Mon cul pour les New-Yorkais (01)

Le weekend dernier, avec trois de mes amis, je suis allĂ© passĂ© trois jours Ă  New-York. J’adore cette ville qui ne dort jamais. Bien entendu, Greenwich Village n’a plus de secret pour moi, ne comptant plus les fois oĂč j’y suis allĂ©.

Un ami m’avait parlĂ© d’un bar, dans le Queen, qui, selon lui, pourrait m’intĂ©resser. J’avoue que de me retrouver dans le Queen en soirĂ©e ne m’enchantait guĂšre mais la curiositĂ© l’emportant sur la sĂ©curitĂ©, je me dĂ©cidai Ă  m’y rendre. Bien sĂ»r, mes amis n’étaient pas trop chauds Ă  l’aidĂ©e mais ils acceptĂšrent de venir, ne dĂ©sirant nullement que je m’y rende seul.

Vers vingt-trois heures, nous prenons donc un taxi qui nous amĂšne au bar situĂ© dans le fond d’une petite rue sombre. Nous sortons de la voiture et tous quatre nous nous regardons, pas trĂšs rassurĂ© quant Ă  la devanture du bar. Une Ă©norme porte de mĂ©tal encadrĂ©e de bĂ©ton devant laquelle se tient un portier disons genre dur Ă  cuir. Il doit mesure plus de cent quatre-dix centimĂštres, de larges Ă©paules et musclĂ© au max. Le crĂąne rasĂ©, les bras tatouĂ©s, vĂȘtu de cuir, j’avoue que je me garde une gĂȘne en me rapprochant de lui. Je lui souris, sors un billet de vingt dollars que je lui tends, lançant un vif regard Ă  mes amis pour qu’il sen fassent de mĂȘme. Il nous ouvre la porte et nous entrons.

Un long corridor se prĂ©sente devant nous, trĂšs mal Ă©clairĂ©. Les murs sont garnis de graffitis Ă  caractĂšres sexuels. TantĂŽt un mec qui en suce un autre, tantĂŽt un mec qui se fait enculer et un autre qui se fait fister. Nous avançons, lentement, n’osant imaginer ce qui se trouve au bout du corridor. On peut facilement entendre la musique qui, soit dit en passant, est trĂšs bien. Du gros dance music pour se faire aller le popotin.

Pour l’occasion, je m’étais simplement vĂȘtu d’un jeans et d’une chemise, ne sachant pas trop rĂ©ellement Ă  quoi m’attendre alors j’y avais Ă©tĂ© pour la simplicitĂ©, mes amis de mĂȘme. J’avais bien apportĂ© dans mes bagages des vĂȘtements de cuir avec leurs accessoires mais Ă  la derniĂšre minute, je dĂ©cidai de porter un jeans.

Nous arrivons donc au bout du corridor, nous prĂ©sentant un bar que je qualifierais de correct. Au milieu, une piste de danse remplie de mecs pour la plupart le torse Ă  l’air, des accoudoirs le long des murs, un bar de chaque cĂŽtĂ©. Je regarde tout cela et me demande bien en quoi cet endroit pouvait bien ĂȘtre diffĂ©rent des autres bars. La clientĂšle est de tout Ăąge. Ça me fait quelque peu penser aux bars de MontrĂ©al, rien de vraiment extraordinaire. J’avoue que je suis un peu déçu, ayant espĂ©rĂ© y trouver quelque chose de plus original qu’à MontrĂ©al, voir de plus bizarre.

Mes amis s’empressent de rejoindre la piste de danse alors que moi, je me poste Ă  l’un des bars pour me commander une bouteille d’eau, prĂ©fĂ©rant mater les mecs qui bougent autour de moi. Je dĂ©boutonne ma chemise, espĂ©rant accrocher quelques regards mais sans plus. Je me donnerai en spectacle tout Ă  l’heure en me trĂ©moussant sur la piste.

Des mecs descendent ou montent un escalier de mĂ©tal et je me demande bien oĂč il peut mener. Sans doute aux toilettes. Je dois avouer que les mecs sont plutĂŽt allĂ©chants, Ă©tant tous des Ă©trangers pour moi. La nouveautĂ© sans doute car Ă  MontrĂ©al, Ă  part les visiteurs, je connais Ă  peu prĂšs tout le monde qui se tient dans les bars et la plupart, je les ai baisĂ©, du moins ceux qui me font de l’effet. C’est l’avantage de se retrouver ailleurs que chez soi.

