MAMIE & PAPY
Mamie Germaine & Papy Julien.
Chapitre un :
Un éclair zébra le ciel éclairant la chambre comme en plein jour, un claquement
assourdissant le suivit presque instantanément.
- « Il n'est pas tombé loin celui-là ! »
Germaine et Julien, confortablement assis contre d'épais coussins, se sont mis très tôt au lit ce soir-là.
Après avoir couché leur petit-fils Hervé qu'ils gardent pour le week-end, ils avaient été
pressés de suivre leurs rituels quotidiens et auxquels rien ni personne
n'aurait pu leur faire oublier.
Avec le mauvais temps, ils avaient juste écourté leur bref passage devant la télé et s'étaient plongés impatients sous la couette chaude, leurs vieux cœurs un peu chavirés.
Germaine et Julien sont maintenant à la retraite.
Ce repos bien mérité et bienvenu leur permet de vivre à leur rythme tout ce qu'ils n'ont pu faire avant.
Comme souvent avec les vieux couples, Germaine 67 ans et Julien 69 ne s'embarrassent plus avec l'inutile ou le futile et se sont mis d'accord pour vivre sans contrainte leurs goûts et
penchants jusqu'à ce que la santé ne leur permette plus.
Ils ont une fille de 42 ans, Francine, divorcée, et deux petits-enfants : Nadine 12 ans, et Hervé 14 ans qui dort en ce moment dans la chambre à côté.
- « Tu as le livre ? »
Demanda Germaine à son mari, douillettement vautré dans les coussins de plumes.
Il se pencha sur le côté du lit et rassura aussitôt sa femme.
- « Tu me connais, je ne risque pas de l'oublier ! »
Elle le regarda du coin de l'œil, complice :
- « Toi, tu es vraiment un salaud de gros cochon ! »
C'était l'heure de ce fameux rituel.
Faire des galipettes et autres positions lassantes et scabreuses ne les intéressait plus maintenant qu'ils avaient un certain âge.
Se tenir sur les avant-bras en se concentrant des minutes interminables jusqu'à la secousse
attendue fatiguait et ennuyait Julien.
Pour sa femme également qui attendait sans vraiment avoir d'orgasme, si ce n'est en se masturbant en même temps que son mari la besognait non sans mal.
Maintenant, et comme ils aimaient se le répéter en rigolant, ils étaient retombés en enfance et s'adonnaient sans compter à la masturbation.
Chacun de son côté, le plus souvent ensemble, mais parfois seuls, ils se faisaient jouir comme des collégiens puceaux.
Ils adoraient se regarder mutuellement.
Voir les mains plus très jeunes de l'autre s'activer, lui sur son gros membre tendu, elle dans une chatte à forte pilosité, les excitait terriblement.
Mais tout leur semblait bon pour se stimuler et jouir le plus fort possible en prenant le temps qu'il fallait.
Ce soir, ils avaient décidé de se faire jouir sur un livre qu'ils avaient acheté dans un magasin spécialisé lors de leur dernier passage à Paris :
« Les vilains grands-parents »
Ils avaient hâte de se glisser dans la peau de ces «vilains » personnages.
Julien avait déjà empoigné sa queue engorgée et, tout en s'amusant à se décalotter le gland, regardait sa femme sortir ses jouets de sa table de nuit.
- « Putain, j'ai déjà envie de juter ! »
Souffla-t-il excité à l'adresse de Germaine.
Celle-ci avait finalement choisi un vibro de moyenne taille et se l'enfonçait, le bassin relevé, entre ses grosses fesses.
- « Attends-moi, gros vicieux ! »
Fit-elle malicieuse.
- « te branle pas trop vite… Voilà, c'est rentré dans mon petit trou… OUH ! … Si tu savais comme c'est bon ! »
tu devrais faire pareil ! …
Julien la regardait avidement choisir enfin une bite noire en plastique, stupéfiant de réalisme. Elle l'actionna, choisit une douce vibration, et tout en la plaquant entre ses grosses lèvres luisantes de mouille contre son bouton bandé, elle s'empara du livre de sa main libre.
Un autre éclair illumina soudain la pièce et Germaine rentra aussitôt la tête dans les
épaules, attendant la déflagration qui suivit presque immédiatement.
- « L'orage va finir par réveiller le petit. »
Fit-elle en frissonnant.
- « Et bien il viendra nous rejoindre et on pourra jouer avec lui en lui montrant
le livre ? »
Suggéra-t-il sur un ton se voulant ironique.
- « Arrête gros vicieux, le pauvre petit chou… Tu crois qu'il se branle déjà à son âge ? »
- « Bien sûr qu'il doit se tripoter… tous les enfants le font à cet âge, en pensant à leur maman ou leur mamie… »
- « Tu penses qu'il se branle en pensant à moi ? »
Germaine, sans s'en rendre compte, avait commencé à frictionner son bouton dans le doux ronronnement de son engin, excitée qu'elle était par le petit dialogue i****tueux.
- « Tu as vu les mamelles que tu as et ton gros derrière ! C'est évident qu'il se frictionne comme un petit cochon en pensant à toutes ces bonnes choses… Et toi, tu penses quelquefois à son petit kiki bien dressé ? … Quand tu te branles… ? »
Germaine avait les joues en feu par les questions de son mari.
Bien sûr que souvent, dans ses fantasmes délirants, elle imaginait son petit-fils s'exciter sur son corps dodu, s'activer entre ses grosses cuisses un peu molles ou sa petite tête plongée dans les épais poils bouclés allant depuis son nombril jusqu'entre ses grosses fesses.
- « C'est vrai que cela m'arrive. »
Avoua-t-elle.
- « je me sens très coupable dans ces moments, mais je suis tellement excitée… Et toi, cela t'arrive aussi de penser à Nadine… ses petites mains sur ton gros gland te faisant juter jusqu'au plafond ou sur sa petite frimousse… ? »
- « Arrêtes, tu vas me faire gicler si tu continues, Oh oui j'y pense… ses petites mains me branlent, je gicle dans sa petite bouche… Je pense aussi à Hervé… »
- « Quel gros salaud tu fais, Il te suçait ? »
Interrompit Germaine, le visage empourpré…
- « Oui, j'ai même pensé à Francine avec ses deux enfants… »
Lui répondit-il haletant.
Le cœur de Germaine faillit repartir en arrière.
- « Tu es vraiment un gros pervers… Ta propre fille ! »
- « On était tous ensemble, et avec la complicité de notre fille, on profitait des enfants… »
- « J'ai tellement envie de jouir, si on regardait les cochonneries dans le livre ? »
Soudainement, il n'y eut quasiment pas d'intervalles entre la foudre et le claquement.
Les murs tremblèrent, Germaine et Julien retinrent leur respiration le temps que la maison retrouve son équilibre.
À peine furent-ils plongés dans la première page qu'un cognement se fit entendre contre la porte.
Germaine referma vivement le livre et regarda son mari.
- « Entre mon chéri ! … Entre ! »
Hervé avait beau avoir 14 ans, c'était toujours son chéri.
- « Je peux venir un moment avec vous, j'ai un peu peur, dit-il en guise d'excuse à les déranger. »
- « Mon pauvre chou, viens entre nous bien au chaud… on va attendre que l'orage s'arrête. »
Germaine avait poussé au fond du lit son vibro noir, mais l'autre était toujours fiché entre ses fesses.
- « Viens contre moi mon chéri, pose ta tête sur ta mamie… voilà, comme ça… »
Elle caressa la tête de son petit-fils et tout en peignant les doux cheveux blonds de ses doigts elle jetait des coups d'œil sur la couette qui bougeait du côté de son mari qui continuait de se branler.
Elle lui fit un sourire et continua ses caresses sur son petit-fils.
- « Tu es bien auprès de ta mamie ? »
- « Oui mamie, il fait bon chaud dans ton lit ! … »
- « Attends, tu es tout froid, je vais te réchauffer partout … Viens en travers de ta mamie mon amour… »
Elle glissa une main sous la veste du pyjama et passa sa main chaude sur le torse d'adolescent qui, sous la caresse, frissonna.
- « Tu as si froid mon chéri ! … »
La main de Germaine continua sa progression sur le ventre encore imberbe tandis que de l'autre, elle caressa une jambe par-dessus le pyjama.
Par la fente, elle pouvait déjà observer la queue de son petit-fils qui commençait à devenir plus épaisse.
Elle sentit instantanément des picotements dans son bas-ventre.
- « Tu sens la bonne chaleur de ma main ? »
- « Oui mamie … C'est très bon… Mais je sens que… »
- « Je comprends, c'est normal à ton âge… laisse-toi aller… »
L’interrompit-elle.
Elle parlait d’une voix rauque ; la bite d’Herve grossissait, se raidissait complètement sous le fin tissu.
Germaine sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine.
Le gland d'où perlait déjà une goutte pontait maintenant à la limite de la braguette.
Hervé se sentait à la fois gêné et excité.
Il commença à remuer nerveusement.
- « Voilà tout doux mon chéri… Laisse toi faire… »
La main i****tueuse était maintenant sur la belle bite raidit.
- « Hum tu bandes sous la main de ta mamie mon gros cochon ? Tu n'as pas honte petit vicieux ? »
Elle se pencha vers son mari
- « Regarde chéri la belle queue de ton petit-fils… Il promet le salaud ! … Il en
aura bientôt une grosse comme la tienne… Montres lui toi aussi ! »
Julien n'en revenait pas de la perversion de sa femme.
