BELLE-MAMAN

MA BELLE MÈRE.

Ma femme ressemblait physiquement beaucoup à sa mÚre, les années en moins.
Elles avaient les mĂȘmes traits de visage et en regardant ma belle-mĂšre, qui avait 65 ans Ă  l’époque, je pouvais m’imaginer mon Ă©pouse dans une trentaine d’annĂ©es.
C’était un dimanche aprĂšs-midi, ma femme Ă©tait de service Ă  l’hĂŽpital.
La sonnette retentit Ă  la porte de notre appartement, je jetais un coup d’Ɠil par le judas et je vis ma belle-mĂšre qui Ă©tait devant la porte.
C’était une belle femme issue d’un milieu modeste, mais d’une autre Ă©poque, celle de ma mĂšre aussi ou les trĂšs jeunes femmes s’habillaient en sombre.
Elle Ă©tait vĂȘtue, ce jour-lĂ , d’un robe bleu marine Ă  pois blancs avec une ceinture du mĂȘme tissu Ă  la taille et le bas Ă©vasĂ© avec des plis.
Je lui ouvre.
- « Bonjour ma belle-maman, entrez-donc ! »
Ce qu’elle fit.
- « Ma fille n’est pas lĂ  ? »
- « Ah non aujourd’hui elle bosse, elle est d’aprĂšs-midi. »
- « J’étais venu vous apporter des lĂ©gumes de mon jardin »
- « C’est gentil ça, merci ! Poser les donc sur la table. Vous allez bien prendre un cafĂ© ? »
- « Oh oui, pourquoi pas ! »
Je mis la cafetiùre en route et m’assis à table avec elle en attendant.
Elle attaqua la conversation en me demandant :
- « Alors ça se passe toujours bien avec ma fille ? Toujours amoureux ? »
- « Oh oui plus que jamais ! »
Et je ne sais pourquoi je m’entendis lui dire
- « Et vous, pas trop dur la solitude ? Ça ne vous manque pas un homme ? »
Elle Ă©tait veuve depuis une dizaine d’annĂ©es.
- « Tu sais, moi les hommes j’ai assez donnĂ© avec le miens, il m’en a tellement fait voir ! »
- « Oui mais depuis le temps qu’il est mort vous n’avez pas envie qu’un homme vous caresse, qu’il s’occupe de vous ? »
Et joignant le geste à la parole, je posais mes mains sur sa poitrine que je commençais à caresser à travers ses habits.
- « Mais ! Mais ! Que fais-tu ? »
Sans lui laisser le temps de réagir je commençais à déboutonner sa robe.
- « EspĂšce de grand fou, j’ai l’ñge d’ĂȘtre ta mĂšre ! »
Je n’en continuais pas moins Ă  dĂ©boutonner sa robe et Ă  plonger ma main vers ses seins emprisonnĂ©s dans un soutien-gorge.
Elle essaya mollement de me l’enlever en me disant :
- « Voyons ! Ne fait pas ça ! »
Mais je la sentis sans conviction, prĂȘte Ă  s’abandonner.
J’avais maintenant dĂ©fais sa robe jusqu’en bas pour laisser apparaĂźtre un soutien-gorge couleur chair, pas trĂšs sexy, comme les femmes d’un certain Ăąge en porte.
Celui-ci était plein à craquer, ses seins débordant par-dessus.
Je tirais les bonnets pour en libérer ses lourdes mamelles qui tombÚrent sur son ventre.
Je mis aussitĂŽt Ă  les caresser et les palper.
La pauvre femme qui se demandait ce qu’il lui arrivait respirait de plus en plus fort. J’approchais ma bouche de ses tĂ©tons et me mis Ă  lui tĂ©ter.
Elle qui avait Ă©levĂ© sept enfants elle devait ĂȘtre habituĂ©.
- « ArrĂȘte grand fou, ce n’est pas bien, pense Ă  ta femme, Ă  ma fille. »
Me disait ‘elle.
Mais je n’en n’avais nullement l’intention.
Je l’a fit se lever et l’entraünais dans notre chambre.
J’en profitais pour lui enlever complĂštement sa robe et dĂ©grafais son soutiens gorge.
Je ne sentais plus aucune réticence de sa part
Arrivé dans la chambre, je passais à sa grande culotte de couleur chair elle aussi.
En la baissant je vis apparaĂźtre une monstrueuse toison de poils pubien de couleur rousse comme celle de sa fille.
Moi qui n’aime pas les poils, j’étais servis.
J’avoue que je ne trouvai pas ça trùs glamour.
Je la fis s’allonger sur le lit et me dĂ©shabillai rapidement.
Je grimpais sur le lit, lui Ă©cartais les cuisses et vint me placer Ă  genoux entre ses jambes.
J’entrepris à nouveau de malaxer ses mamelles

