BELLE-MAMAN
MA BELLE MĂRE.
Ma femme ressemblait physiquement beaucoup à sa mÚre, les années en moins.
Elles avaient les mĂȘmes traits de visage et en regardant ma belle-mĂšre, qui avait 65 ans Ă lâĂ©poque, je pouvais mâimaginer mon Ă©pouse dans une trentaine dâannĂ©es.
CâĂ©tait un dimanche aprĂšs-midi, ma femme Ă©tait de service Ă lâhĂŽpital.
La sonnette retentit Ă la porte de notre appartement, je jetais un coup dâĆil par le judas et je vis ma belle-mĂšre qui Ă©tait devant la porte.
CâĂ©tait une belle femme issue dâun milieu modeste, mais dâune autre Ă©poque, celle de ma mĂšre aussi ou les trĂšs jeunes femmes sâhabillaient en sombre.
Elle Ă©tait vĂȘtue, ce jour-lĂ , dâun robe bleu marine Ă pois blancs avec une ceinture du mĂȘme tissu Ă la taille et le bas Ă©vasĂ© avec des plis.
Je lui ouvre.
- « Bonjour ma belle-maman, entrez-donc ! »
Ce quâelle fit.
- « Ma fille nâest pas lĂ ? »
- « Ah non aujourdâhui elle bosse, elle est dâaprĂšs-midi. »
- « JâĂ©tais venu vous apporter des lĂ©gumes de mon jardin »
- « Câest gentil ça, merci ! Poser les donc sur la table. Vous allez bien prendre un cafĂ© ? »
- « Oh oui, pourquoi pas ! »
Je mis la cafetiĂšre en route et mâassis Ă table avec elle en attendant.
Elle attaqua la conversation en me demandant :
- « Alors ça se passe toujours bien avec ma fille ? Toujours amoureux ? »
- « Oh oui plus que jamais ! »
Et je ne sais pourquoi je mâentendis lui dire
- « Et vous, pas trop dur la solitude ? Ăa ne vous manque pas un homme ? »
Elle Ă©tait veuve depuis une dizaine dâannĂ©es.
- « Tu sais, moi les hommes jâai assez donnĂ© avec le miens, il mâen a tellement fait voir ! »
- « Oui mais depuis le temps quâil est mort vous nâavez pas envie quâun homme vous caresse, quâil sâoccupe de vous ? »
Et joignant le geste à la parole, je posais mes mains sur sa poitrine que je commençais à caresser à travers ses habits.
- « Mais ! Mais ! Que fais-tu ? »
Sans lui laisser le temps de réagir je commençais à déboutonner sa robe.
- « EspĂšce de grand fou, jâai lâĂąge dâĂȘtre ta mĂšre ! »
Je nâen continuais pas moins Ă dĂ©boutonner sa robe et Ă plonger ma main vers ses seins emprisonnĂ©s dans un soutien-gorge.
Elle essaya mollement de me lâenlever en me disant :
- « Voyons ! Ne fait pas ça ! »
Mais je la sentis sans conviction, prĂȘte Ă sâabandonner.
Jâavais maintenant dĂ©fais sa robe jusquâen bas pour laisser apparaĂźtre un soutien-gorge couleur chair, pas trĂšs sexy, comme les femmes dâun certain Ăąge en porte.
Celui-ci était plein à craquer, ses seins débordant par-dessus.
Je tirais les bonnets pour en libérer ses lourdes mamelles qui tombÚrent sur son ventre.
Je mis aussitĂŽt Ă les caresser et les palper.
La pauvre femme qui se demandait ce quâil lui arrivait respirait de plus en plus fort. Jâapprochais ma bouche de ses tĂ©tons et me mis Ă lui tĂ©ter.
Elle qui avait Ă©levĂ© sept enfants elle devait ĂȘtre habituĂ©.
- « ArrĂȘte grand fou, ce nâest pas bien, pense Ă ta femme, Ă ma fille. »
Me disait âelle.
