Yo et Loa épisode 9 :Alice

Bonjour !
Je me prénomme Alice.
Pourquoi est-ce que j'interviens dans ce récit ?
En fait Sonia ma grande amie mais aussi ma petite amie est la fille d'Eric, le patron mais aussi ami de mon père.
J'ai toujours connu Sonia et pour cause nous sommes nées le même jour, dans la même maternité, il y a un peu plus de 17 ans. Nos parents sont amis et nous habitons à 200 mètres l'une de l'autre. Nous ne nous sommes jamais quittées, mêmes classes à l'école, même lycée ………. Je dirais que nous ne formons qu'une, mais ceci n'est pas vraiment le cas et tant mieux car nous adorons la position du 69 !
Ah, il faut que je vous prévienne, nous avons toutes deux un humour bien à nous et il est possible que certain de mes propos puissent vous choquer.
Mon amie, a un petit frère Simon de 6 ans son cadet, c'est un emmerdeur, mais il est mignon. J'ai une sœur ainée Béatrice, de 11 ans mon ainée, nous la surnommons la grande cruche. Esthéticienne, Ah oui pour ça elle s'occupe d'elle, ses poils et ses ongles sont, ses occupations favorites…. J'allais oublier son cul.

Nous sommes comme deux sœurs. Régulièrement nous passons la nuit chez l’une ou chez l’autre dormons dans le même lit. Cela a toujours été et c’est naturel, nous sommes toutes deux bonnes élèves, faisons nos devoirs ensembles sans l’aide de nos parents. Lorsque nos corps ont commencé à changer ce fut simultanément, c’était rassurant. Très tôt cette proximité nous a amenée à nous toucher, nous caresser, à nous découvrir en découvrant l’autre sans tabous en toute naïveté, mais bien entendu en secret.
Je pense que cette relation, nous a fait grandir plus vite que les filles du même âge, le fait de vivre, échanger, partager à deux nous faisait surmonter la peur de l’inconnu et accepter les troubles que nous ressentions au fur et à mesure que devenant plus précises nos caresses, baisers, nous amenaient vers des plaisirs nouveaux. .
Il y a eu le premier orgasme. L’une comme l’autre, sommes bien incapables de vous dire précisément quand, il y en a eu tellement depuis, presque à chaque fois plus puissant que le précédent.
Notre innocence était depuis longtemps perdue, mais il nous restait une étape à franchir et cette fois, c’était seule chacune de notre côté que nous allions perdre notre relative virginité.
Mais tout était planifié, et l’orchestre serait mené au rythme de nos deux baguettes. Nous avions choisi le garçon, il était en vacances dans la région, c’était parfait, nous n’aurions pas à le supporter après. Le lieu, un bungalow du camping dont nous avions une clef. Sonia serait la première, nous nous ne verrions pas pendant trois jours et elle n’aurait plus de contact avec lui, puis je lui donnerais rendez-vous, à ce même bungalow pour lui apprendre que Sonia était partie précipitamment pour des raisons familiales qu’il ne la reverrait pas et j’userais de mes charmes pour que ce soit mon tour.
Tout se passa comme prévu, le plus agréable dans cette histoire, a été lorsque nous avons pu nous retrouver toutes les deux pour nous raconter dans les moindres détails nos ébats.
Et nous arrivions aux mêmes conclusions, ce n’était pas désagréable et on ne regrettait pas, mais le plaisir que nous avions éprouvé l’une comme l’autre était bien moins intense que lorsque nous faisions l’amour ensemble.


