Deux jeunes pour un daddy
Nous sommes mercredi, dix-neuf heures. La tempĂ©rature est clĂ©mente, quoi quâun peu fraĂźche mais parfaite pour une longue marche. AprĂšs une journĂ©e au bureau, ça me fera le plus grand bien de me dĂ©gourdir les jambes. Jâenfile donc mon blouson de cuir, une casquette pour me diriger vers le parc prĂšs de chez moi.
Jâemprunte donc la rue, dâun pas assurĂ©, espĂ©rant brĂ»ler quelques calories du poulet frit que jâai ingurgitĂ© pour le souper. Bien entendu, je sais que jâen brĂ»lerai plus lorsque jâirai au gym vers vingt-et-une heure.
Jâentre dans le parc. Je ne suis pas le seul Ă y marcher, plusieurs ayant eu la mĂȘme idĂ©e que moi. Les mains dans les poches de mon jeans, je regarde ici et lĂ . Ce parc est vraiment joli, avec tous ses Ă©normes arbres, bien entretenu, propre. Une dame promĂšne son chien, me saluant par un sourire au passage. Je peux entendre les mecs qui jouent au baseball, pas trĂšs loin, sur le terrain nouvellement emmĂ©nagĂ©.
Je poursuis donc ma marche, empruntant un sentier qui longe un petit boisĂ©. Il y a un peu moins de monde, les gens prĂ©fĂ©rant le large sentier central. Moi, jâapprĂ©cie ce sentier plus calme.
Assis sur un banc, deux jeunes dirigent leur attention sur leur cellulaire, les yeux bien encrĂ©s sur lâĂ©cran. Suivant le sentier, je me trouve Ă me rapprocher dâeux, sans vraiment mâen occuper jusquâĂ ce que lâun dâeux lĂšve les yeux et, dâun coup de coude, incite son ami Ă me regarder. Ils se sourient. Lâun dâeux Ă©carte les cuisses et se met Ă se tripoter la queue. Ăa devient trĂšs intĂ©ressant. Je dĂ©cide donc de prendre place sur le banc dâen face, sortant mon cellulaire de ma poche et mâallumant une cigarette. Je feins de les ignorer, regardant mon cellulaire sans mĂȘme ouvrir une application. Je veux juste voir ce qui se passera. Je lĂšve lĂ©gĂšrement les yeux et ils sont lĂ , tous les deux Ă se caresser la bite par-dessus leur jeans, me fixant sans rien dire. Ils sont beaux, quoi que trĂšs jeunes. Je ne leur donne pas dix-huit ans, peut-ĂȘtre seize ou dix-sept ans tout au plus. Lâun deux est asiatique, trĂšs mince tandis que lâautre est caucasien, un peu plus costaud mais sans plus.
Soudain, lâasiatique se lĂšve, faisant signe Ă son ami de le suivre. Tous deux prennent le pas de marche, sans me faire signe de les accompagner. Je me dis quâils se sont bien moquĂ©s de moi. Je les observe, les suivant du regard. Ils sâarrĂȘtent, se parlent sans que je puisse les entendre et empruntent un petit sentier dans le boisĂ©. Alors lĂ , je me dis quâon nâentre pas dans le boisĂ© pour rien.
Je quitte donc le banc, curieux de savoir pourquoi ils sont entrĂ©s dans le boisĂ©. Je me rapproche tranquillement et jâentre, Ă mon tour, dans le boisĂ©, suivant le petit sentier piĂ©tinĂ© sĂ»rement par des mecs en chaleur. Rien, je ne les vois pas. Je ne rebrousserai pas chemin tout de suite, prĂ©fĂ©rant marcher encore un peu et câest lĂ que je les retrouve. Je mâarrĂȘte pour les mater, cachĂ© derriĂšre un arbre. Ils sâembrassent jusquâĂ ce que lâasiatique sâagenouille pour dĂ©boutonner le jeans de son ami, y sortir une queue bien dure pour la prendre en bouche, la suçant avec ardeur.
Je ne sais pas si je dois mâapprocher, ayant quand mĂȘme affaire Ă deux jeunes qui ont quarante ans de plus que moi. Mais la vue en vaut la peine, mon cĂŽtĂ© voyeur enchantĂ© par ces deux petits corps.
Lâasiatique se relĂšve, sâappuie contre un arbre et cambre les reins. Son ami sâempresse de baisser le jeans et empoigne sa queue, la frappant sur le cul qui ne demande quâĂ se faire labourer. Je dois dire que ce cul est tout Ă fait bandant. Un beau petit cul arrondi. Sans mĂ©nagement, le caucasien lui enfile sa bite, faisant sursauter le jeune qui laisse entendre un petit cri.