Mais je nâen nâavais nullement lâintention.
Je lâa fit se lever et lâentraĂźnais dans notre chambre.
Jâen profitais pour lui enlever complĂštement sa robe et dĂ©grafais son soutiens gorge.
Je ne sentais plus aucune réticence de sa part
Arrivé dans la chambre, je passais à sa grande culotte de couleur chair elle aussi.
En la baissant je vis apparaĂźtre une monstrueuse toison de poils pubien de couleur rousse comme celle de sa fille.
Moi qui nâaime pas les poils, jâĂ©tais servis.
Jâavoue que je ne trouvai pas ça trĂšs glamour.
Je la fis sâallonger sur le lit et me dĂ©shabillai rapidement.
Je grimpais sur le lit, lui Ă©cartais les cuisses et vint me placer Ă genoux entre ses jambes.
Jâentrepris Ă nouveau de malaxer ses mamellesâŠ
Puis mes mains descendirent vers son sexe.
Je lui fis une rĂ©flexion sur son tablier de sapeur, lui disant quâil faudrait peut-ĂȘtre faire le mĂ©nage sinon je nâallais pas trouver lâentrĂ©e.
Elle tremblotait, on aurait dit quâelle avait peur.
Elle me fit lâimpression dâune petite fille qui allait se faire dĂ©florer.
Jâen fus Ă©mu et failli renoncer mais au point oĂč nous en Ă©tions rendus, je me voyais mal lui dire :
- « Allez câest bon ! Rhabillez-vous et rentrez chez vous ! »
Elle mâavoua aprĂšs, que câĂ©tait lâĂ©motion de ne pas avoir fait lâamour depuis si longtemps. AprĂšs la mort de son mari elle avait Ă©levĂ© seul toute sa marmaille et nâavais pas pris le temps de sâoccuper dâelle.
Je me penchai sur son vagin et Ă©cartais du mieux que je le pouvais tous ces poils laissant apparaĂźtre sa fente vulvaire.
JâĂ©cartais ses lĂšvres pour dĂ©couvrir son clito.
Comme celui de sa fille il était assez développé.
Je mâempressai de poser ma langue dessus et de le titiller.
Elle qui jusquâĂ prĂ©sent câĂ©tait montĂ© passive commença Ă rĂ©agir.
Je la sentis frémir et entendis émettre de petits gémissements.
Je lui lĂ©chais maintenant le minou Ă pleine bouche, fourrant ma langue dans son vagin, le plus loin possible, comme jâaimais le faire Ă sa fille.
Deleted
Ses gĂ©missements Ă©tant de plus en plus prononcĂ©sâŠ
Je changeais de position afin de la pénétrer.
Je plaçais ma bite Ă lâentrĂ©e de sa vulve et la pĂ©nĂ©tra dâun seul coup.
Je me mis Ă aller et venir de plus en plus rapidement dans son vieux vaginâŠ
Elle se mit alors Ă hurler.
Je venais de lui dĂ©clencher un orgasme comme elle nâen avait plus connu depuis trop longtemps.
Du coup, je jouis rapidement moi aussi et vidais mes couilles tout au fond de la vieille chatte.
Nous reprĂźmes tranquillement nos esprits.
- « EspÚce de salop ! Moi qui avais oublié ça ! »
Me dit âelle.
Elle renfila rapidement sa robe, sans remettre sa lingerie, et se dirigea vers la porte.
- « Attendez, on va prendre le cafĂ©, il est prĂȘt ! »
Lui proposais-je
- « Excuse-moi, mais je nâen ai plus envie, laisse-moi maintenant sâil te plaĂźt »
- « Vous ĂȘtes fĂąchĂ© ? »
La questionnais-je.
- « Non, non, mais tu ne perds rien pour attendre ! »
Et au moment de franchir la porte, elle renfila quand mĂȘme sa culotte.
