BALADE
BALADE DANS LES BOIS.
Un matin de juillet, dans les bois…
À peine entré dans les taillis, j’enlève mon short que je glisse dans mon petit sac que j’ai en bandoulière…
Je n’ai rien dessous, j’ai laissé mon t-shirt et mes tennis dans la voiture.
Je suis complètement nu…
J’adore…
Le sol est tendre, il a un peu plu pendant la nuit.
La sensation un peu molle sous mes pieds nus est très excitante.
Je commence à bander…
J’avance dans le sous-bois, ma queue s’alourdit et s’allonge balance au rythme de mes pas.
Il fait doux.
Je fais un premier tour du bois, j’ai vu qu’il y avait déjà quelques voitures, il doit donc y avoir un peu de monde.
J’entrevois une silhouette plus loin dans les taillis…
Je devine que l’homme est nu, comme moi…
Je me dirige vers lui…
Il m’a aperçu et s’approche aussi….
Il a l’air sympa, dans les soixante ans…
Un peu plus petit que moi, plus enveloppé, une queue épaisse et courte, un gros gland.
L’avantage du nudisme, c’est qu’on ne peut rien cacher.
Et ma bite qui bande ne cache rien et j’assume, je suis chaud et j’ai envie.
Nos mains descendent sans hésiter sur nos queues.
Il me prévient qu’il aime bien être diriger et accepte beaucoup de chose.
Je glisse mes doigts sous ses couilles qui sont trapues et pleines…
Il Ă©carte un peu les cuisses.
Je lui excite les couilles avec les ongles, sa bite gonfle et se dresse…
Je me mets à genoux et j’effleure son prépuce avec la langue, il sent le mâle, j’aime bien…
Mes ongles continuent à lui exciter les couilles, manifestement il aime…
Ma propre bite est Ă la verticale
Mes doigts poursuivent en direction de son trou, tandis que j’ai tout son gland en bouche… J’introduis mon majeur dans son cul, qui s’ouvre sans peine, il doit être aussi habitué que moi !
Oui, c’est un amateur de cul, car il repousse doucement ma bouche pour me faire lâcher sa queue et se tourne et se cambre pour me présenter son cul…
Je me mets derrière lui,
Je lui remets deux doigts, tandis que de ma main libre je cherche une capote dans mon sac…
Petite pause, le temps d’enfiler le préservatif sur ma queue, devenue énorme
Je m’agenouille derrière lui, envie de mater sa raie.
Ses couilles sont pleines et dures.
J’entrevois sa bite durcie qui balance…
J’enfouis mon visage, je lèche sauvagement, il ondule, je devine qu’il se branle…
Je me redresse et viens plaquer mon gland contre son trou…
Il est habitué, mon gland glisse sans peine dans son cul…
Je vais doucement.
J’ai presque 20 cm de bite à lui mettre.
Je regarde par le côté, il branle sa queue, qui est devenue bordeaux foncé, il ne va pas tenir longtemps…
Il me le confirme en murmurant, vas-y mets-la au fond je vais gicler tout de suite.
Je ne me le fais pas dire deux fois…
Je pousse ma pine dans son cul jusqu’au couilles.
Je pistonne au fond 2-3 coups et je sens son trou se contracter très fort autour de ma bite… Son sperme sort en un long jet continu et épais…
Je reste un moment au fond de son cul, la bite raidie par l’envie…
Je me retire doucement….
Je n’ai pas encore joui, ma queue est dressée vulgairement…
Je retire la capote en me mettant fasse Ă lui.
Je me frotte le gland…
Ce qui me fait pisser…
Un long jet dru et délicieusement bruyant s’éclate sur son visage…
Il aime, il ouvre la bouche pour en boire…
Je me vide la vessie entièrement sur lui.
Je n’ai pas trop perdu de ma vigueur…
Je renfile une capote et lui reprend le cul.
Il est toujours dilaté…
Je le pilonne pendant de longues minutes.
Je lui sers les couilles.
Il en gémit de plaisir mais ne bande pas réellement.
Au moment de jouir, je me retire de son cul…
Enlève la capote…
Et je lui jouis sur le visage et la bouche.
Il ramasse mon sperme avec ses doigts et les lèches pour ne pas en perdre une goutte.
Quel plaisir ces vieux un peut soumis qui accepte plein de choses !!!