Le regard pointĂ© vers l’escalier, je mate les mecs, me disant qu’il ne peut ĂȘtre question que je me retrouve Ă  New-York sans en baiser au-moins un. Et je l’aperçois, qui descend lentement. Il s’arrĂȘte avant d’atteindre le plancher, demeurant inerte sur l’une des marches. Il regarde un peu partout, sans doute Ă  la recherche de quoi se mettre quelque chose sous la dent ou dans le cul, qu’en sais-je. Il est vraiment sexy ce mec. DĂ©but quarantaine, cheveux bruns bien coiffĂ©s. Il porte une veste en cuir ouverte, laissant voir des abdominaux bien durs et son Levi's est si bien ajustĂ© qu’on peut y percevoir un renflement qui me semble des plus intĂ©ressants. Ses bottes de travail noires lui donnent une allure de mĂąle brut.

Soudain, son regard s’arrĂȘte sur moi et il porte une main Ă  sa poitrine qu’il caresse tranquillement. Je le reluque. Je ne bouge pas. Je ne fais rien qui pourrait lui faire savoir qu’il m’excite. J’ai toujours aimĂ© faire durer le plaisir lorsqu’un mec me bigle. Il reste lĂ , dans l’escalier, appuyĂ© contre le garde-corps, continuant Ă  se caresser le torse, pinçant un mamelon au passage. Il tente un lĂ©ger sourire mais sans plus. Il pose son autre main sur la bosse de son jeans pour la tripoter avec fermetĂ©. C’est maintenant le temps de lui montrer que je suis intĂ©ressĂ© et, Ă  mon tour, je porte ma main sur mon jeans pour me palper la bite qui, pas besoin de vous le dire, est dĂ©jĂ  bien dure. Il me regarde et sourit, me lançant un clin d’Ɠil. Je glisse ma main sur mon ventre pour la descendre lentement, l’enfouissant sous mon jeans de sorte Ă  placer ma queue entre mon index et mon majeur.

Pas trĂšs loin, je remarque qu’un autre mec me jauge. Il se plait Ă  me regarder me jouer dans le jeans, se massant la queue par-dessus son jeans gris. Un autre mec que je baiserais sans contredit. Plus jeune que l’autre et plus musclĂ©, il a les cheveux rasĂ©s, une barbe de quelques jours sur une mĂąchoire carrĂ©e. Le torse nu laisse voir un tatouage qui se termine sur sa main gauche. De ses deux mains, il empoigne sa queue, sans doute pour me montrer qu’elle est bien grosse et qu’il pourrait me la rentrer au complet dans le cul.

L’autre descend les derniĂšres marches de l’escalier et marche vers moi, d’un pas assurĂ©.

- You come? Me dit-il en passant prĂšs de moi, sans s’arrĂȘter, marchant vers le fond du bar.

D’un pas rapide, je rejoins mes amis sur la piste de danse pour les aviser de ne pas s’inquiĂ©ter, que je serai sans doute absent pour un petit bout de temps et reprends le pas, espĂ©rant ne pas l’avoir perdu. Ouf, il est lĂ . Il se tient lĂ , ayant ouvert la porte arriĂšre et sort lorsqu’il m’aperçoit. Je ralentis le pas, pas trop certain que je dois le suivre Ă  l’extĂ©rieur. Je ne suis pas gros dans mes culottes comme on dit au QuĂ©bec. J’en ai suivi des mecs dans ma vie en sachant que je les baiserais mais lĂ , dans le Queen, Ă  New-York, dans ce quartier malfamĂ©? Je ne suis plus certain si je dois prendre cette chance. Mais dieu que ce mec est bandant et je sais bien que je ne le reverrai jamais. Prenant mon courage Ă  deux mains, je tire sur la porte et sors Ă  mon tour, me retrouvant dans une ruelle qui, elle aussi, n’est pas trĂšs Ă©clairĂ©e. Je regarde Ă  gauche mais ne le vois pas. A droite, il est lĂ , Ă  environ vingt mĂštres. Il s’était arrĂȘtĂ©, sans doute pour s’assurer que je ne rebrousserais pas chemin. Il reprend le pas de marche, s’éloignant tranquillement et moi j’en fais de mĂȘme. Je suis bien dĂ©cidĂ© Ă  me faire baiser par ce mec. Il se retourne Ă  quelques reprises avant de bifurquer vers la droite. Je le suis toujours, empruntant aussi un petit chemin. Je le vois ouvrir une porte de ce qu’on dirait un petit entrepĂŽt et s’y introduit, prenant soin de ne pas la refermer. Je jette un Ɠil derriĂšre moi pour m’assurer que je ne suis pas suivi et entre Ă  mon tour.