- « On ira vous rapporter votre panier, au revoir ! »
- « Câest ça, au revoir ! »
Et elle disparut.
Je pensais Ă ce que je venais de vivreâŠ
Jâavais honte de ce que je venais de faire.
Mais nây avions-nous pas trouver du plaisir tous les deux ?
Je pensais Ă sa culotte quâelle avait remis sans sâessuyer.
Je me suis dit quâen arrivant Ă son domicile, elle avait dĂ» la quitter et renifler et peut-ĂȘtre mĂȘme lĂ©cher mon sperme qui sâĂ©tait Ă©coulĂ© de son vagin.
Nâavait-elle pas gardĂ© prĂ©cieusement cette culotte sous son oreiller et la sortait pour la sentir en pensant Ă son gendre.
Les jours et les semaines suivante nous continuĂąmes de lui rendre visite avec ma femme.
Ma belle-mĂšre faisait comme si rien ne sâĂ©tait passĂ© entre nous.
Elle se comportait exactement comme avant vis Ă vis de moi.
Les mois passĂšrent ainsi sans que plus aucun incident du genre ne se produise.
Jusquâau jour oĂč elle me demanda de venir lui faire une bricole comme cela arrivait rĂ©guliĂšrement.
Elle voulait que je répare la serrure de sa porte de chambre.
Nous convenions que je viendrai le samedi suivant dans lâaprĂšs-midi car je travaillais le matin.
Le jour convenu, je vais donc effectuer la réparation.
Bizarrement dans cette maison qui habituellement voit tous ses enfants et petits-enfants dĂ©filĂ©, il nây avait personne ce jour-lĂ .
Je commence Ă dĂ©monter la serrure et mâaperçois quâelle est morte.
Il va falloir la changer et cela va prendre plus de temps que prévu.
Je saute dans mon véhicule en chercher une nouvelle dans un magasin de bricolage pas trÚs loin.
De retour, je fais les travaux nécessaires pour adapter la nouvelle serrure à la porte.
Jâai presque fini, ma belle-mĂšre est Ă cĂŽtĂ© de moi Ă me regarder faire.
Elle me félicite sur mes talents de bricoleur.
Je me mets Ă genoux afin de poser les deux derniĂšres vis qui maintiennent la serrure.
Je sens du mouvement derriĂšre moi, je me retourne et me retrouve devant ma belle-mĂšre qui a retroussĂ© sa robe jusquâau nombrilâŠ
Elle ne porte pas de culotte et je peux voir que sa toison si dru la premiĂšre fois, avait disparu.
- « Alors il te plaĂźt mon tablier de sapeur comme ça ? La premiĂšre fois câest toi qui mâas eu, tu mâas prise par surprise mais lĂ câest moi qui vais tâavoir ! »
Elle me prit la tĂȘte et me la colla sur son pubis.
- « Allez bouffe moi la chatte petit salaud ! »
Je mâexĂ©cute.
JâobĂ©is Ă cet ordre.
Câest elle qui Ă la main !
LĂ , sans tous ses poils je nâai pas de problĂšme.
Sa chatte est béante avec les grandes lÚvres qui pendent.
Je mâapplique donc Ă lui faire un cunnilingus, mais la position sâavĂšre rapidement inconfortable.
Je me relĂšve, elle ĂŽte entiĂšrement sa robe pour se retrouver entiĂšrement nu devant moi.
Nous nous dirigeons vers son lit ou elle sâallonge.
Je me positionne tĂšte bĂȘche au-dessus dâelle, et nous commençons Ă nous livrer Ă un 69 dans les rĂšgles de lâart.
Je vois quâelle retrouvĂ© son ardeur de jeune fille en me pompant la bite et me gobant les couilles pendant que moi, je lui dĂ©vore littĂ©ralement la chatte.
Elle mouille la vieilleâŠ
Comme elle nâavait pas dĂ» mouiller depuis longtemps.
