SOUVENIR DU PENSIONNAT
SOUVENIR DU PENSIONNAT
Comme lors de nombreux week-ends prĂ©cĂ©dents, jâĂ©tais restĂ© au pensionnat. Mes parents Ă©tant sans cesse en train de parcourir le monde en Ă©taient la cause.
Nous Ă©tions justes Ă la veille du week-end, tous les internes Ă©taient dĂ©jĂ partis. Un seul Ă©tait lĂ pour me ternir compagnie, mon ami Bernard, car lui aussi nâavait pas pu retrouver sa famille. Jâen Ă©tais ravi. Lui et moi Ă©tions souvent ensemble, car comme une bonne partie de nos camardes, nous Ă©tions trĂšs adeptes des amours entre garçons.
Bernard Ă©tait beau gosse, ce qui ne gĂątait rien. Un corps mince et souple, finement musclĂ©. En ce qui me concernait, jâavais eu le plaisir de le contempler sous toutes les coutures. Tous les deux adorions nous branler et nous sucer Ă tour de rĂŽle.
« Hum, mon petit Domi je pense que nous allons bien nous amuser ce soir. Quâen penses-tu »
« JâespĂšre bien jâai trop envie de te bouffer la bite et te lĂ©cher les couilles »
« Quâelle bonne petite salope tu fais. Ce soir je te rĂ©serve une petite surprise »
« Wow ! Ca promet»
Le soir venu, nous Ă©tions enfin dans notre chambre, et comme dâhabitude lorsquâil restait au maximum 3 ou 4 internes, on nous mettait dans une petite chambre de quatre avec un cabinet de toilette attenant.
Sans plus attendre, je filai sous la douche, vite rejoint par Bernard. Ce petit cochon bandait Ă mort, Ă la perspective de profiter de moi. Il faut dire quâau bahut jâĂ©tais considĂ©rĂ© comme une belle salope, ayant dĂ©jĂ sucĂ© plus de la moitiĂ© du dortoir.
Empoignant la savonnette je commençai Ă frotter le torse de Bernard. Jâastiquai ses tĂ©tons qui se mirent aussitĂŽt Ă se tendre. Je les rinçai, puis je me mis Ă en tĂ©ter un goulĂ»ment, provoquant de petits gĂ©missements de plaisir chez mon camarade. En mĂȘme temps je frottai consciencieusement son sexe et ses jolies couilles. Quel plaisir de masser ce joli service trois piĂšces. Son sexe copieusement savonnĂ©, coulissait parfaitement dans ma main. AprĂšs quelques minutes de ce traitement je me mis Ă passer ma main dans sa raie, insistant particuliĂšrement sur sa rondelle. Bernard Ă©tait le seul avec qui je faisais ce genre de caresses. CâĂ©tait la premiĂšre fois que nous nous douchions ensemble. Comme jâinsistai sur le petit anneau plissĂ© enduit de savon, mon doigt pĂ©nĂ©tra dans son petit trou.
« Salope ! Tu mâencules »
« Désolé, il est rentré tout seul »
« Laisse le jâaime bien »
En mĂȘme temps Bernard sâĂ©tait mis Ă bouger lĂ©gĂšrement son bassin, faisant aller et venir mon doigt dans son cul. Puis se tournant lĂ©gĂšrement il posa ses lĂšvres sur les miennes. Tous les deux adorions entremĂȘler nos langues, tout en branlant nos petites queues de joyeuses petites fiottes.
Nos deux mains avaient empoignés nos sexes tendus à mort. Le savon qui enduisait nos sexes rendait nos branlettes encore plus délicieuses.
â
Quelques instants plus tard jâempoignai la douchette, rinçait soigneusement Bernard, puis jâen fis de mĂȘme avec moi.
SitĂŽt sĂ©chĂ©s nous nous retrouvĂąmes au lit. Sans plus attendre je me jetai sur sa queue. Une faim de bite me tenaillait. Les quinze centimĂštres de bite disparaissaient entiĂšrement dans ma bouche. Depuis plus dâun an Ă pratiquer des pipes sur mes petits camarades, jâĂ©tais capable de faire des gorges profondes. Comme vous vous en doutz ce genre de pratique nâĂ©tait pas pour dĂ©plaire Ă mes copains.
