EXAMEN.

VISITE MÉDICALE.

Rendez-vous mĂ©dicaux. Échographie.


Ayant atteint l’ñge ou la prostate commence Ă  nous jouer des tours, mon gĂ©nĂ©raliste m’a prescrit une Ă©chographie de la prostate.
Rendez-vous fut donc pris au cabinet de radiologie pour ce jeudi de printemps en dĂ©but d’aprĂšs-midi.
Je me prĂ©sentai donc non sans apprĂ©hension, Ă  l’heure prĂ©vu devant ce spĂ©cialiste.
Il me fit rapidement entrer dans son cabinet, me fit dĂ©shabiller et me demanda de m’installer sur sa table en position adĂ©quate, sur le cĂŽtĂ© avec les genoux ramenĂ©s vers le torse, un peu en position fƓtale.
J’avoue que d’avoir ainsi les fesses Ă  l’air bien en vue n’était pas pour me dĂ©plaire, sans doute mon cĂŽtĂ© exhib.
Il s’installa sur une chaise Ă  cĂŽtĂ© de la table et se mis Ă  m’enduire abondamment l’anus de vaseline.
Je ne trouvai pas cela dĂ©sagrĂ©able du tout, au contraire, j’apprĂ©cie beaucoup qu’on me tripote en dessous la ceinture.
Puis aprĂšs avoir recouvert sa sonde d’une sorte de prĂ©servatif et copieusement enduite de gel elle aussi, le radiologue entreprit de forcer mon anus pour la faire pĂ©nĂ©trer dans mon rectum. Bien qu’elle ne soit pas trĂšs grosse, je sentis une lĂ©gĂšre douleur au passage.
- « décontracté vous » me conseilla le docteur.
J’apprĂ©ciais de plus en plus la situation, je ne sais pas pourquoi mais j’ai eu comme l’impression que ce toubib avait devinĂ© mes penchants.
L’examen se termina assez rapidement, trop Ă  mon goĂ»t.
J’aurai aimĂ© qu’il continue Ă  me fouiller l’anus plus longtemps.
- « Vous pouvez vous rhabiller, j’enverrai les rĂ©sultats Ă  votre gĂ©nĂ©raliste » et sur ce nous prĂźmes congĂ©.
Ce n’est pas le tout mais ce con Ă  me trifouiller l’anus m’avait Ă©moustillĂ© les sens, mon trou du cul encore plein de vaseline criait famine, je ne pouvais pas en rester lĂ  !
En sortant rĂ©cupĂ©rer mon vĂ©hicule sur le parking, le temps Ă©tait magnifique, le soleil Ă©tait de la partie ce qui ne fit qu’amplifier mon dĂ©sir de sexe.
Je dĂ©cidai donc de prendre le chemin d’un lieu de rencontre que je connais bien Ă  quelques minutes de route.
J’arrivai au bout de cette voie sans issue, plusieurs vĂ©hicules y Ă©taient dĂ©jĂ  stationnĂ©s.
C’était bon signe.
C’est vrai que le beau temps attire souvent les affamĂ©s de sexe Ă  cet endroit.
AprĂšs m’ĂȘtre garĂ©, je descendis rapidement de ma voiture et empruntai l’allĂ©e sur la gauche qui pĂ©nĂštre dans ce bois.
AprĂšs quelques dizaines de mĂštres, un type sortit des bosquets devant moi et se dirigea comme moi vers le fond de l’allĂ©e barrĂ©e par la voie de chemin de fer.
Rendu au bout il me demanda de le suivre et pénétra dans les bois par un sentier sur la gauche.
Je ne me fis pas prier et lui emboĂźtait le pas.
Il m’emmena au fond du bois et là j’aperçus au milieu des arbres trois types qui commençaient à se caresser.
L’un d’eux respirait du poppers.
Je compris que celui que j’avais suivi Ă©tait un rabatteur et moi la proie.
À peine arrivĂ© au milieu de ce groupe des mains m’agrippĂšrent et je me retrouvai rapidement le pantalon et le slip sur les chevilles avec tout le matĂ©riel Ă  l’air.
La chemisette que je portais ne résista pas longtemps elle non plus et je me retrouvai nu au milieu de cette horde de types en rut.
Ils avaient tous quatre dĂ©fait leurs pantalons et sortis leur sexe qu’ils commençaient Ă  branler. J’étais comme une chienne en chaleur, cette situation ainsi que les courants d’air sur mon corps dĂ©vĂȘtu m’excitaient au plus haut point.
je bandai comme jamais.
Maintenant quatre paires de mains s’occupaient de mon corps, on me tripotait les fesses, me palpait les couilles, me dĂ©calottait la bite, me caressait le torses, me pinçait les tĂ©tons ce qui faisait sortir de ma bouche de petit gĂ©missement que cette bande de sadiques avait l’air d’apprĂ©cier Ă  en croire leurs rires.
Celui qui m’avait amenĂ© jusqu’ici me prit par le coup et me fit me pencher en avant en me donnant sa bite Ă  sucer, ce que je fis sans rechigner tellement j’aime ça. EXAMEN.
Dans cette position, le cul tendu en arriĂšre, des doigts commencĂšrent Ă  fouiller mon anus qu’ils pĂ©nĂ©traient sans mal avec la gel que le radiologue m’avait fourrĂ© quelques minutes plus tĂŽt. Puis les choses s’accĂ©lĂ©rĂšrent je sentis un type se coller derriĂšre moi et me frotter sa bite sur l’anus les autres Ă©tant devant Ă  me coller leur bite sur le visage et la bouche, je m’appliquai Ă  essayer de les satisfaire l’une aprĂšs l’autre, parfois deux en mĂȘme temps, que c’est bon toutes ces bites Ă  ma disposition.
Soudain je me retrouvais avec le flacon de poppers sous le nez, je n’avais jamais essayĂ© ce truc mais tant pis j’inspirais un bon coup de chaque narine.
L’effet vint rapidement, je sentis mon corps se dĂ©contracter et j’avais l’impression que maintenant mon anus Ă©tait complĂštement ouvert.
Le type de derriùre en profita pour fourrer sa bite au fond de mon cul d’un seul coup.
Je ressentis Ă  peine une lĂ©gĂšre douleur tellement j’étais prĂȘt.
Il se mis Ă  me pilonner rapidement en agrippant Ă  mes hanches.
Ces allĂ©es et venu dans mon cul gĂ©nĂ©raient de drĂŽles de bruit d’air et je sentais ses couilles venir s’écraser contre mon entrefesse.
Il se bloqua soudain au plus profond de moi, je l’entendis pousser un rñle, ce salop se vidait dans mon cul.
Il se retira, me mis une tape sur le cul et me traita de salope.
La place laissée libre fut immédiatement prise par un autre.
Il se succédÚrent ainsi tous les quatre à tour de rÎle pour me sodomiser à leur guise et décharger dans mon cul.
Pour finir, celui qui m’avait guidĂ© jusqu’ici m’empoigna la bite et me branla vigoureusement jusqu’à l’éjaculation.
C’était bien la moindre des choses que de me soulager aprĂšs m’ĂȘtre offert Ă  eux.
DrĂŽle de situation que de se faire sauter par des types dont on ne regarde pas le visage, juste des bites anonymes qui sont lĂ  pour se soulager.
En fait, je m’en fous du visage de mes partenaires, tout ce que je veux c’est de la bite, de la bite, encore de la bite et du sperme plein ma bouche plein mon cul et plein mon corps.
AprĂšs s’ĂȘtre repus de mon corps et de mes trous les quatre lascars se sont reculottĂ©s et sont partis en discutant entre eux sans m’accorder le moindre intĂ©rĂȘt.
Ils avaient eu ce qu’ils Ă©taient venus chercher, je ne les intĂ©ressais plus !
Il me fallut quelques instants pour reprendre mes esprits, j’étais lĂ  nu, seul encore sur mon petit nuage.
Mon anus Ă©tait comblĂ©, ma prostate se portait Ă  merveille et moi j’étais ravi de ce qui venait de m’arriver.
Quelle belle journée de printemps, tout ça pour une échographie !

