dans le vagin de ma femme.
Dans cette position, sa tête reposait sur ma cuisse…
J’en profitais pour m’occuper de ses nichons qui m’excitent toujours autant après tout, ils sont à moi !
Nous venions de franchir l’ultime étape pensais-je.
Jusqu’à présent il n’y avait encore jamais eu de pénétration.
Son baiseur se retira juste avant d’éjaculer et lui déchargea ton son foutre sur son pubis et son ventre.
Lui partit, d’autre clients se mirent face à elle mais il n’y pas d’autre pénétration ce soir-là .
Ils se contentèrent de se branler et déchargèrent en quantité sur son corps.
Son bel imperméable rouge qu’elle avait complètement déboutonné mais pas quitter fut complètement souillé par le foutre, elle n’était pas trop contente de cela.
Je lui dis que la prochaine fois elle n’aura qu’à venir complètement nu comme ça ses fringues ne seraient pas tachées.
Elle me prit au mot.
Un soir, alors qu’elle était totalement nue dans la maison elle me dit :
- « allez !!! on y va »
Et elle ouvrit la porte, sortit dans notre chemin et alla s’installer dans la voiture.
- « Euh là , ça va être chaud ce soir » me dis-je.
Et nous quittâmes notre domicile ma femme assise à côté de moi simplement vêtue de sa ceinture de sécurité.
Ce n’est pas le tout mais nous avons quand même un bout de route à faire et bien que la nuit soit tombée, ce n’était pas sans risque.
Rien que dans notre rue, certains voisins pourraient bien encore être dehors et puis ensuite il nous faut emprunter le périphérique pour se rendre jusque sur le parking.
On pourrait bien se faire contrĂ´ler.
Mais tous ces risques ne faisaient qu’ajouter à notre excitation.
À cette heure la circulation était encore intense sur le périph.
Et nous doublâmes bien sur de nombreux camions et fourgons qui ne pouvaient pas ne pas voir.
Surtout que ma femme avait elle-même allumé le plafonnier juste au-dessus d’elle.
En prenant la bretelle de sortie pour rejoindre le fameux parking je m’aperçus qu’un fourgon blanc que nous avions précédemment doublé empruntât lui aussi cette bretelle de sortie.
Le hasard ?
Nous verrons bien me dis-je.
Nous arrivâmes au parking et allâmes stationner dans la partie haute.
Je vis le fourgon se présenter à l’entrée du parking.
Je me dis qu’avec la barre qui limite la hauteur il ne pourrait pas entrer mais si il y parvint, ça passait juste.
Il se dirigea immédiatement vers nous et vint se garer bien en face de notre voiture à environ deux mètres et il alluma ses pleins phares, nous éblouissant et dévoilant clairement au chauffeur ce qu’il avait sans doute entre aperçu lorsque nous l’avions doublé.
Les portières s’ouvrirent et finalement trois types descendirent du fourgon.
Ils se dirigèrent immédiatement vers la portière de ma femme, l’ouvrirent et sortirent sans ménagement mon épouse du véhicule.
Ces types ne parlaient pas français, des roumains je pense, il y en pas mal qui travaillent dans la région.
Je cru juste comprendre un mot qui ressemblait Ă
- « salope ! »
Ils la dirigèrent vers l’avant du véhicule en la tenant pas le bras la firent se pencher en avant sur le capot et lui écartèrent les jambes bien comme il faut.
Et la commença le festival.
Ces types savaient exactement ce qu’ils voulaient, ils s’intéressaient uniquement à son cul, leur seul désir : l’enculer.
Pour eux une femme qui se balade à poil n’est qu’une salope et les salopes et bien on les encule !
Ils commencèrent par lui mettre la fessée, lui claquant son gros cul à tour de rôle.
- « Ouille ! Ouille ! » Disait mon épouse.
Cela fit rire les trois énergumènes dont les claques sur son popotin redoublèrent de force.
Puis ils commencèrent à lui fouiller l’anus de leurs doigts, alternant doigtage de son petit trou et fessées.