Salivant abondamment, la queue de Bernard dĂ©goulinait, et pour rendre ma fellation encore plus cochonne, jâaccentuai mes bruits de bouche.
« Putain ! Domi tu es vraiment la meilleure suceuse de lâinternat »
« JâespĂšre bien mon chou, jâai une rĂ©putation Ă tenir »
Abandonnant sa queue quelques instants, je remontai doucement avec ma langue, lĂ©chait son nombril, puis ses tĂ©tons lâun aprĂšs lâautre, et Ă nouveau je posai mes lĂšvres humides au gout de bite sur les siennes.
AussitĂŽt Bernard vrilla sa langue dans ma bouche, mĂ©langeant nos salives, pendant que nos queues se frottaient lâune sur lâautre.
Quittant ma bouche, Bernard pivotĂąt sous moi. Sa tĂȘte se glissa entre mes jambes, puis sa bouche avala ma queue. Jâen fis de mĂȘme et tous les deux en bonne petites salopes, nous nous bouffĂąmes la bite. De temps en temps nous faisions une petite pause, histoire de calmer le jeu. Pas question de jouir rapidement.
DĂ©laissant nos sexes, on se mit cĂŽte Ă cĂŽte nous caressant tendrement lâun et lâautre. Je ne lâavais jamais dit Ă Bernard, mais jâĂ©tais secrĂštement un peu amoureux de lui.
« Tu sais jâai adorĂ© quand tu mâas mis ton doigt dans le cul, et jâai un aveu Ă te faire. »
« Croustillant jâespĂšre »
« Je pense que tu vas adorer. Aux derniÚres vacances avec mon frÚre nous avons expérimenté le sexe anal »
« Non »
« Si, et câĂ©tait fantastique »
« Tu nâas pas eu mal »
« TrÚs légÚrement, mais la douleur est passée trÚs vite »
« Wow ! » et vous lâavait fait souvent ? »
« Oh oui, pendant quinze jours il mâa enculĂ© tous les soirs, si bien que mon petit trou est devenu trĂšs accueillant »
« Je comprends mieux pourquoi mon doigt est rentré aussi facilement. »
« Tu vois câest ma surprise, car je veux que ce soir tu mâencules, ça fait presquâun mois que je nâai pas Ă©tĂ© baisĂ© et ça me manques. Tu veux bien ? »
« Je ne sais pas trop, je ne lâai jamais fait »
« TâinquiĂštes, je vais me mettre sur le ventre et tu vas jouer avec mon petit trou »
AussitĂŽt il se retourna, puis Ă©carta ses jambes, puis ouvrit ses fesses avec ses deux mains.
Sa petite rondelle Ă©tait dâun joli rose sombre. JâĂ©tais encore un peu sous le choc de la rĂ©vĂ©lation, mais la vue de son joli petit cul offert me ravissait. Ma verge devint encore plus dure.
« Crache sur ma rondelle mon chou et masse la doucement, puis enfonce ton doigt.
Je mâexĂ©cutai, libĂ©rant un flot de salive sur son petit trou, puis enfonçai mon doigt sans difficultĂ© »
« Hum câest bon, mon chĂ©ri tu vas me baiser comme une petite femelle »
« Tâes encore plus salope que moi »
« Mets un autre doigt «
Le deuxiĂšme doigt rentra aussi facilement que le premier. Mâenhardissant je crachai encore un flot de salive, puis poussai un troisiĂšme doigt. Je nâen revenais pas. Mes doigts allaient et venaient, coulissant parfaitement dans sa gaine anale.
« Câest trop bon chĂ©ri, je crois que je suis bien ouvert, mets ta queue maintenant »
Cette fois sans hésiter je me plaçai entre ses cuisses. Mon gland face au petit orifice qui baillait légÚrement.
Timidement je posai le bout de ma queue sur le petit anneau plissé. Sentant mon sexe, Bernard poussa en arriÚre avalant ma queue.
