Inceste au concert.
Ma belle fille, Manon, nous a offert à ma femme et moi, deux places pour un concert qui doit avoir lieu au stade prochainement. Seulement sa mère n’étant pas très fan de ce groupe ne tient pas à y aller et je me retrouve avec une place dont je ne sais que faire. N’ayant trouvé personne dans mon entourage à qui la donner et refusant l'idée de revendre un cadeau, je décide donc en dernier recours de lui proposer de venir avec moi. Contre toute attente elle accepte de m’accompagner. Le soir venu, je la rejoins chez elle et nous finissons le trajet en tramway jusqu’au stade.
Manon est un tout petit bout de femme, âgée de 25 ans, elle mesure 1m50 et des poussières, pour à peine 45kg, brune les cheveux longs jusqu’à mi-dos, les yeux noisette, une petite poitrine (elle doit faire du 80B à tout casser), un ventre plat, et une jolie petite paire de fesses.
Lorsque j’arrive chez elle, elle finit de se préparer. Elle a enfilé un jean « destroy » dont la jambe droite est largement déchirée au niveau de la cuisse, un débardeur sans manche et un blouson. Nous arrivons au stade largement avant l’heure de début du concert et nous allons directement sur la pelouse devant la scène, tout prêt des barrières de sécurité. Nous nous asseyons côte à côte sur la pelouse, commençons à siroter des bières en mangeant nos sandwiches, et Manon se roule un joint. J’en profite pour tirer deux ou trois fois dessus mais je veux garder les idées claires, car après le concert, j’ai quand même un peu de route pour rentrer chez moi. Manon, elle est rapidement « détendue » et devient, à ma grande surprise, très câline. Sa jambe vient se coller à la mienne, pose sa tête sur mon épaule, m'embrasse sur la joue et dans le cou, prend ma main et vient la poser sur son genou, celle dont la jambe de pantalon est totalement déchirée et laisse apparaitre largement sa cuisse. Le contact de sa peau est tellement agréable et inattendu, qu'il provoque chez moi un début d’érection. Certes cette situation me gène un peu mais je suis instantanément excité et je décide sans réfléchir aux conséquences possibles, de continuer à caresser cette jambe qui s’offre à moi. Ma main glisse maintenant dans la fente et s’insinue sous le tissus, descend vers le genou avant de remonter délicatement vers le haut de la cuisse. Loin de me repousser, Manon en posant sa main sur la mienne, m’incite même à pousser plus loin mes investigations et mes doigts viennent au contact de sa …. vulve !!!! Merde elle n’a pas de culotte … quelle petite coquine !!! C’est sa petite chatte que je sens sous mes doigts. Elle semble totalement épilée et je sens ses lèvres déjà toutes humides. Je suis à la fois terriblement surpris et excité par cette découverte.
C’est à ce moment là que les premières notes résonnent annonçant l’imminence du concert. Nous bondissons tous les deux pour nous rapprocher des barrières. Nous sommes au premières loges, rivés l’un à l’autre, Manon devant moi. La foule nous presse, mon sexe se retrouve collé contre ses fesses, et Manon ne peut ignorer la bosse grandissante que fait ce dernier. Au contraire, elle se cambre et s’appuie de toute ses forces contre moi, frottant son cul contre ma bite qui maintenant est tellement tendue dans mon jean, que cela en devient presque douloureux.
L’avantage dans un concert, c’est que personne ne prête attention à vous. J’en profite donc pour la peloter. Ma main s’est glissée sous son teeshirt, elle n’a pas non plus pris la peine de mettre un soutien gorge et je saisis ses seins à pleine main. Ils ne sont pas gros, mais ils sont bien fermes. Je les pétris, leur peau est douce et les mamelons durcissent rapidement. Je joue avec eux en les triturant et les pinçant gentiment. C’est tellement agréable et excitant de peloter cette gamine deux fois plus jeune que moi au milieu de cette foule, de lui faire sentir combien elle me fait bander en frottant mon chibre contre son petit cul.
