Une journée avec mon ex

En ce matin du mois de septembre, je me rendais sur le bassin d’Arcachon chez mon ex, Cathy. Celle ci m’avait appelé pour faire chez elle quelques bricoles que j’avais l’habitude de faire tous les ans lorsque nous étions ensembles. J’ai été très surpris de son appel, car cela faisait déjà un grand moment que nous n’avions plus guère de contact, excepté pour se souhaiter la bonne année et pour nos anniversaires respectifs. Nous étions séparés depuis *******s maintenant, et nous avions refait notre vie chacun de notre côté. Je ne connaissais pas son nouveau copain, mais je savais qu’il était beaucoup plus âgé qu’elle, il était même à la retraite pour tout dire.

Cathy était une petite femme de 58 ans bien conservée, d’ 1,60 mètre pour à peine 50kg, très brune, les cheveux courts, la peau mate, avec une jolie poitrine très agréable à regarder car les seins ne tombaient pas et aux larges aréoles sombres. Elles portait fièrement son 85C qu’elle savait mettre en valeur par des soutiens-gorge « corbeille » et des décolletés arrondis. Par ailleurs, elle avait des jambes, fines et musclées avec des mollets joliment galbés et elle avait gardé un ventre plat, malgré ses grossesses, que lui enviait bien des femmes plus jeunes. Il faut dire qu’elle était restée assez sportive et qu’elle pratiquait encore la marche nordique.

Son appel m’avait donc énormément surpris, Elle me demandait de venir lui déboucher une canalisation qui ne s’écoulait pas très bien, et si par la même occasion, je pouvais ramoner le conduit de sa cheminée qui ne l’avait pas été depuis notre séparation.

Ce matin là, j’allais chez elle avec l’outillage nécéssaire. J’arrivais vers 9h, en elle me lança depuis sa terrasse avant même que je ne sonne :
« rentre … le portail est ouvert !!!»
Je la découvrais sur sa terrasse en train de disposer des tasses sur la table, seulement vêtue d’une petite nuisette blanche, contrastant avec sa peau bronzée, et terriblement sexy, couvrant à peine la moitié de ses cuisses et dont l’empiècement sur la poitrine était fait une dentelle brodée et ajourée qui laissait deviner ses aréoles bien brunes.

Quelle ne fut pas ma surprise de la voir aussi légèrement vêtue. Je ne put m’empêcher de lâcher :
« Huummm … tu es ravissante … C’est pour moi que tu t’es faite aussi sexy? »
« oh ça va … tu m’as déjà vue comme ça … »
Nous nous sommes fait la bises comme de vieux amis, et elle m’a dit de m’assoir le temps qu’e aille chercher le café. Je déposais la poche de croissants et de chocolatines que je m’étais arrêté acheter sur le chemin, et je prenais place à table, face au soleil matinal. En plus d’être courte, sa nuisette s’est avérée transparente dans le contre jour lorsqu’elle s’est approchée pour servir. J’avais une vue magnifique sur son entre jambe, et lorsqu’elle se pencha, son décolleté me laissa voir l’intégralité de ses seins magnifiquement bronzés.
Nous avons déjeuné en discutant de tout et de rien, de ce que l’on devenait …. Lorsqu’elle s’est levée pour débarrasser en s’approchant de moi, je n’ai pas pu résister à la tentation de lui passer un bras autour de la taille. Elle n’eut aucune réaction de « défense » et au contraire resta à côté de moi, attendant que j’aille plus loin. Je laissai glisser ma main sur ses fesses, en la pressant afin qu’elle se rapproche encore un peu plus de moi. J’avais ses seins maintenant tout près de mon visage. Ma main gauche descendit un peu plus bas encore, glissant maintenant sur ses cuisses pour finir par remonter en s’insinuant sous le tissus de sa nuisette pour remonter sur ses fesses et en apprécier de nouveau les formes et la fermeté. En me tournant légèrement, j’avais maintenant les seins à portée de ma bouche. De ma main droite, j’en saisissais un à travers le tissus que je palpais avec plaisir sentant son téton durcir instantanément, tandis que ma bouche embrassait l’autre sein, pinçant entre mes lèvres son mamelon au travers du tissu. Elle ne résistait nullement, et au contraire, semblait éprouver un plaisir certain, car elle gémissait doucement en rejetant sa tête en arrière. Encouragé par cette réaction, je continuais de plus belle à lui caresser les fesses et très vite je sortais ses seins de cette nuisette pour les pétrir et sucer goulument ses tétons. Elle passa ses mains derrière ma tête comme pour la maintenir et m’obliger à téter sa poitrine.