La piĂšce est de bĂ©ton. Sans doute effectivement un petit entrepĂŽt, du moins l’a-t-il dĂ©jĂ  Ă©tĂ©. Il y a quelques boĂźtes qui trainent ici et lĂ , une vieille table en bois, quelques tonneaux rouillĂ©s. Deux petites piĂšces grillagĂ©es sont adjacentes, ce genre de grillage que l’on retrouve sur les terrains de baseball.

Il est lĂ , au fond de la piĂšce, le dos appuyĂ© contre une porte, les jambes bien Ă©cartĂ©es, se caressant les entrecuisses en jouant des hanches langoureusement. Il me regarde sĂ©rieusement, baisse les yeux sur mon renflement que je caresse du bout des doigts. Il enfouit sa main dans son jeans pour en sortir son gland, juste son gland et porte ses doigts Ă  sa bouche, sort la langue pour les humecter bien Ă  souhait avant de retrouver son gland qu’il manie sensuellement. Son dĂ©hanchement est tout Ă  fait sexy et son regard, tout Ă  fait salace. Ce mec est un vicieux, tout comme moi. Il dĂ©gage le sexe Ă  son maximum et ne doute nullement de son pouvoir de sĂ©duction.

Les doigts toujours sur son gland, il les Ă©loigne quelque peu, juste assez pour que je puisse voir son prĂ©cum qu’il allonge, me fixant en se lĂ©chant les lĂšvres. Je sais que je devrais m’approcher mais je me plais trop Ă  regarder ce spectacle. Je reste donc lĂ , me tripotant la queue par-dessus mon jeans. Je la tĂąte, la prenant bien entre mes doigts pour lui montrer qu’elle est bien dure et d’une grosseur qui lui plaira sĂ»rement. Il se mord les lĂšvres et ouvre son jeans, y laissant jaillir une belle grosse bite, juste un peu cambrĂ©e. Il se branle tranquillement comme pour me signaler qu’elle est lĂ , juste pour moi.

A mon tour, je dĂ©boutonne mon jeans et je prends ma bite en main, l’agitant de tous les cĂŽtĂ©s avant de me branler. Nous sommes lĂ , tous les deux, Ă  regarder l’autre se crosser. Il descend son jeans Ă  mi-cuisse et se caresse les couilles. Je me rapproche, incapable de rĂ©sister. Je me penche vers l’avant, ouvrant toute grande la bouche pour le sucer pendant qu’il empoigne ma queue, la maniant avec force. Sa main est chaude sur ma queue et la sienne est divinement bonne. Je tente de la prendre au complet mais je m’étouffe, ce qui le fait rire.

- It's too big for you? Dit-il en riant toujours, ne sachant vraiment pas Ă  qui il parle.

Je me relĂšve, enlĂšve ma chemise, baise mon jeans aux chevilles et m’agenouille, sachant que dans cette position, ça ne serait pas trop gros pour moi. Je la prends mais cette fois-ci, je l’enfonce bien profondĂ©ment, jusqu’à la gorge, sans m’étouffer. Je l’entends dĂ©jĂ  rĂąler. Ça l’excite de constater que je peux l’engouffrer jusqu’à la base. Il pose une main derriĂšre ma tĂȘte pour le tenir bien en place et se met Ă  se dĂ©hancher d’avant en arriĂšre pour s’assurer que je ne lĂącherai pas le morceau. C’est mal me connaĂźtre car un boudin de la sorte, on le mange avec gourmandise.

- Stop, you're gonna make me cum, soupire-t-il en me poussant lĂ©gĂšrement la tĂȘte.

Il se retourne et me prĂ©sente son cul musclĂ©. Je ne me fais pas prier pour le lui manger, le lĂ©chant Ă  grands coups de langue. De mes mains, je lui Ă©carte bien les fesses pour regarder sa rosette, l’étirant au max pour y pousser le bout de ma langue. Je vois bien que ce type aime se faire jouer dans le cul et j’y enfonce alors mon index. Ses rĂąlements m’indiquent qu’il peut facilement prendre plus qu’un doigt et j’y introduis aussi mon majeur, accĂ©lĂ©rant la cadence de mes mouvements Ă  son grand plaisir. Ses gĂ©missements m’incitent Ă  lui en donner toujours plus, alternant entre doigtage et lĂ©chage, faufilant ma langue dans son trou pour m’empiffrer des sĂ©crĂ©tions visqueuses.