Le concert se poursuit, elle se roule et s’allume un second joint. Nous sommes merveilleusement bien. Manon est de totalement désinhibée. Elle frotte toujours et de plus en plus fort ses fesses contre mon pubis, je bande comme un taureau, je suis dur comme un roc. Je fais glisser ma main le long de son ventre et je retrouve la fente de son jean. Mes doigts s’insinuent de nouveau sous le tissu et remonte vers sa chatte que je retrouve dégoulinante de cyprine. Manon écarte les jambes un peu plus et me laisse accéder à son intimité. Mes doigts caressent ses lèvres, découvrent son clitoris, le caressent un moment, avant de pénétrer dans son vagin. J’introduis un doigt puis doucement un deuxième. Sa chatte est trempe. Le concert a commencé maintenant depuis un long moment, mais je continue alternativement à peloter et à doigter ma petite belle fille qui semble très heureuse de ce traitement et qui à son tour me caresse la bite au travers de mon pantalon. Je sens qu’elle est en train de jouir sous mes caresses. Un jet de liquide chaud et visqueux ne tarde pas à recouvrir ma main.
Le concert se termine maintenant, Manon se serre contre moi et commence même à m’embrasser. Nous nous dirigeons vers la sortie, réussissons à monter dans le tramway. Il y a tellement de monde que nous sommes pressés l’un contre l’autre, et le contact de ce corps me rend fou. Une fois descendus, nous terminons la centaine de mètres qui nous sépare de son immeuble collés l’un à l'autre. Elle me tient par la main et m’attire dans l’entrée de sa résidence. Nous prenons l’ascenseur, elle se jette sur moi et m’embrasse sans retenue sur la bouche. Nos langues se mélangent, notre baiser se fait passionné. Arrivés à son étage, nous nous dirigeons vers son appartement. Sitôt rentrés, nous reprenons notre étreinte, encore plus passionnée, nos baisers se font fougueux. Je recommence à la caresser et lui ôtant son teeshirt et en défaisant son jean qui glisse le long de ses jambes. Elle est entièrement nue devant moi. Son corps juvénile est parfait, ses petits seins fièrement dressés, ses tétons gonflés et durs pointent dans ma direction. Je fond sur eux, empoignant ses seins à pleines mains avant de les gober et de sucer ses mamelons. Mais c’est la découverte de sa vulve luisante d’excitation que j’ai touchée toute la soirée qui provoque chez moi la plus vive émotion. A la vue de cette petite chatte totalement épilée, je m’agenouille commence à la lécher délicatement ce merveilleux petit abricot. Je joue avec son clitoris que j’aspire entre mes lèvres et que je suce avidement, avant de replonger ma langue entre ses lèvres et de l’enfoncer aussi loin que je peux dans son vagin. Elle gémit de plaisir de manière ininterrompue, je me régale de son nectar qui coule dans ma bouche. Elle pose ses deux mains sur ma tête, m’encourageant par là à prolonger ce cunilingus, jusqu’à ce qu’elle jouisse en criant son plaisir. Je me relève alors, la plaque contre le mur et la soulève du sol en passant mes mains sous ses fesses. Elle passe ses bras autour de mon cou et m’entoure la taille de ses jambes en croisant ses pieds dans mon dos. Je saisis mon sexe d’une main et l’approche de sa fente. Je frotte un peu le gland contre sa vulve et la pénètre. Lubrifiée comme elle l’est, elle s’empale sur mon pieu qui s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Elle ne peut retenir un petit cri à la fois de surprise quand à la grosseur de ma bite et de plaisir. Elle est tellement serrée que je suis merveilleusement à l’étroit au fond de sa grotte. Mon pénis frotte contre les parois et tape contre le fond de son vagin. Elle garde les yeux fermés et rejette sa tête en arrière en gémissant. Elle profite pleinement de ce moment. Puis elle cherche ma bouche et m’embrasse passionnément, sa langue ne veut plus quitter la mienne, elle jouit de nouveau en plantant ses ongles dans mon dos. Ma jouissance est proche, mais je ne veux pas que cela se termine aussi rapidement. J’arrête de la limer tout en restant en elle. Je continue à l’embrasser fougueusement mais sans bouger. Je souhaite que ce moment se prolonge le plus longtemps possible. Mon excitation se calme un peu. Je me dirige alors vers son séjour sans me retirer de son écrin qui enserre mon arbre. Je la dépose sur la table et je recommence mes vas et vient mais plus lentement. Je la pénètre sur toute la longueur de ma tige, mes couilles viennent taper contre ses fesses. Son vagin est tellement étroit et contracté que je lui laboure sa petite grotte. Ses jambes sont toujours accrochées autour de ma taille, d’une main elle se retient à mon cou et son autre bras prend appui sur la table. Elle me regarde fixement dans les yeux, passant lascivement sa langue sur ses lèvres, gémissant toujours de plaisir. Je continue à la besogner virilement, sans interruption, elle se cambre, rejette sa tête en arrière et jouit de nouveau, le corps parcouru de spasmes.
