Séjour à Claouey (suite3)
Le lendemain matin, la météo est au beau fixe et Joël nous propose une sortie en bateau. Cathy est folle de joie à cette idée, et je n’y vois aucune opposition. Nous arrivons au port et embarquons sur leur bateau. Pas un yacht bien sûr, mais un bateau tout de même pourvu d’une petite cabine, d’un carré pour bronzer et d’un poste de pilotage, bref quelque chose de bien suffisant pour passer une journée sur le bassin d’Arcachon en naviguant tranquillement dans les chenaux peu fréquenté à cette époque de l’année. Joël prend la direction de l’Ile aux Oiseaux à petite vitesse. Une légère brise rafraîchit l’atmosphère et nous permet de nous allonger Cathy et moi dans le carré. Cathy enlève son maillot de bain et se retrouve nue à mes côtés. Je l’imite pour ne pas paraitre ridicule, et comme l’autre jour sur la plage, elle me tend son flacon d’huile solaire pour que je l’enduise. Elle est allongée sur le dos, offrant son corps superbe à mes caresses. Je ne me fais pas prier, et démarre aussitôt un massage des plus sensuel sur son ventre et sa poitrine. Mes mains vont et viennent sur son ventre, remontent vers ses jolis nichons que j’adore pétrir, excitant ses tétons durcis. Cathy remonte ses bras au dessus de sa tête dans une position totalement abandonnée qui me font oublier Joël occupé à piloter le bateau. Je m’installe à la tête de Cathy, ma queue déjà fièrement dressée, vient frotter son visage lorsque je me penche au-dessus d’elle pour la masser. Mes mains vont de ses épaules à son pubis, insistant sur ses seins titillant ses mamelons, caressent son joli ventre plat, descendent à la naissance de ses cuisses remontent en passant par sa petite chatte jusqu’à ses épaules et recommencent inlassablement. Cathy se saisit de ma queue, la caresse un instant puis la prend en bouche. Elle commence une fellation des plus douce et des plus sensuelle qui soit. Ma bite s’enfonce lentement dans sa gorge et finit par disparaitre totalement dans sa bouche. Je me penche sur elle et entreprend à mon tour un cunilingus. Sa chatte est tout simplement délicieuse, son jus commence à couler, son clito devient turgescent, elle gémit doucement de plaisir sous mes caresses buccales. Mes mains se joignent à ma bouche pour dispenser d’autres caresses à cette chatte ainsi qu’à son petit trou que je viens titiller du bout de mes doigts. Ses gémissement s’intensifient, je sens son corps tout entier se tordre de plaisir sous moi, ses mains se crispent sur mes fesses, ses ongles se plantent dans ma peau, sa respiration est de plus en plus forte et haletante, ses gémissements sont devenus des râles. Elle est bientôt submergé par un orgasme d’une intensité incroyable. Elle hurle de plaisir, un hurlement étouffés seulement parce que mon sexe enfoncé au plus profond de sa gorge, empêche Cathy de crier sa jouissance. Son corps se tord sous le mien dans tous les sens, ses ongles labourent mon dos et mes fesses, son bassin se soulève au rythme des spasmes de son orgasme. Un dernier râle, un dernier soubresaut du bassin et Cathy se relâche. Je retire ma bite de sa bouche, libérant Cathy qui se redresse :
« allonge toi » me dit elle … « là, sur le dos …. j’ai trop envie de te chevaucher »
Je m’exécute et Cathy vient à califourchon sur moi, prend ma queue dans sa main et la dirige vers sa chatte. Apres avoir frotter mon gland entre ses lèvres humides, elle s’empale tout en douceur sur mon chibre tendu au zénith jusqu’à le faire entièrement disparaitre en elle. Elle est merveilleusement serrée, et je sens ma tige frotter contre les parois de son vagin. Elle ondule ainsi du bassin réglant la profondeur et le rythme de la pénétration en prenant appui sur mon torse. Son corps se cambre, elle rejette sa tête en arrière en fermant les yeux pour profiter de cette merveilleuse sensation que lui procure cette pénétration bien profonde. Je pétris cette paire de nichons qui se balancent devant moi au rythme de ses ondulations. Ma langue joue avec ses tétons durs et gonflés, délicieux fruits dont je ne peux me détacher. Le plaisir monte en elle, ses gémissement se transforment en râles, sa respiration s’accélère redevient haletante, Elle s’effondre sur moi dans un cri, emportée par un nouvel