Séjour à Claouey (suite4)

Le lendemain matin, elle est de nouveau sexy et rayonnante dans sa toute petite nuisette quasi transparente en train de dresser la table du petit déjeuner. Joël n’est pas encore levé. Je m’approche d’elle seulement vêtu d’un bermuda, et viens me coller dans son dos. Elle pose ce qu’elle a en main sur la table, se redresse, rejette la tête en arrière sur mon épaule les yeux fermés en signe de total abandon. Je passe mes bras autour d’elle, pour la serrer contre moi. Impossible pour elle de ne pas sentir mon sexe en train de grossir contre ses fesses. Mes mains se glissent sous le fin tissu pendant que je l’embrasse sensuellement dans le cou. mes lèvres courent sur sa peau, depuis ses épaules en remontant vers son oreille. Mes mains courent sur son corps, caressent ses seins, les pétrissent, pincent ses tétons, glissent sur son ventre, s’enfoncent vers son pubis appréciant un instant sa fine toison si parfaitement épilée pendant que je mordille son lobe d’oreille. Elle s’offre à moi sans mots dire, me laissant libre de profiter de son corps comme bon me semble. Le désir monte en moi, je ne tiens plus, ma tige est fièrement dressée dans mon short, déjà dure comme un chêne.
« je n’en peu plus, j’ai trop envie de toi … laisse moi te prendre là, maintenant … »
Elle se penche en-avant, les reins cambrés, les jambes légèrement écartées et prend appui sur la table au milieu des bols. Je relève sa frêle nuisette faisant apparaître sa chatte et son cul. Je bande comme un taureau, ma queue est tendue et dure comme un roc. Je la sors d’une main de mon caleçon tout en continuant de peloter Cathy, l’approche de cette petite chatte accueillante, frotte un instant cette vulve ruisselante de désir et mon gland s’insinue très vite entre ses lèvres, pénètre son vagin étroit pour aller de suite taper au fond de sa grotte. Cathy gémit de plaisir en me sentant m’enfoncer en elle. Elle se cambre davantage encore dans une position des plus sensuelle, la tête en arrière, les yeux fermés, elle profite de mon chibre qui s’insinue en elle sur toute sa longueur. Je l’agrippe par les hanches et commence un va et viens lent et doux ne laissant que le bout de mon gland entre ses lèvres lorsque je me retire. Cathy gémit de plaisir à chaque mouvement de ma tige en elle. Mon excitation est à son comble et j’accélère mon va et viens, les seins de Cathy se balancent au rythme de mes coups de reins. Je m’en saisit pour les pétrir de nouveau et jouer avec ses tétons gonflés de désir. Cathy se cambre davantage. J’ai une vue merveilleuse sur ma bite qui la lime maintenant sans ménagement, s’enfonce entièrement en elle jusqu’à la garde, mais aussi sur son petit trou. La tentation est trop forte, je veux moi aussi gouter au plaisir d’enculer cette belle femme. Une idée me traverse l’esprit en voyant la plaque de beurre qui traîne à portée de main. J’en prélève un morceau, lui enduit son oeillet avec et sans lui laisser le temps de réagir, j’appuie mon gland contre son petit trou et pousse de tout mon poids dessus pour faire céder son sphincter. Cathy pousse un cri et s’écroule sur la table. Ma queue s’enfonce dans ses entrailles. Cathy a les mains crispées, preuve qu’elle sent bien passer ma bite en elle. Je m’arrête un instant pour contempler ce corps qui m’appartient totalement.
Je la saisit par les hanches et je me met à la baiser sans ménagement. Elle se retient de crier en se pinçant les lèvres, surement pour ne pas réveiller Joël. Cette attitude m’excite encore plus.
« Alors tu aimes çà hein … tu aimes te faire prendre comme ça? » lui dis je en lui mettant une claque sur une fesse.
« Oui … » fait elle dans un soupir.
« Avoue que tu aimes te faire défoncer le cul? »
« Ouii … »
« Et ma bite, tu aimes la sentir dans ton cul? « 
« Ouii … »
« T’aimes ça hein sentir une grosse bite en toi? »
« Ouiii … j’aime ça … vas y … »
« Putain que c’est bon de te baiser comme ça … »
« Continue comme ça … vas y … te retiens pas …. »
Je lime maintenant le cul de Cathy comme un forcené, en lui donnant par moment des claques sur les fesses. Mon plaisir est trop grand, je ne peux résister plus longtemps malgré mon envie de prolonger cet instant indéfiniment. Je jouis en poussant un cri de fauve. Je me vide les couilles en elle en plusieurs jets, lui assénant quelques coups de boutoirs supplémentaires à chaque fois avant de m’effondrer sur elle. Lorsqu’au bout de quelques minutes je retrouve mes esprits, je me retire de cet écrin, un flot de sperme s’écoule de son trou resté béant et coule le long de ses cuisses. Je m’assoie et Cathy se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche......
Published by jojo33bdx
3 years ago
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jojo33bdx
jojo33bdx Publisher 3 years ago
to lmleq : Merci pour ce commentaire. Au plaisir.
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lmleq
lmleq 3 years ago
quel délicieux récit ^^
jojo33bdx
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