Ce spectacle gratuit bien éclairé par les phares du fourgon n’avait pas manqué d’attirer une foule de badauds.
Mon épouse qui aimait s’exhiber et bien là elle était gâtée, on ne pouvait espérer mieux.
Puis les choses sérieuses commencèrent.
L’un d’eux baissa son pantalon ainsi que son boxer et sorti son zob.
Il l’astiqua un peu afin d’avoir une belle érection.
Il approcha son visage du cul de ma femme et lui cracha sur l’anus.
Il plaça son gland à l’entrée de celui-ci et entrepris de l’enculer.
De ma place de conducteur que je n’avais pas encore quitté je voyais le visage de mon épouse appuyée sur le capot à l’aide ses avant-bras.
Quand il força l’entrée de son cul je la vis alors faire une atroce grimace de douleur suivi d’un grand souffle et elle lâcha un :
- « Oh la vache ! »
Elle souffla bruyamment quelque instant, le temps que, après quelques va et vient, le type la pénètre à fond puis je vis son visage devenir plus serein.
Elle commençait à apprécier le traitement.
Elle se fit ainsi bourrer le cul pendant un bon moment…
Les trois compères se succédant pour l’enculer sauvagement.
En voyant cette scène je me disais :
- « ou est-elle la gentil petite Françoise de mes vingt ans, celle qui ne voulait pas qu’on touche à son si précieux petit trou parce que disait-elle, victime de son éducation catholique, « cet orifice-là n’est pas fait pour ça ! »
Et pourtant elle s’en était prise des bites dans le cul depuis l’épisode ou ses deux collègues avaient forcé le passage.
Toujours sur mon siège, tout en me masturbant, je voyais ses grosses mamelles de femme mure se balancer à la fréquence des coups de reins de ses enculeurs.
Par moment ses pis venaient s’écraser sur mon capot.
Après avoir bien profité du corps de ma femme les trois larrons s’écartèrent, non sans lui avoir mis une dernière tape sur le cul, pour laisser la place à qui le souhaitait dans l’assemblée.
Puis d’autres arrivèrent et la retournèrent, elle était maintenant allongée sur le dos sur le capot de la voiture.
Des types lui tenaient les jambes en l’air et baisaient sa chatte béante.
Je ne sais combien se succédèrent dans son vagin ce soir-là .
Certains éjaculant au fond de son sexe d’autres se retirant pour asperger son corps de leur sperme.
Il y eu une courte période d’accalmie.
Les roumains avaient repris la route avec leur fourgon.
La scène n’était maintenant plus éclairée par leurs phares.
J’allumais donc ceux de mon véhicule.
Il me semblât que les voyeurs s’étaient renouvelés.
Un participant vint rapidement, la tira par les cheveux et l’obligea à se mettre à genoux devant la voiture ce qui ne devait pas être très confortable sur le bitume.
Il se défroqua et lui mis de force sa bite dans la bouche.
Plusieurs autres types vinrent alors se placer autour d’elle la bite sortie.
Elle en prit dans ses mains pour les branler pendant qu’elle suçait.
Les bites se succédèrent dans sa bouche.
Certain lui déchargeait dedans d’autre se retiraient pour éjaculer sur son visage et son corps. Elle finit par être couverte de foutre de toute origine.
Nous étions là carrément dans un gang bang.
Les assaillants une fois obtenu ce qu’ils voulaient s’éloignaient petit à petit.
Je décidais donc qu’il était temps de mettre un terme à cette orgie.
Je pris dans le coffre de notre voiture une grande couverture qui nous sert pour les pique-niques et alla récupérer mon épouse assise par terre complètement hébété par le traitement qu’elle venait de subir.
Je l’enveloppai dans la couverture, non pas pour elle mais protéger mon siège vu comment son corps était souillé de sperme.
Je n'avais même plus de considération pour cette femme que j'avais adoré.
Maintenant, Ă mes yeux ce n'Ă©tait plus qu'une grosse salope, un sac Ă foutre !
Rentrez à notre domicile, je l’entraînais sous la douche je me mis nu moi aussi et entrepris de la laver énergiquement.