Elle devait être terriblement excité pour se comporter de la sorte.
Germaine empoignait maintenant la belle bite d'Hervé qu'elle avait complètement sortie de la braguette.
Il ne lui en fallut pas plus pour en faire autant.
- « Regarde mon garçon… Tu en auras aussi une comme ça plus tard… Tu vois comme
c'est gros ? »
Hervé, le visage empourpré, tourna la tête vers la gauche.
Son grand-père exhibait fièrement son membre démesuré et si engorgé qu'il en était violacé.
- « Tu vois comme c'est gros ? »
Fit Julien d'une voix chevrotante, regarde bien ma bite…
Les deux adultes s'excitaient devant la réaction de leur petit-fils dont ils sentaient le trouble.
Ils employaient des mots crus dans l'évidente intention de choquer le jeune garçon.
Germaine ne se gênait plus pour branler la belle verge bien tendue.
Le gamin, malgré lui, allait au-devant de la caresse en tendant son bassin vers l'avant.
Sa grand-mère le masturbait comme elle avait l'habitude avec son mari.
De petits gestes souples et déliés faisant appartement beaucoup de bien à l'ado qui se laissait déjà aller.
- « C'est bon la branlette que mamie te fait mon chéri ? … »
- « OH, OH mamie… C'est… comme c'est bon ! … »
- « Dis-moi mon amour, j'imagine que tu te branles tout seul dans ton lit ? »
- « … »
- « Tu peux dire à mamie si tu aimes te faire des branlettes en cachette… Tu sais, ton papi se branle sa grosse bite aussi tout seul… Il n'y a pas de mal à faire ça… Et tu as déjà beaucoup de jus ? »
Elle accéléra le mouvement sur la queue congestionnée.
Dans un état second, le gamin se livra.
- « Oui mamie… »
- « Oui quoi ? … Avoue à mamie que tu te fais des branlettes… »
- « … Oui c'est vrai, je me branle… »
- « Comme c'est mignon et… tu aimes juter ? »
Le grand-père s’était collé contre son petit-fils.
Il écoutait cette conversation perverse en s'astiquant furieusement.
- « Je te sens vibrer mon chéri, tu vas bientôt te laisser aller dans la main de mamie… Regarde ton grand-père, il va jouir aussi… Fais lui un bisou sur son gros gland… ça va lui faire beaucoup de bien ! »
- « Mais je … Je n'ai… »
- « Tu ne l'as jamais fait ? C'est pourtant délicieux ! … Regarde, mamie va te le faire aussi sur le tien… Prends la bite de ton grand-père dans les mains et suces le bout… »
Un peu à contrecœur mais tellement excité par l'ambiance, le gamin se pencha sur la grosse bite que son grand-père tendait vers lui.
Guidé par l'adulte, il empoigna des deux mains le membre distendu.
Julien dirigea ses lèvres vers le gros gland prêt à exploser.
- « Vas-y, suces mon chéri… Suces papi, tu vas me faire gicler très fort… Promène ta langue sur le bout… »
Germaine, en même temps, branlait par-dessous son petit-fils à genoux devant son mari.
Elle sentit que le gamin ne pourrait plus se retenir.
- « Allez-y les garçons… Je crois que vous allez bientôt vider vos couilles !… »
Julien regardait avec des yeux exorbités la bouche de son petit-fils autour de son gros gland. Tellement excité, il savait qu'il ne pourrait durer bien longtemps avant de lui lâcher son jus trop longuement contenu dans ses couilles douloureuses.
Hervé, au bord de l'explosion tellement sa grand-mère lui astiquait la bite, se concentrait pour sucer son grand-père au mieux.
Le sang lui tapait dans les tempes.
Il fut surpris et inquiet lorsqu'il sentit que sa grand-mère lui écartait les fesses.
- « Tu vas aimer mon chéri. »
Lui souffla-t-elle d'une voix blanche.
Il ouvra en grand les yeux quand il sentit un doigt pointer contre son petit trou.
Quand il se branlait, il avait l'habitude de s'enfoncer lui-même un doigt pour accentuer son plaisir, mais là c'était le doigt de sa grand-mère et cela l'excitait comme un fou.
Qu'elle salope ! se dit-il, elle va me faire vite gicler !
- « Fais tourner ta langue sur le gland, lui fit son grand-père d'une voix rauque, je vais venir !… Oui, comme… Comme ça ! Suce… lèche bien ma salope ! … »
Il ne put se retenir plus longtemps et envoya dans la bouche du gamin d’abondantes giclées de foutre.
- « Je jute, je jute fort ! »
Râlait-il
Hervé, surpris par la v******e des jets, releva sa tête et reçu quelques giclées sur le visage.
Ce fut trop pour lui qui se mit à gicler dans la main de sa grand-mère déchaînée qui continuait de le branler, son doigt faisant des allers-retours dans l'anus du gamin.
Germaine attendit que son petit-fils soit remis de ses émotions.
L'orage s'était calmé depuis un moment.
- « Tu as bien juté petit salaud ! »
- « Oh oui, c'était trop bon ! »
- « Tu vas faire du bien à ta mamie maintenant, viens voir comment c'est fait une
femme… »
Germaine s'allongea et écarta ses grosses cuisses laiteuses.
Elle guida son petit-fils entre ses jambes pour qu'il puisse admirer son intimité.
- « Tu vois, c'est le trou de la femme ici dans mes poils et en haut c'est mon petit bouton d'amour que je branle aussi pour me faire jouir, tu vois bien ? … »
Julien avait retrouvé de la vigueur et se branlait de nouveau en regardant la scène.
La perversité de sa femme l'excitait.
- « Je vais t'apprendre à faire du bien à ta grand-mère mon chéri ! »
bredouilla-elle, viens me sucer dans mes poils…
Elle prit d'autorité la tête de son petit-fils entre ses mains et colla ses lèvres contre sa fente mouillée.
- « Fais aller ta langue dans mon trou… voilà… Oh ! Comme c'est bon ! … Plus haut ! … Reste sur mon bouton et tête comme un biberon… Oui, comme ça, tu es très doué… »
Germaine ondulait sous le plaisir de sentir le souffle chaud de son petit-fils et la douceur de sa langue.
Elle maintenait la tête contre elle et donnait de petits coups de bassin contre le jeune museau.
- « Putain, tu me branle bien ! … Ah, comme c'est bon de se faire téter par un gamin ! … »
Germaine délirait et se frottait de plus en plus vite sur le visage d'Hervé.
- Vas plus bas maintenant… Elle prit appuis sur ses jambes repliées et redressa
son bassin.
- « Tu vas sucer mon cul mon chéri… »
Elle libéra la tête du gamin pour s'écarter les fesses.
- « Tu vois mon petit trou ? … Va dessus… AH ! Tu vas me faire jouir mon salaud ! … Fais ta langue bien pointue, voilà, enfonce la… AAH, comme c'est bon ! Tu encules ta mamie ! … Tu n'as pas honte ? … OUI ! Je vais jouir avec ta langue dans mon cul ! »
À son tour elle fut emportée par un violent orgasme.
Elle mit longtemps avant de reprendre sa respiration alors qu’Hervé recueillait sa mouille dans sa bouche.
Julien continuait de caresser sa bite redevenue molle tout en lui roulant un patin baveux. Germaine attendit que son petit-fils soit remis de ses émotions.
Elle se délectait de ses propres mots orduriers.
Qu'elle choque son petit-fils ne lui venait pas à l'esprit maintenant qu'elle était dans un tel état d'excitation.
Depuis le temps où elle se branlait en pensant à lui, à sa belle bite d'ado bien raide, à ses fesses musclées, à son visage d'ange.
Elle avait tellement rêvé de lui entre ses cuisses grasses et celluliteuses, son visage enfouit entre ses mamelles aux gros bouts érigés et aux larges aréoles foncées.
Dans ses phantasmes les plus honteux elle l'imaginait lui léchant les aisselles, se délectant de l'effluve piquant que l'endroit brûlant dégageait.
A la montée de l'orgasme elle s'était même vu penchée sur la baignoire se lavant les cheveux, son petit-fils écartant ses grosses fesses tremblantes et la langue i****tueuse glissant dans son œillet poilu et odorant.
Dans ces moments-là, sa jouissance était violente et elle couinait comme le ferait une truie.
Ce soir, elle le vivait vraiment.
Son petit-fils entre ses fesses, elle le guidait pour rendre ses fantasmes réels.
- « Nettoie bien mon petit trou, il est pour toi ! … Lave moi le cul ! … »
Lui criait-elle.
Son mari à côté s'astiquait comme un fou.
Elle s'adressa à lui.
- « Fais-le bien dur, j'ai envie de lui dans ma chatte et mon cul ! … Tripote-le ce vicieux pour qu'il bande bien ! »
Continuant de se branler de la main gauche,
il s'empara de la tige déjà dressée sous le ventre du gamin et le manipula avec un incomparable plaisir.
C'était la première fois qu'il tenait une autre bite de garçon entre ses doigts et ce contact faillit le faire gicler sur le champ.
- « Baise mamie mon chéri, fourres moi comme un homme ! … »
Le cœur battant dans les tempes, Hervé colla son bassin contre celui de sa grand-mère.
