LUNE
PLEINE LUNE.
Je ne sais pas si la lune a une réelle influence sur le sexe, en tout cas, moi je ressens de drÎles de choses au moment de la pleine lune.
La semaine derniĂšre, j'avais pleins d'idĂ©es cochonnes dans la tĂȘte, je ressentais en moi un besoin impĂ©tueux de sucer de la bite et de me faire sodomiser.
Ni tenant plus, vendredi en sortant d'un rendez-vous chez mon dentiste, je décidai de me rendre dans un lieu de drague pas trÚs loin.
Je mâarrĂȘtai en chemin dans les toilettes d'un centre commerciale pour me prĂ©parer l'anus que jâenduisis abondamment de vaseline de façon Ă ĂȘtre opĂ©rationnel dĂšs mon arrivĂ© sur place.
Je suis allé me garer au bout de cette route sans issue, plusieurs véhicules vides étaient déjà sur place.
Je descendais de ma voiture et empruntait le chemin qui pénÚtre dans ce bois.
J'ai croisé un type qui revenait mais il ne m'inspirait pas, je vis au loin un type qui marchait, à un moment il me sembla qu'il pénétra dans les fourrés.
ArrivĂ© Ă l'endroit oĂč je pensais qu'il Ă©tait rentrĂ©, j'en fis autant.
Mais malgré un long parcours dans les chemins qui parcourent cette broussaille je ne rencontrais pas ùme qui vive.
Je repris donc le chemin principal pour retourner vers ma voiture et lĂ jâaperçus une ombre furtive qui rentra de nouveau dans les fourrĂ©s :
- « cette fois tu ne m'échappera pas » me dis-je.
J'entrai moi aussi dans les fourrés à sa suite.
Au bout de quelques mĂštres, je vis un homme jeune un peu plus loin dans le chemin.
J'arrive Ă sa hauteur, il a l'air timide, je lui demande :
- « tu cherches quelque chose ? »
Il me répond :
- « Heu non !! »
- « Tu veux que je te suce ? »
- « Heu oui pourquoi pas »
Nous pénétrons un peu plus profondément dans les bosquets.
LĂ , je m'approche de lui et commence Ă dĂ©faire son pantalon et je fais de mĂȘme.
Nous nous retrouvons tout deux le sexe Ă l'air.
Le diable, il est bien monté, nous allons dire moyenne haute et vue sa jeunesse, sa bite est bien raide.
Je la prend en main, le branle un peu et me jette goulûment dessus avec ma bouche.
Mais moi, la seule chose qui mâobsĂšde c'est de me faire enculer.
Je me relĂšve et lui fait part de mon envie.
Je le sens hésitant.
Il me dit que lui aussi est plutĂŽt passif.
J'ai absolument envie de cette bite dans mon cul.
Jâinsiste un peu, et il me dit :
- « ben oui mais je n'ai pas de préservatif »
Je lui dis de ne pas s'inquiĂ©ter, que jâavais ce quâil fallait.
Je baisse bien mon pantalon et mon slip sur mes chevilles, me tourne vers lui.
Je me plie en deux pour lui présenter mon cul bien cambré.
Il enfile la capote.
Je sens aussitĂŽt son gland appuyer sur ma rondelle.
Je ne suis encore pas trop détendu et vu la grosseur de son sexe il force pour le faire entrer. Je ressens une importante douleur mais j'en ai tellement envie que je supporte malgré tout.
La barriÚre finie par céder et je sens son sexe pénétrer au plus profond de moi.
Quelle sensation, je prends vraiment beaucoup de plaisir.
Je l'encourage de la voix et lui demande de se vider dans mon cul, ce qu'il fait aprÚs m'avoir limé de nombreuses minutes, mais pas assez à mon gré.
Il sort de mon cul, retire la capote et sort une lingette pour se nettoyer la biteâŠ
Se reculotte et s'en va.
Je le remercie du plaisir qu'il m'a donné.
