La cuisine
Je finis mon dĂźner et rejoins SĂ©verine dans la cuisine. Elle mange dâhabitude plus vite que moi et sâen va faire la vaisselle dans la cuisine, pour que tout soit prĂȘt avant de nous coucher. Je la prends dans mes bras, par derriĂšre, pendant quâelle essuie les verres. Elle est trĂšs chatouilleuse et laisse tomber une coupe Ă vin qui sâĂ©crase par terre. Elle rougit. Je lâembrasse sur la nuque et cela la fait rire. Je lui donne de petits bisous sur les Ă©paules et sur les joues, pendant quâelle finit dâessuyer les couverts. Ses petites fesses bombĂ©es frĂŽlent mon entrejambe et me font bander grave. Je laisse sortir ma bite et retrousse sa jupe, pour lâenfiler entre ses fesses nues toutes trempĂ©es de sueur. SĂ©verine laisse Ă©chapper un soupir et me prie de continuer. Je glisse ma bite entre ses cuisses, bien au fond et la cochonne se plaĂźt Ă serrer fort ses jambes pour mâexciter. Je suis vraiment trĂšs chaud. SĂ©verine appuie ses mains sur le plan de travail pour mieux se pencher en avant. Je constate alors quâelle nâa effectivement pas de culotte, et, entre ses fesses rebondies, je peux voir un bout de sa foune, toute dĂ©goulinante de mouille.
-âVas-y Mourad, ce soir je veux ĂȘtre enculer encoreâŠâ
-âTu es sure? â
-âOui, vas-yâ
Je lubrifie ma bite avec un peu de salive et, Ă©cartant ses fesses, jâenfonce ma verge dans son trou du cul, trĂšs lentement. Son cul serrĂ© sâouvre trĂšs lentement. Je me rends compte quâelle aime ça car elle ne se plaint que trĂšs peu. Je continue jusquâĂ ce que mes couilles tapent sur ses fesses. LĂ je mâarrĂȘte un instant, pour que son cul sâhabitue Ă la sensation dâĂȘtre rempli. SĂ©verine commence Ă bouger et me prie de rester immobile. Je lui obĂ©is, pendant que ma jolie femme sâenfourche elle-mĂȘme sur ma bite, raide comme un pieu. Ăa bande trĂšs dur mais la cochonne ne semble pas sâen rendre compte. Elle bouge dâavant en arriĂšre comme si ma bite ne lui faisait aucun mal. Je suis surpris et trĂšs heureux en mĂȘme temps.
-âEnfonce, plus fort, plus fortâŠâ
Je nâai pas le temps de traĂźner dans mes pensĂ©es car SĂ©verine mâoblige Ă la sodomiser trĂšs fort. Mes fluides sortent abondamment et lubrifient son cul, que je viens de dilater assez pour que la pĂ©nĂ©tration soit trĂšs facile.
-âOuiiiiiiiiiiiiii, Mouraaaad, vas-y, encule moi, encule moiâ
Mon adrĂ©naline est au top. JâĂ©jacule quelques gouttes de sperme, sans atteindre lâorgasme, qui mâaident Ă lubrifier encore plus son petit trou. Cela mâarrive trĂšs souvent et SĂ©verine adore avaler mes fluides. Pendant que je la sodomise Ă la sauvage, ma compagne enlĂšve son t-shirt et je profite pour masser ses nichons magnifiques, durcis Ă cause de lâexcitation. Elle est trĂšs chaude et la sueur coule sur tout son corps. Jâadore quâelle se lĂąche comme ça et, complĂštement hors de moi, je retire ma bite de son cul pour lâenfoncer dans sa chatte, toute inondĂ©e de mouille.
-âAhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhâ
Cela lui procure un immense plaisir et la coquine se penche encore plus en avant pour que la pĂ©nĂ©tration soit plus profonde. Je suis vraiment aux anges et ferme mes yeux pour rĂȘver. Mais SĂ©verine me prie soudain de la sodomiser jusquâĂ lâorgasme. Câest confirmĂ©, elle est folle de sodomie ce soir. JâĂ©carte ses fesses de nouveau, et reste un moment abasourdi, devant son trou du cul, si dilatĂ© que jây glisse mon dard, dâun seul coup, sans la moindre plainte de sa part. Cette sodomie improvisĂ©e mâa rendu fou et je me sens trĂšs proche de lâorgasme. SĂ©verine me devance, en jouissant trĂšs bruyamment, au milieu de secousses trĂšs violentes. Les muscles de son anus se contractent si fort autour de ma bite que je ne tarde pas Ă jouir, en inondant son petit trou, de foutre chaud et coulant.
-âVas-y Mourad, ce soir je veux ĂȘtre enculer encoreâŠâ
-âTu es sure? â
-âOui, vas-yâ
Je lubrifie ma bite avec un peu de salive et, Ă©cartant ses fesses, jâenfonce ma verge dans son trou du cul, trĂšs lentement. Son cul serrĂ© sâouvre trĂšs lentement. Je me rends compte quâelle aime ça car elle ne se plaint que trĂšs peu. Je continue jusquâĂ ce que mes couilles tapent sur ses fesses. LĂ je mâarrĂȘte un instant, pour que son cul sâhabitue Ă la sensation dâĂȘtre rempli. SĂ©verine commence Ă bouger et me prie de rester immobile. Je lui obĂ©is, pendant que ma jolie femme sâenfourche elle-mĂȘme sur ma bite, raide comme un pieu. Ăa bande trĂšs dur mais la cochonne ne semble pas sâen rendre compte. Elle bouge dâavant en arriĂšre comme si ma bite ne lui faisait aucun mal. Je suis surpris et trĂšs heureux en mĂȘme temps.
-âEnfonce, plus fort, plus fortâŠâ
Je nâai pas le temps de traĂźner dans mes pensĂ©es car SĂ©verine mâoblige Ă la sodomiser trĂšs fort. Mes fluides sortent abondamment et lubrifient son cul, que je viens de dilater assez pour que la pĂ©nĂ©tration soit trĂšs facile.
-âOuiiiiiiiiiiiiii, Mouraaaad, vas-y, encule moi, encule moiâ
Mon adrĂ©naline est au top. JâĂ©jacule quelques gouttes de sperme, sans atteindre lâorgasme, qui mâaident Ă lubrifier encore plus son petit trou. Cela mâarrive trĂšs souvent et SĂ©verine adore avaler mes fluides. Pendant que je la sodomise Ă la sauvage, ma compagne enlĂšve son t-shirt et je profite pour masser ses nichons magnifiques, durcis Ă cause de lâexcitation. Elle est trĂšs chaude et la sueur coule sur tout son corps. Jâadore quâelle se lĂąche comme ça et, complĂštement hors de moi, je retire ma bite de son cul pour lâenfoncer dans sa chatte, toute inondĂ©e de mouille.
-âAhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhâ
Cela lui procure un immense plaisir et la coquine se penche encore plus en avant pour que la pĂ©nĂ©tration soit plus profonde. Je suis vraiment aux anges et ferme mes yeux pour rĂȘver. Mais SĂ©verine me prie soudain de la sodomiser jusquâĂ lâorgasme. Câest confirmĂ©, elle est folle de sodomie ce soir. JâĂ©carte ses fesses de nouveau, et reste un moment abasourdi, devant son trou du cul, si dilatĂ© que jây glisse mon dard, dâun seul coup, sans la moindre plainte de sa part. Cette sodomie improvisĂ©e mâa rendu fou et je me sens trĂšs proche de lâorgasme. SĂ©verine me devance, en jouissant trĂšs bruyamment, au milieu de secousses trĂšs violentes. Les muscles de son anus se contractent si fort autour de ma bite que je ne tarde pas Ă jouir, en inondant son petit trou, de foutre chaud et coulant.
3 years ago