Le contact de son gland contre les poils soyeux déclencha une onde électrique le long de son
échine qui manqua bien le faire éjaculer.
Germaine plaqua ses mains sur les jeunes fesses musclées et les poussa vers elle.
- « Oh mon amour, tu me baise ! Ta bite dans ma chatte ! … Qu'elle est dure ! …Bien dure pour ta mamie ! … »
Elle sentit que cette jeune bite n'allait pas tarder à se vider.
Le manque d'expérience de son petit-fils l'ému.
- « Attends pour juter mon garçon… Tu vas le faire dans mon cul, ta jeune queue sera plus serrée… »
Il n'eut aucun mal à rentrer sa bite dans l'étroit conduit, lubrifié par la mouille coulant abondamment de la chatte surexcitée. Hervé, le visage en feu et enhardi par l'ambiance érotique, regarda soudain sa grand-mère.
- « Mamie… J'ai envie de dire… Je… Je peux te dire des mots… »
Il hésita avant de continuer.
- « C'est des mots cochons… Mais c'est pour de faux, c'est juste… »
Elle comprit
vite le désir du gamin et son vieux cœur accéléra dans la poitrine.
- Bien… Bien sûr mon amour… Dis-moi tout ce qu'il te passe par la tête… Cela va
bien m'exciter… »
Elle l'aida.
- « Dis-moi que tu m'encules, que… que tu aimes mon gros cul ! … »
Proche de l'explosion, il se laissa aller.
- « Oh oui mamie… J'encule ton gros cul ! … »
- « Oui mon chéri, encore… encore ! »
Totalement libéré, transpirant, il s'activa plus vite entre les grosses cuisses grasses et chaudes et continua.
- « Oui ! … Oh mamie… AH ! salope… Je t'encule le trou du cul ! … Je t'en… Je… Je… »
Germaine devina qu'Hervé n'allait plus tenir et se frictionna à une vitesse folle son bouton pour se faire jouir.
Dans un couinement de bête, le gamin lâcha soudain son foutre dans les intestins de sa grand-mère qui se mit à jouir aussi accompagnant ses cris à ceux de l'ado.
Julien qui se branlait, les yeux rivés sur la croupe lisse d'Hervé, s'arrangea pour gicler sur les fesses du garçon.
Peu à peu le calme revint dans ce lit de débauche et c’est emmêlé tous les trois qu’ils trouvèrent le sommeil.

Chapitre deux :
Au milieu de la nuit, alors qu’Hervé dormait encore, ils furent pris d’un nouvel accès de désir.
Germaine et Julien se branlèrent comme des fous en s’excitant sur les pages plus suggestives les unes que les autres du livre qu’ils avaient ramené de leur dernier voyage à Paris.
Mais au-delà de cette troublante pornographie c’est encore bien plus cette baise avec leur
petit fils qui les avait excités.
Quand Germaine s’était penchée pour emboucher le pieu de son mari c’est à son petit-fils qu’elle pensait.
Il y avait longtemps que cela ne leur était pas arrivé de se bouffer mutuellement au lieu
de s’astiquer face à face.
Cette excitation nouvelle stimulait leurs libidos de vieux pervers et chacun en baisant imaginait une partie carrée avec les deux adolescents…
Partie carrée que Francine viendrait rejoindre pour compléter le tableau i****tueux.
Ils avaient fini par s’endormir à nouveau épuisés de jouissance.
L’orage avait filé au loin et une douce fraicheur avec succédée à l’étouffante moiteur de la nuit orageuse.
Le soleil du matin les réveilla.
Les feuilles des arbres étaient luisantes des gouttes de la pluie de la nuit et les chants des oiseaux saluaient ce jour nouveau.
Jour nouveau…nouveau départ…
C’est à tout cela que Germaine songeait en s’étirant dans le lit conjugal.
Après tout pourquoi pas se disait-elle.
Ils avaient la chance d’habiter une maison isolée dans la campagne.
Les hautes charmilles qui entouraient le parc les protégeaient des regards indiscrets.
Et puis dans son esprit il s’agissait avant tout de tenter sans brusquer…
Si Julien avait raison, et il avait si souvent raison, la libido de Nadine comme celle d’Hervé ne
demandait qu’à s’épanouir.
Il suffirait peut-être de la solliciter en douceur pour qu’elle chemine elle aussi sur ces délicieux sentiers de jouissance.
Germaine s’étira à nouveau en écartant ses cuisses.
Machinalement elle passa sa main sur son pubis, heureuse de constater que sa toison était encore poisseuse de sa mouille et du foutre de ses deux amants de la nuit.
Elle se leva et se dirigea vers la penderie alors que Julien se retournait dans le lit en
grommelant.
Elle choisit une des blouses en coton imprimé quelle aimait porter et elle l’enfila à même la peau puis elle se contempla dans la glace satisfaite du résultat.
C’était une blouse sans manche qui mettait en valeur ses épaules rondes.
Il suffisait qu’elle lève un bras pour qu’elle donne à contempler l’abondante toison de son aisselle.
Le décolleté en V venait mourir dans le sillon mammaire et il ne faisait que mettre en valeur ses deux globes d’un blanc laiteux.
Ses tétons tendaient le tissu léger et on pouvait presque deviner ses aréoles grumeleuses.
Elle se recula un peu.
La blouse courte arrivait à mi-hauteur de ses grosses cuisses et ce n’est pas par oubli qu’elle omit de fermer le dernier bouton.
Julien se réveillait doucement dans le lit et contemplait les mimiques de son épouse.
Il aimait voir comment la blouse tendue mettait en valeur les grosses fesses de sa femme.
Il se dit que décidément c’était une vraie truie en chaleur.
Il s’étira…déjà il bandait.
- « Putain grosse salope…tu me donnes la trique dès le matin. C’est dans cette tenue que tu vas aller réveiller la gamine ? »
- « Hum…je crois que tu as tout compris. Allez vieux cochon…profite encore d’Hervé…je suis sure qu’il en a autant envie que toi ! Moi je vais voir si Nadine dort encore… »
Le silence régnait dans la maison.
Elle s’engagea dans le couloir qui conduit à la chambre où dormait Nadine.
Elle poussa la porte sans faire de bruit.
La gamine dormait encore, la chaleur de la nuit l’avait amené à repousser le drap sur son corps.
Elle la contempla un moment, savourant les formes potelées de sa petite- fille.
Celle-ci était une brunette dodue comme une caille.
Malgré son jeune âge elle avait déjà des seins bien formés aux larges aréoles brunes. Décidément elle tenait de sa grand-mère se dit Germaine.
Elle la contempla encore, sentant une onde de désir qui venait dans son ventre.
Son regard suivit le bras de la gamine, sa main glissée sous le drap était manifestement posée sur son pubis.
Germaine en était sure : cette petite cochonne avait dû s’endormir après s’être branlée.
Le lit s’affaissa légèrement quand elle s’assit dessus.
Elle contempla encore ces formes désirables avant de se pencher et de souffler sur le visage de Nadine pour la réveiller en douceur.
Ce vent léger ne tarda pas à produire son effet et la gamine cligna des yeux en s’éveillant.
Elle sourit à sa grand-mère.
- « Bonjour mamie »
- « Bonjour ma chérie…tu as bien dormi malgré l’orage ? »
- « Oh oui je n’ai rien entendu, j’étais trop bien dans mon lit. »
Son regard descendit lentement dans l’ouverture de la blouse de sa mamie.
Elle se cambra légèrement en voyant ces gros nichons qui pendaient mais qui paraissaient si
doux.
Cette réaction n’échappa pas à Germaine qui posa sa main sur le bras de sa petite-fille.
- « Tu veux te lever toute de suite ma chérie ? »
- « Oh non pas encore, je suis trop bien là. »
- « Mamie aussi elle est bien là. »
Germaine commença à caresser la gamine.
D'abord sur le bras qui était au-dessus de la couette, dans le creux là où c'est très bon puis elle remonta lentement vers son épaule nue.
En repoussant légèrement la couette elle eut la confirmation de ce qu’elle pressentait :
Nadine dormait nue.
La petite frissonna.
Dans un soupir elle murmura :
- « Hum c’est tellement bon tes petites caresses mamie, ça me chatouille pareil que quand je le fais avec ma copine. »
- « C’est vrai ma chérie ? Tu sais mamie elle aime ça aussi ! »
Insensiblement elle repoussa la couette un peu plus bas laissant apparaitre les petits seins
de la gamine.
Elle ressenti un délicieux frisson en voyant les tétons érigés et les aréoles brunes et grumeleuses.
Elle sourit en voyant l’autre bras de Nadine enfoui sous la couette, sa main posée sur son ventre.
Germaine se pencha un peu plus et posa sa main sur le bras enfoui de sa petite fille pour la caresser doucement.
Nadine répondit aussitôt à cette trouble tendresse par une caresse sur l’épaule nue de sa grand-mère.
Germaine se sentait encouragée…elle était désormais totalement sûre de la sensualité de la gamine.
Elle fit glisser sa main sur le bras de la gamine.
Déjà elle repoussait la couette lentement sur son ventre :
Elle savait ce qu’elle allait voir.
Sa voix était déjà rauque.
Une lueur dans les yeux elle devina la main de la gosse posée sur son pubis.