Je sens ma jouissance toute proche. Merde, non pas tout de suite. Je veux encore profiter de ce corps, de cette petite chatte que je ne risque pas de re-baiser de sitôt. J’arrête de l’astiquer et je la fait descendre de la table. Je l’entraine vers sa chambre, elle me suit sans aucune résistance. Spontanément elle se met à quatre pattes sur le lit, m’offrant la vision de son joli petit cul et de sa vulve. Je n’en peux plus, mon excitation est à son comble. Je m’approche de son antre bite à la main et je la pénètre cette fois sans ménagement. Mon introduction fougueuse la fait hurler, ses mains se crispent, s’accrochent aux draps, elle plonge la tète dans ses coussins et les mord pour étouffer ses cris. La vision de son corps totalement offert à mon bon plaisir accroit mon excitation. Je la saisis par les hanches à deux mains pour accentuer la force de la pénétration. Ce sont maintenant de véritables coups de boutoirs que je lui assène sans aucun ménagement pour sa petite chambre d’amour Je la pilonne comme un forcené, j’atomise son vagin. A chaque coup de rein, je pousse un cri rauque tel un bucheron. Ses cris se sont transformés en hurlements continus à la fois de douleur et de plaisir qui doivent avoir réveillés tout ses voisins. L’entendre gueuler ainsi exacerbe mon excitation. Accroché à ses hanches, j’accélère mes va et vient et la défonce sauvagement. Cette fois je ne résiste plus, j’éjacule en elle. Mon orgasme est d’une intensité incroyable. je me vide les couilles en plusieurs jets saccadés. Je déverse au fond de sa chatte un flot de sperme, une telle quantité que le trop plein fuit tout autour de mon pénis et coule le long de ses cuisses. Elle s’effondre à plat ventre sur le lit, anéantie. De son vagin s’échappe ma semence qui vient tacher son drap. Je contemple cette innocente beauté juvénile. Je me met à lui masser le dos et lui pétrir les fesses. Plus je les caresse, plus mes yeux sont attirés par son petit bouton de rose. La tentation est trop forte. Un doigt glisse et commence à titiller son anus. Elle sursaute et se contracte. Je la rassure, lui dis de me laisser faire. Elle se détend un peu. Je recommence à la toucher puis je descend, m’allonge entre ses cuisses, posant ma bouche entre ses fesses. J’écarte ses « joues » de mes mains et plonge ma langue sur sa rondelle. Elle se met à gémir doucement. Je la lèche, dépose de la salive, force son sphincter avec ma langue et réussit à l’introduire un tout petit peu dans son anus. Elle se relâche complètement, me laisse jouer avec sa rondelle. Je la suce, la lèche, mes doigts remplacent ma langue. Après avoir récupéré mon sperme qui s’écoule de sa chatte, je lui enduit la rondelle de ce jus pour la lubrifier, j’introduis un doigt puis un deuxième dans son fondement, je dilate le sphincter. Mon excitation s’intensifie et ma bite est de nouveau raide, encore plus grosse que tout à l’heure. Je me met à genou, un de chaque côté de ses hanches, et les pieds entre ses cuisses. Je saisi mon sexe dans ma main droite, les doigts de la mains gauche continuent d’écarteler son anus. J’approche mon gland de son petit trou et appuie de tout mon poids pour le faire céder. Mon gland se retrouve en elle en lui arrachant un cri de douleur, quelques injures, elle me supplie d’arrêter, me dit qu’elle n’a jamais fais cela, que ma queue est trop grosse pour elle …. Je reste sourd à ses supplications et poursuit ma pénétration. Je m’enfonce jusqu’à la garde et reste un moment immobile afin qu’elle s’habitue à ce « corps étranger ». Lorsque je la sens relâchée, je commence à pomper en elle doucement. Je me retire presque entièrement, ne laissant que mon gland avant de me renfoncer lentement. Je la sodomise ainsi pendant un long moment avant de cracher de nouveau en elle. Quelle merveilleuse sensation. Je m’effondre sur elle, nous sommes épuisés, en sueurs, incapables du moindre mouvement, ma bite toujours enfoncée dans son cul, je l’embrasse dans le cou, cherche sa bouche, caresse ses cheveux.