Je ne sais pourquoi je pris un plaisir sadique à la nettoyer ainsi je réglais le jet de la douche sur la puissance maximum et le dirigeais sur sa poitrine en insistant bien sur les tétons.
Je m’amusais de la puissance du jet déformant ses mamelles puis je descendis sur sa chatte ou j’insistais un bon moment jouissant de voir ce jet venir frapper son sexe, écartant ses lèvres et visant ensuite son clitoris.
Elle réagissait à peine elle était encore groggy.
Je la retournais et visais maintenant ses grosses fesses avec le jet d’eau…
Je lui écartai pour lui placer sur l’anus, puis je dévissais la pomme de douche et lui fourra directement le tuyau dans le cul.
Elle avait besoin d’un bon lavement.
Après avoir laissé couler le tuyau dans son fondement quelque instants je le retirais. Le résultat ne se fit pas attendre :
Son anus s’ouvrit et elle éjecta puissamment une importante quantité de liquide.
Je ne pensai pas l’avoir autant rempli.
Enfin maintenant l’intérieur était propre.
Puis je pris le gant de crin que j’enduis de savon et entrepris de la frotter énergiquement.
J’insistais lourdement sur ses mamelles…
Les frottant bien plus que nécessaire.
Cela m’excitait vraiment.
Son pubis et son entrecuisse ayant droit au mĂŞme traitement.
Ne tenant plus je me plaçais derrière elle et la sodomisait à mon tour.
Ma bite n’eut vraiment aucun mal à pénétrer son anus.
Je la rinçais comme il se doit, l’essuyais avec une grande serviette de bain puis je lui ai enfilé une chemise de nuit et nous sommes allez nous coucher.
Le lendemain au petit déjeuné je lui ai demandé comment elle se sentait, elle me répondit
- « Très bien ! c’est à toi qu’il faut demander ça. Ça te plaît n’est-ce pas de me voir me faire baiser ! Tu en eu pour ton argent au moins hier soir ??!! »
Jusqu’à présent nos petits jeux c’étaient toujours déroulé la nuit mais par la suite nous eûmes aussi des expériences en journée.
Ainsi au gré de nos déplacements nous nous arrêtions fréquemment sur des aires de repos ou autres lieux signaler dans les sites de dragues trouvés sur le net.
Nous sommes rarement rentrés bredouille de nos virés.
Sur les aires de repos nous nous stationnons toujours à proximité des camions.
Ma femme déboutonnait son chemisier pour mettre ses nichons à l’air et rapidement un routier approchait pour voir…
Elle ouvrait la vitre et gobait le sexe qui se présentait à elle.
Il est arrivé qu’un chauffeur lui demande la suivre dans sa cabine.
Je n’étais pas trop d’accord car j’aimais bien savoir ce qui se passait.
Mais non là je n’avais pas le droit.
Je la voyais grimper dans la cabine le chauffeur l’aidant en lui mettant bien sûr les mains au cul.
Moi je restai comme un con au volant de la voiture.
Je sortais ma bite et me branlais en imaginant ce qu’elle subissait.
Ce jeux dura plusieurs années…
Et après avoir tout subi et fait le tour de nos fantasmes, nos escapades s’arrêtèrent.
Enfin nous en avions bien profité et nous avions maintenant l’âge d’être « sage ».
De l’exhibitionnisme au dogging.
Arrivés tous deux à la cinquantaine, nos enfants élevés et ayant quittés le foyer familial, nous décidâmes de pigmenter notre vie de vieux couple par des activités coquines.
Puisque mon épouse avait toujours apprécié de montrer ses atouts nous décidions à nous livrer à quelques sorties exhibitionnistes.
Avec l’âge et ses trois maternités le corps de ma femme s’était quelque peu relâché et je pensais moins attirant.
Mais la suite me prouva qu’elle attirait encore beaucoup de charognards affamés et en manque de sexe.
Cela démarra gentiment, nous y allâmes « crescendo ».
Après s’être rencardé sur le net des lieux de dragues dans notre secteur, nous partîmes la nuit tombée, en exploration avec plus ou moins de succès.
