COUSINE.
Ma cousine.
Tous les Ă©tĂ©s, jâallais en vacances chez mes grands-parentsâŠ
Je retrouvais ma cousine (du cotĂ© de mon pĂšre) du mĂȘme Ăąge que moi, Ă©galement en vacances.
Nous étions trÚs jeunes au début et nous jouions au docteur, au papa et à la maman :
On se touchait, elle me montrait sa culotte, on se frĂŽlait.
Jeux de gamins, jusquâĂ environ nos 14 ans.
Mais jamais nous ne sommes allés plus loin.
![COUSINE.](https://ic-ph-nss.xhcdn.com/a/N2U2MDUwZjYyYWI3YTlkNWNjNTAxYzk2YzM5MDQyNTY/jpeg/000/487/836/089_1000.jpg)
Il y a quelques annĂ©es, aprĂšs nous ĂȘtre perdu de vue, nous nous sommes retrouvĂ©s par le biais des rĂ©seaux sociauxâŠ
Nous avions la quarantaine.
Nous avons donc repris contact, parlĂ© de tout et de rien, de la vie, la sĂ©paration dâavec nos conjoints.
Et bien sûr, nous avons reparlé de notre jeunesse, nos vacances chez nos grands-parents et de nos petits jeux de gamins.
Nous sommes restés un moment à nous appeler et à dériver doucement sur des sujets plus chauds.
Je finissais par me branler.
Un jour je lui ai avoué.
Elle a ri et sâest moquĂ© gentiment de moi.
Mais nous avons continué nos conversations.
Un jour elle mâa dit quâelle devait passer dans ma ville pour faire des papiers et avait rĂ©servĂ© une chambre dâhĂŽtel, prĂšs de la gare.
Que je pouvais passer la voir pour rediscuter de tout cela.
Elle ne voulait pas venir chez moi.
Ce fameux matin, je suis allé à son hÎtel.
Cela fait bizarre de donner le mĂȘme nom que le sien Ă la rĂ©ception !
Je me suis dirigĂ© vers sa chambre, mon cĆur battait fort.
Je tremblais dâĂ©motion et de dĂ©sir.
Jâai toquĂ© Ă sa porte.
Elle est venue mâouvrir.
Elle Ă©tait entiĂšrement nueâŠ
Seins gĂ©nĂ©reux, un peu lourd, plus ceux de la gamine que jâavais connu, chatte Ă©pilĂ©e qui laissait apparaitre un magnifique abricot avec de belles grandes lĂšvres.
Je suis rentré, éberlué par le spectacle de son corps.
Elle a fermĂ© la porte et mâa sautĂ© au couâŠ
Mâa embrassĂ© comme une folle.
Nos bouches étaient soudées.
Nos langues sâenroulaient entre elle.
Mes mains caressaient ses fesses rondes et galbées.
Nous avons glissé directement vers le lit.
Comme de vieux amants qui se retrouvent réguliÚrement.
Une vraie furieâŠ
Elle me dĂ©shabille, en me caressant et en mâembrassant.
Nous avons directement fait lâamour, enfin plutĂŽt baisĂ© comme des bĂȘtesâŠ
Je ne sais pas combien de fois jâai joui en elleâŠ
Et combien de fois, elle a jouiâŠ
Ni combien de temps je suis resté mais ce fut magique, féerique.
Tout y est passĂ©âŠ
Sa bouche, son vagin, son culâŠ
Elle mâa lĂ©chĂ©, sucĂ©, gobĂ©âŠ
Des petites poses Ă discuter de notre enfance, de nos vacances, de nos enviesâŠ
Et aussi pour se remettre de ce que nous faisions.
Nous avons remis cela dans la salle de bains, sur le tapis Ă mĂȘme le sol, sur le bureau...
Elle mâavoua quâelle nâavait pas baisĂ© depuis 2 ans !!!
Quand je lâai quittĂ© jâĂ©tais sur un nuage, vidĂ©âŠ
Mais heureux.
Aucuns remords, aucun tabou par rapport Ă ce que nous avions fait.
Depuis, nous nous sommes revu une bonne dizaine de fois.
Et malgré que nous ayons refait notre vie chacun de notre cÎté...
Nous nous revoyons de temps en temps quand je passe vers chez elle.