Lâimpression Ă©tait fantastique, câtait la premiĂšre fois que jâallais baiser quelquâun. Ma bite Ă©tait dĂ©licieusement serrĂ©e par son sphincter. Incapable de me retenir je mâenfonçais dâun coup dans ses reins.
« Salope tu me défonces »
« DĂ©solĂ© je nâai pas pu rĂ©sister »
Mon sexe était complÚtement enfoncé dans son cul, et mes couilles butaient contre son cul.
« Câest trop bon de se faire enculer » dit Bernard. « Vas-y baise moi bien maintenant, prends moi comme une chienne »
Ces mots me galvanisĂšrent et je me mis Ă lâenculer sauvagement, faisant claquer mes cuisses contre les siennes. Au bout de quelques minutes, Bernard se libĂ©ra.
JâĂ©tais frustrĂ©.
« Tu ne veux plus « ?
« Oh si mon chou, mais je vais me mettre sur le dos pour te voir me baiser »
Bernard se mit sur son dos, releva ses jambes mâoffrant une vue parfaite sur son anus.
« Mouille moi encore un peu »
AprĂšs avoir Ă nouveau enduit sa rondelle â jâapprochai ma queue puis enfilai Ă nouveau mon camarade. Ma queue le pĂ©nĂ©tra Ă nouveau encore plus facilement. Jamais je nâaurais cru que cela serait aussi bon dâenculer un garçon. Bernard me fixait dâun air ravi, tout en profĂ©rant des mots cochons.
« Je suis ta salope et toi une super baiseuse, jâaime ta queue dĂ©fonce-moi ».
Sa queue Ă©tait aussi tendue Ă mort. Impossible pour moi de rĂ©sister. Je me penchai pour lâengloutir, quelques gouttes perlaient au bout du gland. Dâun coup de langue je recueillis ce nectar, avant dâengloutir son sexe. Sous moi Bernard mâaccompagnait, son cul venant Ă la rencontre de ma bite. Je continuai Ă le sucer tout en lâenculant. CâĂ©tait vraiment trop bon. A ce rythme lĂ nos jouissances ne tardĂšrent pas Ă venir. Je sentis mon sexe gonfler puis il expulsa des gerbes de foutre dans le cul de Bernard, jâavais lâimpression que mon Ă©jaculation ne sâarrĂȘtait plus, pendant que lui Ă©jaculait dans ma bouche. Il ne mâavait jamais autant gavĂ© de sperme. Son jus de jeune mĂąle inondait ma bouche. Tellement abondant que jâavais du mal Ă avaler en mĂȘme temps, mais pas question de perdre une goutte du prĂ©cieux nectar. Bernard et moi adorons tous les deux nous gaver de nos spermes.
Une fois nos jouissances terminĂ©es je mâĂ©croulai sur mon camarade. Nos bouches se collĂšrent lâune Ă lâautre. La mienne Ă©tait encore pleine de semence. Nos langues baignaient dans une mare de foutre. Bien quâayant joui ma queue bien plantĂ©e dans le cul de Bernard ne dĂ©bandait pas. Je commençai Ă me retirer, quand Bernard me ceintura avec ses jambes.
« Reste en moi mon chou, laisse moi encore profiter de ta dĂ©licieuse bite. JâespĂšre que tu as adorĂ©, pour moi câĂ©tait fantastique, et tu vas avoir intĂ©rĂȘt Ă me baiser comme cela tout le week-end »
« Dâaccord mon chou, mais Ă une condition »
Intrigué, Bernard me demanda ma condition
« Moi aussi je veux ta queue en moi, il est temps que mon trou du cul se fasse emmancher. Je ne veux plus avoir un cul de pucelle et je veux que tu sois le premier à me baiser comme une petite femelle »
« Bon, ben je pense que cette condition ne sera pas trop dure Ă remplir, de mĂȘme que ton cul ma petite salope »
« Jâai hĂąte dâĂȘtre Ă demain soir, je tâaime »
« Moi aussi chaton »
EpuisĂ© nous nous endormĂźmes tous les deux dans les bras lâun de lâautre.