N’y tenant plus, elle me prit par la main et m’entraina à l’intérieur, directement dans sa chambre. Elle s’assit sur son lit, et commença par défaire mon bermuda et baisser mon caleçon, sortant mon sexe déjà bien dur et tendu qu’elle prit en bouche immédiatement. Elle était experte en matière de fellation. Elle suçait et léchait le gland avant de prendre en bouche, puis revenait lécher mon arbre sur toute sa longueur tout en me massant les couilles avant de recommencer son pompage, mettant tout mon pénis dans sa bouche. J’enlevais mon tee shirt et laissais tomber bermuda et caleçon par terre. A ce rythme là, je n’aurais pas tenu très longtemps avant de jouir, et j’avais envie de durer beaucoup plus longtemps. Je me retirais de cette bouche gourmande pour l’allonger sur le lit et me mettre à mon tour à lui bouffer sa jolie petite chatte. Je constatais qu’elle était toujours aussi bien épilée, pas totalement rasée car elle gardait toujours un petit triangle de poils sur le pubis, mais par contre, avait une vulve parfaitement glabre que j’avais toujours adoré déguster. Je m’agenouillais donc par terre, la tête entre ses cuisses et je lui donnais un cunni qui lui arrachait des gémissements de plaisir. Tout en pétrissant ses seins ou en lui caressant l’intérieur des cuisses, je suçais et aspirais son clitoris, léchais ses lèvres, introduisant par moment ma langue aussi loin que je pouvais dans son vagin. Elle eut bientôt un premier orgasme. Elle hurla de plaisir tellement fort que les voisins ont dus l’entendre, la fenêtre étant grande ouverte. Elle se dégagea pour se mettre à quatre pattes sur le lit, m’intimant par là l’ordre de la prendre en levrette. Lorsque nous étions ensemble, elle adorait que je la prenne ainsi. C’était sa position favorite. J’étais tellement excité, que j’approchais mon sexe de sa chatte qui ruisselait d’excitation et je la prenais sans grand ménagement, m’enfonçant en elle jusqu’à la garde, bestialement même, lui arrachant un râle de douleur et de plaisir mélangé, accompagné par un : « oh putain … vas y doucement !!! »
Je la saisissais par les hanches de mes deux mains, et je me retirais lentement, ne laissant que le gland en elle, puis je me renfonçais de nouveau jusqu’à la garde toujours aussi sauvagement, restant totalement sourd à ses cris et ses supplications. Elle se cramponnait au draps, enfonçait sa tête entre les coussins, les mordant même pour atténuer ses cris de chienne défoncée. Je continuais ainsi à lui infliger ce traitement, rugissant moi même comme un fauve en rut, lui pilonnant le vagin aussi fort que je le pouvais. De la voir ainsi offerte à ma queue aussi rapidement, je ne pus résister bien longtemps et je lâchais ma charge en elle bien trop vite à mon goût, en plusieurs jets qui lui remplirent la chatte. Elle s’effondrait à plat ventre et je m’allongeais à ses côtés, elle restait immobile, incapable de bouger, pouvant seulement me lancer :
« putain … mon salaud … j’ai perdu l’habitude d’une telle fougue … waow … c’est toujours aussi bon avec toi !!!. »
Je souris, à la fois amusé et flatté par cette remarque et heureux d’avoir re-baisé mon ex en me disant que j’avais fait cocu son mec qui ne devait pas la faire grimper aux rideaux tous les jours.
« Ce n’est pas aussi bon avec ton copain? »
« Euh … Ce n’est pas pareil » fit elle un peu gênée.
« C’est pour cela que tu m’as demandé de venir ce matin? »
« Non … j’ai vraiment besoin que tu m’aides pour ce que je t’ai demandé … »
« Ton copain ne sait pas se servir du karcher? »
« Si … mais c’est pour grimper sur le toit … »
« aah … il ne te ramone pas aussi bien le conduit que moi … »
« t’es trop con quand tu t’y mets».

