Ghislaine, première fois
Ghislaine est une vraie bourgeoise comme je les aime. Toujours raffinée. Sous l’élégance, un tempérament bouillant. Ma foi, ça faisait un bout de temps que je l’avais repérée. Sous la jupe de son tailleur gris, une superbe croupe en mouvement. Assez généreuse et suffisamment cambrée pour m’appâter. Les vertigineux talons aiguilles de ses escarpins claquent sur le pavé. Je lui ai emboîté le pas et mes yeux se sont alors accrochés à la maille fine de ses bas noirs. Ghislaine, comme à chaque fois que je l’avais croisée, a adopté une démarche vive que la hauteur de ses talons n’entrave pas. Bref, faut pas mollir. Je suis vraiment décidé à l’aborder.
Elle a quitté le Monoprix avec deux grands sacs de courses, ce qui ne contraint en rien son allure gracieuse. Je me cale sur son rythme pour traverser la place d’Armes. Assis sur un banc, des jeunes la regardent passer. Je devine leurs regards de jeunes mâles affamés sur ses seins aux tétons bien dressés sous le chemisier. Ghislaine conserve sa posture déterminée et progresse vers la rue Magenta. Je m’efforce maintenant de diminuer la distance avec elle. Je suis en mesure de respirer son parfum. J’ignore complètement où elle habite mais je me doute bien que nous approchons de chez elle.
Sa marche se fait un peu moins soutenue ; elle commence à fatiguer. C’est le moment. Grand sourire, je me porte à sa hauteur.
- Je peux vous aider ? Je vois que vous êtes bien encombrée.
- Eh bien… Oui, merci. Je réside pas très loin mais si ça peut me soulager, c’est avec plaisir.
Elle me tend ses deux grands sacs. Je jette un œil rapide à l’intérieur. Essentiellement de l’alimentaire.
- Allons-y.
Je la suis, on discute un peu. On se donne nos prénoms. Nous passons à côté d’une annexe de l’hôtel de ville, où travaille une autre belle bourgeoise que j’ai défoncé il y a quelques temps. Ghislaine réside dans le bâtiment voisin, de construction assez récente. Elle passe devant moi, m’ouvre la porte puis nous empruntons l’escalier. Vue divine sur ses bas qui commencent à plisser aux chevilles.
Deuxième étage, première porte à gauche. Depuis l’appartement de la bourgeoise, on a une belle vue sur l’Est de la ville. Je dépose les deux sacs sur la table de la cuisine. Ghislaine range ses achats avec méthode et rapidité.
- Au fait, je ne vous ai pas remercié, dit-elle une fois qu’elle a terminé. Un café, pour commencer ? Prenez place au salon.
- Volontiers.
La machine à expresso ronronne pendant que je change de pièce. Le salon est décoré d’un beau guéridon ainsi que d’un tapis épais. Tandis que je m’installe sur le canapé, Ghislaine me rejoint et pose ses fesses à côté de moi. Le café dégage de la puissance ainsi qu’un arôme profond.
- Vous aidez souvent les femmes, comme ça ?
- Seulement, celles qui me plaisent, fais-je avec un large sourire.
Ghislaine pose une main aux ongles vernis sur ma cuisse.
- J’aime votre attitude.
Ses doigts remontent vers mon entrejambe, palpent ma queue tendue. Je ne suis pas en reste : ma main s’insère entre ses cuisses, le long de ses bas nylon, atteint sa culotte bien humide. Je masse ses grandes lèvres à travers le tissu. Ghislaine lâche un premier gémissement. Je poursuis mon exploration, accentue mon mouvement avant de mettre debout.
La bourgeoise a compris et s’apprête à me dévoiler son comportement de pute. Elle relève sa jupe jusqu’à la taille, offrant à mon regard un magnifique porte-jarretelles ouvragé en dentelle violette. Elle s’accroupit. Sa bouche, que je m’apprête à ravager, est parfaitement à la hauteur de ma bite ferme.
Ghislaine s’attarde sur mon gland. Sa langue sait se montrer délicate et précise. Puis elle insiste le long de la hampe avant de gober longuement mes couilles pleines. Son regard fixe le mien.
Ghislaine relâche alors ma queue. Je l’invite à mettre ses mains dans son dos alors que je presse les miennes à l’arrière de sa tête. En bonne chienne, elle obtempère. Ma queue s’insère centimètre par centimètre, force le passage de sa gorge. Elle prend tout en bouche et ne tarde pas à baver. Je commence à imprimer un certain rythme. C’est un délice. Avec régularité, je me retire de son orifice brûlant et, à chaque fois, la pute bourgeoise crache de gros paquets de salive. Son chemisier s’en trouve imbibé pour mon mon plus grand plaisir. Je l’autorise à détacher plusieurs boutons afin de faire ressortir sa lingerie. Son soutien-gorge est de la même couleur que son porte-jarretelles.
