HOTEL

À L'HÔTEL EN PROVINCE...

Lors de l'un de mes déplacements en province, je logeai dans un trÚs bel hÎtel de la région de Poitiers.
Cet hĂŽtel avait ceci de particulier que toutes les fenĂȘtres des chambres donnaient sur un patio central en forme de carrĂ©.
AprĂšs le repas du soir, je restai un moment au bar. HOTEL
Peu de temps aprĂšs un homme un peu plus ĂągĂ© que moi m'aborda en me demandant si je connaissais la rĂ©gion et si d'aventure il y avait des endroits oĂč sortir passer 21h.
Sa question me fit sourire.
Je lui répondis que c'était la premiÚre fois que je venais...
La conversation s'engagea, nous parlĂąmes de choses et d'autres.
Il m'offrit un verre, je fis de mĂȘme.
Sur les coups de 23h, je décidai de rejoindre ma chambre.
Nous nous quittùmes en nous souhaitant une bonne fin de soirée.
Arrivé dans ma chambre, des idées commençaient à me traverser l'esprit...
Les chambres d'hĂŽtel ont toujours eu sur moi un effet Ă©rotisant.
Je me mis donc Ă  fantasmer sur des rencontres avec de parfait(e)s inconnu(e)s.
AprĂšs une bonne douche, je sortis nu de la salle de bain et m'installais sur le lit.
L'hÎtel avait une chaßne cryptée et payante pour adulte.
Je consultais le programme et vis qu'il existait une section gay.
Mon choix porta sur un film se déroulant justement dans une chambre d'hÎtel.
Le film était bien sûr pornographique, mais les protagonistes faisaient l'amour d'une façon trÚs sensuelle ce qui est plutÎt rare dans ce genre de production.
Je commençais à devenir bien chaud

Je me caressais, passant de ma poitrine à mon sexe, de mon sexe à mes fesses

Appuyant de mes doigts sur mon anus.
Le film se termina, je n'avais pas joui

J’aime me retenir, faire durer le plaisir le plus longtemps possible.
Une idée me traversa, mi-fantasme, mi-réalité.
Je me levais et allais ouvrir en grand les Ă©pais rideaux de la fenĂȘtre.
Je retournais sur le lit Ă  plat ventre en laissant la lumiĂšre allumĂ©e en espĂ©rant secrĂštement que peut ĂȘtre quelqu'un me verrait de l'une des chambres situĂ©es en face de la mienne.
Toujours à plat ventre, je frottais mon sexe sur les draps en ondulant d'une façon plus que suggestive.
Portant mes doigts à ma bouche je les léchais, les humectais de salive puis les passais entre mes fesses s'attardant sur mon trou, me pénétrant d'un, puis de deux ou trois doigts.
J'ondulais en mĂȘme temps, me soulevant de temps Ă  autre.
Le cÎté exhib de la situation m'excitait au plus haut point.
Je n'Ă©tais pas loin enfin de jouir.
La sonnerie du téléphone de l'hÎtel me fit sursauter et pour le coup me fit redescendre trÚs vite.
Je décrochais en me demandant qui pouvait bien appeler à cette heure-là.
En mĂȘme temps je fus Ă  peine surpris d'entendre la voix de mon compagnon de bar.
- « Hello, puis je me permettre de vous déranger, j'ai cru comprendre lors de notre conversation de tout à l'heure que vous étiez un couche-tard...C'est mon cas également, accepteriez-vous de venir prendre un verre dans ma chambre ? Le bar est hélas fermé. »
Mon fantasme serait-il en train de se réaliser ?
Bon tu te calmes

Tout Ă  l'heure, au bar, il ne m’a pas semblĂ© que l'homme pouvait ĂȘtre attirĂ© par une quelconque relation homosexuelle, donc arrĂȘte de rĂȘver.
AprÚs avoir accepté l'invitation et raccroché, je me rhabille.
Me voilà parti à la recherche de la chambre 302 qui se trouve, vous l'avez bien sûr deviné, deux étages au-dessus du mien, de l'autre cÎté du patio, dans l'aile opposée à la mienne...
L'homme m'ouvre, puis me laisse entrer.
Il a passé un peignoir, il sort manifestement de la douche.
Il ouvre le mini-bar, il me demande ce que je veux boire, je lui réponds un whisky.
Nous trinquons.
Il va s'assoir sur le lit