SolĂšne
Comme lors de nombreux week-ends prĂ©cĂ©dents, jâĂ©tais restĂ© au pensionnat. Mes parents Ă©tant sans cesse en train de parcourir le monde en Ă©taient la cause.
Nous Ă©tions justes Ă la veille du week-end, tous les internes Ă©taient dĂ©jĂ partis. Un seul Ă©tait lĂ pour me ternir compagnie, mon ami Bernard, car lui aussi nâavait pas pu retrouver sa famille. Jâen Ă©tais ravi. Lui et moi Ă©tions souvent ensemble, car comme une bonne partie de nos camardes, nous Ă©tions trĂšs adeptes des amours entre garçons.
Bernard Ă©tait beau gosse, ce qui ne gĂątait rien. Un corps mince et souple, finement musclĂ©. En ce qui me concernait, jâavais eu le plaisir de le contempler sous toutes les coutures. Tous les deux adorions nous branler et nous sucer Ă tour de rĂŽle.
« Hum, mon petit Domi je pense que nous allons bien nous amuser ce soir. Quâen penses-tu »
« JâespĂšre bien jâai trop envie de te bouffer la bite et te lĂ©cher les couilles »
« Quâelle bonne petite salope tu fais. Ce soir je te rĂ©serve une petite surprise »
« Wow ! Ca promet»
Le soir venu, nous Ă©tions enfin dans notre chambre, et comme dâhabitude lorsquâil restait au maximum 3 ou 4 internes, on nous mettait dans une petite chambre de quatre avec un cabinet de toilette attenant.
Sans plus attendre, je filai sous la douche, vite rejoint par Bernard. Ce petit cochon bandait Ă mort, Ă la perspective de profiter de moi. Il faut dire quâau bahut jâĂ©tais considĂ©rĂ© comme une belle salope, ayant dĂ©jĂ sucĂ© plus de la moitiĂ© du dortoir.
Empoignant la savonnette je commençai Ă frotter le torse de Bernard. Jâastiquai ses tĂ©tons qui se mirent aussitĂŽt Ă se tendre. Je les rinçai, puis je me mis Ă en tĂ©ter un goulĂ»ment, provoquant de petits gĂ©missements de plaisir chez mon camarade. En mĂȘme temps je frottai consciencieusement son sexe et ses jolies couilles. Quel plaisir de masser ce joli service trois piĂšces. Son sexe copieusement savonnĂ©, coulissait parfaitement dans ma main. AprĂšs quelques minutes de ce traitement je me mis Ă passer ma main dans sa raie, insistant particuliĂšrement sur sa rondelle. Bernard Ă©tait le seul avec qui je faisais ce genre de caresses. CâĂ©tait la premiĂšre fois que nous nous douchions ensemble. Comme jâinsistai sur le petit anneau plissĂ© enduit de savon, mon doigt pĂ©nĂ©tra dans son petit trou.
« Salope ! Tu mâencules »
« Désolé, il est rentré tout seul »
« Laisse le jâaime bien »
En mĂȘme temps Bernard sâĂ©tait mis Ă bouger lĂ©gĂšrement son bassin, faisant aller et venir mon doigt dans son cul. Puis se tournant lĂ©gĂšrement il posa ses lĂšvres sur les miennes. Tous les deux adorions entremĂȘler nos langues, tout en branlant nos petites queues de joyeuses petites fiottes.
Nos deux mains avaient empoignés nos sexes tendus à mort. Le savon qui enduisait nos sexes rendait nos branlettes encore plus délicieuses.
â
Quelques instants plus tard jâempoignai la douchette, rinçait soigneusement Bernard, puis jâen fis de mĂȘme avec moi.
SitĂŽt sĂ©chĂ©s nous nous retrouvĂąmes au lit. Sans plus attendre je me jetai sur sa queue. Une faim de bite me tenaillait. Les quinze centimĂštres de bite disparaissaient entiĂšrement dans ma bouche. Depuis plus dâun an Ă pratiquer des pipes sur mes petits camarades, jâĂ©tais capable de faire des gorges profondes. Comme vous vous en doutz ce genre de pratique nâĂ©tait pas pour dĂ©plaire Ă mes copains.
