JOUISSANCE ?
JOUIR OU NE PAS JOUIR ?
Pour les masturbateurs accros, le but principal de leur vie, c'est de jouir le plus possibleâŠ
Le plus souvent, le plus longtemps possible de leur membre viril, de leur attribut sexuel, de leur bite, de leur organe masturbatoire et de l'immense quantité de pornographie qui est à leur disposition.
Pour les masturbateurs "dĂ©butants", l'Ă©jaculation correspond Ă une fin des envies, des fantasmes, une chute de la libido et un arrĂȘt de l'activitĂ© masturbatoire.
Pour un masturbateur chevronné, il n'y a presque plus de période réfractaire :
Il jute, se trait bien la bite pour en expulser le maximum de foutre, puis lĂšche ses doigts, se dĂ©lecte de son jus de couilles, se dĂ©tend un peu, regarde les giclures sur son corps, ses drapsâŠ
Remercie sa bite en la caressant un peu, en la tripotant, se remet un peu de pornoâŠ
Histoire de voir ce que ça fait etâŠ.
Quelques minutes aprÚs, il a la satisfaction de se sentir replonger dans les délices de la masturbation de sa queue devenue trÚs sensible.
Je ne dis pas que tous rebandent immédiatement, ça, c'est trÚs personnel, mais le désir, lui, ne retombe pas chez les accros à la masturbation qui ont de l'expérience.
Le fameux "post coïtum a****l triste" n'existe plus, ils s'en sont débarrassé.
Avec de la pratique, ils finissent par enchaĂźner les Ă©pisodes masturbatoires avec de moins en moins de repos entre.
Mais, dâautre part, les masturbateurs accros sâadonnent avec beaucoup de plaisir Ă lâedging (pratique sexuelle qui consiste Ă se retenir de jouir pour atteindre le septiĂšme ciel) et au Tease and denial (technique de stimulation sexuelle d'un individu pour provoquer un intense dĂ©sir, mais sans aller jusqu'Ă l'orgasme).
Ils retardent le plus possible lâĂ©jaculation ou mĂȘme se la refusent, une journĂ©e complĂšte, plusieurs jours ou mĂȘme plusieurs semaines.
Ils jouent avec les limites mais maĂźtrisent leur stimulation pour ne pas passer le point de non-retour.
Le but : ĂȘtre en orgasme continu et, quand on fait une pause, continuer Ă ĂȘtre sous trĂšs forte tension sexuelle.
Les organes masturbatoires restent en éveil, réclament constamment, on réussit avec ces pratiques à sexualiser complÚtement sa vie.
On éduque son cerveau, on devient un véritable obsédé sexuel.
Alors, entre ces deux pratiques :
Se faire jouir souvent en enchaßnant les séances de masturbation ou se retenir de jouir pendant plusieurs jours, que choisir ?
Jâai moi-mĂȘme pratiquĂ© les deux avec beaucoup de plaisir.
Câest trĂšs diffĂ©rent.
Ă une Ă©poque jâai rĂ©ussi Ă tenir 15 jours sans juter en me masturbant plusieurs heures par jour. CâĂ©tait extraordinaire, je nâĂ©tais plus quâune bite, je dormais trĂšs peu, avec des rĂȘves pornos, jâavais conscience constamment, dans la rue, partout, dâavoir entre mes cuisses le centre de ma vie.
Ma bite coulait souvent, mouillait mes slipsâŠ
Mais, dâautre part, jâai fait parfois des marathons de branle-Ă©jac et suis arrivĂ© parfois Ă 8 jouissances sur 24 h et ceci sans trop me forcer.
Bien sĂ»r, pour les derniĂšres, il nây avait plus beaucoup de jus mais les orgasmes Ă©taient trĂšs forts, presque douloureux.
CâĂ©tait aussi trĂšs bon de se sentir comme une machine productrice de sperme.
Les deux exemples que je donne sont des limites, rĂ©alisĂ©es occasionnellement il y a environ 15 ans (quand jâai dĂ©couvert la masturbation intensive) et que maintenant, avec lâĂąge, je ne pourrais peut-ĂȘtre plus rĂ©aliser.
Alors : jouir ou ne pas jouir ?
Pour moi les deux sont aussi motivants.
Je pensais Ă une Ă©poque que le plus sexuel, le plus vicieux, le plus jouissif, câĂ©tait le refus de la jute avec cette tension sexuelle permanente et obsĂ©dante.
Mais il mâarrive parfois maintenant, avec lâĂąge, deux Ă©vĂšnements dans ce cas :
Dans ces longues masturbations, je me fais parfois des mini-orgasmes, je laisse parfois couler un peu de sperme qui jâutilise comme lubrifiant pour continuer ma masturbationâŠ
Câest bon⊠mais Ă la deuxiĂšme ou troisiĂšme fuite de jus, tout Ă coup lâenvie tombe complĂštement, les trois mini-orgasmes ont suffi Ă vider mes couilles et ma bite se met Ă dĂ©bander⊠câest trĂšs frustrant.