Un peu reposé, je me rhabillais, et je lui proposais de faire ce pourquoi j’étais venu. Elle enfila une culotte car un flot de sperme s’écoula de sa chatte lorsqu’elle se leva, puis remit sa nuisette, et nous sommes allé dehors dans son jardin.
« J’imagine que tu te souviens ou se trouve le regard … c’est toujours la même canalisation qui s’écoule mal … Je te laisse … tu n’as pas besoin de moi !!! »
J’installais le matériel et passais le jet d’eau dans toutes les canalisations, comme je l’avais fais fait de nombreuses fois lorsque nous étions ensemble.
Pendant ce temps, elle s’était douchée et avait préparée le repas de midi.
Après le repas, je sortais son échelle pour monter sur le toit afin de ramoner le conduit. Cela ne me demanda pas très longtemps, et je terminais par l’aspirateur dans le foyer de son insert.
Après cela, j’avais bien besoin d’une bonne douche. Je lui demandais la permission d’utiliser sa salle de bain, et alors que j’avais commencer à me déshabiller je lui demandais si elle pouvait m’amener une serviette car j’avais oublié d’en prendre une. Je rentrais sous la douche, elle m’apporta une serviette, et je lui demanda avec malice si elle voulait bien me savonner le dos. Elle sourit pas du tout surprise par ma demande et s’approcha de moi, prit le savon et commença à me frotter. Mais elle ne se contenta pas de me savonner le dos, et très vite avec un sourire malicieux, se mit à me caresser les fesses et l’entrejambe, me procurant de nouveau une belle érection. Elle me caressa un moment et se mit à me masturber pendant que je me rinçais. Je la saisit par les poignets et l’obligea à venir contre moi. Je faisais voler son débardeur et déboutonnais son short qui finissait dans la douche avec son string. Je commençais à l’embrasser furieusement, prenant ses seins à pleine bouche, la tenant fermement serrée contre moi et la doigtant de mon autre main. Excité et de nouveau dur comme un roc, je la saisissais par les poignets et cette fois, c’est moi qui l’entrainais dans sa chambre. Je la poussais en travers du lit et je venais sur elle pour un 69 qui allait se révéler torride. Elle était allongée, la tête rejetée en arrière, et je lui enfonçais ma queue dans la bouche puis me couchais sur elle pour aller lui lécher la chatte. Je la doigtais, la suçais, la léchais, jouais avec son clitoris. Je dirigeais bientôt un doigt vers son anus que je commençais à titiller avant de l’enfoncer dans ce petit trou serré que j’avais dépucelé quelques années auparavant.
Elle eut un orgasme d’une intensité rare. Elle se tétanisait et lâchait des râles tout en gardant mon pénis dans sa bouche, me faisant ressentir tous ses spasmes. Elle se tordait de plaisir, cherchant à se dégager de mon étreinte, mais je continuais à la lécher et à la doigter, transformant sa jouissance en douce torture, à la limite du supportable pour elle. Je m’enfonçais l’obligeant à une véritable gorge profonde, pour finir par éjaculer dans sa bouche sachant qu’elle détestait cela. Ce fut l’occasion pour elle de me traiter une fois de plus de salaud vicieux !!!

Pleinement satisfait, je lui proposais d’aller diner dans une petite cabane d’ostréiculteur, manger des huitres du bassin accompagné d’un petit vin blanc comme c’est la tradition dans le coin. Elle s’habillait avec une petite robe noire en stretch, au décolleté profond et arrondi dévoilant légèrement sa poitrine, aux fines bretelles se rassemblant dans le cou, réalisant un joli dos nu. Elle ne portait pas de soutien gorge, et avait seulement enfilé un string sous sa robe.
Nous étions parmi les premiers clients, et peu de gens sont venus ce soir là. Nous avons ainsi pu diner en tête à tête comme au bon vieux temps, et le vin blanc aidant, elle se fit de plus en plus chaude. Le repas terminé, elle me demanda de l’emmener sur une de nos plage favorite. Une fois arrivé, je garais la voiture dans le parking aménagé dans les bois juste en face du chemin de caillebotis qui conduisait à la plage de l’autre côté des dunes, et prenais des draps de bain dans le coffre.