orgasme. Loin d’être anéantie, elle se relève et se positionne d’elle même à 4 pattes devant moi, une vraie chienne en chaleur. Je n’ai aucun doute sur son désir d’être prise en levrette. Je m’approche d’elle, frotte un peu mon sexe de haut en bas sur sa vulve ruisselante, et la pénètre d’un coup. J’enfonce ma tige jusqu’à la garde sans difficultés et tape au fond de sa grotte. Cathy gémit et ferme les yeux, ses mains se crispent sur les coussins de la banquette, de toute évidence elle adore être prise ainsi. Je la saisit par les hanches et débute un lent va et viens dans cette chatte tellement lubrifiée, qui bien qu’étroite ne m’empêche pas d’aller cogner au fond à chacun de mes coups de rein. Je la saisit par les cheveux, renforçant ma domination sur elle. Cathy pousse un grognement de plaisir à chaque fois que je m’enfonce en elle, auquel je répond par un rugissement de plaisir. Mon excitation ne cesse d’augmenter au point que je bat de plus en plus fort en elle. Cathy crie, de plaisir … de douleur ? je ne peux le dire, mais cela m’excite encore plus et je lui assène maintenant de véritables coups de boutoirs qui défoncent sa chambre d’amour et poussant des cris de bucherons. Je martèle comme un forcené sa chatte, ses seins se balancent au rythme de mes pénétrations, Cathy hurle maintenant : « oui … oui … c’est bon, c’est bon … continue … vas y … c’est bon » et par moment lache des jurons : « oh putain … mon salaud … » mais aussitôt reprend sur un « t’arrête pas … continue … c’est trop bon »
Je ne peux résister plus longtemps et explose en elle. Je déverse un flot de sperme en plusieurs jets. J’ai l’impression de ne pas pouvoir m’arrêter de juter, mon foutre inonde sa chatte et le trop plein déborde pour s’écouler sur ses cuisses et tomber sur les coussins. Finalement je me retire de cet écrin et m’assoie à coté de Cathy. Joël excité de m’avoir vu baiser sa femme comme une chienne, s’approche à son tour de Cathy qui n’a pas changé de position, et la pénètre sans ménagement. D’un seul coup, il s’enfonce jusqu’à la garde de son arbre et assène à sa femme des coups de reins encore plus violents que les miens. Cathy recommence à crier et à jurer, mais ne fait rien pour interrompre ce coït viril. Joël ne tarde pas à enfoncer un doigt dans l’anus de sa chérie, très vite rejoins par un second. Il lui dilate son petit trou et l’issue ne fait aucun doute. Il ne tarde pas à ressortir son chibre, récupère un peu de mon foutre qui s’écoule de la chatte de Cathy, pour enduire son petit oeillet, approche son gros gland et appuie de tout son poids pour en forcer le passage. Cathy pousse un cri, assurément de douleur plus que de plaisir et Joël commence un va et viens rapide dans le fondement de sa belle. J’assiste, témoin voyeur, à cette sodomie virile, bestiale même mais oh combien excitante, de cette femme, tantôt dominatrice, tantôt épouse soumise mais toujours terriblement sensuelle. L’excitation me regagne, je me remet à bander. Je me rapproche du visage de Cathy, et en la saisissant par les cheveux, lui fait comprendre que j’ai envie qu’elle me suce la bite. Joël continue à limer virilement le cul de sa belle tandis que j’enfonce ma queue le plus loin possible dans sa gorge. Pour la première fois Cathy a du mal, entre les coup de boutoirs que lui assène Joël et qui ne font qu’enfoncer encore plus profondément mon chibre dans sa gorge. Elle crie, renâcle, bave, tousse et crache, mais en bonne chienne soumise ne cherche pas à se soustraire à ce traitement. Joël finit par jouir dans les entrailles de sa femme, non sans lui asséner encore quelques coups de boutoirs forts et profonds. Il se retire et vient s’assoir sur la banquette. Cathy reste silencieuse entre nous deux, incapable du moindre mouvement. Après quelques minutes, comme si elle se réveillait d’un k.o. , elle reprend ses esprits, et ses premiers mots sont :
« oh putain mes salauds !!! »
Cathy épuisée par nos ébats matinaux est restée la fin de la journée sur le bateau, alternant les séances de bronzage avec quelques baignades, laissant Joël me faire découvrir cette île au milieu du bassin.
Je pensais terminé notre trio coquin, d’autant plus que le soir Cathy resta étonnamment sage et alla se coucher assez tôt......