Soudain, il se retourne et m’oblige Ă  me lever, me faisant signe de monter sur la table tandis qu’il s’agenouille. Je comprends parfaitement qu’il veut me sucer et Ă  mon tour, je m’agenouille pour lui prĂ©senter ma bite qu’il s’empresse de dĂ©vorer avec tant d’intensitĂ© qu’on croirait qu’il n’a pas sucĂ© de queues depuis des lustres. Je me dandine, la lui poussant au fond la gorge de grands coups qu’il absorbe sans chigner. Et tout Ă  coup, je le vois.

Le mec du bar aux cheveux rasĂ©s qui me jaugeait se tient lĂ , Ă  l’entrĂ©e. Il nous observe, la main sur son renflement qu’il tĂąte avec force. Je le fixe, apprĂ©ciant grandement cette vue excitante. Il se caresse les abdos d’une main tout en poursuivant de se palper le paquet. Il dĂ©tache le bouton de son jeans gris avant d’y glisser sa main. Je peux facilement voir qu’il se branle. Il balance des hanches, se pourlĂ©chant les lĂšvres pour indiquer que son excitation est intense. Il dĂ©zippe son jeans et glisse ce dernier le long de ses cuisses, laissant voir un jockstrap de cuir noir. Illico, il libĂšre sa queue et quelle queue. Il y avait un bout que je n’avais vu une aussi belle bite, juste parfaite pour mon cul en chaleur. Longue et large, trĂšs large. Un brise cul comme on dit au QuĂ©bec. Me fixant, il se branle le bambou, sachant sĂ»rement que ma seule envie est qu’il nous rejoigne mais il reste lĂ . Il me donne l’impression de s’amuser avec moi, se disant sĂ»rement que sa queue serait la bienvenue entre mes miches. Je suis si hypnotisĂ© par son attirail que j’en oublie presque le mec qui me suce. Tout ce que je veux, c’est cette Ă©norme queue.

Lentement, il se retourne pour me prĂ©senter son cul et Ă©carte les jambes. Il se balance lascivement, une main se promenant sur ses fesses, s’arrĂȘtant sur sa rosette qu’il tripote, y enfonçant lĂ©gĂšrement ses doigts. Il se tourne le visage vers moi pour me regarder et je lui fais signe de se rapprocher de nous. Il se dĂ©barrasse de son jeans et de son jockstrap avant de marcher vers nous, tenant sa grosse queue bien en main, Il monte sur la table, debout, plaçant sa bite au niveau de ma bouche qui s’entrouvre sur le champ. La bouche pleine, je lui pompe le dard avec grand plaisir tandis que l’autre mec lĂąche ma bite pour se relever, marchant quelques pas vers un vieux tonneau. Les mains sur le tonneau, il se penche juste assez pour nous prĂ©senter son cul, prĂȘt Ă  se faire dĂ©foncer mais pas question que je passe mon tour. Cette grosse queue, elle est pour moi et il devra attendre.

Je cesse de la sucer et m’empresse de prendre la position du chien, le cul bien Ă©levĂ©, juste assez pour que le mec comprenne bien que je revendique la prioritĂ©. Je veux sentir sa gigantesque bite dans le plus profond de mon cul.

Il descend de la table, se place derriĂšre moi et opĂšre une lĂ©gĂšre pression sur mes reins, juste assez pour placer sa queue sur ma capsule. Je sens son gros gland exercer une pression. Allez, pousse, ne te gĂȘne pas, je suis en mesure de la prendre au complet. Lentement, trĂšs lentement, il l’introduit, juste un peu. De par sa grosseur de queue, sans doute a-t-il l’habitude que les mecs l’implore d’y aller avec parcimonie mais moi, je n’en ai rien Ă  faire de sa bienveillance. Je dĂ©cide alors de prendre le contrĂŽle et d’un vif mouvement de bassin vers l’arriĂšre, je fais en sorte qu’elle s’enfonce au complet. Wow
 je la sens passer, croyez-moi. L’important est qu’elle est entiĂšrement en moi. Je continue mes mouvements de bassin, les accĂ©lĂ©rant pour lui faire comprendre qu’il peut et surtout qu’il doit me labourer avec ardeur. Au lieu de cela, il se retire.

Je me retourne pour le regarder. Il rejoint l’autre mec et la queue bien en main, force le passage sans prendre de prĂ©caution. J’entends le mec crier non pas de douleur mais de plaisir. J’avoue que je suis assez offusquĂ©. A quoi joue-t-il? Je me dis que peut-ĂȘtre prĂ©fĂšre-t-il l’autre. Je descends de la table et commence Ă  me rhabiller, me disant que je trouverais bien quelqu’un d’autre au bar.

- What are you doing? You go away? Me demande le mec à grosse queue tout en continuant de labourer l’autre mec. Come on, approach. I can easily fuck two guys at the same time.