Il n’y avait personne sur la plage, la nuit commençait à tomber, il faisait très bon en ce début du mois de septembre, et je profitais de son ébriété pour lui proposer un bain de minuit.
« mais je n’ai pas de maillot commença t elle par dire… »
« et alors … moi non plus je n’ai pas de maillot …. et un bain de minuit, par définition, c’est sans maillot …. En plus nous sommes seuls, personne ne te verra !!! »
Elle se laissa convaincre, et ôta sa robe et son string pendant que moi aussi je me déshabillais entièrement. Nous nous sommes baignés dans cette eau fraiche, j’en profitais bien entendu pour me frotter contre elle, la peloter, la caresser en faisant courir mes mains sur son corps, pétrissant tantôt ses seins, tantôt ses fesses. En revenant sur le sable, nous nous sommes essuyés mais je l’ai couchée sur les serviettes commençant à la pénétrer jusqu’à ce que l’on soit interrompu par les cris d’autres noctambules venant également se baigner. Nous avons eu le temps de nous rhabiller avant d’être rejoins par ces gêneurs. Enfin Cathy n’a enfilé que sa robe, car j’ai gardé son string dans ma poche, lui promettant de continuer dans la voiture.
Une fois au parking, j’ouvrais la portière et nous nous glissions sur la banquette arrière pour reprendre là où nous en étions restés. Je m’asseyais et elle venait me chevaucher à califourchon sur moi s’empalant sur mon pénis tendu, ondulant du bassin excitée comme une chienne en chaleur, frottant sa vulve contre mon pubis. Je profitais de ces seins que je pétrissais à pleines mains, je les prenais en bouche suçant les mamelons durcis. Elle eut très vite un nouvel orgasme, elle se cambrait en arrière agitée de spasmes, criant de plaisir, avant de s’effondrer contre moi.
« Rentrons » me dit elle, « j’ai envie de toi, j’ai envie que tu me fasses l’amour toute la nuit ».
Je ne pouvais refusais une telle proposition. Je remontais mon bermuda, et je me mettais au volant pour rentrer. Durant le chemin elle m’a sucé. Arrivés chez elle, à peine la porte franchie, je la plaquais face au mur, relevais sa robe et la pénétrais bestialement debout par derrière, m’accrochant une fois de plus à ses hanches, lui défonçant la chatte dans des va et vient violents, en poussant des cris de fauves en rut, Je lui pilonnait le vagin sans ménagement lui arrachant des hurlements de plaisir. Je jouissais une fois de plus en elle dans cette position. Une fois remis de ce coït explosif, nous sommes allés prendre une douche tous les deux car nous étions encore couvert du sable de la plage.
Nous nous sommes allongés sur son lit entièrement nus et nous avons recommencé à nous caresser et nous embrasser tendrement cette fois. Je l’embrassais passionnément, ma langue Mes mains parcouraient frénétiquement son corps. Je ne pouvais me détacher ni de ses seins, ni de son ventre. Elle était allongée sur le dos les yeux clos, totalement offerte à mes caresses, les bras relevés au dessus de sa tête dans un total abandon. Je prenais un sein en bouche, suçant le mamelon qui durcissait de nouveau, elle poussait de petit gémissement de plaisir, sa tête roulant de droite à gauche sur l’oreiller. Ma main plongeait vers son pubis caressant un moment sa toison, puis glissant vers sa vulve humide, écartant ses lèvres, s’insinuant dans son vagin. Je descendais le long de son ventre, déposant des baisers sur son nombril, sur son pubis, sur son clitoris, je léchais sa chatte ruisselante, attrapais son clito entre mes lèvres et jouais avec en le pinçant et le mordillant. Ma langue pénétrait son vagin aussi loin qu’elle pouvait, je buvais son jus.