De façon classique dans ce genre d’exercice, arrivé sur place ma femme se défaisait pour mettre à l’air ses nibards et nous attendions l’arrivé d’éventuelles voyeurs.
La première fois, la voiture était tous phares éteints et les clients tardaient à venir.
Nous étions déçus.
Je décidais donc d’allumer le plafonnier éclairant ainsi le buste dénudé de mon épouse.
L’effet fut immédiat, les voyeurs vinrent se coller à la vitre comme les moustiques attirés par la lumière.
Nous nous contentions juste de montrer.
Je prenais les nichons de ma femme dans les mains et le levaient bien pour les montrer aux spectateurs.
Des queues sortirent des pantalons et des types se branlèrent éjaculant sur la vitre et la portière.
Les premières fois nous nous contentâmes de ça.
Cela nous avait procuré suffisamment d’émotion.
Puis un jour, alors que les clients étaient massés à la portière, sans en avertir ma femme, j’appuyais sur le bouton d’ouverture de la vitre côté passager.
La réaction ne se fit pas attendre.
Aussitôt des mains s’engagèrent à l’intérieur du véhicule pour se saisir de la poitrine de ma femme.
J’étais follement excité mais ma femme était encore sous l’effet de surprise
- « Oh ! Tu es fou ! » me dit-elle.
Je lui dis :
- « Allez !!! laisse-toi faire, tu vas trouver ça bon ! ».
Pour cette soirée, ils en restèrent à la palpation de ses seins mais pour terminer, deux clients entrèrent leur zob à l’intérieur de la voiture et se masturbèrent en éjaculant sur ma femme.
Ces séances se succédèrent dans différents lieux de la région au fil des mois et au gré de nos envies.
Notre méthode évoluant au fur et à mesure de nos expériences.
Avant de partir de notre domicile ma femme n’enfilait plus que son imperméable rouge totalement nu en dessous.
Ainsi en arrivant sur place la marchandise Ă©tait plus rapidement en vitrine.
Elle avait cette façon bien à elle de se cambrer en creusant son dos pour projeter sa poitrine en avant, l’offrant ainsi aux clients comme on tend un paquet de bombons à des enfants en leur disant :
- « Allez y servez-vous les enfants, c’est Maman qui régale ! »
C’est enfants-là ne se faisaient pas prier.
Cela se passait un peu près toujours de la même façon :
Une main s’avançait et venait se poser timidement sur un sein comme ci ils doutaient d’avoir réellement le droit de toucher puis voyant que mon épouse se laissait faire une deuxième main venait se poser sur l’autre sein et commençaient à la caresser doucement…
Ma femme commençait alors à haleter ce qui excitait ses peloteurs qui du coup, s’enhardissaient.
Leurs caresses devenaient de plus en plus insistantes.
Ma femme haletait de plus en plus puis les caresses se transformaient en pétrissage de ses mamelles elle se mettait alors à pousser des gémissements qui encourageaient ses clients à malaxer ses nichons de plus fort et de plus en plus violemment puis à s’occuper de ses tétons qu’ils pinçaient, faisaient rouler entre leurs doigts et étiraient tant que faire se peut jusqu’à ce qu’elle se mette à crier de plaisir.
Une fois, je crus bon intervenir par peur qu’ils ne la blesse mais mal m’en pris, ma femme se retourna vers moi et me dit :
- « Occupe-toi donc de toi, et laisse-les faire ! »
A ces paroles, les caresses de ses clients redoublèrent d’intensité.
Ils n’avaient plus aucune retenue.
Puisque ma femme acquiesçait ils lui travaillèrent les seins sans ménagement.
J’ai souvent été surpris par tout ce que le corps humain pouvait supporter comme mauvais traitement.
Mais non, là au contraire, ma chérie gémissait de plaisir, cela lui déclenchait des orgasmes.
Des bites entrait dans l’habitacle qu’elle gobait au gré de ses envies.
Pendant tout ce temps je me masturbais en jouissant du spectacle.
Puis des mains descendaient vers son sexe et se mettaient à fouiller son intimité.