Je le regarde, ne sachant si je dois quitter ou rester. Comme j’ai l’impression de faire rire de moi, je boutonne donc mon jeans, dĂ©cidĂ© Ă  retourner au bar. Et c’est alors que tous deux s’approchent.

- If you want to get screwed, no problem, my handsome, me dit l’autre mec en m’incitant Ă  me pencher vers l’avant pendant que l’autre baisse mon jeans. Two tails, that's okay? Me demande-t-il en m’enfonçant la sienne d’un seul grand coup, accĂ©lĂ©rant immĂ©diatement les mouvements de va-et-vient pour me faire sentir sa bite bien Ă  fond.

- Robert, I think he'll prefer it this way, avise la grosse queue en se couchant sur la table, sa bite bien droite pour me faire comprendre de la monter.

Il a bien dit Robert. Ils se connaissent donc. Je comprends qu’ils fonctionnent en duo. Le fameux Robert qui appñte et l’autre qui rejoint.

Je monte donc sur la table, en position pour bien placer ma pastille sur le gland et je m’y enfonce, jusqu’à la base. Je me penche, le visage tout prĂšs de celui du mec, sachant bien que Robert s’apprĂȘte Ă  y entrer aussi sa queue. Je n’ai pas Ă  attendre bien longtemps pour ressentir un Ă©tirement de ma rosette. Robert pousse lentement, se reprenant Ă  trois reprises avant de l’insĂ©rer au complet.

- My name is Ron, me chuchote le mec, les mains sur mes joues. Kiss Me.

Pendant que Robert se fait aller Ă  plein rĂ©gime, j’embrasse donc Ron, incapable de retenir des gĂ©missements tant mon cul en prend pour son rhume. Je peux sentir chaque mouvement de Robert tant la grosse queue de Ron prend quasi toute la place. Par chance, lui ne bouge pas, se contentant de glisser sa langue sur la mienne. Et j’entends le cri de Robert pendant qu’il jouit, me balançant tout son foutre dans le cul en augmentant la pression de ses coups avant qu’il se retire. AussitĂŽt, Ron prend la relĂšve, y allant de mouvements qu’il amplifie grandement, son canon chargĂ© Ă  bloc, me bĂȘchant le cul bestialement comme si sa rĂ©putation en dĂ©pendait. Je ne sais trop si ce mec a bonne rĂ©putation Ă  New-York mais je peux vous dire qu’à MontrĂ©al, il serait dans les tops baiseurs, je vous en passe un papier. Bien des mecs que je connais apprĂ©cieraient se faire piocher par sa grosse queue qu’il utilise avec brio. En tout cas, moi, je profite de ce moment d’extase.

- I will cum, crie Ron, I will cum. I will cum. I will cum, rĂ©pĂšte-t-il avant de lancer son cri de mĂąle alpha en pleine jouissance, se contractant Ă  chaque fois qu’il dĂ©charge sa crĂšme. Chaque son est une musique Ă  mes oreilles.

Il se calme, ralentissant les mouvements mais demeurant en moi qui en prendrais encore et encore. Je l’embrasse tendrement.

- I want you to cum in my mouth.

Bien entendu que je vais lui venir dans la bouche. Je me place de sorte Ă  avoir ma queue prĂšs de son visage et me met Ă  me branler, branler et branler avec force jusqu’à ce que je sente monter la pression. La bouche dĂ©jĂ  ouverte, Ron attend que je lui crache mon yaourt et c’est avec dĂ©lectation qu’il avale tout, du moins ce qui a giclĂ© dans sa bouche. Le contour de ses lĂšvres ainsi que sa joue gauche sont pleines de sauce blanchĂątre. Je lĂšche le tout, la gardant dans ma bouche pour la laisser couler dans la sienne avant de l’embrasser Ă  nouveau.

Du regard, je cherche Robert qui n’est plus là.

- Where's Robert?

- He always leaves after being cum, me répond-il en se levant.

Il s’habille, sans dire un autre mot. Il quitte, me laissant seul dans ce semblant d’entrepît. J’aurais cru qu’on aurait pu jaser un peu mais non, rien de plus. Il me reste juste à retourner au bar pour y rejoindre mes amis.

À SUIVRE
Published by etienneguy48
2 years ago
Comments
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Nouveau1964
Nouveau1964 2 years ago
J'ai hùte de voir la suite 
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etienneguy48 Publisher 2 years ago
to jacbisex59 : Merci beaucoup
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jacbisex59
jacbisex59 2 years ago
TrĂšs excitant, vivement la suite!
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