Je me dĂ©cide donc de me rapprocher, bien dĂ©cidĂ© Ă tenter ma chance. Le bruit de mes pas sur le sol parvient Ă leurs oreilles et tous deux se retournent vers moi, incitant le caucasien Ă accĂ©lĂ©rer ses mouvements. Je me rapproche encore, Ă quelques centimĂštres dâeux. Je nâaurais quâĂ allonger le bras pour les toucher mais je ne bouge pas, me contentant de les regarder, jusquâĂ ce que lâenculeur sorte sa bite de ce magnifique cul et se retourne vers moi.
- Allez, tu en as envie. Une belle queue jeune pour un daddy, câest intĂ©ressant non? Me dit le jeune en se balançant les hanches, sa bite suivant la cadence.
Je pose un genou sur le sol, retourne ma casquette, ouvre la bouche et engloutit son poireau. Lâasiatique se tourne Ă son tour pour me prĂ©senter son gourdin que je prends en main pour le branler pendant que lâautre mâoblige Ă tout prendre en poussant sur le derriĂšre de ma tĂȘte. Et jâouvre trĂšs grand la bouche, reculant lĂ©gĂšrement la tĂȘte pour me sortir la bite, dĂ©sirant sucer lâasiatique. Pendant quelques instants, je me promĂšne entre les deux queues, les pompant avec enthousiasme.
Je me relĂšve. Le caucasien se place derriĂšre moi et me dĂ©barrasse de mon blouson avant dâouvrir mon jeans, y glissant la main pour en sortir ma bite que lâasiatique sâempresse de sucer. Sans attendre, il baisse mon jeans et mâoblige Ă me pencher vers lâavant. Je sens sa bite entre mes fesses et comme avec son ami, il me fourre dâun grand coup, y enfonçant bien Ă fond son canon qui, soit dit en passant, est plutĂŽt bien garni. Je le sens parfaitement Ă lâintĂ©rieur de moi.
Lâasiatique me lĂąche la queue et vient se placer Ă ma gauche, penchant aussi le haut de son corps. Tout de suite, son ami se retire de moi pour le piner. Je me retourne le visage et lĂšche les lĂšvres de celui qui se plaĂźt Ă se faire fourrer bien Ă fond. Il ouvre la bouche et mâembrasse goulument. Je peux Ă nouveau sentir la verge dans mon cul et je le bouge dâavant en arriĂšre pour me faire dĂ©foncer bien profondĂ©ment. Je peux entendre le bruit du claquement opĂ©rĂ© par les tapes que le caucasien donnent sur les fesses de son ami tandis quâil me fourre.
Il se retire et me dit de me coucher sur le dos, mâenlevant mon jeans au complet pour me relever les jambes avant de me dauffer Ă nouveau. Il pose ses mains sur le sol, prenant appui pour pouvoir me fourrer Ă son goĂ»t, par de grands coups secs Sa respiration me dit quâil est sur le point de jouir et il se retire, se plaçant au-dessus de mon visage en pliant les genoux. Au lieu de me cracher sa crĂšme dans le cul, il prĂ©fĂšre se finir Ă la main. Jâouvre la bouche et se rapprochant encore plus, il me dĂ©charge sa liqueur chaude et graisseuse et tout de suite, lâasiatique mâembrasse en lĂ©chant tout ce que je nâavais pas avalĂ©. Il se dĂ©place et se met Ă me sucer avec ardeur. Je donne de petits coups, sentant venir la jouissance et lui accĂ©lĂšre son mouvement. Je lui garoche ma sauce dans le fond de la gorge, ne cessant de me sucer bien Ă fond. Je nâen peux plus, je veux juste quâil sâarrĂȘte mais lui me suce avec toujours autant de vivacitĂ©. Jâai lâimpression que mon gland va exploser. Mes rĂąlements semblent lâexciter toujours plus alors je tente de les taire mais ça mâest impossible.
Enfin, il lĂąche prise et se lĂšve avant de relever son jeans. Je le regarde, me disant quâil nâa pas joui mais bon, câest son affaire. Son ami en fait de mĂȘme. Moi, je demeure par terre, sur le dos, reprenant une respiration normale.
- Tu es hot pour un vieux, me dit le caucasien. Nous sommes dans ce parc tous les soirs si jamais ça te dit de te faire fourrer à nouveau.