Un matin de juillet, dans les bois…
À peine entré dans les taillis, j’enlève mon short que je glisse dans mon petit sac que j’ai en bandoulière…
Je n’ai rien dessous, j’ai laissé mon t-shirt et mes tennis dans la voiture.
Je suis complètement nu…

J’adore…
Le sol est tendre, il a un peu plu pendant la nuit.
La sensation un peu molle sous mes pieds nus est très excitante.
Je commence à bander…
J’avance dans le sous-bois, ma queue s’alourdit et s’allonge balance au rythme de mes pas.
Il fait doux.
Je fais un premier tour du bois, j’ai vu qu’il y avait déjà quelques voitures, il doit donc y avoir un peu de monde.
J’entrevois une silhouette plus loin dans les taillis…
Je devine que l’homme est nu, comme moi…
Je me dirige vers lui…
Il m’a aperçu et s’approche aussi….
Il a l’air sympa, dans les soixante ans…
Un peu plus petit que moi, plus enveloppé, une queue épaisse et courte, un gros gland.
L’avantage du nudisme, c’est qu’on ne peut rien cacher.
Et ma bite qui bande ne cache rien et j’assume, je suis chaud et j’ai envie.
Nos mains descendent sans hésiter sur nos queues.
Il me prévient qu’il aime bien être diriger et accepte beaucoup de chose.
Je glisse mes doigts sous ses couilles qui sont trapues et pleines…
Il Ă©carte un peu les cuisses.
Je lui excite les couilles avec les ongles, sa bite gonfle et se dresse…
Je me mets à genoux et j’effleure son prépuce avec la langue, il sent le mâle, j’aime bien…
Mes ongles continuent à lui exciter les couilles, manifestement il aime…
Ma propre bite est Ă la verticale
Mes doigts poursuivent en direction de son trou, tandis que j’ai tout son gland en bouche… J’introduis mon majeur dans son cul, qui s’ouvre sans peine, il doit être aussi habitué que moi !
Oui, c’est un amateur de cul, car il repousse doucement ma bouche pour me faire lâcher sa queue et se tourne et se cambre pour me présenter son cul…
Je me mets derrière lui,
Je lui remets deux doigts, tandis que de ma main libre je cherche une capote dans mon sac…
Petite pause, le temps d’enfiler le préservatif sur ma queue, devenue énorme
Je m’agenouille derrière lui, envie de mater sa raie.
Ses couilles sont pleines et dures.
J’entrevois sa bite durcie qui balance…
J’enfouis mon visage, je lèche sauvagement, il ondule, je devine qu’il se branle…
Je me redresse et viens plaquer mon gland contre son trou…
Il est habitué, mon gland glisse sans peine dans son cul…
Je vais doucement.
J’ai presque 20 cm de bite à lui mettre.
Je regarde par le côté, il branle sa queue, qui est devenue bordeaux foncé, il ne va pas tenir longtemps…
Il me le confirme en murmurant, vas-y mets-la au fond je vais gicler tout de suite.
Je ne me le fais pas dire deux fois…
Je pousse ma pine dans son cul jusqu’au couilles.
Je pistonne au fond 2-3 coups et je sens son trou se contracter très fort autour de ma bite… Son sperme sort en un long jet continu et épais…
Je reste un moment au fond de son cul, la bite raidie par l’envie…
Je me retire doucement….
Je n’ai pas encore joui, ma queue est dressée vulgairement…
Je retire la capote en me mettant fasse Ă lui.
Je me frotte le gland…
Ce qui me fait pisser…
Un long jet dru et délicieusement bruyant s’éclate sur son visage…
Il aime, il ouvre la bouche pour en boire…
Je me vide la vessie entièrement sur lui.
Je n’ai pas trop perdu de ma vigueur…
Je renfile une capote et lui reprend le cul.
Il est toujours dilaté…
Je le pilonne pendant de longues minutes.
Je lui sers les couilles.
Il en gémit de plaisir mais ne bande pas réellement.
Au moment de jouir, je me retire de son cul…
Enlève la capote…
Et je lui jouis sur le visage et la bouche.
Il ramasse mon sperme avec ses doigts et les lèches pour ne pas en perdre une goutte.
Quel plaisir ces vieux un peut soumis qui accepte plein de choses !!!
3 years ago