MAGASIN
Rencontre Ă©tonnante au magasin de chaussures.
Il me faut une nouvelle paire de chaussure...
Il fait chaud en cette aprĂšs-midi.
Une femme, la soixantaine bien tassée essaie des nu-pieds.
Pas trĂšs jolie, plutĂŽt quelconque et bien ronde.
Je passe devant sans m'attarder.
Elle à la jambe pliée sur son autre jambe pour accrocher la sangle.
Il me semble que sa robe et assez remontée sur ses grosses cuisses gainées de noir.
Demi-tour, je me place en face prĂšs d'un retour de miroir.
C'est vrai que l'on voit haut ses cuisses, mais avec ce truc noir, genre pantalon moulant, ce n'est pas trÚs intéressant.
Curieux, je regarde mieux.
Elle a une forte poitrine et un T-shirt échancré, qui laisse voir ses gros nichons quand elle se baisse.
A 52 ans, j'aime observer et je fais bien.
D'un coup elle se lĂšve, regarde autour d'elle et dans le miroir qui lui fait face, elle retrousse son grand T-shirt qui lui sert de tunique.
Elle fait comme si elle s'admirait en remontant assez haut.
Elle écarte les jambes et là je vois que son leggin est découpé dans l'entre jambes.
La chair blanche se voit bien.
Elle Ă©carte plus, toujours devant sa glace, se tourne, se penche et je vois son cul offert.
Je suis juste à deux mÚtres dans l'allée à cÎté, la voyant juste dans le miroir.
Je la vois sourire...
Et je mâaperçois qu'elle me voit aussi sur le cotĂ©e, me tĂątant la bite.
Je suis gĂȘnĂ© sur le coup, mais comme il n'y a pas grand monde et que je ne connais personne, pas grand risque.
Elle se retourne, une nouvelle fois, bien troussée, se penche encore,
Met sa main sur sa fesse, se caresse un court instant, puis rabaisse l'ensemble, une cliente arrivante.
Elle sort du rayon, passe prĂšs de moi et me fais un sourire et se dirige vers la sortie, non sans m'avoir dit :
- « Peut ĂȘtre Ă une autre fois ! »
Je suis rentré rapidement et j'ai fait une bonne branlette pour me soulager.
Il me faut une nouvelle paire de chaussure...
Il fait chaud en cette aprĂšs-midi.
Une femme, la soixantaine bien tassée essaie des nu-pieds.

Pas trĂšs jolie, plutĂŽt quelconque et bien ronde.
Je passe devant sans m'attarder.
Elle à la jambe pliée sur son autre jambe pour accrocher la sangle.
Il me semble que sa robe et assez remontée sur ses grosses cuisses gainées de noir.
Demi-tour, je me place en face prĂšs d'un retour de miroir.
C'est vrai que l'on voit haut ses cuisses, mais avec ce truc noir, genre pantalon moulant, ce n'est pas trÚs intéressant.
Curieux, je regarde mieux.
Elle a une forte poitrine et un T-shirt échancré, qui laisse voir ses gros nichons quand elle se baisse.
A 52 ans, j'aime observer et je fais bien.
D'un coup elle se lĂšve, regarde autour d'elle et dans le miroir qui lui fait face, elle retrousse son grand T-shirt qui lui sert de tunique.
Elle fait comme si elle s'admirait en remontant assez haut.
Elle écarte les jambes et là je vois que son leggin est découpé dans l'entre jambes.
La chair blanche se voit bien.
Elle Ă©carte plus, toujours devant sa glace, se tourne, se penche et je vois son cul offert.
Je suis juste à deux mÚtres dans l'allée à cÎté, la voyant juste dans le miroir.
Je la vois sourire...
Et je mâaperçois qu'elle me voit aussi sur le cotĂ©e, me tĂątant la bite.
Je suis gĂȘnĂ© sur le coup, mais comme il n'y a pas grand monde et que je ne connais personne, pas grand risque.
Elle se retourne, une nouvelle fois, bien troussée, se penche encore,
Met sa main sur sa fesse, se caresse un court instant, puis rabaisse l'ensemble, une cliente arrivante.
Elle sort du rayon, passe prĂšs de moi et me fais un sourire et se dirige vers la sortie, non sans m'avoir dit :
- « Peut ĂȘtre Ă une autre fois ! »
Je suis rentré rapidement et j'ai fait une bonne branlette pour me soulager.
3 years ago