Malgré mon envie de rester avec elle et de passer la nuit à la baiser, il est plus que temps pour moi de rentrer et de retrouver sa mère qui ne doit pas se douter un seul instant que je viens de baiser sa fille et de lui offrir son dépucelage anal.
Manon est un tout petit bout de femme, âgée de 25 ans, elle mesure 1m50 et des poussières, pour à peine 45kg, brune les cheveux longs jusqu’à mi-dos, les yeux noisette, une petite poitrine (elle doit faire du 80B à tout casser), un ventre plat, et une jolie petite paire de fesses.
Lorsque j’arrive chez elle, elle finit de se préparer. Elle a enfilé un jean « destroy » dont la jambe droite est largement déchirée au niveau de la cuisse, un débardeur sans manche et un blouson. Nous arrivons au stade largement avant l’heure de début du concert et nous allons directement sur la pelouse devant la scène, tout prêt des barrières de sécurité. Nous nous asseyons côte à côte sur la pelouse, commençons à siroter des bières en mangeant nos sandwiches, et Manon se roule un joint. J’en profite pour tirer deux ou trois fois dessus mais je veux garder les idées claires, car après le concert, j’ai quand même un peu de route pour rentrer chez moi. Manon, elle est rapidement « détendue » et devient, à ma grande surprise, très câline. Sa jambe vient se coller à la mienne, pose sa tête sur mon épaule, m'embrasse sur la joue et dans le cou, prend ma main et vient la poser sur son genou, celle dont la jambe de pantalon est totalement déchirée et laisse apparaitre largement sa cuisse. Le contact de sa peau est tellement agréable et inattendu, qu'il provoque chez moi un début d’érection. Certes cette situation me gène un peu mais je suis instantanément excité et je décide sans réfléchir aux conséquences possibles, de continuer à caresser cette jambe qui s’offre à moi. Ma main glisse maintenant dans la fente et s’insinue sous le tissus, descend vers le genou avant de remonter délicatement vers le haut de la cuisse. Loin de me repousser, Manon en posant sa main sur la mienne, m’incite même à pousser plus loin mes investigations et mes doigts viennent au contact de sa …. vulve !!!! Merde elle n’a pas de culotte … quelle petite coquine !!! C’est sa petite chatte que je sens sous mes doigts. Elle semble totalement épilée et je sens ses lèvres déjà toutes humides. Je suis à la fois terriblement surpris et excité par cette découverte.
C’est à ce moment là que les premières notes résonnent annonçant l’imminence du concert. Nous bondissons tous les deux pour nous rapprocher des barrières. Nous sommes au premières loges, rivés l’un à l’autre, Manon devant moi. La foule nous presse, mon sexe se retrouve collé contre ses fesses, et Manon ne peut ignorer la bosse grandissante que fait ce dernier. Au contraire, elle se cambre et s’appuie de toute ses forces contre moi, frottant son cul contre ma bite qui maintenant est tellement tendue dans mon jean, que cela en devient presque douloureux.
L’avantage dans un concert, c’est que personne ne prête attention à vous. J’en profite donc pour la peloter. Ma main s’est glissée sous son teeshirt, elle n’a pas non plus pris la peine de mettre un soutien gorge et je saisis ses seins à pleine main. Ils ne sont pas gros, mais ils sont bien fermes. Je les pétris, leur peau est douce et les mamelons durcissent rapidement. Je joue avec eux en les triturant et les pinçant gentiment. C’est tellement agréable et excitant de peloter cette gamine deux fois plus jeune que moi au milieu de cette foule, de lui faire sentir combien elle me fait bander en frottant mon chibre contre son petit cul.
Le concert se poursuit, elle se roule et s’allume un second joint. Nous sommes merveilleusement bien. Manon est de totalement désinhibée. Elle frotte toujours et de plus en plus fort ses fesses contre mon pubis, je bande comme un taureau, je suis dur comme un roc. Je fais glisser ma main le long de son ventre et je retrouve la fente de son jean. Mes doigts s’insinuent de nouveau sous le tissu et remonte vers sa chatte que je retrouve dégoulinante de cyprine. Manon écarte les jambes un peu plus et me laisse accéder à son intimité. Mes doigts caressent ses lèvres, découvrent son clitoris, le caressent un moment, avant de pénétrer dans son vagin. J’introduis un doigt puis doucement un deuxième. Sa chatte est trempe. Le concert a commencé maintenant depuis un long moment, mais je continue alternativement à peloter et à doigter ma petite belle fille qui semble très heureuse de ce traitement et qui à son tour me caresse la bite au travers de mon pantalon. Je sens qu’elle est en train de jouir sous mes caresses. Un jet de liquide chaud et visqueux ne tarde pas à recouvrir ma main.