Puis mes mains descendirent vers son sexe.
Je lui fis une rĂ©flexion sur son tablier de sapeur, lui disant qu’il faudrait peut-ĂȘtre faire le mĂ©nage sinon je n’allais pas trouver l’entrĂ©e.
Elle tremblotait, on aurait dit qu’elle avait peur.
Elle me fit l’impression d’une petite fille qui allait se faire dĂ©florer.
J’en fus Ă©mu et failli renoncer mais au point oĂč nous en Ă©tions rendus, je me voyais mal lui dire :
- « Allez c’est bon ! Rhabillez-vous et rentrez chez vous ! »
Elle m’avoua aprĂšs, que c’était l’émotion de ne pas avoir fait l’amour depuis si longtemps. AprĂšs la mort de son mari elle avait Ă©levĂ© seul toute sa marmaille et n’avais pas pris le temps de s’occuper d’elle.
Je me penchai sur son vagin et Ă©cartais du mieux que je le pouvais tous ces poils laissant apparaĂźtre sa fente vulvaire.
J’écartais ses lĂšvres pour dĂ©couvrir son clito.
Comme celui de sa fille il était assez développé.
Je m’empressai de poser ma langue dessus et de le titiller.
Elle qui jusqu’à prĂ©sent c’était montĂ© passive commença Ă  rĂ©agir.
Je la sentis frémir et entendis émettre de petits gémissements.
Je lui lĂ©chais maintenant le minou Ă  pleine bouche, fourrant ma langue dans son vagin, le plus loin possible, comme j’aimais le faire Ă  sa fille.





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Ses gémissements étant de plus en plus prononcés

Je changeais de position afin de la pénétrer.
Je plaçais ma bite Ă  l’entrĂ©e de sa vulve et la pĂ©nĂ©tra d’un seul coup.
Je me mis à aller et venir de plus en plus rapidement dans son vieux vagin

Elle se mit alors Ă  hurler.
Je venais de lui dĂ©clencher un orgasme comme elle n’en avait plus connu depuis trop longtemps.
Du coup, je jouis rapidement moi aussi et vidais mes couilles tout au fond de la vieille chatte.
Nous reprĂźmes tranquillement nos esprits.
- « EspÚce de salop ! Moi qui avais oublié ça ! »
Me dit ‘elle.
Elle renfila rapidement sa robe, sans remettre sa lingerie, et se dirigea vers la porte.
- « Attendez, on va prendre le cafĂ©, il est prĂȘt ! »
Lui proposais-je
- « Excuse-moi, mais je n’en ai plus envie, laisse-moi maintenant s’il te plaĂźt »
- « Vous ĂȘtes fĂąchĂ© ? »
La questionnais-je.
- « Non, non, mais tu ne perds rien pour attendre ! »
Et au moment de franchir la porte, elle renfila quand mĂȘme sa culotte.
- « On ira vous rapporter votre panier, au revoir ! »
- « C’est ça, au revoir ! »
Et elle disparut.
Je pensais à ce que je venais de vivre

J’avais honte de ce que je venais de faire.
Mais n’y avions-nous pas trouver du plaisir tous les deux ?
Je pensais à sa culotte qu’elle avait remis sans s’essuyer.
Je me suis dit qu’en arrivant Ă  son domicile, elle avait dĂ» la quitter et renifler et peut-ĂȘtre mĂȘme lĂ©cher mon sperme qui s’était Ă©coulĂ© de son vagin.
N’avait-elle pas gardĂ© prĂ©cieusement cette culotte sous son oreiller et la sortait pour la sentir en pensant Ă  son gendre.
Les jours et les semaines suivante nous continuĂąmes de lui rendre visite avec ma femme.
Ma belle-mĂšre faisait comme si rien ne s’était passĂ© entre nous.
Elle se comportait exactement comme avant vis Ă  vis de moi.
Les mois passĂšrent ainsi sans que plus aucun incident du genre ne se produise.
Jusqu’au jour oĂč elle me demanda de venir lui faire une bricole comme cela arrivait rĂ©guliĂšrement.
Elle voulait que je répare la serrure de sa porte de chambre.
Nous convenions que je viendrai le samedi suivant dans l’aprùs-midi car je travaillais le matin.
Le jour convenu, je vais donc effectuer la réparation.
Bizarrement dans cette maison qui habituellement voit tous ses enfants et petits-enfants dĂ©filĂ©, il n’y avait personne ce jour-lĂ .
Je commence Ă  dĂ©monter la serrure et m’aperçois qu’elle est morte.
Il va falloir la changer et cela va prendre plus de temps que prévu.
Je saute dans mon véhicule en chercher une nouvelle dans un magasin de bricolage pas trÚs loin.
De retour, je fais les travaux nécessaires pour adapter la nouvelle serrure à la porte.
J’ai presque fini, ma belle-mĂšre est Ă  cĂŽtĂ© de moi Ă  me regarder faire.
Elle me félicite sur mes talents de bricoleur.
Je me mets Ă  genoux afin de poser les deux derniĂšres vis qui maintiennent la serrure.
Je sens du mouvement derriĂšre moi, je me retourne et me retrouve devant ma belle-mĂšre qui a retroussĂ© sa robe jusqu’au nombril