- « Dis donc ma chérie…qu’est-ce que fait ta main là ? »
- « Ben c’est doux là mamie…c’est chaud… »
Germaine posa alors sa main sur celle de sa petite fille.
Celle-ci malgré son jeune âge était dotée d’une belle toison sombre.
« Elle tient vraiment de moi » pensa de nouveau Germaine.
- « Et quand tu mets ta main là…ça te fait du bien ? »
- « Hum oui mamie…c’est tellement bon ! Tu trouves ça mal de se toucher toi ? »
- « Non…bien sûr que non ! mamie te comprends tu sais. Elle aussi elle aime se toucher. Et quand mamie te touche en même temps que toi…tu aimes aussi ? »
- « Hum oui mamie ! »
Déjà la vielle cochonne avait entrepris de caresser la petite motte juteuse.
Nadine ondulait en gémissant.
L’odeur de mouille se fit plus forte dans la chambre.
Sans cesser de la caresser Germaine écarta ses cuisses.
Les pans de sa blouse ne cachaient rien de sa chatte poilue.
Elle porta son autre main à sa chatte et commença de lisser sa fente gluante de mouille et de foutre.
- « Hum c’est bon…tu aimes ça hein petite cochonne…tu te branles bien avec ta mamie ! »
- « Oh oui tu me fais bien couler…tu sens comme c’est mouillé…c’est encore meilleur quand c’est toi qui me branles mamie !"
- « Oh mais tu es une vraie petite garce toi ! Dis à mamie, ça fait longtemps que tu te fais ça ? »
- « Ben bientôt deux ans mamie…c’est avec ma copine Audrey qu’on a trouvé ça. »
- « Hum…mais dis donc t’es une vraie goudou toi ! »
- « Hum une goudou c’est quoi mamie ? »
- « Une petite gouine…une bouffeuse de chatte comme toi…et comme moi ! »
Nadine se cambra de plus belle quand elle sentit les doigts de sa grand-mère qui écartait sa fente gluante.
- « Hum mamie…tes doigts c’est bon. »
- « Salope tu mouilles hein quand je te branle ? »
- « Oui continue…toi aussi tu mouilles hein mamie ? »
- « Oh oui…tiens sens mes doigts. »
Elle porta alors sa main aux lèvres de la gamine…celle-ci savoura les jus d’amour que lui offrait sa grand-mère, mélange de sa mouille et du foutre de ses amants de la nuit.
Germaine finit de déboutonner sa blouse pour venir s’allonger.
Nadine repoussa la couette en bas du lit pour mieux se coller contre le corps si caressant de sa grand-mère.
Elle se pelotonna contre elle puis vint tendre son minois vers le visage de Germaine.
Bientôt leurs bouches se soudaient.
Se frottant l’une à l’autre comme des furies leurs jambes se mêlaient, leurs langues se caressaient, leurs lèvres bien vite gluantes de bave tiède patinaient alors que la salive ruisselait sur leurs mentons.
Germaine était folle de joie en embrassant à pleine bouche cette adorable salope.
Elle sentait le pubis poilu de la gamine qui venait se coller au sien alors qu’elle pelotait son petit cul merveilleusement rebondi.
- « Putain c'est trop bon de te sentir comme ça, salope tu me fais tellement mouiller ! »
- « Hum toi aussi tu me fais mouiller mamie, j’aime comme tu me pelotes le cul ! »
Germaine leva son bras et Nadine vient enfouir son visage sous cette aisselle.
Comme elle aimait les odeurs acres et fortes qui exhalaient de ces poils humides.
Elle sentait les doigts de sa grand-mère qui glissaient dans sa moule, qui lissaient sa raie alors qu’elle se repaissait des saveurs musquées qui lui étaient offertes.
Elle savoura longuement ces caresses avant de se décider à se mettre à califourchon au-dessus de la vielle perverse.
Elle pousse un cri de joie en sentant les premiers coups de langue sur son abricot et elle
enfouie sa tête entre les grosses cuisses écartées.
Oh comme c’était bon ces odeurs !
Comme c’était bon cette chatte visqueuse, dégoulinante de foutre et de mouille !
Leur degré d’excitation était tel qu’elles ne tardèrent pas à être submergées par la même vague de plaisir.
Elles furent comme foudroyées par la v******e de l’orgasme et elles mirent longtemps avant de retrouver leurs souffles, leur calme, dans la douce langueur qui suivit ce merveilleux moment de folie.

Chapitre 3 :
Dans la chambre de Julien, enfin réveillé demanda à son petit-fils :
- « Tu sais ce que ta grand-mère est allé faire ? »
Julien est affalé dans le lit contre les coussins, son petit-fils dans les bras.
À peine réveillé, encore fatigué de sa nuit riche en jeu amoureux avec ses grands-parents, ayant éjaculé grâce à la vigueur que lui permets son très jeune âge un bon nombre de fois,
Hervé leva les yeux vers son grand-père.
- « Elle est allé réveiller ma petite sœur, non ? »
Fit-il réprimant un bâillement.
Julien caressait amoureusement le torse de l'adolescent.
- « Je crois que ta cochonne de grand-mère est allée la réveiller à sa façon… »
Hervé comprenant le message de son grand-père eut un petit sourire.
Sa nuit amoureuse lui revint en mémoire et sa verge déjà en forme commença à se dérouler.
- « Tu as aimé cette nuit ?"
- « Oh oui papy ! Je… C'était bon ! »
- « Petit cochon, c'est bon de juter, hein ? ! … »
La main de Julien parcourait tout le buste de l'enfant, s'arrêtant sur le bout des seins pour en titiller les petits bouts durcit.
- « J'ai encore le goût de ta jute dans la bouche ! … Dis-moi, tu te branle souvent ? »
Le gamin tout à ses frissons lui répond que « oui » souvent.
- « Et tu penses à ta grand-mère en t'astiquant ? À son gros cul et ses grosses mamelles ? »
Il répond que oui, que ça l'excite tellement d'imaginer sa grand-mère à quatre pattes en train de se faire lécher la raie par Nadine.
- « Petit salaud, tu sais que tu commences à m'exciter, regarde ma bite comme elle est gonflée ! Touche-moi mon amour… »
Le gamin très excité lui aussi prend la grosse queue de son grand-père et commence à le branler
- « Comme je t'aime mon petit… tu sais je n'ai pas eu beaucoup d'expérience avec des garçons, mais cette nuit tu m'as tellement fais jouir ! Je crois que je t'aime comme une femme… Embrasse-moi… »
Hervé tend son beau visage vers son grand-père.
- « Fourre-moi ta langue dans la bouche mon amour… Comme des amoureux. »
Les deux langues se réunissent dans un baiser profond.
De la salive coule des lèvres soudées.
Julien suce la langue fraîche tout en branlant la jeune verge dressée comme un mât.
Il s'arrête un instant pour lui dire qu'il l'aime.
Que c'est sa petite salope.
Que son corps d'ado le fait triquer comme un fou.
La main du grand-père s'aventure entre les belles fesses musclées.
Un doigt tendu se faufile dans la raie du gamin pour chatouiller la rondelle masculine.
Puis le doigt s'enfonce et le gamin ronronne dans la bouche de Julien.
- « Tu aimes que je t'encule mon chéri ? »
- « Oui papi, ça fait tout drôle mais c'est bon ! … »
- « Fais-le-moi aussi. »
Le gamin s'exécute la main tremblante.
Julien se soulève pour permettre à la jeune main de se faufiler.
- « Enfonce ton doigt ! Met le dans mon cul ! … Oui… Ah ma salope, c'est tellement bon de s'enculer ! … »
Les bites branlées sont prêtes à gicler.
Julien sent la queue d'Hervé vibrer entre ses doigts.
- « Attends mon chéri, j'ai une meilleure idée pour juter… Tu as déjà enculé un garçon ? »
Le gamin fait juste non en secouant la tête.
Il semble apeuré.
- « Tu vas voir comme c'est bon de gicler entre des fesses ! … Je languis de sentir tes jets m'inonder l'intérieur. »
Puis le grand-père s'installe à quatre pattes sur le lit.
- « Tu vas me lécher d'abord mon amour… Ta bite glissera bien mieux ! … »
Il frissonne quand il sent la jeune langue s'introduire entre ses fesses.
- « Tête mon cul petite salope… OH OUI ! … Ta langue dans mon cul ! … Comme c'est bon… Sort la et rentre la… Oui comme ça ! Oh Putain ! Comme tu me fais du bien ! Maintenant rentre-moi ta bite ! »
Dans un état second, le petit se met à genoux contre Julien.
Julien tend sa main droite en arrière pour positionner la verge raide contre sa rondelle.
- « Fourre-moi mon chéri, pousse ! … Rentre-moi ta bite dans mon cul ! … Branle-moi par devant, on va gicler ensemble… »
Une main sous son grand-père, Hervé, très excité par l'ambiance érotique et sur le point de juter dans cet endroit bouillant et très serré, donne des coups de bassin anarchique tout en astiquant par dessous la grosse bite veineuse de l'adulte.
- « Vas-y mon petit… Jute moi dans le cul… Moi je vais venir aussi… AH ! Ah oui…je gicle ! … je sens ta jute… je sens tes giclées… »
Tout à leur affaire, ils n'ont pas entendu que sa sœur et sa grand-mère étaient dans la pièce….