Pour leur faciliter la tâche ma femme basculait le dossier en arrière et mettait ses pieds sur le tableau de bord en écartant bien les cuisses.
C’était un déchaînement de mains…
Elle en avait partout sur son corps, d’où venaient toutes ces mains…
Étaient-elles bien propres ?
Tant de questions qu’il était bien tard pour se poser.
Un jour alors que ma chérie était dans cette position, un type plus téméraire que les autres s’enhardit et ouvrit la portière.
Il attrapât les jambes de ma femme et d’autorité lui fit faire un quart de tour sur le siège dirigeant ainsi ses orifices vers l’extérieur de la voiture.

Sans plus attendre, en la tenant par les jambes je le vis fourrer sa bite dans le vagin de ma femme.
Dans cette position, sa tête reposait sur ma cuisse…
J’en profitais pour m’occuper de ses nichons qui m’excitent toujours autant après tout, ils sont à moi !
Nous venions de franchir l’ultime étape pensais-je.
Jusqu’à présent il n’y avait encore jamais eu de pénétration.
Son baiseur se retira juste avant d’éjaculer et lui déchargea ton son foutre sur son pubis et son ventre.
Lui partit, d’autre clients se mirent face à elle mais il n’y pas d’autre pénétration ce soir-là .
Ils se contentèrent de se branler et déchargèrent en quantité sur son corps.
Son bel imperméable rouge qu’elle avait complètement déboutonné mais pas quitter fut complètement souillé par le foutre, elle n’était pas trop contente de cela.
Je lui dis que la prochaine fois elle n’aura qu’à venir complètement nu comme ça ses fringues ne seraient pas tachées.
Elle me prit au mot.
Un soir, alors qu’elle était totalement nue dans la maison elle me dit :
- « allez !!! on y va »
Et elle ouvrit la porte, sortit dans notre chemin et alla s’installer dans la voiture.
- « Euh là , ça va être chaud ce soir » me dis-je.
Et nous quittâmes notre domicile ma femme assise à côté de moi simplement vêtue de sa ceinture de sécurité.
Ce n’est pas le tout mais nous avons quand même un bout de route à faire et bien que la nuit soit tombée, ce n’était pas sans risque.
Rien que dans notre rue, certains voisins pourraient bien encore être dehors et puis ensuite il nous faut emprunter le périphérique pour se rendre jusque sur le parking.
On pourrait bien se faire contrĂ´ler.
Mais tous ces risques ne faisaient qu’ajouter à notre excitation.
À cette heure la circulation était encore intense sur le périph.
Et nous doublâmes bien sur de nombreux camions et fourgons qui ne pouvaient pas ne pas voir.
Surtout que ma femme avait elle-même allumé le plafonnier juste au-dessus d’elle.
En prenant la bretelle de sortie pour rejoindre le fameux parking je m’aperçus qu’un fourgon blanc que nous avions précédemment doublé empruntât lui aussi cette bretelle de sortie.
Le hasard ?
Nous verrons bien me dis-je.
Nous arrivâmes au parking et allâmes stationner dans la partie haute.
Je vis le fourgon se présenter à l’entrée du parking.
Je me dis qu’avec la barre qui limite la hauteur il ne pourrait pas entrer mais si il y parvint, ça passait juste.
Il se dirigea immédiatement vers nous et vint se garer bien en face de notre voiture à environ deux mètres et il alluma ses pleins phares, nous éblouissant et dévoilant clairement au chauffeur ce qu’il avait sans doute entre aperçu lorsque nous l’avions doublé.
Les portières s’ouvrirent et finalement trois types descendirent du fourgon.
Ils se dirigèrent immédiatement vers la portière de ma femme, l’ouvrirent et sortirent sans ménagement mon épouse du véhicule.
Ces types ne parlaient pas français, des roumains je pense, il y en pas mal qui travaillent dans la région.
Je cru juste comprendre un mot qui ressemblait Ă
- « salope ! »
Ils la dirigèrent vers l’avant du véhicule en la tenant pas le bras la firent se pencher en avant sur le capot et lui écartèrent les jambes bien comme il faut.