« allonge toi » me dit elle … « là, sur le dos …. j’ai trop envie de te chevaucher »
Je m’exécute et Cathy vient à califourchon sur moi, prend ma queue dans sa main et la dirige vers sa chatte. Apres avoir frotter mon gland entre ses lèvres humides, elle s’empale tout en douceur sur mon chibre tendu au zénith jusqu’à le faire entièrement disparaitre en elle. Elle est merveilleusement serrée, et je sens ma tige frotter contre les parois de son vagin. Elle ondule ainsi du bassin réglant la profondeur et le rythme de la pénétration en prenant appui sur mon torse. Son corps se cambre, elle rejette sa tête en arrière en fermant les yeux pour profiter de cette merveilleuse sensation que lui procure cette pénétration bien profonde. Je pétris cette paire de nichons qui se balancent devant moi au rythme de ses ondulations. Ma langue joue avec ses tétons durs et gonflés, délicieux fruits dont je ne peux me détacher. Le plaisir monte en elle, ses gémissement se transforment en râles, sa respiration s’accélère redevient haletante, Elle s’effondre sur moi dans un cri, emportée par un nouvel orgasme. Loin d’être anéantie, elle se relève et se positionne d’elle même à 4 pattes devant moi, une vraie chienne en chaleur. Je n’ai aucun doute sur son désir d’être prise en levrette. Je m’approche d’elle, frotte un peu mon sexe de haut en bas sur sa vulve ruisselante, et la pénètre d’un coup. J’enfonce ma tige jusqu’à la garde sans difficultés et tape au fond de sa grotte. Cathy gémit et ferme les yeux, ses mains se crispent sur les coussins de la banquette, de toute évidence elle adore être prise ainsi. Je la saisit par les hanches et débute un lent va et viens dans cette chatte tellement lubrifiée, qui bien qu’étroite ne m’empêche pas d’aller cogner au fond à chacun de mes coups de rein. Je la saisit par les cheveux, renforçant ma domination sur elle. Cathy pousse un grognement de plaisir à chaque fois que je m’enfonce en elle, auquel je répond par un rugissement de plaisir. Mon excitation ne cesse d’augmenter au point que je bat de plus en plus fort en elle. Cathy crie, de plaisir … de douleur ? je ne peux le dire, mais cela m’excite encore plus et je lui assène maintenant de véritables coups de boutoirs qui défoncent sa chambre d’amour et poussant des cris de bucherons. Je martèle comme un forcené sa chatte, ses seins se balancent au rythme de mes pénétrations, Cathy hurle maintenant : « oui … oui … c’est bon, c’est bon … continue … vas y … c’est bon » et par moment lache des jurons : « oh putain … mon salaud … » mais aussitôt reprend sur un « t’arrête pas … continue … c’est trop bon »
Je ne peux résister plus longtemps et explose en elle. Je déverse un flot de sperme en plusieurs jets. J’ai l’impression de ne pas pouvoir m’arrêter de juter, mon foutre inonde sa chatte et le trop plein déborde pour s’écouler sur ses cuisses et tomber sur les coussins. Finalement je me retire de cet écrin et m’assoie à coté de Cathy. Joël excité de m’avoir vu baiser sa femme comme une chienne, s’approche à son tour de Cathy qui n’a pas changé de position, et la pénètre sans ménagement. D’un seul coup, il s’enfonce jusqu’à la garde de son arbre et assène à sa femme des coups de reins encore plus violents que les miens. Cathy recommence à crier et à jurer, mais ne fait rien pour interrompre ce coït viril. Joël ne tarde pas à enfoncer un doigt dans l’anus de sa chérie, très vite rejoins par un second. Il lui dilate son petit trou et l’issue ne fait aucun doute. Il ne tarde pas à ressortir son chibre, récupère un peu de mon foutre qui s’écoule de la chatte de Cathy, pour enduire son petit oeillet, approche son gros gland et appuie de tout son poids pour en forcer le passage. Cathy pousse un cri, assurément de douleur plus que de plaisir et Joël commence un va et viens rapide dans le fondement de sa belle. J’assiste, témoin voyeur, à cette sodomie virile, bestiale même mais oh combien excitante, de cette femme, tantôt dominatrice, tantôt épouse soumise mais toujours terriblement sensuelle. L’excitation me regagne, je me remet à bander. Je me rapproche du visage de Cathy, et en la saisissant par les cheveux, lui fait comprendre que j’ai envie qu’elle me suce la bite. Joël continue à limer virilement le cul de sa belle tandis que j’enfonce ma queue le plus loin possible dans sa gorge. Pour la première fois Cathy a du mal, entre les coup de boutoirs que lui assène Joël et qui ne font qu’enfoncer encore plus profondément mon chibre dans sa gorge. Elle crie, renâcle, bave, tousse et crache, mais en bonne chienne soumise ne cherche pas à se soustraire à ce traitement. Joël finit par jouir dans les entrailles de sa femme, non sans lui asséner encore quelques coups de boutoirs forts et profonds. Il se retire et vient s’assoir sur la banquette. Cathy reste silencieuse entre nous deux, incapable du moindre mouvement. Après quelques minutes, comme si elle se réveillait d’un k.o. , elle reprend ses esprits, et ses premiers mots sont :
« oh putain mes salauds !!! »
Cathy épuisée par nos ébats matinaux est restée la fin de la journée sur le bateau, alternant les séances de bronzage avec quelques baignades, laissant Joël me faire découvrir cette île au milieu du bassin.
Je pensais terminé notre trio coquin, d’autant plus que le soir Cathy resta étonnamment sage et alla se coucher assez tôt......
3 years ago