Elle eut un orgasme d’une incroyable intensité. Tout son corps se cambra, se tétanisa, dans un hurlement d’extase. La jouissance la rendait merveilleusement belle. Je m’agenouillais entre ses cuisses, et approchait mon sexe tendu de sa vulve, frottant mon gland entre ses lèvres gonflées de plaisir et ruisselantes de désir. Je la pénétrais sans difficulté, la saisissait par les hanches, lui soulevant le bassin pour enfoncer mon pieu au plus profond d’elle, maitrisant l’amplitude et le rythme de la pénétration. Après quelques minutes dans cette position, je roulais sur le côté, et je lui demandais de me chevaucher. Elle s’accroupit au dessus de mon bassin et vint s’empaler sur mon arbre. Elle m’offrait ses seins qu’immédiatement je pétrissais et tétais goulument. Elle ondulait du bassin, mon pénis enfoncé en elle jusqu’à la garde, elle frottait sa vulve et son clitoris sur mon pubis penchée en avant la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, ses mains posées sur mon torse. Elle eut un nouvel orgasme et s’effondra sur moi. Je la faisais rouler sur le dos et venait sur elle pour la pénétrer en missionnaire, mon corps collé au sien, mes bras l’enserrant, mes mains agrippées à ses épaules. Elle avait croisé ses jambes autour de mon dos et dans cette position, j’atteignais à mon tour le nirvana, me vidant une nouvelle fois en elle.
Nous nous sommes *******s épuisés dans les bras l’un de l’autre, et vers les 6 heures du matin, je me suis réveillé avec une érection terrible. Elle dormait encore, allongée sur le ventre. Je repoussais le drap qui la recouvrait et m’agenouillais à califourchon sur ses cuisses, mon sexe tout dur s’insinuant entre ses fesses. Elle se réveilla mais me laissa continuer sans broncher, poussant seulement quelques grognements. Je pétrissais ses fesses et je commençais à exciter son anus avec mes doigts. Très vite un doigt puis deux ont dilaté son petit trou que j’humidifiais avec de la salive. Je bandais maintenant comme un taureau.
« Non … pas comme ça … »
J’approchais ma queue de son anus sans tenir compte de ses paroles.
«  Non s’il te plait … Pas ça … ça me fais trop mal … »
Je restais sourd à ces supplications et je posais mon sexe dressé et dur comme un roc à l’entrée de son petit trou.
« Laisse toi aller … j’en ai trop envie … »
« Tu vas me faire mal… »
« Ce n’est pas la première fois … »
« Tu es trop gros pour moi … »
«  Respire bien … détends toi … »
Je la pénétrais doucement ne faisant entrer que mon gland au début. Elle s’agrippa aux draps en laissant échapper un petit cri qu’elle tenta d’étouffer en mordant l’oreiller. Poussant un peu plus fort, je pus bientôt rentrer tout mon sexe lui arrachant un vrai cri de douleur, la faisant se cambrer, rejetant la tête en arrière. Je restais un moment immobile pour qu’elle s’habitue à ce corps étranger qui lui étirait l’anus et lorsqu’elle me parut plus détendue, je commençais lentement des va et vient très doucement. Petit à petit je pus m’enfoncer dans son cul jusqu’à la garde et augmenter l’amplitude de mes mouvements. Elle s’accrochait aux draps, cherchant à retenir des cris de douleur plus que de plaisir. Je savais qu’elle n’appréciait pas la sodomie lorsque nous étions ensemble. Elle se plaignait toujours de la douleur que lui infligeait mon pénis lui déchirant l’anus mais aujourd’hui je m’en moquais totalement. Je l’enculais sans état d’âme. Elle avait voulu que je vienne mais pas simplement pour l’aider à bricoler, elle voulait que je la baise comme au bon vieux temps. Je pouvais donc profiter d’elle et faire tout ce dont j’avais envie. Je la baisais comme j’aurais baisé une vulgaire salope. Aujourd’hui je la considérais comme une chienne en chaleur. Une femme mal baisée au quotidien et qui voulait retrouver les sensations avec un « étalon » ….. J’ai fini par jouir dans son cul.

Nous nous sommes quittés, un peu plus tard dans la matinée avant que son mec qui devait la rejoindre ne se pointe.
Published by jojo33bdx
3 years ago
Comments
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jojo33bdx
jojo33bdx Publisher 1 year ago
to rasoir : Oh oui !!! Surtout quand cela se passe aussi bien !!! 😉😄
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rasoir 1 year ago
un plaisir de renouer sexuellement avec son ex !
jojo33bdx
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