Elle ne porte pas de culotte et je peux voir que sa toison si dru la premiĂšre fois, avait disparu.
- « Alors il te plaĂźt mon tablier de sapeur comme ça ? La premiĂšre fois c’est toi qui m’as eu, tu m’as prise par surprise mais lĂ  c’est moi qui vais t’avoir ! »
Elle me prit la tĂȘte et me la colla sur son pubis.
- « Allez bouffe moi la chatte petit salaud ! »
Je m’exĂ©cute.
J’obĂ©is Ă  cet ordre.
C’est elle qui à la main !
Là, sans tous ses poils je n’ai pas de problùme.
Sa chatte est béante avec les grandes lÚvres qui pendent.
Je m’applique donc à lui faire un cunnilingus, mais la position s’avùre rapidement inconfortable.
Je me relĂšve, elle ĂŽte entiĂšrement sa robe pour se retrouver entiĂšrement nu devant moi.
Nous nous dirigeons vers son lit ou elle s’allonge.
Je me positionne tĂšte bĂȘche au-dessus d’elle, et nous commençons Ă  nous livrer Ă  un 69 dans les rĂšgles de l’art.
Je vois qu’elle retrouvĂ© son ardeur de jeune fille en me pompant la bite et me gobant les couilles pendant que moi, je lui dĂ©vore littĂ©ralement la chatte.





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Elle mouille la vieille

Comme elle n’avait pas dĂ» mouiller depuis longtemps.
Elle ondulait du bassin en gémissant comme si elle voulait que je rentre ma langue plus profondément dans son vagin.
Parfois mon nez se retrouvait dans le trou de son cul, tout ça sentait le propre, j’apprĂ©ciais.
À Force qu’elle me pompe la bite je sentis que j’allais venir.
Je me retirai donc de sa bouche pour changer de position car je tenais absolument Ă  la baiser.
J’espĂšre qu’elle Ă©tait mĂ©nopausĂ©e.
Manquerait plus que j’engrosse la belle mùre !
Ce coure laps de temps me permis de faire redescendre la pression

Il ne fallait pas que j’éjacule trop vite, de quoi aurai-je eu l’air.
Je plaçais ma bite devant son sexe et m’enfonçait Ă  l’intĂ©rieur.
Je me mis Ă  la besogner.
Elle respirait de plus en plus fort et laissa Ă©clater sa jouissance.
N’en pouvant plus je m’enfonçais au plus profond d’elle et lui lĂącha toute ma purĂ©e.
Je me retirai et m’allongeais prùs d’elle le temps de retrouver nos esprits.
- « Comme ça tu auras été payé pour ton travail »
M’annonçñt-elle.
AprĂšs s’ĂȘtre rhabiller nous nous dirigeĂąmes vers la cuisine ou elle m’offrit un verre de rouge. Puis je lui fis la bise pour lui dire au revoir et je rentrais Ă  mon domicile retrouver mon Ă©pouse et mon fils.
AprĂšs avoir baiser la mĂšre l’aprĂšs-midi, le soir je fis l’amour Ă  la fille et en admirant son corps je me dis que je n’étais pas pressĂ© de la voir avec trente ans de plus.
Ce fut mes seules aventures avec ma belle-mĂšre, cela ne se reproduisit plus jamais.
Je continuais Ă  la vouvoyer et la respecter.
Nous gardñmes notre secret, non sans ce faire quelques clins d’Ɠil...
Published by drd74
2 years ago
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crzs
crzs 1 year ago
would of loved doing something with y late MIL , she was a sexy lady in her own way 
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to fifoula987 : certaine belle mere on de beau reste :wink:
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fifoula987 1 year ago
Tres belle histoire, j'ai pris beaucoup de plaisir à la lire. Aurais bien aimé baiser ma belle mÚre.....
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drd74
drd74 Publisher 2 years ago
to caso29 : Merci 
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caso29
caso29 2 years ago
Belle histoire excitante !!! Dommage de n'avoir pas pu profiter de son trou du cul propre :wink:
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drd74
drd74 Publisher 2 years ago
to quinqua : Merci 
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quinqua 2 years ago
superbe histoire ... bien décrite ... et bien bandante !!! j'adore !!!
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drd74
drd74 Publisher 2 years ago
to cubichaton : merci
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cubichaton
Belle histoire !!!!
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merlinhamster
merlinhamster 2 years ago
tres belle histoire! merci
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Jean858
Jean858 2 years ago
Ben j'aurais prĂ©fĂ©rĂ© qu'elle garde ses poils mais trĂšs excitant et mĂȘme bandant! 
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drd74
drd74 Publisher 2 years ago
merci
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COYOTTE17 2 years ago
bien
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lord750 2 years ago
Ouais pas mal... fantasme ou réalité peu importe le récit semble réel et est trÚs excitant
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dhl69 2 years ago
C'est vrai ou imaginer 
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