CECI EST (EN PARTIE) UN FANTASME.
ATTENTION AVEC LES DROGUES.
ET SURTOUT PROTÉGEZ VOUS !
CAPOTE, CAPOTE ET ENCORE CAPOTE !!!
Published by drd74
2 years ago
Comments
9
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cubichaton
trĂšs gourmande
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drd74
drd74 Publisher 2 years ago
to cubichaton : gourmande du cul ma salope
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cubichaton
Il l'a fait exprĂšs . il a bien senti que je prenais du plaisir avec sa sonde dans le cul et il a voulu voir jusqu'ou il pouvait aller . Il aurait fallu qu'il prenne plus gros !!
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drd74
drd74 Publisher 2 years ago
to cubichaton : c'etait un beau salop de t'avoir laisser avec ta gaule
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cubichaton
Oui !! j'avais une gaule !! il m'a juste regardé avec un petit sourire
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drd74
drd74 Publisher 2 years ago
to cubichaton : dommage pour toi, tu bandais ?
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cubichaton
J'ai  eu l'occasion dernierement de faire aussi une Ă©cho de la prostate ! mĂȘme chose, aprĂšs avoir enfilĂ© la sonde dans mon cul, j'ai compris qu'il prenait palisir Ă  me masturber la prostate !! Je me callais encore mieux pour lui faciliter la tĂąche et je commencais Ă  penser qu'il allait sortir sa bite et me sodomiser !!  mais non ! il a retirĂ© la sonde dans un floc de mouille et de gel et me dit de ma rhabiller . j'ai essayĂ© de voir si il bandait mais avec la blouse assez large ???  Je n'ai pas pu aller satisfaire mes besoins d'enculade aprĂšs !!
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victrola91
victrola91 2 years ago
J’adore 👍 ça 
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jaimelabite38500 2 years ago
Excellent 💋👗💄👠
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