PROMENADE.
Promenade en forêt.
En promenade en forêt, on peut faire de drôle de rencontre.
Mais ne tournons pas autour du pot, rentrons dans le vif du sujet…
Si j’ose dire.
Je suis appuyé sur l’arbre, penché en avant, les jambes bien écartées.
Mon pantalon au niveau des genoux, mon slip est déchiré par terre.
Il est derrière moi, je sens son souffle dans ma nuque, il passe sa queue de haut dans bas dans ma raie que j’ai bien lubrifiée.
Ça y est, il appuie son gland sur mon trou du cul.
Il est énorme, une mandarine, un poing ??
Ça ne rentre pas, il insiste…
Je me cambre au maximum et pousse pour lui faciliter la tâche…
Hummm ! Voilà il est entré…
Il s’arrête pour que je reprenne mon souffle, une minute, deux ...
Je me masturbe pour calmer la douleur...
Il reprend lentement sa progression, lentement, doucement, fermement...
Je sens ses couilles sur les miennes, ses cuisses qui collent à mon cul...
Je suis enculé à fond…
Nous restons comme ça sans bouger, emboîté l’un dans l’autre, comme un chien qui sailli sa femelle.
Je serre et relâche mes sphincters pour m’habituer à sa queue.
Il m’att**** les tétons qu’il tire et triture…
Il marmonne des bribes de mots que je comprends mal :
- « Chérie...salope. Je t’encule comme une pute que tu es !!! »
Je tourne la tête, je voudrai pouvoir lui rouler une pelle, je gémis...
Après quelques minutes il commence à limer, doucement…
Sa bite ne bouge que de quelques millimètres dans mon cul…
Puis progressivement de plus en plus loin…
De plus en plus vite…
Il alterne le rythme, doucement, vite…
La profondeur de la saillie, jusqu’à presque sortir de la chatte qui s’offre à lui.
Je n’ai plus de douleurs mais je sens au contraire le plaisir qui monte de plus en plus.
Je roule des hanches pour accompagner ses mouvements.
Je me branle de plus en plus fort.
Il sort complètement son sexe pour l’y remettre immédiatement sans difficultés dans mon cul qui s’offre avec passion.
Juste à côté de nous un voyeur a sorti sa bite et se branle sans aucune gêne.
J’adore ça.
J’aime m’exhiber.
Je redouble de gémissements et d’encouragements à mon enculeur :
- « Vas-y.…C’est bon...Baises moi... Je suis ta salope. »
De son côté il commence à s’essouffler et à de plus en plus de mal à retenir sa jouissance.
Il sort de mon cul complétement dilaté…
Ôte sa capote et m’invite à me mettre à genoux pour me jouir sur le visage et dans la bouche. En deux ou trois coups de main il atteint son but et m’envoie de puissants jets de sperme sur la langue, le menton et jusque sur le front.
Je suis aux anges.
Je fais signe au voyeur de s’approcher pour que je le suce…
Je le prends en bouche avec plaisir…
Une queue un peu plus petite que celle de mon enculeur mais quand même de belle taille.
Lui aussi ne tarde pas à jouir dans ma bouche.
Pour finir je me relève…
Je me branle à mon tour devant mes compagnons qui ont eu la délicatesse de rester et qui me caressent les fesses et les seins.
Satisfait je remonte mon pantalon, non sans avoir remercier mon enculeur et les voyeurs.
Je retourne à ma voiture en roulant du cul comme une vieille pute pour exciter ces males.
Une excellente après-midi.
J’ai hâte de recommencer c’est très bon pour la santé de prendre l’air.
d’après M-arena17
En promenade en forêt, on peut faire de drôle de rencontre.
Mais ne tournons pas autour du pot, rentrons dans le vif du sujet…
Si j’ose dire.
Je suis appuyé sur l’arbre, penché en avant, les jambes bien écartées.
Mon pantalon au niveau des genoux, mon slip est déchiré par terre.
Il est derrière moi, je sens son souffle dans ma nuque, il passe sa queue de haut dans bas dans ma raie que j’ai bien lubrifiée.
Ça y est, il appuie son gland sur mon trou du cul.
Il est énorme, une mandarine, un poing ??
Ça ne rentre pas, il insiste…
Je me cambre au maximum et pousse pour lui faciliter la tâche…
Hummm ! Voilà il est entré…
Il s’arrête pour que je reprenne mon souffle, une minute, deux ...
Je me masturbe pour calmer la douleur...
Il reprend lentement sa progression, lentement, doucement, fermement...
Je sens ses couilles sur les miennes, ses cuisses qui collent à mon cul...
Je suis enculé à fond…
Nous restons comme ça sans bouger, emboîté l’un dans l’autre, comme un chien qui sailli sa femelle.
Je serre et relâche mes sphincters pour m’habituer à sa queue.
Il m’att**** les tétons qu’il tire et triture…
Il marmonne des bribes de mots que je comprends mal :
- « Chérie...salope. Je t’encule comme une pute que tu es !!! »
Je tourne la tête, je voudrai pouvoir lui rouler une pelle, je gémis...
Après quelques minutes il commence à limer, doucement…
Sa bite ne bouge que de quelques millimètres dans mon cul…
Puis progressivement de plus en plus loin…
De plus en plus vite…
Il alterne le rythme, doucement, vite…
La profondeur de la saillie, jusqu’à presque sortir de la chatte qui s’offre à lui.
Je n’ai plus de douleurs mais je sens au contraire le plaisir qui monte de plus en plus.
Je roule des hanches pour accompagner ses mouvements.
Je me branle de plus en plus fort.
Il sort complètement son sexe pour l’y remettre immédiatement sans difficultés dans mon cul qui s’offre avec passion.
Juste à côté de nous un voyeur a sorti sa bite et se branle sans aucune gêne.
J’adore ça.
J’aime m’exhiber.
Je redouble de gémissements et d’encouragements à mon enculeur :
- « Vas-y.…C’est bon...Baises moi... Je suis ta salope. »
De son côté il commence à s’essouffler et à de plus en plus de mal à retenir sa jouissance.
Il sort de mon cul complétement dilaté…
Ôte sa capote et m’invite à me mettre à genoux pour me jouir sur le visage et dans la bouche. En deux ou trois coups de main il atteint son but et m’envoie de puissants jets de sperme sur la langue, le menton et jusque sur le front.
Je suis aux anges.
Je fais signe au voyeur de s’approcher pour que je le suce…
Je le prends en bouche avec plaisir…
Une queue un peu plus petite que celle de mon enculeur mais quand même de belle taille.
Lui aussi ne tarde pas à jouir dans ma bouche.
Pour finir je me relève…
Je me branle à mon tour devant mes compagnons qui ont eu la délicatesse de rester et qui me caressent les fesses et les seins.
Satisfait je remonte mon pantalon, non sans avoir remercier mon enculeur et les voyeurs.
Je retourne à ma voiture en roulant du cul comme une vieille pute pour exciter ces males.
Une excellente après-midi.
J’ai hâte de recommencer c’est très bon pour la santé de prendre l’air.
d’après M-arena17
3 years ago