Elle ondulait du bassin en gémissant comme si elle voulait que je rentre ma langue plus profondément dans son vagin.
Parfois mon nez se retrouvait dans le trou de son cul, tout ça sentait le propre, jâapprĂ©ciais.
Ă Force quâelle me pompe la bite je sentis que jâallais venir.
Je me retirai donc de sa bouche pour changer de position car je tenais absolument Ă la baiser.
JâespĂšre quâelle Ă©tait mĂ©nopausĂ©e.
Manquerait plus que jâengrosse la belle mĂšre !
Ce coure laps de temps me permis de faire redescendre la pressionâŠ
Il ne fallait pas que jâĂ©jacule trop vite, de quoi aurai-je eu lâair.
Je plaçais ma bite devant son sexe et mâenfonçait Ă lâintĂ©rieur.
Je me mis Ă la besogner.
Elle respirait de plus en plus fort et laissa Ă©clater sa jouissance.
Nâen pouvant plus je mâenfonçais au plus profond dâelle et lui lĂącha toute ma purĂ©e.
Je me retirai et mâallongeais prĂšs dâelle le temps de retrouver nos esprits.
- « Comme ça tu auras été payé pour ton travail »
Mâannonçùt-elle.
AprĂšs sâĂȘtre rhabiller nous nous dirigeĂąmes vers la cuisine ou elle mâoffrit un verre de rouge. Puis je lui fis la bise pour lui dire au revoir et je rentrais Ă mon domicile retrouver mon Ă©pouse et mon fils.
AprĂšs avoir baiser la mĂšre lâaprĂšs-midi, le soir je fis lâamour Ă la fille et en admirant son corps je me dis que je nâĂ©tais pas pressĂ© de la voir avec trente ans de plus.
Ce fut mes seules aventures avec ma belle-mĂšre, cela ne se reproduisit plus jamais.
Je continuais Ă la vouvoyer et la respecter.
Nous gardĂąmes notre secret, non sans ce faire quelques clins dâĆil...
Ma femme ressemblait physiquement beaucoup à sa mÚre, les années en moins.
Elles avaient les mĂȘmes traits de visage et en regardant ma belle-mĂšre, qui avait 65 ans Ă lâĂ©poque, je pouvais mâimaginer mon Ă©pouse dans une trentaine dâannĂ©es.
CâĂ©tait un dimanche aprĂšs-midi, ma femme Ă©tait de service Ă lâhĂŽpital.
La sonnette retentit Ă la porte de notre appartement, je jetais un coup dâĆil par le judas et je vis ma belle-mĂšre qui Ă©tait devant la porte.
CâĂ©tait une belle femme issue dâun milieu modeste, mais dâune autre Ă©poque, celle de ma mĂšre aussi ou les trĂšs jeunes femmes sâhabillaient en sombre.
Elle Ă©tait vĂȘtue, ce jour-lĂ , dâun robe bleu marine Ă pois blancs avec une ceinture du mĂȘme tissu Ă la taille et le bas Ă©vasĂ© avec des plis.
Je lui ouvre.
- « Bonjour ma belle-maman, entrez-donc ! »
Ce quâelle fit.
- « Ma fille nâest pas lĂ ? »
- « Ah non aujourdâhui elle bosse, elle est dâaprĂšs-midi. »
- « JâĂ©tais venu vous apporter des lĂ©gumes de mon jardin »
- « Câest gentil ça, merci ! Poser les donc sur la table. Vous allez bien prendre un cafĂ© ? »
- « Oh oui, pourquoi pas ! »
Je mis la cafetiĂšre en route et mâassis Ă table avec elle en attendant.
Elle attaqua la conversation en me demandant :
- « Alors ça se passe toujours bien avec ma fille ? Toujours amoureux ? »
- « Oh oui plus que jamais ! »
Et je ne sais pourquoi je mâentendis lui dire
- « Et vous, pas trop dur la solitude ? Ăa ne vous manque pas un homme ? »
Elle Ă©tait veuve depuis une dizaine dâannĂ©es.