Je cherche du regard une chaise ou un fauteuil mais ils sont manifestement tous encombrĂ©s par ses bagages et ses vĂȘtements en partie Ă©parpillĂ©s.
Je m'assieds donc de l'autre cÎté du lit.
- « Vous fumez ? »
Je lui réponds que oui à l'occasion.
Il se lĂšve et s'approche de moi en me tendant le paquet, je prends une cigarette.
En se penchant pour me donner du feu son peignoir s'entrouvre, j'aperçois son torse couvert d'une toison abondante (tout ce que j'aime).
Je lui demande comment il a eu mon numéro de chambre...
- « C'est trĂšs simple, j'ai demandĂ© Ă  la rĂ©ception le numĂ©ro de la personne situĂ©e au premier Ă©tage dans l'aile situĂ©e en face de ma fenĂȘtre, le rĂ©ceptionniste a bien voulu accĂ©der Ă  ma demande quand il s'est souvenu nous avoir vu ensemble au bar. »
Il rit de voir ma réaction de surprise, il m'a donc vu m'exhiber.
À la fois c'est ce que je souhaitais en fantasmant mais sans penser à lui particuliùrement.
Jusqu'Ă  ce moment prĂ©sent j'ignorais oĂč il Ă©tait logĂ©.
- « Vous Ă©tiez trĂšs beau nu et comment dire
trĂšs excitant. Ne vous sentez pas gĂȘnĂ©, cela m'arrive aussi de me donner du plaisir vous savez. Vous permettez ? »
Sur ces mots, il ouvrit et retira son peignoir.
Mon regard plongea sur sa bite, elle Ă©tait "lourde".
Lourde dans le sens oĂč elle ne bande pas encore mais elle est dĂ©jĂ  bien irriguĂ©e, bien gorgĂ©e...
La vue de cette bite m'excita au plus haut point.
- « Montres-moi comment tu faisais tout à l'heure dans ta chambre. »
Sans un mot je me déshabille, puis je m'allonge sur le ventre.
Je suis de nouveau trÚs excité, j'écarte bien mes jambes, je commence des mouvements afin de frotter ma bite contre les draps.
En le regardant droit dans les yeux, je mouille mes doigts puis les passe sur ma raie, j'insiste en tapotant ma chatte anale.
Sa bite est maintenant bien dressée.
Le gland proéminent, luisant de mouille est bien décalotté.
Ses couilles sont bien rondes et dures (elles ne pendent pas).
Il caresse son torse, son ventre.
Sa queue fait quelques soubresauts sans qu'il la touche.
Il s'approche de moi Ă  genou sur le lit.
D'une main il appuie sur le haut de mon dos et de l'autre il m'assĂšne une bonne claque sur les fesses.
Je gémis du genre "Ailllll ! ça fait mal mais mmmmm, oui continue, donnes moi la fessée."
Il devine mes pensées puisque me prenant par le bras il m'invite à venir me mettre à plat ventre sur ses genoux.
Ainsi positionné, je peux sentir sa bite contre mon ventre.
Il m'assÚne des bonnes claques sur les fesses, en laissant plusieurs secondes entre chacune d'elles afin de me laisser apprécier le délicieux moment.
À chaque coup donnĂ© je rĂ©ponds par un soupir mmmmmmmmmm...
Je suis de plus en plus excité et constate aux soubresauts de sa belle bite contre mon ventre que lui aussi prend beaucoup de plaisir.
De ma main libre je viens palper, caresser sa queue, ses boules.
J'enserre son membre puis de mes doigts j'effleure le bout de son gland et récupÚre une belle goutte de sa mouille que je porte à ma bouche.
Il s'en aperçoit...
- « Tu aimes ça hein. »
- « Oui, j'aime, encore mmmmmm"... »
De nouveau une, puis deux, puis...je ne les compte plus, bonnes claques...
Mes fesses sont chaudes, elles doivent ĂȘtre bien rouges Ă  prĂ©sent...
Il s'arrĂȘte et les caresse comme pour attĂ©nuer la douleur.
Je gémis encore.
Ma main est revenue sur sa bite que je branle doucement.
Il me libĂšre, je me remets debout, nous faisons une petite pause.
Nous sommes allongés cÎte à cÎte sur le dos.
Durant un cours moment nous reprenons notre souffle.
De nouveau, il prend l'initiative, je comprends qu'il veut que nous fassions 69.
Je me positionne donc sur lui.
Sa bite est maintenant à la portée de ma bouche, je la lÚche tout en caressant ses boules, lui me lÚche également, ses doigts titillent mon anus.
Nous soupirons tous les deux et sans nous concerter nous enfournons nos bites en mĂȘme temps.
L'excitation est Ă  son comble, je voudrais que ce moment ne finisse jamais, je vais et viens sur sa tige, langoureusement, amoureusement, je l'aspire, la trais, la pompe. Il fait de mĂȘme.
Ma langue est toute couverte de sa mouille, cet homme me plait.
Nous changeons de position avant que la jouissance nous emporte.
Lui aussi aime que ça dure.
Il s'assied sur le bord du lit...
- « viens t'empaler ! »
Je lui tourne le dos et descend lentement sur sa bite en Ă©cartant mes fesses, mon cul la touche, je fais des petits mouvements du bassin afin de bien l'orienter dans mon orifice.
Je me relùche complétement et enfin je sens le gland se frayer un chemin dans mon ventre, il rentre assez facilement (il a copieusement enduit son membre de gel).
Je continue ma descente, les fesses toujours bien écartées.
La descente s'arrĂȘte sur ses couilles, il m'encule jusqu'Ă  la garde.
Je sens sa bite bouger, palpiter dans mon cul.
Je décide de le branler avec ma chatte, je monte et descend lentement tout en contractant mes sphincters.
Il aime et il me le fait savoir en gémissant.
D'une main je masse ses boules, de l'autre je me masturbe.
Cela dure un petit moment.
Il me fait comprendre de me relever, de me tourner vers lui.
Il me pénÚtre de nouveau dans cette position, cette fois ci c'est lui qui "travaille".
Il me travaille plutît bien