Chapitre un :
Un éclair zébra le ciel éclairant la chambre comme en plein jour, un claquement
assourdissant le suivit presque instantanément.
- « Il n'est pas tombé loin celui-là ! »
Germaine et Julien, confortablement assis contre d'épais coussins, se sont mis très tôt au lit ce soir-là.
Après avoir couché leur petit-fils Hervé qu'ils gardent pour le week-end, ils avaient été
pressés de suivre leurs rituels quotidiens et auxquels rien ni personne
n'aurait pu leur faire oublier.
Avec le mauvais temps, ils avaient juste écourté leur bref passage devant la télé et s'étaient plongés impatients sous la couette chaude, leurs vieux cœurs un peu chavirés.
Germaine et Julien sont maintenant à la retraite.
Ce repos bien mérité et bienvenu leur permet de vivre à leur rythme tout ce qu'ils n'ont pu faire avant.
Comme souvent avec les vieux couples, Germaine 67 ans et Julien 69 ne s'embarrassent plus avec l'inutile ou le futile et se sont mis d'accord pour vivre sans contrainte leurs goûts et
penchants jusqu'à ce que la santé ne leur permette plus.
Ils ont une fille de 42 ans, Francine, divorcée, et deux petits-enfants : Nadine 12 ans, et Hervé 14 ans qui dort en ce moment dans la chambre à côté.
- « Tu as le livre ? »
Demanda Germaine à son mari, douillettement vautré dans les coussins de plumes.
Il se pencha sur le côté du lit et rassura aussitôt sa femme.
- « Tu me connais, je ne risque pas de l'oublier ! »
Elle le regarda du coin de l'œil, complice :
- « Toi, tu es vraiment un salaud de gros cochon ! »
C'était l'heure de ce fameux rituel.
Faire des galipettes et autres positions lassantes et scabreuses ne les intéressait plus maintenant qu'ils avaient un certain âge.
Se tenir sur les avant-bras en se concentrant des minutes interminables jusqu'à la secousse
attendue fatiguait et ennuyait Julien.
Pour sa femme également qui attendait sans vraiment avoir d'orgasme, si ce n'est en se masturbant en même temps que son mari la besognait non sans mal.
Maintenant, et comme ils aimaient se le répéter en rigolant, ils étaient retombés en enfance et s'adonnaient sans compter à la masturbation.
Chacun de son côté, le plus souvent ensemble, mais parfois seuls, ils se faisaient jouir comme des collégiens puceaux.
Ils adoraient se regarder mutuellement.
Voir les mains plus très jeunes de l'autre s'activer, lui sur son gros membre tendu, elle dans une chatte à forte pilosité, les excitait terriblement.
Mais tout leur semblait bon pour se stimuler et jouir le plus fort possible en prenant le temps qu'il fallait.
Ce soir, ils avaient décidé de se faire jouir sur un livre qu'ils avaient acheté dans un magasin spécialisé lors de leur dernier passage à Paris :
« Les vilains grands-parents »
Ils avaient hâte de se glisser dans la peau de ces «vilains » personnages.
Julien avait déjà empoigné sa queue engorgée et, tout en s'amusant à se décalotter le gland, regardait sa femme sortir ses jouets de sa table de nuit.
- « Putain, j'ai déjà envie de juter ! »
Souffla-t-il excité à l'adresse de Germaine.
Celle-ci avait finalement choisi un vibro de moyenne taille et se l'enfonçait, le bassin relevé, entre ses grosses fesses.
- « Attends-moi, gros vicieux ! »
Fit-elle malicieuse.
- « te branle pas trop vite… Voilà, c'est rentré dans mon petit trou… OUH ! … Si tu savais comme c'est bon ! »
tu devrais faire pareil ! …
Julien la regardait avidement choisir enfin une bite noire en plastique, stupéfiant de réalisme. Elle l'actionna, choisit une douce vibration, et tout en la plaquant entre ses grosses lèvres luisantes de mouille contre son bouton bandé, elle s'empara du livre de sa main libre.
Un autre éclair illumina soudain la pièce et Germaine rentra aussitôt la tête dans les
épaules, attendant la déflagration qui suivit presque immédiatement.
- « L'orage va finir par réveiller le petit. »
Fit-elle en frissonnant.
- « Et bien il viendra nous rejoindre et on pourra jouer avec lui en lui montrant
le livre ? »
Suggéra-t-il sur un ton se voulant ironique.
- « Arrête gros vicieux, le pauvre petit chou… Tu crois qu'il se branle déjà à son âge ? »
- « Bien sûr qu'il doit se tripoter… tous les enfants le font à cet âge, en pensant à leur maman ou leur mamie… »
- « Tu penses qu'il se branle en pensant à moi ? »
Germaine, sans s'en rendre compte, avait commencé à frictionner son bouton dans le doux ronronnement de son engin, excitée qu'elle était par le petit dialogue i****tueux.
- « Tu as vu les mamelles que tu as et ton gros derrière ! C'est évident qu'il se frictionne comme un petit cochon en pensant à toutes ces bonnes choses… Et toi, tu penses quelquefois à son petit kiki bien dressé ? … Quand tu te branles… ? »
Germaine avait les joues en feu par les questions de son mari.
Bien sûr que souvent, dans ses fantasmes délirants, elle imaginait son petit-fils s'exciter sur son corps dodu, s'activer entre ses grosses cuisses un peu molles ou sa petite tête plongée dans les épais poils bouclés allant depuis son nombril jusqu'entre ses grosses fesses.
- « C'est vrai que cela m'arrive. »
Avoua-t-elle.
- « je me sens très coupable dans ces moments, mais je suis tellement excitée… Et toi, cela t'arrive aussi de penser à Nadine… ses petites mains sur ton gros gland te faisant juter jusqu'au plafond ou sur sa petite frimousse… ? »
- « Arrêtes, tu vas me faire gicler si tu continues, Oh oui j'y pense… ses petites mains me branlent, je gicle dans sa petite bouche… Je pense aussi à Hervé… »
- « Quel gros salaud tu fais, Il te suçait ? »
Interrompit Germaine, le visage empourpré…
- « Oui, j'ai même pensé à Francine avec ses deux enfants… »
Lui répondit-il haletant.
Le cœur de Germaine faillit repartir en arrière.
- « Tu es vraiment un gros pervers… Ta propre fille ! »
- « On était tous ensemble, et avec la complicité de notre fille, on profitait des enfants… »
- « J'ai tellement envie de jouir, si on regardait les cochonneries dans le livre ? »
Soudainement, il n'y eut quasiment pas d'intervalles entre la foudre et le claquement.
Les murs tremblèrent, Germaine et Julien retinrent leur respiration le temps que la maison retrouve son équilibre.
À peine furent-ils plongés dans la première page qu'un cognement se fit entendre contre la porte.
Germaine referma vivement le livre et regarda son mari.
- « Entre mon chéri ! … Entre ! »
Hervé avait beau avoir 14 ans, c'était toujours son chéri.
- « Je peux venir un moment avec vous, j'ai un peu peur, dit-il en guise d'excuse à les déranger. »
- « Mon pauvre chou, viens entre nous bien au chaud… on va attendre que l'orage s'arrête. »
Germaine avait poussé au fond du lit son vibro noir, mais l'autre était toujours fiché entre ses fesses.
- « Viens contre moi mon chéri, pose ta tête sur ta mamie… voilà, comme ça… »
Elle caressa la tête de son petit-fils et tout en peignant les doux cheveux blonds de ses doigts elle jetait des coups d'œil sur la couette qui bougeait du côté de son mari qui continuait de se branler.
Elle lui fit un sourire et continua ses caresses sur son petit-fils.
- « Tu es bien auprès de ta mamie ? »
- « Oui mamie, il fait bon chaud dans ton lit ! … »
- « Attends, tu es tout froid, je vais te réchauffer partout … Viens en travers de ta mamie mon amour… »
Elle glissa une main sous la veste du pyjama et passa sa main chaude sur le torse d'adolescent qui, sous la caresse, frissonna.
- « Tu as si froid mon chéri ! … »
La main de Germaine continua sa progression sur le ventre encore imberbe tandis que de l'autre, elle caressa une jambe par-dessus le pyjama.
Par la fente, elle pouvait déjà observer la queue de son petit-fils qui commençait à devenir plus épaisse.
Elle sentit instantanément des picotements dans son bas-ventre.
- « Tu sens la bonne chaleur de ma main ? »
- « Oui mamie … C'est très bon… Mais je sens que… »
- « Je comprends, c'est normal à ton âge… laisse-toi aller… »
L’interrompit-elle.
Elle parlait d’une voix rauque ; la bite d’Herve grossissait, se raidissait complètement sous le fin tissu.
Germaine sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine.
Le gland d'où perlait déjà une goutte pontait maintenant à la limite de la braguette.
Hervé se sentait à la fois gêné et excité.
Il commença à remuer nerveusement.
- « Voilà tout doux mon chéri… Laisse toi faire… »
La main i****tueuse était maintenant sur la belle bite raidit.
- « Hum tu bandes sous la main de ta mamie mon gros cochon ? Tu n'as pas honte petit vicieux ? »
Elle se pencha vers son mari
- « Regarde chéri la belle queue de ton petit-fils… Il promet le salaud ! … Il en
aura bientôt une grosse comme la tienne… Montres lui toi aussi ! »
Julien n'en revenait pas de la perversion de sa femme.