Je reprends ma mécanique, accentue le tempo, m’enfonce toujours un peu plus loin. Ghislaine n’est visiblement pas assez habituée à un tel traitement et relâche même un peu de vomi sur la moquette. Elle ahane, peine à retrouver du souffle.
- Tu es une garce et j’adore ça ! Continue de me le prouver.
Je multiplie les va-et-vient toujours plus dévastateurs. Entre ses cuisses, une belle mare, mélange de vomissures et de salive épaisse, commence à se former. Il est temps de passer à la seconde étape.
- Tourne-toi, retire ta culotte et cambre les reins.
Je m’agenouille avant d’insérer mes doigts au cœur de sa chatte. J’en retire un jus consistant. Elle gémit, la pute bourgeoise. Le chemin étant fait, je peux maintenant y placer mon poing entier. Les cris de Ghislaine se multiplient à travers l’appartement. Elle en redemande. Sa chatte gicle à grands traits, inondant son précieux tapis.
J’enlève ma main, attends quelques instants avant de procéder à la même opération, mais du côté de sa rondelle. Celle-ci est serrée mais se dilate vite. L’excitation de ma putain est à son comble. Sa chatte ne cesse de couler abondamment.
Le cul tendu, Ghislaine est prête à se faire enculer. Ma queue prend place dans son trou le moins lisse et, là aussi, je m’efforce d’imprimer une allure régulière. Ma bourgeoise crie son bonheur d’être défoncée, d’être souillée comme la dernière des catins. Je culbute son cul sans la moindre retenue tandis que ses bas nylon plissent aux genoux et aux chevilles. C’est un délice total.
Je n’en ai pas fini avec Ghislaine. Je l’invite à conserver la même position. J’ai encore envie de baiser sa bouche de garce. Je contourne ma pute bourgeoise et viens m’installer face à elle. Je ramone sa bouche, sa gorge et c’est à nouveau un festival de salive épaisse. Je procède ainsi pendant cinq bonnes minutes avant de retourner à sa croupe.
- Tu aimes ça te faire enculer, grosse catin !
- J’adore ! Baise-moi, mon salaud !
Cette fois, j’applique un rythme encore plus soutenu. C’est un pilonnage total et je sens que la sève commence à monter. J’insiste encore, donne bon nombre de coups de rein avant de constater que la chatte de Ghislaine ne cesse de lâcher du jus de pute. Son tapis sera bon à reprendre.
Je me retire, propose à ma pute de prendre place sur le canapé et de me présenter l’une de ses jambes. J’envie de souiller son nylon.
Je me branle avec énergie au-dessus de sa cheville avant de lâcher une semence épaisse. Ghislaine tend la main vers le foutre, en prélève et lèche le bout de ses doigts avec une mine gourmande...
Elle a quitté le Monoprix avec deux grands sacs de courses, ce qui ne contraint en rien son allure gracieuse. Je me cale sur son rythme pour traverser la place d’Armes. Assis sur un banc, des jeunes la regardent passer. Je devine leurs regards de jeunes mâles affamés sur ses seins aux tétons bien dressés sous le chemisier. Ghislaine conserve sa posture déterminée et progresse vers la rue Magenta. Je m’efforce maintenant de diminuer la distance avec elle. Je suis en mesure de respirer son parfum. J’ignore complètement où elle habite mais je me doute bien que nous approchons de chez elle.
Sa marche se fait un peu moins soutenue ; elle commence à fatiguer. C’est le moment. Grand sourire, je me porte à sa hauteur.
- Je peux vous aider ? Je vois que vous êtes bien encombrée.
- Eh bien… Oui, merci. Je réside pas très loin mais si ça peut me soulager, c’est avec plaisir.
Elle me tend ses deux grands sacs. Je jette un œil rapide à l’intérieur. Essentiellement de l’alimentaire.
- Allons-y.
Je la suis, on discute un peu. On se donne nos prénoms. Nous passons à côté d’une annexe de l’hôtel de ville, où travaille une autre belle bourgeoise que j’ai défoncé il y a quelques temps. Ghislaine réside dans le bâtiment voisin, de construction assez récente. Elle passe devant moi, m’ouvre la porte puis nous empruntons l’escalier. Vue divine sur ses bas qui commencent à plisser aux chevilles.
Deuxième étage, première porte à gauche. Depuis l’appartement de la bourgeoise, on a une belle vue sur l’Est de la ville. Je dépose les deux sacs sur la table de la cuisine. Ghislaine range ses achats avec méthode et rapidité.
- Au fait, je ne vous ai pas remercié, dit-elle une fois qu’elle a terminé. Un café, pour commencer ? Prenez place au salon.
- Volontiers.