Ce n'est pas le tout, mais j'ai encore le cul Ă l'air et mon anus a encore faim.
à ce moment-là , J'aurai aimé qu'un ou plusieurs types se pointent et me sautent dessus mais non, rien.
Je remonte mon pantalon, me rhabille et reprend la direction de mon véhicule.
La nuit est maintenant tombé.
Jâaperçois au loin, un type venant dans ma directionâŠ
ArrivĂ© Ă sa hauteur, je le salut et lui demande sâil recherche quelque chose.
Il me répond que non rien de particulier.
Je n'y vais pas par quatre chemins et lui dis :
- « j'ai envie de me faire prendre, ça t'intéresse »
Il me répond :
- « oui pourquoi pas »
Nous prenons immédiatement un petit chemin qui s'enfonce dans la végétation.
Nous n'allons pas trop loin car j'ai hĂąte de me faire de nouveau enculer.
Le type dĂ©fait immĂ©diatement son pantalon et me dĂ©balle un matos d'enfer du genre 20 par 5 ou 6âŠ
Le genre de truc qui vous file des complexes.
Je n'en crois pas mes yeux.
Je n'ai encore jamais vu un si gros sexe de si prĂȘt.
Mais lĂ , je commence quand mĂȘme Ă m'inquiĂ©ter pour mon anusâŠ
Ce n'est pas possible ça ne rentrera jamais.
Je ne vais tout de mĂȘme pas me dĂ©gonfler, quand le vin est tirĂ© il faut le boire.
J'ai moi aussi baissĂ© mon pantalon et mon slip sur les chevillesâŠ
Je suis aussi exhib, j'adore avoir tout le matériel à l'air.
Je me baisse pour prendre cette magnifique queue en bouche.
Câest impressionnant de sucer une si grosse bite.
Je sens que le mec monte rapidement, jâarrĂȘte de le sucer et me retourne pour lui prĂ©senter mon cul.
Je me courbe en avant et m'appuie l'Ă©paule contre un arbre, tel un rugbyman dans la mĂȘlĂ©.
Je sens maintenant le type derriĂšre moi et m'attend au pire en pensant Ă cet Ă©norme sexeâŠ
Non, ce n'est pas possible que ça rentre dans mon petit trou.
Il présente son sexe à l'entrée de mon anus et commence à forcer pour me pénétrer. Curieusement, sans doute à cause de ma précédente sodomie son sexe rentre assez facilement en moi.
Quel bonheur de se sentir dilater Ă ce point.
Mon partenaire commence ses vas et viens et fini par rentrer son sexe entiĂšrement tout au fond de moi.
Quel pied !!!
Je l'encourage de la voix comme une salope :
- « oh oui vas-y, plus fort, encore, vide toi dans mon cul, vas-y soulage toi »
Au bout d'une dizaine de minute de cet exercice, mon partenaire ma agrippé par les hanches et c'est mis à me pilonner énergiquement.
JâĂ©tais aux anges, puis il s'est plantĂ© tout au fond de mon cul ou il a dĂ©chargĂ©.
C'est avec regret que je l'ai senti se retirer.
Je me suis retourné pour admirer cette magnifique bite qui venait de me procurer tant de bonheur.
Il s'est rhabillĂ© aprĂšs s'ĂȘtre essuyĂ© la queue.
Je me suis mis Ă me branler pour me soulager.
Le type m'a aidé en passant sa main par derriÚre entre mes cuisses pour me malaxer les couilles.
Puis il est parti lui aussi.
Jâaurai bien aimĂ© que d'autre hommes se pointent.
Ce soir-là j'aurai bouffé des kilomÚtres de bite.
Cette fois je me rhabille pour de bon et retourne Ă ma voiture.
Il n'y a plus personne à part un travesti qui me fait signe mais cela ne m'intéresse pas.
Que c'est bon de se faire enculer, que c'est bon.