Elle devait être terriblement excité pour se comporter de la sorte.
Germaine empoignait maintenant la belle bite d'Hervé qu'elle avait complètement sortie de la braguette.
Il ne lui en fallut pas plus pour en faire autant.
- « Regarde mon garçon… Tu en auras aussi une comme ça plus tard… Tu vois comme
c'est gros ? »
Hervé, le visage empourpré, tourna la tête vers la gauche.
Son grand-père exhibait fièrement son membre démesuré et si engorgé qu'il en était violacé.
- « Tu vois comme c'est gros ? »
Fit Julien d'une voix chevrotante, regarde bien ma bite…
Les deux adultes s'excitaient devant la réaction de leur petit-fils dont ils sentaient le trouble.
Ils employaient des mots crus dans l'évidente intention de choquer le jeune garçon.
Germaine ne se gênait plus pour branler la belle verge bien tendue.
Le gamin, malgré lui, allait au-devant de la caresse en tendant son bassin vers l'avant.
Sa grand-mère le masturbait comme elle avait l'habitude avec son mari.
De petits gestes souples et déliés faisant appartement beaucoup de bien à l'ado qui se laissait déjà aller.
- « C'est bon la branlette que mamie te fait mon chéri ? … »
- « OH, OH mamie… C'est… comme c'est bon ! … »
- « Dis-moi mon amour, j'imagine que tu te branles tout seul dans ton lit ? »
- « … »
- « Tu peux dire à mamie si tu aimes te faire des branlettes en cachette… Tu sais, ton papi se branle sa grosse bite aussi tout seul… Il n'y a pas de mal à faire ça… Et tu as déjà beaucoup de jus ? »
Elle accéléra le mouvement sur la queue congestionnée.
Dans un état second, le gamin se livra.
- « Oui mamie… »
- « Oui quoi ? … Avoue à mamie que tu te fais des branlettes… »
- « … Oui c'est vrai, je me branle… »
- « Comme c'est mignon et… tu aimes juter ? »
Le grand-père s’était collé contre son petit-fils.
Il écoutait cette conversation perverse en s'astiquant furieusement.
- « Je te sens vibrer mon chéri, tu vas bientôt te laisser aller dans la main de mamie… Regarde ton grand-père, il va jouir aussi… Fais lui un bisou sur son gros gland… ça va lui faire beaucoup de bien ! »
- « Mais je … Je n'ai… »
- « Tu ne l'as jamais fait ? C'est pourtant délicieux ! … Regarde, mamie va te le faire aussi sur le tien… Prends la bite de ton grand-père dans les mains et suces le bout… »
Un peu à contrecœur mais tellement excité par l'ambiance, le gamin se pencha sur la grosse bite que son grand-père tendait vers lui.
Guidé par l'adulte, il empoigna des deux mains le membre distendu.
Julien dirigea ses lèvres vers le gros gland prêt à exploser.
- « Vas-y, suces mon chéri… Suces papi, tu vas me faire gicler très fort… Promène ta langue sur le bout… »
Germaine, en même temps, branlait par-dessous son petit-fils à genoux devant son mari.
Elle sentit que le gamin ne pourrait plus se retenir.
- « Allez-y les garçons… Je crois que vous allez bientôt vider vos couilles !… »
Julien regardait avec des yeux exorbités la bouche de son petit-fils autour de son gros gland. Tellement excité, il savait qu'il ne pourrait durer bien longtemps avant de lui lâcher son jus trop longuement contenu dans ses couilles douloureuses.
Hervé, au bord de l'explosion tellement sa grand-mère lui astiquait la bite, se concentrait pour sucer son grand-père au mieux.
Le sang lui tapait dans les tempes.
Il fut surpris et inquiet lorsqu'il sentit que sa grand-mère lui écartait les fesses.
- « Tu vas aimer mon chéri. »
Lui souffla-t-elle d'une voix blanche.
Il ouvra en grand les yeux quand il sentit un doigt pointer contre son petit trou.
Quand il se branlait, il avait l'habitude de s'enfoncer lui-même un doigt pour accentuer son plaisir, mais là c'était le doigt de sa grand-mère et cela l'excitait comme un fou.
Qu'elle salope ! se dit-il, elle va me faire vite gicler !
- « Fais tourner ta langue sur le gland, lui fit son grand-père d'une voix rauque, je vais venir !… Oui, comme… Comme ça ! Suce… lèche bien ma salope ! … »
Il ne put se retenir plus longtemps et envoya dans la bouche du gamin d’abondantes giclées de foutre.
- « Je jute, je jute fort ! »
Râlait-il
Hervé, surpris par la v******e des jets, releva sa tête et reçu quelques giclées sur le visage.
Ce fut trop pour lui qui se mit à gicler dans la main de sa grand-mère déchaînée qui continuait de le branler, son doigt faisant des allers-retours dans l'anus du gamin.
Germaine attendit que son petit-fils soit remis de ses émotions.
L'orage s'était calmé depuis un moment.
- « Tu as bien juté petit salaud ! »
- « Oh oui, c'était trop bon ! »
- « Tu vas faire du bien à ta mamie maintenant, viens voir comment c'est fait une
femme… »
Germaine s'allongea et écarta ses grosses cuisses laiteuses.
Elle guida son petit-fils entre ses jambes pour qu'il puisse admirer son intimité.
- « Tu vois, c'est le trou de la femme ici dans mes poils et en haut c'est mon petit bouton d'amour que je branle aussi pour me faire jouir, tu vois bien ? … »
Julien avait retrouvé de la vigueur et se branlait de nouveau en regardant la scène.
La perversité de sa femme l'excitait.
- « Je vais t'apprendre à faire du bien à ta grand-mère mon chéri ! »
bredouilla-elle, viens me sucer dans mes poils…
Elle prit d'autorité la tête de son petit-fils entre ses mains et colla ses lèvres contre sa fente mouillée.
- « Fais aller ta langue dans mon trou… voilà… Oh ! Comme c'est bon ! … Plus haut ! … Reste sur mon bouton et tête comme un biberon… Oui, comme ça, tu es très doué… »
Germaine ondulait sous le plaisir de sentir le souffle chaud de son petit-fils et la douceur de sa langue.
Elle maintenait la tête contre elle et donnait de petits coups de bassin contre le jeune museau.
- « Putain, tu me branle bien ! … Ah, comme c'est bon de se faire téter par un gamin ! … »
Germaine délirait et se frottait de plus en plus vite sur le visage d'Hervé.
- Vas plus bas maintenant… Elle prit appuis sur ses jambes repliées et redressa
son bassin.
- « Tu vas sucer mon cul mon chéri… »
Elle libéra la tête du gamin pour s'écarter les fesses.
- « Tu vois mon petit trou ? … Va dessus… AH ! Tu vas me faire jouir mon salaud ! … Fais ta langue bien pointue, voilà, enfonce la… AAH, comme c'est bon ! Tu encules ta mamie ! … Tu n'as pas honte ? … OUI ! Je vais jouir avec ta langue dans mon cul ! »
À son tour elle fut emportée par un violent orgasme.
Elle mit longtemps avant de reprendre sa respiration alors qu’Hervé recueillait sa mouille dans sa bouche.
Julien continuait de caresser sa bite redevenue molle tout en lui roulant un patin baveux. Germaine attendit que son petit-fils soit remis de ses émotions.
Elle se délectait de ses propres mots orduriers.
Qu'elle choque son petit-fils ne lui venait pas à l'esprit maintenant qu'elle était dans un tel état d'excitation.
Depuis le temps où elle se branlait en pensant à lui, à sa belle bite d'ado bien raide, à ses fesses musclées, à son visage d'ange.
Elle avait tellement rêvé de lui entre ses cuisses grasses et celluliteuses, son visage enfouit entre ses mamelles aux gros bouts érigés et aux larges aréoles foncées.
Dans ses phantasmes les plus honteux elle l'imaginait lui léchant les aisselles, se délectant de l'effluve piquant que l'endroit brûlant dégageait.
A la montée de l'orgasme elle s'était même vu penchée sur la baignoire se lavant les cheveux, son petit-fils écartant ses grosses fesses tremblantes et la langue i****tueuse glissant dans son œillet poilu et odorant.
Dans ces moments-là, sa jouissance était violente et elle couinait comme le ferait une truie.
Ce soir, elle le vivait vraiment.
Son petit-fils entre ses fesses, elle le guidait pour rendre ses fantasmes réels.
- « Nettoie bien mon petit trou, il est pour toi ! … Lave moi le cul ! … »
Lui criait-elle.
Son mari à côté s'astiquait comme un fou.
Elle s'adressa à lui.
- « Fais-le bien dur, j'ai envie de lui dans ma chatte et mon cul ! … Tripote-le ce vicieux pour qu'il bande bien ! »
Continuant de se branler de la main gauche,
il s'empara de la tige déjà dressée sous le ventre du gamin et le manipula avec un incomparable plaisir.
C'était la première fois qu'il tenait une autre bite de garçon entre ses doigts et ce contact faillit le faire gicler sur le champ.
- « Baise mamie mon chéri, fourres moi comme un homme ! … »
Le cœur battant dans les tempes, Hervé colla son bassin contre celui de sa grand-mère.