La machine à expresso ronronne pendant que je change de pièce. Le salon est décoré d’un beau guéridon ainsi que d’un tapis épais. Tandis que je m’installe sur le canapé, Ghislaine me rejoint et pose ses fesses à côté de moi. Le café dégage de la puissance ainsi qu’un arôme profond.
- Vous aidez souvent les femmes, comme ça ?
- Seulement, celles qui me plaisent, fais-je avec un large sourire.
Ghislaine pose une main aux ongles vernis sur ma cuisse.
- J’aime votre attitude.
Ses doigts remontent vers mon entrejambe, palpent ma queue tendue. Je ne suis pas en reste : ma main s’insère entre ses cuisses, le long de ses bas nylon, atteint sa culotte bien humide. Je masse ses grandes lèvres à travers le tissu. Ghislaine lâche un premier gémissement. Je poursuis mon exploration, accentue mon mouvement avant de mettre debout.
La bourgeoise a compris et s’apprête à me dévoiler son comportement de pute. Elle relève sa jupe jusqu’à la taille, offrant à mon regard un magnifique porte-jarretelles ouvragé en dentelle violette. Elle s’accroupit. Sa bouche, que je m’apprête à ravager, est parfaitement à la hauteur de ma bite ferme.
Ghislaine s’attarde sur mon gland. Sa langue sait se montrer délicate et précise. Puis elle insiste le long de la hampe avant de gober longuement mes couilles pleines. Son regard fixe le mien.
Ghislaine relâche alors ma queue. Je l’invite à mettre ses mains dans son dos alors que je presse les miennes à l’arrière de sa tête. En bonne chienne, elle obtempère. Ma queue s’insère centimètre par centimètre, force le passage de sa gorge. Elle prend tout en bouche et ne tarde pas à baver. Je commence à imprimer un certain rythme. C’est un délice. Avec régularité, je me retire de son orifice brûlant et, à chaque fois, la pute bourgeoise crache de gros paquets de salive. Son chemisier s’en trouve imbibé pour mon mon plus grand plaisir. Je l’autorise à détacher plusieurs boutons afin de faire ressortir sa lingerie. Son soutien-gorge est de la même couleur que son porte-jarretelles.
Je reprends ma mécanique, accentue le tempo, m’enfonce toujours un peu plus loin. Ghislaine n’est visiblement pas assez habituée à un tel traitement et relâche même un peu de vomi sur la moquette. Elle ahane, peine à retrouver du souffle.
- Tu es une garce et j’adore ça ! Continue de me le prouver.
Je multiplie les va-et-vient toujours plus dévastateurs. Entre ses cuisses, une belle mare, mélange de vomissures et de salive épaisse, commence à se former. Il est temps de passer à la seconde étape.
- Tourne-toi, retire ta culotte et cambre les reins.
Je m’agenouille avant d’insérer mes doigts au cœur de sa chatte. J’en retire un jus consistant. Elle gémit, la pute bourgeoise. Le chemin étant fait, je peux maintenant y placer mon poing entier. Les cris de Ghislaine se multiplient à travers l’appartement. Elle en redemande. Sa chatte gicle à grands traits, inondant son précieux tapis.
J’enlève ma main, attends quelques instants avant de procéder à la même opération, mais du côté de sa rondelle. Celle-ci est serrée mais se dilate vite. L’excitation de ma putain est à son comble. Sa chatte ne cesse de couler abondamment.
Le cul tendu, Ghislaine est prête à se faire enculer. Ma queue prend place dans son trou le moins lisse et, là aussi, je m’efforce d’imprimer une allure régulière. Ma bourgeoise crie son bonheur d’être défoncée, d’être souillée comme la dernière des catins. Je culbute son cul sans la moindre retenue tandis que ses bas nylon plissent aux genoux et aux chevilles. C’est un délice total.
Je n’en ai pas fini avec Ghislaine. Je l’invite à conserver la même position. J’ai encore envie de baiser sa bouche de garce. Je contourne ma pute bourgeoise et viens m’installer face à elle. Je ramone sa bouche, sa gorge et c’est à nouveau un festival de salive épaisse. Je procède ainsi pendant cinq bonnes minutes avant de retourner à sa croupe.
- Tu aimes ça te faire enculer, grosse catin !
- J’adore ! Baise-moi, mon salaud !
Cette fois, j’applique un rythme encore plus soutenu. C’est un pilonnage total et je sens que la sève commence à monter. J’insiste encore, donne bon nombre de coups de rein avant de constater que la chatte de Ghislaine ne cesse de lâcher du jus de pute. Son tapis sera bon à reprendre.
Je me retire, propose à ma pute de prendre place sur le canapé et de me présenter l’une de ses jambes. J’envie de souiller son nylon.
Je me branle avec énergie au-dessus de sa cheville avant de lâcher une semence épaisse. Ghislaine tend la main vers le foutre, en prélève et lèche le bout de ses doigts avec une mine gourmande...
2 years ago