- « Tu sais, moi les hommes jâai assez donnĂ© avec le miens, il mâen a tellement fait voir ! »
- « Oui mais depuis le temps quâil est mort vous nâavez pas envie quâun homme vous caresse, quâil sâoccupe de vous ? »
Et joignant le geste à la parole, je posais mes mains sur sa poitrine que je commençais à caresser à travers ses habits.
- « Mais ! Mais ! Que fais-tu ? »
Sans lui laisser le temps de réagir je commençais à déboutonner sa robe.
- « EspĂšce de grand fou, jâai lâĂąge dâĂȘtre ta mĂšre ! »
Je nâen continuais pas moins Ă dĂ©boutonner sa robe et Ă plonger ma main vers ses seins emprisonnĂ©s dans un soutien-gorge.
Elle essaya mollement de me lâenlever en me disant :
- « Voyons ! Ne fait pas ça ! »
Mais je la sentis sans conviction, prĂȘte Ă sâabandonner.
Jâavais maintenant dĂ©fais sa robe jusquâen bas pour laisser apparaĂźtre un soutien-gorge couleur chair, pas trĂšs sexy, comme les femmes dâun certain Ăąge en porte.
Celui-ci était plein à craquer, ses seins débordant par-dessus.
Je tirais les bonnets pour en libérer ses lourdes mamelles qui tombÚrent sur son ventre.
Je mis aussitĂŽt Ă les caresser et les palper.
La pauvre femme qui se demandait ce quâil lui arrivait respirait de plus en plus fort. Jâapprochais ma bouche de ses tĂ©tons et me mis Ă lui tĂ©ter.
Elle qui avait Ă©levĂ© sept enfants elle devait ĂȘtre habituĂ©.
- « ArrĂȘte grand fou, ce nâest pas bien, pense Ă ta femme, Ă ma fille. »
Me disait âelle.
Mais je nâen nâavais nullement lâintention.
Je lâa fit se lever et lâentraĂźnais dans notre chambre.
Jâen profitais pour lui enlever complĂštement sa robe et dĂ©grafais son soutiens gorge.
Je ne sentais plus aucune réticence de sa part
Arrivé dans la chambre, je passais à sa grande culotte de couleur chair elle aussi.
En la baissant je vis apparaĂźtre une monstrueuse toison de poils pubien de couleur rousse comme celle de sa fille.
Moi qui nâaime pas les poils, jâĂ©tais servis.
Jâavoue que je ne trouvai pas ça trĂšs glamour.
Je la fis sâallonger sur le lit et me dĂ©shabillai rapidement.
Je grimpais sur le lit, lui Ă©cartais les cuisses et vint me placer Ă genoux entre ses jambes.
Jâentrepris Ă nouveau de malaxer ses mamellesâŠ
Puis mes mains descendirent vers son sexe.
Je lui fis une rĂ©flexion sur son tablier de sapeur, lui disant quâil faudrait peut-ĂȘtre faire le mĂ©nage sinon je nâallais pas trouver lâentrĂ©e.
Elle tremblotait, on aurait dit quâelle avait peur.
Elle me fit lâimpression dâune petite fille qui allait se faire dĂ©florer.
Jâen fus Ă©mu et failli renoncer mais au point oĂč nous en Ă©tions rendus, je me voyais mal lui dire :
- « Allez câest bon ! Rhabillez-vous et rentrez chez vous ! »
Elle mâavoua aprĂšs, que câĂ©tait lâĂ©motion de ne pas avoir fait lâamour depuis si longtemps. AprĂšs la mort de son mari elle avait Ă©levĂ© seul toute sa marmaille et nâavais pas pris le temps de sâoccuper dâelle.
Je me penchai sur son vagin et Ă©cartais du mieux que je le pouvais tous ces poils laissant apparaĂźtre sa fente vulvaire.