J'en veux encore et encoreâŠ
Je ne sais pas si la lune a une réelle influence sur le sexe, en tout cas, moi je ressens de drÎles de choses au moment de la pleine lune.
La semaine derniĂšre, j'avais pleins d'idĂ©es cochonnes dans la tĂȘte, je ressentais en moi un besoin impĂ©tueux de sucer de la bite et de me faire sodomiser.
Ni tenant plus, vendredi en sortant d'un rendez-vous chez mon dentiste, je décidai de me rendre dans un lieu de drague pas trÚs loin.
Je mâarrĂȘtai en chemin dans les toilettes d'un centre commerciale pour me prĂ©parer l'anus que jâenduisis abondamment de vaseline de façon Ă ĂȘtre opĂ©rationnel dĂšs mon arrivĂ© sur place.
Je suis allé me garer au bout de cette route sans issue, plusieurs véhicules vides étaient déjà sur place.
Je descendais de ma voiture et empruntait le chemin qui pénÚtre dans ce bois.
J'ai croisé un type qui revenait mais il ne m'inspirait pas, je vis au loin un type qui marchait, à un moment il me sembla qu'il pénétra dans les fourrés.
ArrivĂ© Ă l'endroit oĂč je pensais qu'il Ă©tait rentrĂ©, j'en fis autant.
Mais malgré un long parcours dans les chemins qui parcourent cette broussaille je ne rencontrais pas ùme qui vive.
Je repris donc le chemin principal pour retourner vers ma voiture et lĂ jâaperçus une ombre furtive qui rentra de nouveau dans les fourrĂ©s :
- « cette fois tu ne m'échappera pas » me dis-je.
J'entrai moi aussi dans les fourrés à sa suite.
Au bout de quelques mĂštres, je vis un homme jeune un peu plus loin dans le chemin.
J'arrive Ă sa hauteur, il a l'air timide, je lui demande :
- « tu cherches quelque chose ? »
Il me répond :
- « Heu non !! »
- « Tu veux que je te suce ? »
- « Heu oui pourquoi pas »
Nous pénétrons un peu plus profondément dans les bosquets.
LĂ , je m'approche de lui et commence Ă dĂ©faire son pantalon et je fais de mĂȘme.
Nous nous retrouvons tout deux le sexe Ă l'air.
Le diable, il est bien monté, nous allons dire moyenne haute et vue sa jeunesse, sa bite est bien raide.
Je la prend en main, le branle un peu et me jette goulûment dessus avec ma bouche.
Mais moi, la seule chose qui mâobsĂšde c'est de me faire enculer.
Je me relĂšve et lui fait part de mon envie.
Je le sens hésitant.
Il me dit que lui aussi est plutĂŽt passif.
J'ai absolument envie de cette bite dans mon cul.
Jâinsiste un peu, et il me dit :
- « ben oui mais je n'ai pas de préservatif »
Je lui dis de ne pas s'inquiĂ©ter, que jâavais ce quâil fallait.
Je baisse bien mon pantalon et mon slip sur mes chevilles, me tourne vers lui.
Je me plie en deux pour lui présenter mon cul bien cambré.
Il enfile la capote.
Je sens aussitĂŽt son gland appuyer sur ma rondelle.
Je ne suis encore pas trop détendu et vu la grosseur de son sexe il force pour le faire entrer. Je ressens une importante douleur mais j'en ai tellement envie que je supporte malgré tout.
La barriÚre finie par céder et je sens son sexe pénétrer au plus profond de moi.
Quelle sensation, je prends vraiment beaucoup de plaisir.
Je l'encourage de la voix et lui demande de se vider dans mon cul, ce qu'il fait aprÚs m'avoir limé de nombreuses minutes, mais pas assez à mon gré.
Il sort de mon cul, retire la capote et sort une lingette pour se nettoyer la biteâŠ
Se reculotte et s'en va.
Je le remercie du plaisir qu'il m'a donné.
