ÉLAGAGE.

ÉLAGAGE.

Les élagueurs.

Quand je suis seul, j’ai souvent de drôles d’idées qui me passent par la tête.
Allongé sur le canapé, je commence à fantasmer, à imaginer des choses très cochonnes. J’avais envie de me caresser et de me faire enculer.
Quand tout à coup, on sonne à la porte.
Deux mecs viennent couper un de nos arbre.
Ma femme m'en avait parlé mais je ne savais pas qu'ils devaient passer ce jour-là.
Vue les chaleurs caniculaires, je suis qu'en mode maillot de bain.
- « Entrez, entrez, faites ce que vous avez à faire messieurs ! »
Je les laisse descendre dans le jardin et retourne à mes rêveries.
J’entends le bruit de la tronçonneuse qui me berce.
En un rien de temps, ils ont terminé.
Les deux gars repassent me voir en me disant qu’ils ont terminé.
Je ne suis pas dupe de leur regard qui trainent sur mon anatomie.
Émoustillé par mes idées lubriques, je décide de jouer à un jeu dangereux et de les allumer.
Je leur propose en tortillant sensuellement :
- « Vous voulez boire quelque chose peut être Messieurs ? »
- « Oui, volontiers ! »
Je les installe au salon et en revenant avec les boissons…
Je m’assois entre eux pour les servir.
Je les sens troublés par ma mon petit maillot de bain qui me rentre dans la raie du cul.
Ils me complimentent sur ma tenue.
- « Vous êtes à croquer !!! »
Sans autre préambule, ils joignent le geste à la parole en faisant glisser ce fameux maillot.
Évidemment, excitée comme je le suis, je ne les repousse pas.
Tandis que j’invite son compère à nous rejoindre.
Ces quatre mains masculines sur mon corps me font frémir.
Ils me pelotent les fesses, sucent et tirent sur mes tétons, fouillent ma raie…
Je n’en peux plus, je suis trop excité.
Je libère leurs belles bites de leurs pantalons et je les astique.
Ils sont tous les deux durs comme du bois.
J’ai alors très envie de sucer leurs grosses queues.
Allongée sur le canapé, je commence à bien lécher la bite du plus jeune et puis il me l’enfourne au fond de la gorge.
L'autre me lèche le cul et la rondelle avec passion.
C’est trop bon.
Puis, à quatre pattes, ils m'embrochent par la bouche et le cul, sans plus de préambule.
Un orgasme du tonnerre m'emporte lorsque la grosse bite rempli mon rectum en feu.
La queue que j'ai dans la bouche étouffe mes cris.
Quand d’un coup, je sens un flot de sperme dans ma bouche.
Hum, quel délice.
Celui qui me saute se lâche à son tour et éjacule sur mon cul.
Quelle belle après-midi.
Les deux hommes se congratulent d'avoir sauté une vieille lopette bisexuelle.
Je leur dis qu’ils seront toujours les bienvenus chez moi.
Les élagueurs satisfait de leur pourboire me tendent la facture en m'invitant à venir la régler dans leurs locaux.
- « Nous sauront te recevoir comme il se doit. On va parler de te générosité aux autres collègues tu peux en être sûre mon salop ! »
Je les regarde avec un sourire complice me doutant bien de ce qui peut m'attendre dans leurs bureaux.
Le soir, je parle de cette aventure à ma femme qui, très excitée par ce récit, me fout d’un coup son poing dans le fondement comme une sauvage, penché sur la table de la cuisine.
Françoise me dit :
- « Dès demain matin tu iras payer la facture et ensuite tu viendras me raconter comment ça s’est passé à mon bureau ! »

Toute la nuit je ne pense qu'à ça.
Dès le lendemain, je m'y rends comme convenu.
Je suis reçu chaleureusement comme un client VIP.
On me reçoit dans le bureau du patron et on m'offre aimablement un café.
Certainement avertit par le boss, des employés entrent dans le bureau pour discuter avec nous.
Ma tenue sexy capte aussitôt leurs regards de pervers.
Après nous être désaltérés.
Je me suis installée sur le bureau et ça n’a pas traîné.
Je me suis retrouvée avec la main d'un de mes élagueurs de la veille sur ma cuisse, alors que son boss sortait déjà sa queue pour que je le masturbe.
Prenant sa queue entre mes doigts ce contact me donne des fourmillements dans le bas-ventre.
Rapidement, voyant que j'étais ouvert et vraiment pas farouche, ils m'entourent et commencent à me tripoter.
Face à autant de fougue, ma queue se met à dégouliner de cyprine à l’étroit dans ma «lingerie».
Au point d'en mouiller mon slip en satin.
Je pense au récit de paiement de la facture que je vais faire à ma femme lorsque je vais sortir de ces locaux.
J’allais m’envoyer ces six mecs en même temps.
Le bureau du patron de cette boite devient un vrai lupanar.
Je suis mis complètement à poil.
Entièrement nue dans ce bureau, je m'agenouille devant le boss et prend son dard dans la bouche.
Une merveilleuse longue verge très dure que je m’applique à enfoncer profondément dans ma gorge.
Quand je sens les spasmes de son orgasme, je le quitte pour passer au suivant et ainsi de suite.
Il faut entendre ces gars grogner et commenter ma façon de les pomper.
Se taper une lopette gourmande les ravies.
Ce n’est pas tous les jours qu'ils ont des clients comme moi.
Quand je reviens vers le boss pour m'empaler sur sa tige, un mouvement de protestation s’élève...
Les autres voulant aussi profiter de mon cul.
Mais quand il y en a pour un…
Deux verges veulent me pénétrer la bouche alors qu’une autre tente de m'enculer en même temps que le patron.
Malgré la virulence de cette baise en groupe, je prends un pied formidable dans ce bureau et eux aussi, à entendre les commentaires salaces sur moi.
Certains d'entre eux reviennent même à la charge plusieurs fois de suite.
C'est la première fois qu'ils se faisaient un bourgeois aussi dépravé que moi.

Nous ne sommes pas discret évidement et la porte du bureau s'ouvre sur une jeune secrétaire estomaquée de voir cette orgie.
Mais j'ai épuisé tous les mecs et elle ne craint rien.
Je la regarde heureux et hébété alors que je reçois mes dernières giclées de sperme.
Le boss voyant la secrétaire figée à l'entrée du bureau lui lance :
- « Au lieu de rester là comme une idiote ! Rendez-vous utile et accompagnez Monsieur aux douches ! »
Avant de suivre la secrétaire qui me regarde d'un air ahuri, je remercie les mecs pour leurs prestations et règle la facture.
Sous la douche, je tente de faire descendre cette tension.
Je suis épuisée et mon orifice rectal est extrêmement sensible avec toute ces pénétrations assez violentes.
Je me dis que ma journée n'était pas terminée.
Ma femme va vouloir aussi démonter sa lopette de mari lorsque je vais lui raconter le paiement de l'élagage.
Published by drd74
3 years ago
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exhibAin
exhibAin 3 years ago
toujours commencer par la queue du boss dans cette situation... Après chaque salarié est fier de montrer sa virilité au boss et à ses collègues...
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drd74
drd74 Publisher 3 years ago
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jeanreveu 3 years ago
superbe histoire, j'ai aussi de l'élagage à faire faire........
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drd74
drd74 Publisher 3 years ago
to LaurentCustines : Merci 
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LaurentCustines 3 years ago
Magnifique histoire
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noursongay 3 years ago
beau fantasme
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gcfchh 3 years ago
you certainly had a great time
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