Le concert se termine maintenant, Manon se serre contre moi et commence même à m’embrasser. Nous nous dirigeons vers la sortie, réussissons à monter dans le tramway. Il y a tellement de monde que nous sommes pressés l’un contre l’autre, et le contact de ce corps me rend fou. Une fois descendus, nous terminons la centaine de mètres qui nous sépare de son immeuble collés l’un à l'autre. Elle me tient par la main et m’attire dans l’entrée de sa résidence. Nous prenons l’ascenseur, elle se jette sur moi et m’embrasse sans retenue sur la bouche. Nos langues se mélangent, notre baiser se fait passionné. Arrivés à son étage, nous nous dirigeons vers son appartement. Sitôt rentrés, nous reprenons notre étreinte, encore plus passionnée, nos baisers se font fougueux. Je recommence à la caresser et lui ôtant son teeshirt et en défaisant son jean qui glisse le long de ses jambes. Elle est entièrement nue devant moi. Son corps juvénile est parfait, ses petits seins fièrement dressés, ses tétons gonflés et durs pointent dans ma direction. Je fond sur eux, empoignant ses seins à pleines mains avant de les gober et de sucer ses mamelons. Mais c’est la découverte de sa vulve luisante d’excitation que j’ai touchée toute la soirée qui provoque chez moi la plus vive émotion. A la vue de cette petite chatte totalement épilée, je m’agenouille commence à la lécher délicatement ce merveilleux petit abricot. Je joue avec son clitoris que j’aspire entre mes lèvres et que je suce avidement, avant de replonger ma langue entre ses lèvres et de l’enfoncer aussi loin que je peux dans son vagin. Elle gémit de plaisir de manière ininterrompue, je me régale de son nectar qui coule dans ma bouche. Elle pose ses deux mains sur ma tête, m’encourageant par là à prolonger ce cunilingus, jusqu’à ce qu’elle jouisse en criant son plaisir. Je me relève alors, la plaque contre le mur et la soulève du sol en passant mes mains sous ses fesses. Elle passe ses bras autour de mon cou et m’entoure la taille de ses jambes en croisant ses pieds dans mon dos. Je saisis mon sexe d’une main et l’approche de sa fente. Je frotte un peu le gland contre sa vulve et la pénètre. Lubrifiée comme elle l’est, elle s’empale sur mon pieu qui s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Elle ne peut retenir un petit cri à la fois de surprise quand à la grosseur de ma bite et de plaisir. Elle est tellement serrée que je suis merveilleusement à l’étroit au fond de sa grotte. Mon pénis frotte contre les parois et tape contre le fond de son vagin. Elle garde les yeux fermés et rejette sa tête en arrière en gémissant. Elle profite pleinement de ce moment. Puis elle cherche ma bouche et m’embrasse passionnément, sa langue ne veut plus quitter la mienne, elle jouit de nouveau en plantant ses ongles dans mon dos. Ma jouissance est proche, mais je ne veux pas que cela se termine aussi rapidement. J’arrête de la limer tout en restant en elle. Je continue à l’embrasser fougueusement mais sans bouger. Je souhaite que ce moment se prolonge le plus longtemps possible. Mon excitation se calme un peu. Je me dirige alors vers son séjour sans me retirer de son écrin qui enserre mon arbre. Je la dépose sur la table et je recommence mes vas et vient mais plus lentement. Je la pénètre sur toute la longueur de ma tige, mes couilles viennent taper contre ses fesses. Son vagin est tellement étroit et contracté que je lui laboure sa petite grotte. Ses jambes sont toujours accrochées autour de ma taille, d’une main elle se retient à mon cou et son autre bras prend appui sur la table. Elle me regarde fixement dans les yeux, passant lascivement sa langue sur ses lèvres, gémissant toujours de plaisir. Je continue à la besogner virilement, sans interruption, elle se cambre, rejette sa tête en arrière et jouit de nouveau, le corps parcouru de spasmes.
