DÉPENDANT
PORNO DÉPENDANT ?
Je viens de lire un article dans un hebdomadaire sur la porno dépendance et ses conséquences "désastreuses" sur la vie sexuelle.
Évidemment, dès que j'ai vu le titre, je me suis précipité dessus, surtout curieux de savoir comment j'allais réagir aux arguments :
Peur, honte, "bonnes résolutions", ironie, mauvaise conscience…
Et le résultat n'a pas du tout été ce que je prévoyais éventuellement !
D'après cet article, une des principales conséquences de la porno dépendance était qu'elle amenait les hommes à l'impuissance et à l'incapacité d'avoir des relations sexuelles.
Je ne me suis pas senti du tout concerné.
Au contraire, depuis que j'ai découvert le porno à gogo sur le net, il y a environ 15 ans, que je m'en bâfre quotidiennement, que je remplis mon cerveau de bites, de chattes de cul, que je ne pense plus qu'au sexe du matin au soir, ma bite est devenue hyper-réactive :
La moindre pensée salace dans la journée, quelque soient les conditions d'environnement, fait bouger quelque chose dans mon slip.
Pour mon plus grand bonheur, je mouille beaucoup plus qu'avant et dès que je peux m'installer devant du porno, je me sens plonger dans un univers de délices qui m'envahit tout le corps et le cerveau.
Ma bite réagit tout de suite, elle est toujours là, fidèle et "toujours prête » !
Elle me remercie grandement de tout ce porno dont je la nourris.
Certes, pendant mes longues séances d'edging où je me masturbe pendant des heures, il m'arrive d'avoir des hauts et des bas, pour ne pas dire des raides et des mous, mais je ressens tout aussi bien des vagues de plaisirs à ma masturber la bite molle que la bite raide ; et je ne peux pas lui demander de bander cinq heures de suite !
Surtout à 52 ans, je pense !
Impuissance à cause du porno ?
Non, au contraire !
Incapacité à avoir des relations sexuelles ?
C'est vrai que j'en ai moins qu'à 20 ans mais à mon âge c'est déjà pas mal.
C'est vrai que les baises que j'ai eu ces dernières années étaient beaucoup plus purement sexuelles qu'à 20 ans, mais c'est ce qui me convient, c'est ce que je cherche et je m'en satisfais.
Et c'est aussi vrai que je recherche beaucoup moins les rencontres, que je deviens porno sexuel, que je fais l'amour avec du virtuel et ça me rend très heureux.
Pour un jeune homme qui démarre dans la vie sexuelle, je peux comprendre que ça peut être un problème et c'est une question de choix.
Pour moi à 52 ans, ça ne me préoccupe pas du tout.
Je suis devenu paresseux pour draguer, je préfère rester chez moi tranquille à me faire du plaisir pendant des heures sans mauvaise surprise.
Maintenant la réaction que je n'attendais pas du tout à la lecture de cet article :
Il était illustré d'une série de petites photos, très floues, de visages de femmes et d'hommes en extase sexuelle (recadrages de photos porno).
Vraiment rien pour fouetter un chat (ou une chatte ou une bite...).
Eh bien, la vue de ces visages, sensés illustrer un article sur les dangers de la porno dépendance m'a fait l'effet inverse :
Je me suis précipité sur l'ordinateur, j'avais hâte de rejoindre ces acteurs pornos aux visages déformés par le plaisir et ma plongée dans le monde merveilleux du sexe en a été encore plus jouissive !!!
Je suis porno dépendant, je suis porno sexuel, et j'en suis très fier et très heureux !!!
Je viens de lire un article dans un hebdomadaire sur la porno dépendance et ses conséquences "désastreuses" sur la vie sexuelle.
Évidemment, dès que j'ai vu le titre, je me suis précipité dessus, surtout curieux de savoir comment j'allais réagir aux arguments :
Peur, honte, "bonnes résolutions", ironie, mauvaise conscience…
Et le résultat n'a pas du tout été ce que je prévoyais éventuellement !
D'après cet article, une des principales conséquences de la porno dépendance était qu'elle amenait les hommes à l'impuissance et à l'incapacité d'avoir des relations sexuelles.
Je ne me suis pas senti du tout concerné.
Au contraire, depuis que j'ai découvert le porno à gogo sur le net, il y a environ 15 ans, que je m'en bâfre quotidiennement, que je remplis mon cerveau de bites, de chattes de cul, que je ne pense plus qu'au sexe du matin au soir, ma bite est devenue hyper-réactive :
La moindre pensée salace dans la journée, quelque soient les conditions d'environnement, fait bouger quelque chose dans mon slip.
Pour mon plus grand bonheur, je mouille beaucoup plus qu'avant et dès que je peux m'installer devant du porno, je me sens plonger dans un univers de délices qui m'envahit tout le corps et le cerveau.
Ma bite réagit tout de suite, elle est toujours là, fidèle et "toujours prête » !
Elle me remercie grandement de tout ce porno dont je la nourris.
Certes, pendant mes longues séances d'edging où je me masturbe pendant des heures, il m'arrive d'avoir des hauts et des bas, pour ne pas dire des raides et des mous, mais je ressens tout aussi bien des vagues de plaisirs à ma masturber la bite molle que la bite raide ; et je ne peux pas lui demander de bander cinq heures de suite !
Surtout à 52 ans, je pense !
Impuissance à cause du porno ?
Non, au contraire !
Incapacité à avoir des relations sexuelles ?
C'est vrai que j'en ai moins qu'à 20 ans mais à mon âge c'est déjà pas mal.
C'est vrai que les baises que j'ai eu ces dernières années étaient beaucoup plus purement sexuelles qu'à 20 ans, mais c'est ce qui me convient, c'est ce que je cherche et je m'en satisfais.
Et c'est aussi vrai que je recherche beaucoup moins les rencontres, que je deviens porno sexuel, que je fais l'amour avec du virtuel et ça me rend très heureux.
Pour un jeune homme qui démarre dans la vie sexuelle, je peux comprendre que ça peut être un problème et c'est une question de choix.
Pour moi à 52 ans, ça ne me préoccupe pas du tout.
Je suis devenu paresseux pour draguer, je préfère rester chez moi tranquille à me faire du plaisir pendant des heures sans mauvaise surprise.
Maintenant la réaction que je n'attendais pas du tout à la lecture de cet article :
Il était illustré d'une série de petites photos, très floues, de visages de femmes et d'hommes en extase sexuelle (recadrages de photos porno).
Vraiment rien pour fouetter un chat (ou une chatte ou une bite...).
Eh bien, la vue de ces visages, sensés illustrer un article sur les dangers de la porno dépendance m'a fait l'effet inverse :
Je me suis précipité sur l'ordinateur, j'avais hâte de rejoindre ces acteurs pornos aux visages déformés par le plaisir et ma plongée dans le monde merveilleux du sexe en a été encore plus jouissive !!!
Je suis porno dépendant, je suis porno sexuel, et j'en suis très fier et très heureux !!!
3 years ago