Salivant abondamment, la queue de Bernard dĂ©goulinait, et pour rendre ma fellation encore plus cochonne, jâaccentuai mes bruits de bouche.
« Putain ! Domi tu es vraiment la meilleure suceuse de lâinternat »
« JâespĂšre bien mon chou, jâai une rĂ©putation Ă tenir »
Abandonnant sa queue quelques instants, je remontai doucement avec ma langue, lĂ©chait son nombril, puis ses tĂ©tons lâun aprĂšs lâautre, et Ă nouveau je posai mes lĂšvres humides au gout de bite sur les siennes.
AussitĂŽt Bernard vrilla sa langue dans ma bouche, mĂ©langeant nos salives, pendant que nos queues se frottaient lâune sur lâautre.
Quittant ma bouche, Bernard pivotĂąt sous moi. Sa tĂȘte se glissa entre mes jambes, puis sa bouche avala ma queue. Jâen fis de mĂȘme et tous les deux en bonne petites salopes, nous nous bouffĂąmes la bite. De temps en temps nous faisions une petite pause, histoire de calmer le jeu. Pas question de jouir rapidement.
DĂ©laissant nos sexes, on se mit cĂŽte Ă cĂŽte nous caressant tendrement lâun et lâautre. Je ne lâavais jamais dit Ă Bernard, mais jâĂ©tais secrĂštement un peu amoureux de lui.
« Tu sais jâai adorĂ© quand tu mâas mis ton doigt dans le cul, et jâai un aveu Ă te faire. »
« Croustillant jâespĂšre »
« Je pense que tu vas adorer. Aux derniÚres vacances avec mon frÚre nous avons expérimenté le sexe anal »
« Non »
« Si, et câĂ©tait fantastique »
« Tu nâas pas eu mal »
« TrÚs légÚrement, mais la douleur est passée trÚs vite »
« Wow ! » et vous lâavait fait souvent ? »
« Oh oui, pendant quinze jours il mâa enculĂ© tous les soirs, si bien que mon petit trou est devenu trĂšs accueillant »
« Je comprends mieux pourquoi mon doigt est rentré aussi facilement. »
« Tu vois câest ma surprise, car je veux que ce soir tu mâencules, ça fait presquâun mois que je nâai pas Ă©tĂ© baisĂ© et ça me manques. Tu veux bien ? »
« Je ne sais pas trop, je ne lâai jamais fait »
« TâinquiĂštes, je vais me mettre sur le ventre et tu vas jouer avec mon petit trou »
AussitĂŽt il se retourna, puis Ă©carta ses jambes, puis ouvrit ses fesses avec ses deux mains.
Sa petite rondelle Ă©tait dâun joli rose sombre. JâĂ©tais encore un peu sous le choc de la rĂ©vĂ©lation, mais la vue de son joli petit cul offert me ravissait. Ma verge devint encore plus dure.
« Crache sur ma rondelle mon chou et masse la doucement, puis enfonce ton doigt.
Je mâexĂ©cutai, libĂ©rant un flot de salive sur son petit trou, puis enfonçai mon doigt sans difficultĂ© »
« Hum câest bon, mon chĂ©ri tu vas me baiser comme une petite femelle »
« Tâes encore plus salope que moi »
« Mets un autre doigt «
Le deuxiĂšme doigt rentra aussi facilement que le premier. Mâenhardissant je crachai encore un flot de salive, puis poussai un troisiĂšme doigt. Je nâen revenais pas. Mes doigts allaient et venaient, coulissant parfaitement dans sa gaine anale.
« Câest trop bon chĂ©ri, je crois que je suis bien ouvert, mets ta queue maintenant »
Cette fois sans hésiter je me plaçai entre ses cuisses. Mon gland face au petit orifice qui baillait légÚrement.
Timidement je posai le bout de ma queue sur le petit anneau plissé. Sentant mon sexe, Bernard poussa en arriÚre avalant ma queue.