Ils quittent, me laissant lĂ , nu, dans le boisĂ©. Je me relĂšve, me rhabille et quitte aussi les lieux, bien heureux de savoir que je pourrai les retrouver les soirs dâenvie.
Jâemprunte donc la rue, dâun pas assurĂ©, espĂ©rant brĂ»ler quelques calories du poulet frit que jâai ingurgitĂ© pour le souper. Bien entendu, je sais que jâen brĂ»lerai plus lorsque jâirai au gym vers vingt-et-une heure.
Jâentre dans le parc. Je ne suis pas le seul Ă y marcher, plusieurs ayant eu la mĂȘme idĂ©e que moi. Les mains dans les poches de mon jeans, je regarde ici et lĂ . Ce parc est vraiment joli, avec tous ses Ă©normes arbres, bien entretenu, propre. Une dame promĂšne son chien, me saluant par un sourire au passage. Je peux entendre les mecs qui jouent au baseball, pas trĂšs loin, sur le terrain nouvellement emmĂ©nagĂ©.
Je poursuis donc ma marche, empruntant un sentier qui longe un petit boisĂ©. Il y a un peu moins de monde, les gens prĂ©fĂ©rant le large sentier central. Moi, jâapprĂ©cie ce sentier plus calme.
Assis sur un banc, deux jeunes dirigent leur attention sur leur cellulaire, les yeux bien encrĂ©s sur lâĂ©cran. Suivant le sentier, je me trouve Ă me rapprocher dâeux, sans vraiment mâen occuper jusquâĂ ce que lâun dâeux lĂšve les yeux et, dâun coup de coude, incite son ami Ă me regarder. Ils se sourient. Lâun dâeux Ă©carte les cuisses et se met Ă se tripoter la queue. Ăa devient trĂšs intĂ©ressant. Je dĂ©cide donc de prendre place sur le banc dâen face, sortant mon cellulaire de ma poche et mâallumant une cigarette. Je feins de les ignorer, regardant mon cellulaire sans mĂȘme ouvrir une application. Je veux juste voir ce qui se passera. Je lĂšve lĂ©gĂšrement les yeux et ils sont lĂ , tous les deux Ă se caresser la bite par-dessus leur jeans, me fixant sans rien dire. Ils sont beaux, quoi que trĂšs jeunes. Je ne leur donne pas dix-huit ans, peut-ĂȘtre seize ou dix-sept ans tout au plus. Lâun deux est asiatique, trĂšs mince tandis que lâautre est caucasien, un peu plus costaud mais sans plus.
Soudain, lâasiatique se lĂšve, faisant signe Ă son ami de le suivre. Tous deux prennent le pas de marche, sans me faire signe de les accompagner. Je me dis quâils se sont bien moquĂ©s de moi. Je les observe, les suivant du regard. Ils sâarrĂȘtent, se parlent sans que je puisse les entendre et empruntent un petit sentier dans le boisĂ©. Alors lĂ , je me dis quâon nâentre pas dans le boisĂ© pour rien.
Je quitte donc le banc, curieux de savoir pourquoi ils sont entrĂ©s dans le boisĂ©. Je me rapproche tranquillement et jâentre, Ă mon tour, dans le boisĂ©, suivant le petit sentier piĂ©tinĂ© sĂ»rement par des mecs en chaleur. Rien, je ne les vois pas. Je ne rebrousserai pas chemin tout de suite, prĂ©fĂ©rant marcher encore un peu et câest lĂ que je les retrouve. Je mâarrĂȘte pour les mater, cachĂ© derriĂšre un arbre. Ils sâembrassent jusquâĂ ce que lâasiatique sâagenouille pour dĂ©boutonner le jeans de son ami, y sortir une queue bien dure pour la prendre en bouche, la suçant avec ardeur.
Je ne sais pas si je dois mâapprocher, ayant quand mĂȘme affaire Ă deux jeunes qui ont quarante ans de plus que moi. Mais la vue en vaut la peine, mon cĂŽtĂ© voyeur enchantĂ© par ces deux petits corps.
Lâasiatique se relĂšve, sâappuie contre un arbre et cambre les reins. Son ami sâempresse de baisser le jeans et empoigne sa queue, la frappant sur le cul qui ne demande quâĂ se faire labourer. Je dois dire que ce cul est tout Ă fait bandant. Un beau petit cul arrondi. Sans mĂ©nagement, le caucasien lui enfile sa bite, faisant sursauter le jeune qui laisse entendre un petit cri.