JâĂ©cartais ses lĂšvres pour dĂ©couvrir son clito.
Comme celui de sa fille il était assez développé.
Je mâempressai de poser ma langue dessus et de le titiller.
Elle qui jusquâĂ prĂ©sent câĂ©tait montĂ© passive commença Ă rĂ©agir.
Je la sentis frémir et entendis émettre de petits gémissements.
Je lui lĂ©chais maintenant le minou Ă pleine bouche, fourrant ma langue dans son vagin, le plus loin possible, comme jâaimais le faire Ă sa fille.
Deleted
Ses gĂ©missements Ă©tant de plus en plus prononcĂ©sâŠ
Je changeais de position afin de la pénétrer.
Je plaçais ma bite Ă lâentrĂ©e de sa vulve et la pĂ©nĂ©tra dâun seul coup.
Je me mis Ă aller et venir de plus en plus rapidement dans son vieux vaginâŠ
Elle se mit alors Ă hurler.
Je venais de lui dĂ©clencher un orgasme comme elle nâen avait plus connu depuis trop longtemps.
Du coup, je jouis rapidement moi aussi et vidais mes couilles tout au fond de la vieille chatte.
Nous reprĂźmes tranquillement nos esprits.
- « EspÚce de salop ! Moi qui avais oublié ça ! »
Me dit âelle.
Elle renfila rapidement sa robe, sans remettre sa lingerie, et se dirigea vers la porte.
- « Attendez, on va prendre le cafĂ©, il est prĂȘt ! »
Lui proposais-je
- « Excuse-moi, mais je nâen ai plus envie, laisse-moi maintenant sâil te plaĂźt »
- « Vous ĂȘtes fĂąchĂ© ? »
La questionnais-je.
- « Non, non, mais tu ne perds rien pour attendre ! »
Et au moment de franchir la porte, elle renfila quand mĂȘme sa culotte.
- « On ira vous rapporter votre panier, au revoir ! »
- « Câest ça, au revoir ! »
Et elle disparut.
Je pensais Ă ce que je venais de vivreâŠ
Jâavais honte de ce que je venais de faire.
Mais nây avions-nous pas trouver du plaisir tous les deux ?
Je pensais Ă sa culotte quâelle avait remis sans sâessuyer.
Je me suis dit quâen arrivant Ă son domicile, elle avait dĂ» la quitter et renifler et peut-ĂȘtre mĂȘme lĂ©cher mon sperme qui sâĂ©tait Ă©coulĂ© de son vagin.
Nâavait-elle pas gardĂ© prĂ©cieusement cette culotte sous son oreiller et la sortait pour la sentir en pensant Ă son gendre.
Les jours et les semaines suivante nous continuĂąmes de lui rendre visite avec ma femme.
Ma belle-mĂšre faisait comme si rien ne sâĂ©tait passĂ© entre nous.
Elle se comportait exactement comme avant vis Ă vis de moi.
Les mois passĂšrent ainsi sans que plus aucun incident du genre ne se produise.
Jusquâau jour oĂč elle me demanda de venir lui faire une bricole comme cela arrivait rĂ©guliĂšrement.
Elle voulait que je répare la serrure de sa porte de chambre.
Nous convenions que je viendrai le samedi suivant dans lâaprĂšs-midi car je travaillais le matin.
Le jour convenu, je vais donc effectuer la réparation.
Bizarrement dans cette maison qui habituellement voit tous ses enfants et petits-enfants dĂ©filĂ©, il nây avait personne ce jour-lĂ .
Je commence Ă dĂ©monter la serrure et mâaperçois quâelle est morte.
Il va falloir la changer et cela va prendre plus de temps que prévu.
Je saute dans mon véhicule en chercher une nouvelle dans un magasin de bricolage pas trÚs loin.
De retour, je fais les travaux nécessaires pour adapter la nouvelle serrure à la porte.