JâĂ©tais dans lâidĂ©e dâune masturbation longue et sous pression et me retrouve bĂȘtement avec ma bite molle et recouverte dâun peu de foutre⊠rassurez-vous, la motivation revient vite avec le porno mais ce nâest plus la mĂȘme chose.
Il y a quelques annĂ©es ça ne mâarrivait pas.
Je crois que câest dĂ» au fait que, avec lâĂąge, je produis moins de foutre.
Du coup, jâĂ©vite soigneusement, si je peux, ces mini-orgasmes⊠un peu dommage !
Le deuxiĂšme problĂšme, encore pire :
Je suis dans une pĂ©riode de refus de juter, je me branle beaucoup, des heures, je suis content de voir passer les heures, peut-ĂȘtre mĂȘme les jours sans juter et en masturbation constante et brusquement⊠câest fini, plus dâenvie !
Mes couilles sont pleines, toutes ma rĂ©gion sexuelle, autour de ma bite et des couilles est lourde, sensible et pourtant jâai envie de passer Ă autre chose, la bite est fatiguĂ©e et jâai plus envie⊠dommage⊠quel gĂąchis !
Jâen suis venu Ă lâidĂ©e que dans mon cas, pour assurer le dĂ©sir constant, le rut qui me taraude la bite et le cerveau du matin au soir, jâavais besoin de juter de temps en temps.
Comme je lâai expliquĂ© plus haut, juter nâest pas sâarrĂȘter, câest juste une petite pause qui me permet de repartir encore plus motiver.
Juter est trĂšs agrĂ©able, Ă©videmment, surtout quand on sâest beaucoup masturbĂ©, et le dĂ©licieux souvenir que me laisse ma derniĂšre jute me motive pour recommencer.
La meilleure solution dans mon cas est une espÚce de compromis entre de longues séances de masturbation et une éjac de temps en temps.
Suivant mon humeur, ça peut ĂȘtre une fois par jour, une fois tous les deux jours⊠ou au contraire parfois, deux, trois fois par jour.
Mais je ne suis plus tellement adepte, comme il y a quelques annĂ©es des trĂšs longues pĂ©riodes de refus de juter et jâaime sentir mon sperme arriver au bout de ma bite et couler sur le gland !
Et vous ?
Pour les masturbateurs accros, le but principal de leur vie, c'est de jouir le plus possibleâŠ
Le plus souvent, le plus longtemps possible de leur membre viril, de leur attribut sexuel, de leur bite, de leur organe masturbatoire et de l'immense quantité de pornographie qui est à leur disposition.
Pour les masturbateurs "dĂ©butants", l'Ă©jaculation correspond Ă une fin des envies, des fantasmes, une chute de la libido et un arrĂȘt de l'activitĂ© masturbatoire.
Pour un masturbateur chevronné, il n'y a presque plus de période réfractaire :
Il jute, se trait bien la bite pour en expulser le maximum de foutre, puis lĂšche ses doigts, se dĂ©lecte de son jus de couilles, se dĂ©tend un peu, regarde les giclures sur son corps, ses drapsâŠ
Remercie sa bite en la caressant un peu, en la tripotant, se remet un peu de pornoâŠ
Histoire de voir ce que ça fait etâŠ.
Quelques minutes aprÚs, il a la satisfaction de se sentir replonger dans les délices de la masturbation de sa queue devenue trÚs sensible.
Je ne dis pas que tous rebandent immédiatement, ça, c'est trÚs personnel, mais le désir, lui, ne retombe pas chez les accros à la masturbation qui ont de l'expérience.
Le fameux "post coïtum a****l triste" n'existe plus, ils s'en sont débarrassé.
Avec de la pratique, ils finissent par enchaĂźner les Ă©pisodes masturbatoires avec de moins en moins de repos entre.
Mais, dâautre part, les masturbateurs accros sâadonnent avec beaucoup de plaisir Ă lâedging (pratique sexuelle qui consiste Ă se retenir de jouir pour atteindre le septiĂšme ciel) et au Tease and denial (technique de stimulation sexuelle d'un individu pour provoquer un intense dĂ©sir, mais sans aller jusqu'Ă l'orgasme).
Ils retardent le plus possible lâĂ©jaculation ou mĂȘme se la refusent, une journĂ©e complĂšte, plusieurs jours ou mĂȘme plusieurs semaines.
Ils jouent avec les limites mais maĂźtrisent leur stimulation pour ne pas passer le point de non-retour.
Le but : ĂȘtre en orgasme continu et, quand on fait une pause, continuer Ă ĂȘtre sous trĂšs forte tension sexuelle.