Lâimpression Ă©tait fantastique, câtait la premiĂšre fois que jâallais baiser quelquâun. Ma bite Ă©tait dĂ©licieusement serrĂ©e par son sphincter. Incapable de me retenir je mâenfonçais dâun coup dans ses reins.
« Salope tu me défonces »
« DĂ©solĂ© je nâai pas pu rĂ©sister »
Mon sexe était complÚtement enfoncé dans son cul, et mes couilles butaient contre son cul.
« Câest trop bon de se faire enculer » dit Bernard. « Vas-y baise moi bien maintenant, prends moi comme une chienne »
Ces mots me galvanisĂšrent et je me mis Ă lâenculer sauvagement, faisant claquer mes cuisses contre les siennes. Au bout de quelques minutes, Bernard se libĂ©ra.
JâĂ©tais frustrĂ©.
« Tu ne veux plus « ?
« Oh si mon chou, mais je vais me mettre sur le dos pour te voir me baiser »
Bernard se mit sur son dos, releva ses jambes mâoffrant une vue parfaite sur son anus.
« Mouille moi encore un peu »
AprĂšs avoir Ă nouveau enduit sa rondelle â jâapprochai ma queue puis enfilai Ă nouveau mon camarade. Ma queue le pĂ©nĂ©tra Ă nouveau encore plus facilement. Jamais je nâaurais cru que cela serait aussi bon dâenculer un garçon. Bernard me fixait dâun air ravi, tout en profĂ©rant des mots cochons.
« Je suis ta salope et toi une super baiseuse, jâaime ta queue dĂ©fonce-moi ».
Sa queue Ă©tait aussi tendue Ă mort. Impossible pour moi de rĂ©sister. Je me penchai pour lâengloutir, quelques gouttes perlaient au bout du gland. Dâun coup de langue je recueillis ce nectar, avant dâengloutir son sexe. Sous moi Bernard mâaccompagnait, son cul venant Ă la rencontre de ma bite. Je continuai Ă le sucer tout en lâenculant. CâĂ©tait vraiment trop bon. A ce rythme lĂ nos jouissances ne tardĂšrent pas Ă venir. Je sentis mon sexe gonfler puis il expulsa des gerbes de foutre dans le cul de Bernard, jâavais lâimpression que mon Ă©jaculation ne sâarrĂȘtait plus, pendant que lui Ă©jaculait dans ma bouche. Il ne mâavait jamais autant gavĂ© de sperme. Son jus de jeune mĂąle inondait ma bouche. Tellement abondant que jâavais du mal Ă avaler en mĂȘme temps, mais pas question de perdre une goutte du prĂ©cieux nectar. Bernard et moi adorons tous les deux nous gaver de nos spermes.
Une fois nos jouissances terminĂ©es je mâĂ©croulai sur mon camarade. Nos bouches se collĂšrent lâune Ă lâautre. La mienne Ă©tait encore pleine de semence. Nos langues baignaient dans une mare de foutre. Bien quâayant joui ma queue bien plantĂ©e dans le cul de Bernard ne dĂ©bandait pas. Je commençai Ă me retirer, quand Bernard me ceintura avec ses jambes.
« Reste en moi mon chou, laisse moi encore profiter de ta dĂ©licieuse bite. JâespĂšre que tu as adorĂ©, pour moi câĂ©tait fantastique, et tu vas avoir intĂ©rĂȘt Ă me baiser comme cela tout le week-end »
« Dâaccord mon chou, mais Ă une condition »
Intrigué, Bernard me demanda ma condition
« Moi aussi je veux ta queue en moi, il est temps que mon trou du cul se fasse emmancher. Je ne veux plus avoir un cul de pucelle et je veux que tu sois le premier à me baiser comme une petite femelle »
« Bon, ben je pense que cette condition ne sera pas trop dure Ă remplir, de mĂȘme que ton cul ma petite salope »
« Jâai hĂąte dâĂȘtre Ă demain soir, je tâaime »
« Moi aussi chaton »
EpuisĂ© nous nous endormĂźmes tous les deux dans les bras lâun de lâautre.
SolĂšne
2 years ago