Jâai presque fini, ma belle-mĂšre est Ă cĂŽtĂ© de moi Ă me regarder faire.
Elle me félicite sur mes talents de bricoleur.
Je me mets Ă genoux afin de poser les deux derniĂšres vis qui maintiennent la serrure.
Je sens du mouvement derriĂšre moi, je me retourne et me retrouve devant ma belle-mĂšre qui a retroussĂ© sa robe jusquâau nombrilâŠ
Elle ne porte pas de culotte et je peux voir que sa toison si dru la premiĂšre fois, avait disparu.
- « Alors il te plaĂźt mon tablier de sapeur comme ça ? La premiĂšre fois câest toi qui mâas eu, tu mâas prise par surprise mais lĂ câest moi qui vais tâavoir ! »
Elle me prit la tĂȘte et me la colla sur son pubis.
- « Allez bouffe moi la chatte petit salaud ! »
Je mâexĂ©cute.
JâobĂ©is Ă cet ordre.
Câest elle qui Ă la main !
LĂ , sans tous ses poils je nâai pas de problĂšme.
Sa chatte est béante avec les grandes lÚvres qui pendent.
Je mâapplique donc Ă lui faire un cunnilingus, mais la position sâavĂšre rapidement inconfortable.
Je me relĂšve, elle ĂŽte entiĂšrement sa robe pour se retrouver entiĂšrement nu devant moi.
Nous nous dirigeons vers son lit ou elle sâallonge.
Je me positionne tĂšte bĂȘche au-dessus dâelle, et nous commençons Ă nous livrer Ă un 69 dans les rĂšgles de lâart.
Je vois quâelle retrouvĂ© son ardeur de jeune fille en me pompant la bite et me gobant les couilles pendant que moi, je lui dĂ©vore littĂ©ralement la chatte.
Elle mouille la vieilleâŠ
Comme elle nâavait pas dĂ» mouiller depuis longtemps.
Elle ondulait du bassin en gémissant comme si elle voulait que je rentre ma langue plus profondément dans son vagin.
Parfois mon nez se retrouvait dans le trou de son cul, tout ça sentait le propre, jâapprĂ©ciais.
Ă Force quâelle me pompe la bite je sentis que jâallais venir.
Je me retirai donc de sa bouche pour changer de position car je tenais absolument Ă la baiser.
JâespĂšre quâelle Ă©tait mĂ©nopausĂ©e.
Manquerait plus que jâengrosse la belle mĂšre !
Ce coure laps de temps me permis de faire redescendre la pressionâŠ
Il ne fallait pas que jâĂ©jacule trop vite, de quoi aurai-je eu lâair.
Je plaçais ma bite devant son sexe et mâenfonçait Ă lâintĂ©rieur.
Je me mis Ă la besogner.
Elle respirait de plus en plus fort et laissa Ă©clater sa jouissance.
Nâen pouvant plus je mâenfonçais au plus profond dâelle et lui lĂącha toute ma purĂ©e.
Je me retirai et mâallongeais prĂšs dâelle le temps de retrouver nos esprits.
- « Comme ça tu auras été payé pour ton travail »
Mâannonçùt-elle.
AprĂšs sâĂȘtre rhabiller nous nous dirigeĂąmes vers la cuisine ou elle mâoffrit un verre de rouge. Puis je lui fis la bise pour lui dire au revoir et je rentrais Ă mon domicile retrouver mon Ă©pouse et mon fils.
AprĂšs avoir baiser la mĂšre lâaprĂšs-midi, le soir je fis lâamour Ă la fille et en admirant son corps je me dis que je nâĂ©tais pas pressĂ© de la voir avec trente ans de plus.
Ce fut mes seules aventures avec ma belle-mĂšre, cela ne se reproduisit plus jamais.
Je continuais Ă la vouvoyer et la respecter.
Nous gardĂąmes notre secret, non sans ce faire quelques clins dâĆil...
2 years ago