Les organes masturbatoires restent en éveil, réclament constamment, on réussit avec ces pratiques à sexualiser complÚtement sa vie.
On éduque son cerveau, on devient un véritable obsédé sexuel.
Alors, entre ces deux pratiques :
Se faire jouir souvent en enchaßnant les séances de masturbation ou se retenir de jouir pendant plusieurs jours, que choisir ?
Jâai moi-mĂȘme pratiquĂ© les deux avec beaucoup de plaisir.
Câest trĂšs diffĂ©rent.
Ă une Ă©poque jâai rĂ©ussi Ă tenir 15 jours sans juter en me masturbant plusieurs heures par jour. CâĂ©tait extraordinaire, je nâĂ©tais plus quâune bite, je dormais trĂšs peu, avec des rĂȘves pornos, jâavais conscience constamment, dans la rue, partout, dâavoir entre mes cuisses le centre de ma vie.
Ma bite coulait souvent, mouillait mes slipsâŠ
Mais, dâautre part, jâai fait parfois des marathons de branle-Ă©jac et suis arrivĂ© parfois Ă 8 jouissances sur 24 h et ceci sans trop me forcer.
Bien sĂ»r, pour les derniĂšres, il nây avait plus beaucoup de jus mais les orgasmes Ă©taient trĂšs forts, presque douloureux.
CâĂ©tait aussi trĂšs bon de se sentir comme une machine productrice de sperme.
Les deux exemples que je donne sont des limites, rĂ©alisĂ©es occasionnellement il y a environ 15 ans (quand jâai dĂ©couvert la masturbation intensive) et que maintenant, avec lâĂąge, je ne pourrais peut-ĂȘtre plus rĂ©aliser.
Alors : jouir ou ne pas jouir ?
Pour moi les deux sont aussi motivants.
Je pensais Ă une Ă©poque que le plus sexuel, le plus vicieux, le plus jouissif, câĂ©tait le refus de la jute avec cette tension sexuelle permanente et obsĂ©dante.
Mais il mâarrive parfois maintenant, avec lâĂąge, deux Ă©vĂšnements dans ce cas :
Dans ces longues masturbations, je me fais parfois des mini-orgasmes, je laisse parfois couler un peu de sperme qui jâutilise comme lubrifiant pour continuer ma masturbationâŠ
Câest bon⊠mais Ă la deuxiĂšme ou troisiĂšme fuite de jus, tout Ă coup lâenvie tombe complĂštement, les trois mini-orgasmes ont suffi Ă vider mes couilles et ma bite se met Ă dĂ©bander⊠câest trĂšs frustrant.
JâĂ©tais dans lâidĂ©e dâune masturbation longue et sous pression et me retrouve bĂȘtement avec ma bite molle et recouverte dâun peu de foutre⊠rassurez-vous, la motivation revient vite avec le porno mais ce nâest plus la mĂȘme chose.
Il y a quelques annĂ©es ça ne mâarrivait pas.
Je crois que câest dĂ» au fait que, avec lâĂąge, je produis moins de foutre.
Du coup, jâĂ©vite soigneusement, si je peux, ces mini-orgasmes⊠un peu dommage !
Le deuxiĂšme problĂšme, encore pire :
Je suis dans une pĂ©riode de refus de juter, je me branle beaucoup, des heures, je suis content de voir passer les heures, peut-ĂȘtre mĂȘme les jours sans juter et en masturbation constante et brusquement⊠câest fini, plus dâenvie !
Mes couilles sont pleines, toutes ma rĂ©gion sexuelle, autour de ma bite et des couilles est lourde, sensible et pourtant jâai envie de passer Ă autre chose, la bite est fatiguĂ©e et jâai plus envie⊠dommage⊠quel gĂąchis !
Jâen suis venu Ă lâidĂ©e que dans mon cas, pour assurer le dĂ©sir constant, le rut qui me taraude la bite et le cerveau du matin au soir, jâavais besoin de juter de temps en temps.
Comme je lâai expliquĂ© plus haut, juter nâest pas sâarrĂȘter, câest juste une petite pause qui me permet de repartir encore plus motiver.
Juter est trĂšs agrĂ©able, Ă©videmment, surtout quand on sâest beaucoup masturbĂ©, et le dĂ©licieux souvenir que me laisse ma derniĂšre jute me motive pour recommencer.
La meilleure solution dans mon cas est une espÚce de compromis entre de longues séances de masturbation et une éjac de temps en temps.
Suivant mon humeur, ça peut ĂȘtre une fois par jour, une fois tous les deux jours⊠ou au contraire parfois, deux, trois fois par jour.
Mais je ne suis plus tellement adepte, comme il y a quelques annĂ©es des trĂšs longues pĂ©riodes de refus de juter et jâaime sentir mon sperme arriver au bout de ma bite et couler sur le gland !
Et vous ?
3 years ago