Le contact de son gland contre les poils soyeux déclencha une onde électrique le long de son
échine qui manqua bien le faire éjaculer.
Germaine plaqua ses mains sur les jeunes fesses musclées et les poussa vers elle.
- « Oh mon amour, tu me baise ! Ta bite dans ma chatte ! … Qu'elle est dure ! …Bien dure pour ta mamie ! … »
Elle sentit que cette jeune bite n'allait pas tarder à se vider.
Le manque d'expérience de son petit-fils l'ému.
- « Attends pour juter mon garçon… Tu vas le faire dans mon cul, ta jeune queue sera plus serrée… »
Il n'eut aucun mal à rentrer sa bite dans l'étroit conduit, lubrifié par la mouille coulant abondamment de la chatte surexcitée. Hervé, le visage en feu et enhardi par l'ambiance érotique, regarda soudain sa grand-mère.
- « Mamie… J'ai envie de dire… Je… Je peux te dire des mots… »
Il hésita avant de continuer.
- « C'est des mots cochons… Mais c'est pour de faux, c'est juste… »
Elle comprit
vite le désir du gamin et son vieux cœur accéléra dans la poitrine.
- Bien… Bien sûr mon amour… Dis-moi tout ce qu'il te passe par la tête… Cela va
bien m'exciter… »
Elle l'aida.
- « Dis-moi que tu m'encules, que… que tu aimes mon gros cul ! … »
Proche de l'explosion, il se laissa aller.
- « Oh oui mamie… J'encule ton gros cul ! … »
- « Oui mon chéri, encore… encore ! »
Totalement libéré, transpirant, il s'activa plus vite entre les grosses cuisses grasses et chaudes et continua.
- « Oui ! … Oh mamie… AH ! salope… Je t'encule le trou du cul ! … Je t'en… Je… Je… »
Germaine devina qu'Hervé n'allait plus tenir et se frictionna à une vitesse folle son bouton pour se faire jouir.
Dans un couinement de bête, le gamin lâcha soudain son foutre dans les intestins de sa grand-mère qui se mit à jouir aussi accompagnant ses cris à ceux de l'ado.
Julien qui se branlait, les yeux rivés sur la croupe lisse d'Hervé, s'arrangea pour gicler sur les fesses du garçon.
Peu à peu le calme revint dans ce lit de débauche et c’est emmêlé tous les trois qu’ils trouvèrent le sommeil.

Chapitre deux :
Au milieu de la nuit, alors qu’Hervé dormait encore, ils furent pris d’un nouvel accès de désir.
Germaine et Julien se branlèrent comme des fous en s’excitant sur les pages plus suggestives les unes que les autres du livre qu’ils avaient ramené de leur dernier voyage à Paris.
Mais au-delà de cette troublante pornographie c’est encore bien plus cette baise avec leur
petit fils qui les avait excités.
Quand Germaine s’était penchée pour emboucher le pieu de son mari c’est à son petit-fils qu’elle pensait.
Il y avait longtemps que cela ne leur était pas arrivé de se bouffer mutuellement au lieu
de s’astiquer face à face.
Cette excitation nouvelle stimulait leurs libidos de vieux pervers et chacun en baisant imaginait une partie carrée avec les deux adolescents…
Partie carrée que Francine viendrait rejoindre pour compléter le tableau i****tueux.
Ils avaient fini par s’endormir à nouveau épuisés de jouissance.
L’orage avait filé au loin et une douce fraicheur avec succédée à l’étouffante moiteur de la nuit orageuse.
Le soleil du matin les réveilla.
Les feuilles des arbres étaient luisantes des gouttes de la pluie de la nuit et les chants des oiseaux saluaient ce jour nouveau.
Jour nouveau…nouveau départ…
C’est à tout cela que Germaine songeait en s’étirant dans le lit conjugal.
Après tout pourquoi pas se disait-elle.
Ils avaient la chance d’habiter une maison isolée dans la campagne.
Les hautes charmilles qui entouraient le parc les protégeaient des regards indiscrets.
Et puis dans son esprit il s’agissait avant tout de tenter sans brusquer…
Si Julien avait raison, et il avait si souvent raison, la libido de Nadine comme celle d’Hervé ne
demandait qu’à s’épanouir.
Il suffirait peut-être de la solliciter en douceur pour qu’elle chemine elle aussi sur ces délicieux sentiers de jouissance.
Germaine s’étira à nouveau en écartant ses cuisses.
Machinalement elle passa sa main sur son pubis, heureuse de constater que sa toison était encore poisseuse de sa mouille et du foutre de ses deux amants de la nuit.
Elle se leva et se dirigea vers la penderie alors que Julien se retournait dans le lit en
grommelant.
Elle choisit une des blouses en coton imprimé quelle aimait porter et elle l’enfila à même la peau puis elle se contempla dans la glace satisfaite du résultat.
C’était une blouse sans manche qui mettait en valeur ses épaules rondes.
Il suffisait qu’elle lève un bras pour qu’elle donne à contempler l’abondante toison de son aisselle.
Le décolleté en V venait mourir dans le sillon mammaire et il ne faisait que mettre en valeur ses deux globes d’un blanc laiteux.
Ses tétons tendaient le tissu léger et on pouvait presque deviner ses aréoles grumeleuses.
Elle se recula un peu.
La blouse courte arrivait à mi-hauteur de ses grosses cuisses et ce n’est pas par oubli qu’elle omit de fermer le dernier bouton.
Julien se réveillait doucement dans le lit et contemplait les mimiques de son épouse.
Il aimait voir comment la blouse tendue mettait en valeur les grosses fesses de sa femme.
Il se dit que décidément c’était une vraie truie en chaleur.
Il s’étira…déjà il bandait.
- « Putain grosse salope…tu me donnes la trique dès le matin. C’est dans cette tenue que tu vas aller réveiller la gamine ? »
- « Hum…je crois que tu as tout compris. Allez vieux cochon…profite encore d’Hervé…je suis sure qu’il en a autant envie que toi ! Moi je vais voir si Nadine dort encore… »
Le silence régnait dans la maison.
Elle s’engagea dans le couloir qui conduit à la chambre où dormait Nadine.
Elle poussa la porte sans faire de bruit.
La gamine dormait encore, la chaleur de la nuit l’avait amené à repousser le drap sur son corps.
Elle la contempla un moment, savourant les formes potelées de sa petite- fille.
Celle-ci était une brunette dodue comme une caille.
Malgré son jeune âge elle avait déjà des seins bien formés aux larges aréoles brunes. Décidément elle tenait de sa grand-mère se dit Germaine.
Elle la contempla encore, sentant une onde de désir qui venait dans son ventre.
Son regard suivit le bras de la gamine, sa main glissée sous le drap était manifestement posée sur son pubis.
Germaine en était sure : cette petite cochonne avait dû s’endormir après s’être branlée.
Le lit s’affaissa légèrement quand elle s’assit dessus.
Elle contempla encore ces formes désirables avant de se pencher et de souffler sur le visage de Nadine pour la réveiller en douceur.
Ce vent léger ne tarda pas à produire son effet et la gamine cligna des yeux en s’éveillant.
Elle sourit à sa grand-mère.
- « Bonjour mamie »
- « Bonjour ma chérie…tu as bien dormi malgré l’orage ? »
- « Oh oui je n’ai rien entendu, j’étais trop bien dans mon lit. »
Son regard descendit lentement dans l’ouverture de la blouse de sa mamie.
Elle se cambra légèrement en voyant ces gros nichons qui pendaient mais qui paraissaient si
doux.
Cette réaction n’échappa pas à Germaine qui posa sa main sur le bras de sa petite-fille.
- « Tu veux te lever toute de suite ma chérie ? »
- « Oh non pas encore, je suis trop bien là. »
- « Mamie aussi elle est bien là. »
Germaine commença à caresser la gamine.
D'abord sur le bras qui était au-dessus de la couette, dans le creux là où c'est très bon puis elle remonta lentement vers son épaule nue.
En repoussant légèrement la couette elle eut la confirmation de ce qu’elle pressentait :
Nadine dormait nue.
La petite frissonna.
Dans un soupir elle murmura :
- « Hum c’est tellement bon tes petites caresses mamie, ça me chatouille pareil que quand je le fais avec ma copine. »
- « C’est vrai ma chérie ? Tu sais mamie elle aime ça aussi ! »
Insensiblement elle repoussa la couette un peu plus bas laissant apparaitre les petits seins
de la gamine.
Elle ressenti un délicieux frisson en voyant les tétons érigés et les aréoles brunes et grumeleuses.
Elle sourit en voyant l’autre bras de Nadine enfoui sous la couette, sa main posée sur son ventre.
Germaine se pencha un peu plus et posa sa main sur le bras enfoui de sa petite fille pour la caresser doucement.
Nadine répondit aussitôt à cette trouble tendresse par une caresse sur l’épaule nue de sa grand-mère.
Germaine se sentait encouragée…elle était désormais totalement sûre de la sensualité de la gamine.
Elle fit glisser sa main sur le bras de la gamine.
Déjà elle repoussait la couette lentement sur son ventre :
Elle savait ce qu’elle allait voir.
Sa voix était déjà rauque.
Une lueur dans les yeux elle devina la main de la gosse posée sur son pubis.