Et puis il y avait le grenier !
Ma sœur vit dans un petit studio que mon père a aménagé à l’étage dans l’aile droite de la maison familiale. Il est composé d’une grande pièce faisant office de chambre et de salon à la fois, d’une petite cuisine et d’une salle d’eau. Un escalier extérieur, à l’arrière, donne accès à cette partie de la maison. Ma chambre se situe juste de l’autre côté de cette entrée et de son couloir et j’ai moi-même, des toilettes ainsi qu’une douche attenante à ma chambre. Je peux avoir accès au grenier qui sert de débarras, grâce à une échelle fixée sur le mur séparant la chambre de la douche. Le grenier était un terrain de jeux idéal pour nous, mais aussi pour les Loirs que nous entendions souvent la nuit. Il s’étendait sur toute la surface de cette aile de la maison. Au-dessus de la cuisine de Béa il y avait une petite pièce, sorte de local technique où se trouvait un boitier électrique, la VMC et ses tuyaux, une petite porte permettait d’y entrer. A cet endroit le plafond était plus bas que celui de la chambre. Et c’est, allongées sur un bloc de mousse que nous pouvions espionner ma sœur en regardant par les interstices présents entre les planches qui s’étaient rétractées en séchant.
Parfois lorsque nous entendions la porte extérieure s’ouvrir ou se refermer et qu’en écoutant à celle de ma chambre, nous savions que ma sœur avait de la visite. Nous montions très discrètement dans notre cachette. Je ne suis pas vraiment trouillarde, mais je n’y serais pas allée seule, c’est certain en tout cas pas de nuit.
C’était souvent très instructif et pas du fait des discussions. Ma sœur recevait des hommes seuls la plupart du temps, souvent jeunes, parfois des couples d’âge plus mûr.
Alors elle se faisait baiser, dans toutes les positions et elle aimait ça, de toute évidence. Ces scènes pornographiques alimentaient nos fantasmes et nous donnaient l'envie d'expérimenter.
Il y a deux scènes qui nous ont marqué. Cette fois ou un couple de vieux enfin ils devaient avoir 40 ans était avec Béa. L'homme était particulièrement poilu et maigre, la femme assez ronde avec de gros seins qui tombaient du fait de leurs poids. Ils se sont caressés mutuellement, Béa et la femme se sont mises à sucer le sexe large et ramassé de l'homme, à tour de rôle, ce n'était pas la première fois que nous assistions à une fellation, Béa suçait souvent ses partenaires avant qu'ils ne la pénètrent.
La femme demanda à Béa de s'allonger sur le dos et elle se plaça à l'envers au-dessus d'elle, pendant qu'elles se léchaient le minou avidement, l'homme debout au pied du lit prenait sa compagne en levrette. Parfois il se retirait pour mettre son sexe dans la bouche de ma sœur. Cela dura un bon moment, ils prenaient tous du plaisir c'était évident. Moi comme souvent quand nous faisions nos voyeuses je caressais les fesses de Sonia. Comme à chaque fois que je tentais par jeu d'accéder à sa fente, Sonia serrait les jambes et contactait ses puissants muscles fessiers pour me l'interdire, pas qu'elle n'aurait pas voulu, mais c'était prendre le risque de se faire entendre, oui il lui était difficile d'être discrète et souvent quand je la faisais jouir, je lui mettais la main devant la bouche au moment où je sentais que l'orgasme approchait. C'est dans la bouche de Béa que l'homme a éjaculé, Béa ne devait pas aimer cela car dès qu'elle a pu se dégager elle est allée cracher dans la salle de bain.
C'était franchement dégoutant, mais j'avais malgré ça, mouillé ma culotte.

Ah , il faut que je vous laisse peut être reviendrais je vous en dire plus, mais il est bientôt l’heure de notre rdv.
Oui
Nous avons réussi à décrocher une interview avec les deux chercheuses qui travaillent sur les peintures rupestres de la grotte, ceci grâce à Éric. Cette découverte était devenue le sujet de toutes les conversations par ici. Tout le monde y allait de son hypothèse, parfois biblique ou fantastique voir relative à des extra-terrestres. Pour cette raison nous avons imaginé faire un article, pour un devoir de français. Peut-être même qu’elles nous autoriseraient à visiter la grotte et à découvrir cette fresque énigmatique.

A SUIVRE