Je sens ma jouissance toute proche. Merde, non pas tout de suite. Je veux encore profiter de ce corps, de cette petite chatte que je ne risque pas de re-baiser de sitôt. J’arrête de l’astiquer et je la fait descendre de la table. Je l’entraine vers sa chambre, elle me suit sans aucune résistance. Spontanément elle se met à quatre pattes sur le lit, m’offrant la vision de son joli petit cul et de sa vulve. Je n’en peux plus, mon excitation est à son comble. Je m’approche de son antre bite à la main et je la pénètre cette fois sans ménagement. Mon introduction fougueuse la fait hurler, ses mains se crispent, s’accrochent aux draps, elle plonge la tète dans ses coussins et les mord pour étouffer ses cris. La vision de son corps totalement offert à mon bon plaisir accroit mon excitation. Je la saisis par les hanches à deux mains pour accentuer la force de la pénétration. Ce sont maintenant de véritables coups de boutoirs que je lui assène sans aucun ménagement pour sa petite chambre d’amour Je la pilonne comme un forcené, j’atomise son vagin. A chaque coup de rein, je pousse un cri rauque tel un bucheron. Ses cris se sont transformés en hurlements continus à la fois de douleur et de plaisir qui doivent avoir réveillés tout ses voisins. L’entendre gueuler ainsi exacerbe mon excitation. Accroché à ses hanches, j’accélère mes va et vient et la défonce sauvagement. Cette fois je ne résiste plus, j’éjacule en elle. Mon orgasme est d’une intensité incroyable. je me vide les couilles en plusieurs jets saccadés. Je déverse au fond de sa chatte un flot de sperme, une telle quantité que le trop plein fuit tout autour de mon pénis et coule le long de ses cuisses. Elle s’effondre à plat ventre sur le lit, anéantie. De son vagin s’échappe ma semence qui vient tacher son drap. Je contemple cette innocente beauté juvénile. Je me met à lui masser le dos et lui pétrir les fesses. Plus je les caresse, plus mes yeux sont attirés par son petit bouton de rose. La tentation est trop forte. Un doigt glisse et commence à titiller son anus. Elle sursaute et se contracte. Je la rassure, lui dis de me laisser faire. Elle se détend un peu. Je recommence à la toucher puis je descend, m’allonge entre ses cuisses, posant ma bouche entre ses fesses. J’écarte ses « joues » de mes mains et plonge ma langue sur sa rondelle. Elle se met à gémir doucement. Je la lèche, dépose de la salive, force son sphincter avec ma langue et réussit à l’introduire un tout petit peu dans son anus. Elle se relâche complètement, me laisse jouer avec sa rondelle. Je la suce, la lèche, mes doigts remplacent ma langue. Après avoir récupéré mon sperme qui s’écoule de sa chatte, je lui enduit la rondelle de ce jus pour la lubrifier, j’introduis un doigt puis un deuxième dans son fondement, je dilate le sphincter. Mon excitation s’intensifie et ma bite est de nouveau raide, encore plus grosse que tout à l’heure. Je me met à genou, un de chaque côté de ses hanches, et les pieds entre ses cuisses. Je saisi mon sexe dans ma main droite, les doigts de la mains gauche continuent d’écarteler son anus. J’approche mon gland de son petit trou et appuie de tout mon poids pour le faire céder. Mon gland se retrouve en elle en lui arrachant un cri de douleur, quelques injures, elle me supplie d’arrêter, me dit qu’elle n’a jamais fais cela, que ma queue est trop grosse pour elle …. Je reste sourd à ses supplications et poursuit ma pénétration. Je m’enfonce jusqu’à la garde et reste un moment immobile afin qu’elle s’habitue à ce « corps étranger ». Lorsque je la sens relâchée, je commence à pomper en elle doucement. Je me retire presque entièrement, ne laissant que mon gland avant de me renfoncer lentement. Je la sodomise ainsi pendant un long moment avant de cracher de nouveau en elle. Quelle merveilleuse sensation. Je m’effondre sur elle, nous sommes épuisés, en sueurs, incapables du moindre mouvement, ma bite toujours enfoncée dans son cul, je l’embrasse dans le cou, cherche sa bouche, caresse ses cheveux.
Malgré mon envie de rester avec elle et de passer la nuit à la baiser, il est plus que temps pour moi de rentrer et de retrouver sa mère qui ne doit pas se douter un seul instant que je viens de baiser sa fille et de lui offrir son dépucelage anal.
3 years ago