- « Dis donc ma chérie…qu’est-ce que fait ta main là ? »
- « Ben c’est doux là mamie…c’est chaud… »
Germaine posa alors sa main sur celle de sa petite fille.
Celle-ci malgré son jeune âge était dotée d’une belle toison sombre.
« Elle tient vraiment de moi » pensa de nouveau Germaine.
- « Et quand tu mets ta main là…ça te fait du bien ? »
- « Hum oui mamie…c’est tellement bon ! Tu trouves ça mal de se toucher toi ? »
- « Non…bien sûr que non ! mamie te comprends tu sais. Elle aussi elle aime se toucher. Et quand mamie te touche en même temps que toi…tu aimes aussi ? »
- « Hum oui mamie ! »
Déjà la vielle cochonne avait entrepris de caresser la petite motte juteuse.
Nadine ondulait en gémissant.
L’odeur de mouille se fit plus forte dans la chambre.
Sans cesser de la caresser Germaine écarta ses cuisses.
Les pans de sa blouse ne cachaient rien de sa chatte poilue.
Elle porta son autre main à sa chatte et commença de lisser sa fente gluante de mouille et de foutre.
- « Hum c’est bon…tu aimes ça hein petite cochonne…tu te branles bien avec ta mamie ! »
- « Oh oui tu me fais bien couler…tu sens comme c’est mouillé…c’est encore meilleur quand c’est toi qui me branles mamie !"
- « Oh mais tu es une vraie petite garce toi ! Dis à mamie, ça fait longtemps que tu te fais ça ? »
- « Ben bientôt deux ans mamie…c’est avec ma copine Audrey qu’on a trouvé ça. »
- « Hum…mais dis donc t’es une vraie goudou toi ! »
- « Hum une goudou c’est quoi mamie ? »
- « Une petite gouine…une bouffeuse de chatte comme toi…et comme moi ! »
Nadine se cambra de plus belle quand elle sentit les doigts de sa grand-mère qui écartait sa fente gluante.
- « Hum mamie…tes doigts c’est bon. »
- « Salope tu mouilles hein quand je te branle ? »
- « Oui continue…toi aussi tu mouilles hein mamie ? »
- « Oh oui…tiens sens mes doigts. »
Elle porta alors sa main aux lèvres de la gamine…celle-ci savoura les jus d’amour que lui offrait sa grand-mère, mélange de sa mouille et du foutre de ses amants de la nuit.
Germaine finit de déboutonner sa blouse pour venir s’allonger.
Nadine repoussa la couette en bas du lit pour mieux se coller contre le corps si caressant de sa grand-mère.
Elle se pelotonna contre elle puis vint tendre son minois vers le visage de Germaine.
Bientôt leurs bouches se soudaient.
Se frottant l’une à l’autre comme des furies leurs jambes se mêlaient, leurs langues se caressaient, leurs lèvres bien vite gluantes de bave tiède patinaient alors que la salive ruisselait sur leurs mentons.
Germaine était folle de joie en embrassant à pleine bouche cette adorable salope.
Elle sentait le pubis poilu de la gamine qui venait se coller au sien alors qu’elle pelotait son petit cul merveilleusement rebondi.
- « Putain c'est trop bon de te sentir comme ça, salope tu me fais tellement mouiller ! »
- « Hum toi aussi tu me fais mouiller mamie, j’aime comme tu me pelotes le cul ! »
Germaine leva son bras et Nadine vient enfouir son visage sous cette aisselle.
Comme elle aimait les odeurs acres et fortes qui exhalaient de ces poils humides.
Elle sentait les doigts de sa grand-mère qui glissaient dans sa moule, qui lissaient sa raie alors qu’elle se repaissait des saveurs musquées qui lui étaient offertes.
Elle savoura longuement ces caresses avant de se décider à se mettre à califourchon au-dessus de la vielle perverse.
Elle pousse un cri de joie en sentant les premiers coups de langue sur son abricot et elle
enfouie sa tête entre les grosses cuisses écartées.
Oh comme c’était bon ces odeurs !
Comme c’était bon cette chatte visqueuse, dégoulinante de foutre et de mouille !
Leur degré d’excitation était tel qu’elles ne tardèrent pas à être submergées par la même vague de plaisir.
Elles furent comme foudroyées par la v******e de l’orgasme et elles mirent longtemps avant de retrouver leurs souffles, leur calme, dans la douce langueur qui suivit ce merveilleux moment de folie.

Chapitre 3 :
Dans la chambre de Julien, enfin réveillé demanda à son petit-fils :
- « Tu sais ce que ta grand-mère est allé faire ? »
Julien est affalé dans le lit contre les coussins, son petit-fils dans les bras.
À peine réveillé, encore fatigué de sa nuit riche en jeu amoureux avec ses grands-parents, ayant éjaculé grâce à la vigueur que lui permets son très jeune âge un bon nombre de fois,
Hervé leva les yeux vers son grand-père.
- « Elle est allé réveiller ma petite sœur, non ? »
Fit-il réprimant un bâillement.
Julien caressait amoureusement le torse de l'adolescent.
- « Je crois que ta cochonne de grand-mère est allée la réveiller à sa façon… »
Hervé comprenant le message de son grand-père eut un petit sourire.
Sa nuit amoureuse lui revint en mémoire et sa verge déjà en forme commença à se dérouler.
- « Tu as aimé cette nuit ?"
- « Oh oui papy ! Je… C'était bon ! »
- « Petit cochon, c'est bon de juter, hein ? ! … »
La main de Julien parcourait tout le buste de l'enfant, s'arrêtant sur le bout des seins pour en titiller les petits bouts durcit.
- « J'ai encore le goût de ta jute dans la bouche ! … Dis-moi, tu te branle souvent ? »
Le gamin tout à ses frissons lui répond que « oui » souvent.
- « Et tu penses à ta grand-mère en t'astiquant ? À son gros cul et ses grosses mamelles ? »
Il répond que oui, que ça l'excite tellement d'imaginer sa grand-mère à quatre pattes en train de se faire lécher la raie par Nadine.
- « Petit salaud, tu sais que tu commences à m'exciter, regarde ma bite comme elle est gonflée ! Touche-moi mon amour… »
Le gamin très excité lui aussi prend la grosse queue de son grand-père et commence à le branler
- « Comme je t'aime mon petit… tu sais je n'ai pas eu beaucoup d'expérience avec des garçons, mais cette nuit tu m'as tellement fais jouir ! Je crois que je t'aime comme une femme… Embrasse-moi… »
Hervé tend son beau visage vers son grand-père.
- « Fourre-moi ta langue dans la bouche mon amour… Comme des amoureux. »
Les deux langues se réunissent dans un baiser profond.
De la salive coule des lèvres soudées.
Julien suce la langue fraîche tout en branlant la jeune verge dressée comme un mât.
Il s'arrête un instant pour lui dire qu'il l'aime.
Que c'est sa petite salope.
Que son corps d'ado le fait triquer comme un fou.
La main du grand-père s'aventure entre les belles fesses musclées.
Un doigt tendu se faufile dans la raie du gamin pour chatouiller la rondelle masculine.
Puis le doigt s'enfonce et le gamin ronronne dans la bouche de Julien.
- « Tu aimes que je t'encule mon chéri ? »
- « Oui papi, ça fait tout drôle mais c'est bon ! … »
- « Fais-le-moi aussi. »
Le gamin s'exécute la main tremblante.
Julien se soulève pour permettre à la jeune main de se faufiler.
- « Enfonce ton doigt ! Met le dans mon cul ! … Oui… Ah ma salope, c'est tellement bon de s'enculer ! … »
Les bites branlées sont prêtes à gicler.
Julien sent la queue d'Hervé vibrer entre ses doigts.
- « Attends mon chéri, j'ai une meilleure idée pour juter… Tu as déjà enculé un garçon ? »
Le gamin fait juste non en secouant la tête.
Il semble apeuré.
- « Tu vas voir comme c'est bon de gicler entre des fesses ! … Je languis de sentir tes jets m'inonder l'intérieur. »
Puis le grand-père s'installe à quatre pattes sur le lit.
- « Tu vas me lécher d'abord mon amour… Ta bite glissera bien mieux ! … »
Il frissonne quand il sent la jeune langue s'introduire entre ses fesses.
- « Tête mon cul petite salope… OH OUI ! … Ta langue dans mon cul ! … Comme c'est bon… Sort la et rentre la… Oui comme ça ! Oh Putain ! Comme tu me fais du bien ! Maintenant rentre-moi ta bite ! »
Dans un état second, le petit se met à genoux contre Julien.
Julien tend sa main droite en arrière pour positionner la verge raide contre sa rondelle.
- « Fourre-moi mon chéri, pousse ! … Rentre-moi ta bite dans mon cul ! … Branle-moi par devant, on va gicler ensemble… »
Une main sous son grand-père, Hervé, très excité par l'ambiance érotique et sur le point de juter dans cet endroit bouillant et très serré, donne des coups de bassin anarchique tout en astiquant par dessous la grosse bite veineuse de l'adulte.
- « Vas-y mon petit… Jute moi dans le cul… Moi je vais venir aussi… AH ! Ah oui…je gicle ! … je sens ta jute… je sens tes giclées… »
Tout à leur affaire, ils n'ont pas entendu que sa sœur et sa grand-mère étaient dans la pièce….
2 years ago