Et la commença le festival.
Ces types savaient exactement ce qu’ils voulaient, ils s’intéressaient uniquement à son cul, leur seul désir : l’enculer.
Pour eux une femme qui se balade à poil n’est qu’une salope et les salopes et bien on les encule !
Ils commencèrent par lui mettre la fessée, lui claquant son gros cul à tour de rôle.
- « Ouille ! Ouille ! » Disait mon épouse.
Cela fit rire les trois énergumènes dont les claques sur son popotin redoublèrent de force.
Puis ils commencèrent à lui fouiller l’anus de leurs doigts, alternant doigtage de son petit trou et fessées.
Ce spectacle gratuit bien éclairé par les phares du fourgon n’avait pas manqué d’attirer une foule de badauds.
Mon épouse qui aimait s’exhiber et bien là elle était gâtée, on ne pouvait espérer mieux.
Puis les choses sérieuses commencèrent.
L’un d’eux baissa son pantalon ainsi que son boxer et sorti son zob.
Il l’astiqua un peu afin d’avoir une belle érection.
Il approcha son visage du cul de ma femme et lui cracha sur l’anus.
Il plaça son gland à l’entrée de celui-ci et entrepris de l’enculer.
De ma place de conducteur que je n’avais pas encore quitté je voyais le visage de mon épouse appuyée sur le capot à l’aide ses avant-bras.
Quand il força l’entrée de son cul je la vis alors faire une atroce grimace de douleur suivi d’un grand souffle et elle lâcha un :
- « Oh la vache ! »
Elle souffla bruyamment quelque instant, le temps que, après quelques va et vient, le type la pénètre à fond puis je vis son visage devenir plus serein.
Elle commençait à apprécier le traitement.
Elle se fit ainsi bourrer le cul pendant un bon moment…
Les trois compères se succédant pour l’enculer sauvagement.
En voyant cette scène je me disais :
- « ou est-elle la gentil petite Françoise de mes vingt ans, celle qui ne voulait pas qu’on touche à son si précieux petit trou parce que disait-elle, victime de son éducation catholique, « cet orifice-là n’est pas fait pour ça ! »
Et pourtant elle s’en était prise des bites dans le cul depuis l’épisode ou ses deux collègues avaient forcé le passage.
Toujours sur mon siège, tout en me masturbant, je voyais ses grosses mamelles de femme mure se balancer à la fréquence des coups de reins de ses enculeurs.

Par moment ses pis venaient s’écraser sur mon capot.
Après avoir bien profité du corps de ma femme les trois larrons s’écartèrent, non sans lui avoir mis une dernière tape sur le cul, pour laisser la place à qui le souhaitait dans l’assemblée.
Puis d’autres arrivèrent et la retournèrent, elle était maintenant allongée sur le dos sur le capot de la voiture.
Des types lui tenaient les jambes en l’air et baisaient sa chatte béante.
Je ne sais combien se succédèrent dans son vagin ce soir-là .
Certains éjaculant au fond de son sexe d’autres se retirant pour asperger son corps de leur sperme.
Il y eu une courte période d’accalmie.
Les roumains avaient repris la route avec leur fourgon.
La scène n’était maintenant plus éclairée par leurs phares.
J’allumais donc ceux de mon véhicule.
Il me semblât que les voyeurs s’étaient renouvelés.
Un participant vint rapidement, la tira par les cheveux et l’obligea à se mettre à genoux devant la voiture ce qui ne devait pas être très confortable sur le bitume.
Il se défroqua et lui mis de force sa bite dans la bouche.
Plusieurs autres types vinrent alors se placer autour d’elle la bite sortie.
Elle en prit dans ses mains pour les branler pendant qu’elle suçait.
Les bites se succédèrent dans sa bouche.
Certain lui déchargeait dedans d’autre se retiraient pour éjaculer sur son visage et son corps. Elle finit par être couverte de foutre de toute origine.
Nous étions là carrément dans un gang bang.