Jâaime ma cousine.
Je retrouvais ma cousine (du cotĂ© de mon pĂšre) du mĂȘme Ăąge que moi, Ă©galement en vacances.
Nous étions trÚs jeunes au début et nous jouions au docteur, au papa et à la maman :
On se touchait, elle me montrait sa culotte, on se frĂŽlait.
Jeux de gamins, jusquâĂ environ nos 14 ans.
Mais jamais nous ne sommes allés plus loin.
![COUSINE.](https://ic-ph-nss.xhcdn.com/a/N2U2MDUwZjYyYWI3YTlkNWNjNTAxYzk2YzM5MDQyNTY/jpeg/000/487/836/089_1000.jpg)
Il y a quelques annĂ©es, aprĂšs nous ĂȘtre perdu de vue, nous nous sommes retrouvĂ©s par le biais des rĂ©seaux sociauxâŠ
Nous avions la quarantaine.
Nous avons donc repris contact, parlĂ© de tout et de rien, de la vie, la sĂ©paration dâavec nos conjoints.
Et bien sûr, nous avons reparlé de notre jeunesse, nos vacances chez nos grands-parents et de nos petits jeux de gamins.
Nous sommes restés un moment à nous appeler et à dériver doucement sur des sujets plus chauds.
Je finissais par me branler.
Un jour je lui ai avoué.
Elle a ri et sâest moquĂ© gentiment de moi.
Mais nous avons continué nos conversations.
Un jour elle mâa dit quâelle devait passer dans ma ville pour faire des papiers et avait rĂ©servĂ© une chambre dâhĂŽtel, prĂšs de la gare.
Que je pouvais passer la voir pour rediscuter de tout cela.
Elle ne voulait pas venir chez moi.
Ce fameux matin, je suis allé à son hÎtel.
Cela fait bizarre de donner le mĂȘme nom que le sien Ă la rĂ©ception !
Je me suis dirigĂ© vers sa chambre, mon cĆur battait fort.
Je tremblais dâĂ©motion et de dĂ©sir.
Jâai toquĂ© Ă sa porte.
Elle est venue mâouvrir.
Elle Ă©tait entiĂšrement nueâŠ
Seins gĂ©nĂ©reux, un peu lourd, plus ceux de la gamine que jâavais connu, chatte Ă©pilĂ©e qui laissait apparaitre un magnifique abricot avec de belles grandes lĂšvres.
Je suis rentré, éberlué par le spectacle de son corps.
Elle a fermĂ© la porte et mâa sautĂ© au couâŠ
Mâa embrassĂ© comme une folle.
Nos bouches étaient soudées.
Nos langues sâenroulaient entre elle.
Mes mains caressaient ses fesses rondes et galbées.
Nous avons glissé directement vers le lit.
Comme de vieux amants qui se retrouvent réguliÚrement.
Une vraie furieâŠ
Elle me dĂ©shabille, en me caressant et en mâembrassant.
Nous avons directement fait lâamour, enfin plutĂŽt baisĂ© comme des bĂȘtesâŠ
Je ne sais pas combien de fois jâai joui en elleâŠ
Et combien de fois, elle a jouiâŠ
Ni combien de temps je suis resté mais ce fut magique, féerique.
Tout y est passĂ©âŠ
Sa bouche, son vagin, son culâŠ
Elle mâa lĂ©chĂ©, sucĂ©, gobĂ©âŠ
Des petites poses Ă discuter de notre enfance, de nos vacances, de nos enviesâŠ
Et aussi pour se remettre de ce que nous faisions.
Nous avons remis cela dans la salle de bains, sur le tapis Ă mĂȘme le sol, sur le bureau...
Elle mâavoua quâelle nâavait pas baisĂ© depuis 2 ans !!!
Quand je lâai quittĂ© jâĂ©tais sur un nuage, vidĂ©âŠ
Mais heureux.
Aucuns remords, aucun tabou par rapport Ă ce que nous avions fait.
Depuis, nous nous sommes revu une bonne dizaine de fois.
Et malgré que nous ayons refait notre vie chacun de notre cÎté...
Nous nous revoyons de temps en temps quand je passe vers chez elle.
Jâaime ma cousine.
2 years ago