Ce n'est pas le tout, mais j'ai encore le cul Ă l'air et mon anus a encore faim.
à ce moment-là , J'aurai aimé qu'un ou plusieurs types se pointent et me sautent dessus mais non, rien.
Je remonte mon pantalon, me rhabille et reprend la direction de mon véhicule.
La nuit est maintenant tombé.
Jâaperçois au loin, un type venant dans ma directionâŠ
ArrivĂ© Ă sa hauteur, je le salut et lui demande sâil recherche quelque chose.
Il me répond que non rien de particulier.
Je n'y vais pas par quatre chemins et lui dis :
- « j'ai envie de me faire prendre, ça t'intéresse »

Il me répond :
- « oui pourquoi pas »
Nous prenons immédiatement un petit chemin qui s'enfonce dans la végétation.
Nous n'allons pas trop loin car j'ai hĂąte de me faire de nouveau enculer.
Le type dĂ©fait immĂ©diatement son pantalon et me dĂ©balle un matos d'enfer du genre 20 par 5 ou 6âŠ
Le genre de truc qui vous file des complexes.
Je n'en crois pas mes yeux.
Je n'ai encore jamais vu un si gros sexe de si prĂȘt.
Mais lĂ , je commence quand mĂȘme Ă m'inquiĂ©ter pour mon anusâŠ
Ce n'est pas possible ça ne rentrera jamais.
Je ne vais tout de mĂȘme pas me dĂ©gonfler, quand le vin est tirĂ© il faut le boire.
J'ai moi aussi baissĂ© mon pantalon et mon slip sur les chevillesâŠ
Je suis aussi exhib, j'adore avoir tout le matériel à l'air.
Je me baisse pour prendre cette magnifique queue en bouche.
Câest impressionnant de sucer une si grosse bite.
Je sens que le mec monte rapidement, jâarrĂȘte de le sucer et me retourne pour lui prĂ©senter mon cul.
Je me courbe en avant et m'appuie l'Ă©paule contre un arbre, tel un rugbyman dans la mĂȘlĂ©.
Je sens maintenant le type derriĂšre moi et m'attend au pire en pensant Ă cet Ă©norme sexeâŠ
Non, ce n'est pas possible que ça rentre dans mon petit trou.
Il présente son sexe à l'entrée de mon anus et commence à forcer pour me pénétrer. Curieusement, sans doute à cause de ma précédente sodomie son sexe rentre assez facilement en moi.
Quel bonheur de se sentir dilater Ă ce point.
Mon partenaire commence ses vas et viens et fini par rentrer son sexe entiĂšrement tout au fond de moi.
Quel pied !!!
Je l'encourage de la voix comme une salope :
- « oh oui vas-y, plus fort, encore, vide toi dans mon cul, vas-y soulage toi »
Au bout d'une dizaine de minute de cet exercice, mon partenaire ma agrippé par les hanches et c'est mis à me pilonner énergiquement.
JâĂ©tais aux anges, puis il s'est plantĂ© tout au fond de mon cul ou il a dĂ©chargĂ©.
C'est avec regret que je l'ai senti se retirer.
Je me suis retourné pour admirer cette magnifique bite qui venait de me procurer tant de bonheur.
Il s'est rhabillĂ© aprĂšs s'ĂȘtre essuyĂ© la queue.
Je me suis mis Ă me branler pour me soulager.
Le type m'a aidé en passant sa main par derriÚre entre mes cuisses pour me malaxer les couilles.
Puis il est parti lui aussi.
Jâaurai bien aimĂ© que d'autre hommes se pointent.
Ce soir-là j'aurai bouffé des kilomÚtres de bite.
Cette fois je me rhabille pour de bon et retourne Ă ma voiture.
Il n'y a plus personne à part un travesti qui me fait signe mais cela ne m'intéresse pas.
Que c'est bon de se faire enculer, que c'est bon.
J'en veux encore et encoreâŠ
2 years ago