Les assaillants une fois obtenu ce qu’ils voulaient s’éloignaient petit à petit.
Je décidais donc qu’il était temps de mettre un terme à cette orgie.
Je pris dans le coffre de notre voiture une grande couverture qui nous sert pour les pique-niques et alla récupérer mon épouse assise par terre complètement hébété par le traitement qu’elle venait de subir.
Je l’enveloppai dans la couverture, non pas pour elle mais protéger mon siège vu comment son corps était souillé de sperme.
Je n'avais même plus de considération pour cette femme que j'avais adoré.
Maintenant, Ă mes yeux ce n'Ă©tait plus qu'une grosse salope, un sac Ă foutre !
Rentrez à notre domicile, je l’entraînais sous la douche je me mis nu moi aussi et entrepris de la laver énergiquement.
Je ne sais pourquoi je pris un plaisir sadique à la nettoyer ainsi je réglais le jet de la douche sur la puissance maximum et le dirigeais sur sa poitrine en insistant bien sur les tétons.
Je m’amusais de la puissance du jet déformant ses mamelles puis je descendis sur sa chatte ou j’insistais un bon moment jouissant de voir ce jet venir frapper son sexe, écartant ses lèvres et visant ensuite son clitoris.
Elle réagissait à peine elle était encore groggy.
Je la retournais et visais maintenant ses grosses fesses avec le jet d’eau…
Je lui écartai pour lui placer sur l’anus, puis je dévissais la pomme de douche et lui fourra directement le tuyau dans le cul.
Elle avait besoin d’un bon lavement.
Après avoir laissé couler le tuyau dans son fondement quelque instants je le retirais. Le résultat ne se fit pas attendre :
Son anus s’ouvrit et elle éjecta puissamment une importante quantité de liquide.
Je ne pensai pas l’avoir autant rempli.
Enfin maintenant l’intérieur était propre.
Puis je pris le gant de crin que j’enduis de savon et entrepris de la frotter énergiquement.
J’insistais lourdement sur ses mamelles…
Les frottant bien plus que nécessaire.
Cela m’excitait vraiment.
Son pubis et son entrecuisse ayant droit au mĂŞme traitement.
Ne tenant plus je me plaçais derrière elle et la sodomisait à mon tour.
Ma bite n’eut vraiment aucun mal à pénétrer son anus.
Je la rinçais comme il se doit, l’essuyais avec une grande serviette de bain puis je lui ai enfilé une chemise de nuit et nous sommes allez nous coucher.
Le lendemain au petit déjeuné je lui ai demandé comment elle se sentait, elle me répondit
- « Très bien ! c’est à toi qu’il faut demander ça. Ça te plaît n’est-ce pas de me voir me faire baiser ! Tu en eu pour ton argent au moins hier soir ??!! »
Jusqu’à présent nos petits jeux c’étaient toujours déroulé la nuit mais par la suite nous eûmes aussi des expériences en journée.
Ainsi au gré de nos déplacements nous nous arrêtions fréquemment sur des aires de repos ou autres lieux signaler dans les sites de dragues trouvés sur le net.
Nous sommes rarement rentrés bredouille de nos virés.
Sur les aires de repos nous nous stationnons toujours à proximité des camions.
Ma femme déboutonnait son chemisier pour mettre ses nichons à l’air et rapidement un routier approchait pour voir…
Elle ouvrait la vitre et gobait le sexe qui se présentait à elle.
Il est arrivé qu’un chauffeur lui demande la suivre dans sa cabine.
Je n’étais pas trop d’accord car j’aimais bien savoir ce qui se passait.
Mais non là je n’avais pas le droit.
Je la voyais grimper dans la cabine le chauffeur l’aidant en lui mettant bien sûr les mains au cul.
Moi je restai comme un con au volant de la voiture.
Je sortais ma bite et me branlais en imaginant ce qu’elle subissait.
Ce jeux dura plusieurs années…
Et après avoir tout subi et fait le tour de nos fantasmes, nos escapades s’arrêtèrent.
Enfin nous en avions bien profité et nous avions maintenant l’âge d’être « sage ».
2 years ago