Il accélÚre les mouvements.
- « C'est bon dans mon cul, j'aime, baises moi !!! Continue, oh oui, encules moi bien. »
Tout en m'enculant merveilleusement bien, il me branle d'une main tandis que de l'autre il met ses doigts dans ma bouche, bien Ă  fond comme le ferait une deuxiĂšme bite.
- « Ouvre bien, lÚche. »
Il baise littéralement ma bouche.
J'aime son ton autoritaire.
Sa main quitte ma bite, il me donne une gifle, ça me fait monter.
- « Oui encore, gifles moi !!! »
Je vois que mes paroles l’excitent...
Soudain, il se cambre, bien calĂ© au fond de mon ventre, un rĂąle profond monte dans sa gorge. – « Oui donnes-moi ta jouissance, ton jus, tes essences, viens en moi, vides toi bien... »
AprĂšs avoir bien jouit, sa bite sort de moi.
- « Mets-toi à genoux, jambes écartées. »
Je m'exécute

Il passe sa tĂȘte entre mes jambes, Ă©carte mes fesses et entreprend de rĂ©cupĂ©rer son sperme dans sa bouche.
AprÚs en avoir récupéré une bonne partie

Il se redresse, se met Ă  genoux face Ă  moi et m'embrasse.
Il me donne Ă  boire toute sa copieuse jouissance.
- « Ah que j'aime ça... »
- « Gardes le en bouche et branles toi maintenant, je veux te voir jouir. »
Il s'empare de son portable et prends une photo de ma bouche restée entrouverte.
Il me la montre, je vois mes lĂšvres entrouvertes et dans ma bouche son sperme.
Cette vision a raison de moi, je viens, je jouis, mon sperme gicle sur son ventre

Il l'étale sur son torse, j'avale son jus resté dans ma bouche.
J'ai un orgasme long et profond, tout mon corps tremble...
Je me souviens encore de cette folle nuit comme ci c’était hier.
Published by drd74
3 years ago
Comments
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cubichaton
J'ai frĂ©quentĂ© des hotels, fait de l'exhibition devant la fenĂȘtre, fait des petites promenades nu dans les couloirs la bite en main et jamais personne ne m'a fait entrer dans une chambre . combien de branlettes solitaires !!!
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drd74
drd74 Publisher 3 years ago
to douxclaude : heureux de te faire plaisir
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douxclaude
douxclaude 3 years ago
superbe récit j'adore merci*
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Papy87
Papy87 3 years ago
Évidemment tres agrĂ©able compagnie avec cet homme hummmmmmm 
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bicomplice
bicomplice 3 years ago
to drd74 :  C'est clair 
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drd74
drd74 Publisher 3 years ago
to bicomplice : Ne jamais laisser passer une occasion ?
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bicomplice
bicomplice 3 years ago
Un moment magique que j'ai toujours rĂȘvĂ© de vivre quand je vais Ă  l'hĂŽtel, en complĂ©ment, j'emporte toujours mes petites culottes pour me sentir femelle 
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M-Arena17
M-Arena17 3 years ago
Donnes moi le nom de l’hîtel svp
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oseppone58 3 years ago
Fantastic nice moment ...
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andriska65 3 years ago
???
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