Je me dĂ©cide donc de me rapprocher, bien dĂ©cidĂ© Ă tenter ma chance. Le bruit de mes pas sur le sol parvient Ă leurs oreilles et tous deux se retournent vers moi, incitant le caucasien Ă accĂ©lĂ©rer ses mouvements. Je me rapproche encore, Ă quelques centimĂštres dâeux. Je nâaurais quâĂ allonger le bras pour les toucher mais je ne bouge pas, me contentant de les regarder, jusquâĂ ce que lâenculeur sorte sa bite de ce magnifique cul et se retourne vers moi.
- Allez, tu en as envie. Une belle queue jeune pour un daddy, câest intĂ©ressant non? Me dit le jeune en se balançant les hanches, sa bite suivant la cadence.
Je pose un genou sur le sol, retourne ma casquette, ouvre la bouche et engloutit son poireau. Lâasiatique se tourne Ă son tour pour me prĂ©senter son gourdin que je prends en main pour le branler pendant que lâautre mâoblige Ă tout prendre en poussant sur le derriĂšre de ma tĂȘte. Et jâouvre trĂšs grand la bouche, reculant lĂ©gĂšrement la tĂȘte pour me sortir la bite, dĂ©sirant sucer lâasiatique. Pendant quelques instants, je me promĂšne entre les deux queues, les pompant avec enthousiasme.
Je me relĂšve. Le caucasien se place derriĂšre moi et me dĂ©barrasse de mon blouson avant dâouvrir mon jeans, y glissant la main pour en sortir ma bite que lâasiatique sâempresse de sucer. Sans attendre, il baisse mon jeans et mâoblige Ă me pencher vers lâavant. Je sens sa bite entre mes fesses et comme avec son ami, il me fourre dâun grand coup, y enfonçant bien Ă fond son canon qui, soit dit en passant, est plutĂŽt bien garni. Je le sens parfaitement Ă lâintĂ©rieur de moi.
Lâasiatique me lĂąche la queue et vient se placer Ă ma gauche, penchant aussi le haut de son corps. Tout de suite, son ami se retire de moi pour le piner. Je me retourne le visage et lĂšche les lĂšvres de celui qui se plaĂźt Ă se faire fourrer bien Ă fond. Il ouvre la bouche et mâembrasse goulument. Je peux Ă nouveau sentir la verge dans mon cul et je le bouge dâavant en arriĂšre pour me faire dĂ©foncer bien profondĂ©ment. Je peux entendre le bruit du claquement opĂ©rĂ© par les tapes que le caucasien donnent sur les fesses de son ami tandis quâil me fourre.
Il se retire et me dit de me coucher sur le dos, mâenlevant mon jeans au complet pour me relever les jambes avant de me dauffer Ă nouveau. Il pose ses mains sur le sol, prenant appui pour pouvoir me fourrer Ă son goĂ»t, par de grands coups secs Sa respiration me dit quâil est sur le point de jouir et il se retire, se plaçant au-dessus de mon visage en pliant les genoux. Au lieu de me cracher sa crĂšme dans le cul, il prĂ©fĂšre se finir Ă la main. Jâouvre la bouche et se rapprochant encore plus, il me dĂ©charge sa liqueur chaude et graisseuse et tout de suite, lâasiatique mâembrasse en lĂ©chant tout ce que je nâavais pas avalĂ©. Il se dĂ©place et se met Ă me sucer avec ardeur. Je donne de petits coups, sentant venir la jouissance et lui accĂ©lĂšre son mouvement. Je lui garoche ma sauce dans le fond de la gorge, ne cessant de me sucer bien Ă fond. Je nâen peux plus, je veux juste quâil sâarrĂȘte mais lui me suce avec toujours autant de vivacitĂ©. Jâai lâimpression que mon gland va exploser. Mes rĂąlements semblent lâexciter toujours plus alors je tente de les taire mais ça mâest impossible.
Enfin, il lĂąche prise et se lĂšve avant de relever son jeans. Je le regarde, me disant quâil nâa pas joui mais bon, câest son affaire. Son ami en fait de mĂȘme. Moi, je demeure par terre, sur le dos, reprenant une respiration normale.
- Tu es hot pour un vieux, me dit le caucasien. Nous sommes dans ce parc tous les soirs si jamais ça te dit de te faire fourrer à nouveau.
Ils quittent, me laissant lĂ , nu, dans le boisĂ©. Je me relĂšve, me rhabille et quitte aussi les lieux, bien heureux de savoir que je pourrai les retrouver les soirs dâenvie.
2 years ago