MERE

La masturbation de ma mère.

Je l'ai seulement entendue deux fois se masturber...
A un an d'intervalle, et dans les mêmes circonstances.
Mon père venait de la prendre, en faisait pas mal grincer le lit, puis à cause de la chaleur il partait dormir au rez-de-chaussée.
Moi, je les avais écoutés derrière leur porte de chambre en me caressant.
Surpris par le départ de mon père, je n'avais pas encore joui.
J'ai donc voulu me finir devant leur porte.

Puis je me suis aperçu que ma mère ne s'était pas endormie.
Mais par contre qu'elle respirait de plus en plus fort et qu'il y avait des bruits de clapotis...
Elle se doigtait...
J'ai dû arrêter mes caresses pour ne pas jouir...

Puis j'ai entendu le bruit que fait le tiroir de sa table de nuit, là où elle range ses godes.
Puis sa respiration a encore été plus forte tout comme les bruits mouillés...
Puis le silence et le bruit du tiroir que l'on referme...

Cela n'a duré que quelques minutes, mais cela a été très fort...
J'en avais même joui sans me toucher !
Différent de lorsque c'est mon père qui la caresse, puis qu'il n'y a pas eu de jouissance sonore.

J'étais très curieux de savoir avec lesquels de ses jouets elle avait pris du plaisir.
Je les avais trouvés, dans son tiroir, dans une petite serviette de toilette.
La première fois, elle avait utilisé son gode rigide blanc.
Pour la seconde, qui a durée un peu plus longtemps et qui m'a semblé plus intense, elle s’est servie de son gode point G rose.
Bien sûr, au moment où je les ai touchés, ils n'étaient pas comme j'en rêvais, encore recouverts de sa cyprine...
Tout juste quelques très légères traces.
Mais l'excitation revint et je me masturbais de nouveau, tenant dans une main un objet qui avait comblé ma mère...

Et de jouir en l'imaginant se caresser...
Pincer ses tétons dressés et réceptifs...
Écarter ses lèvres lisses et palpitantes...
Chatouiller de ses doigts son fruit juteux et avide de désir...
Effleurer son bouton érigé et sensible...
Puis fouiller avec son jouet l'intérieur de sa douce et moite intimité...
Jusqu'à l'envahissante plénitude...