Yacht & Plaisirs

Nous avions presque terminé notre saison, en septembre, nous avions débarqués nos derniers guests à Monaco et devions faire route vers Ibiza. Le Yacht en question mesure une cinquantaine de mètres et nous étions une dizaine à bord. Il y avait cette stewardess néozelandaise, qui dès mon arrivée avait attiré mon regard. Mais je savais le Second Capitaine lui tourner autour et les jours passants, j'ai vite compris qu'ils étaient intimes en cachette. Ce qui ne nous a pas empêché toute la saison de se parler et de rires énormément. Mais à bord la pression est telle que nous n'avions que peu de temps..
Juste avant de faire route, le dernier soir que nous étions au mouillage au large d'Antibes, un équipage restreint est resté à bord. Il y avait le chef mécanicien, un matelot, elle, et moi le Lieutenant. Nous avons subtilisé une bouteille de rosé de la cave du navire, et avons commencé à profiter. Elle m'a demandé si je jouais aux échecs, auquel j'ai répondu oui.
Nous étions seul à jouer dans la dining room et je l'ai battu en quelques coups dès la première partie. Je me souviens la voir me sourire avec malice et me proposer une autre partie. Mais dès le deuxième mouvement, j'ai senti son pieds contre l'une de mes chevilles. J'ai fait comme si n'avoir rien senti, ai tenté un coup sur l'échiquier, puis posé mon pion. A cet instant elle l'a fait remonter le long de ma jambe, passant mon genou et glissant sur ma cuisse, puis l'autre. Elle a continué à jouer ainsi, et moi la sentant appuyer sur mon sexe entièrement gonflé, ai perdu toute mon attention.
Elle a frôlé encore et encore, me destabilisant pour toujours dans cette partie.

Echec et mat!
Nos radios ont commencé a hurler, et nos avons rejoins nos postes en vitesse.
Lors du voyage retour, j'avais le quart de nuit à la passerelle, et elle était de garde aussi.
J'ai envoyé mon matelot faire sa ronde entière du bateau, ce qui lui prenait 1h car je le savais aller manger et jouer sur son telephone au crew mess. Il faisait sombre à la passerelle, toujours la nuit. Cela nous permet de mieux voir les feux au loin.
J'étais sur le siège du capitaine, placé au centre et devant les commandes de barre. Elle a monté les marches et s'est avancé sans un mot. S'est mise en face de moi, et m'a embrassé fougueusement.
J'ai pris ses hanches du bout des doigts et nous étions dans un baiser qui n'en finissait pas.
Elle a frôler mon entrejambe, et a commencé à me caresser par dessus mon short bleu marine. S'attardant sur mon érection déjà intense. Elle s'y est attardé un long instant, comme pour être sûre. Puis a descendu sa main le long de mon short, avant de la passer dans l'ouverture et remonter. Empoignant ma queue et faisant des va et viens et serrant de plus en plus fort.
J'ai ouvert ma ceintre, défait le premier bouton du short et elle a fait descendre le tout. Caleçon inclus. Laissant se tendre et pointer mon atout près de ses lèvres. Elle m'a jetté un regard gourmand et s'est emparé à nouveau de moi. D'une main, d'une bouche et d'une langue experte, elle n'a cessé de faire monter la cadence. Me devorant, moi qui a présent la contemplais, l'observais se cambrer légèrement. Je l'ai laissé faire, rementant juste ses cheveux vers l'arrière pour pouvoir continuer à la voir.

Mais en y allant encore plus vite, encore plus au fond, presque au fond de sa gorge. Je me suis senti vriller et l'ai prévenu de l'iminence dont elle n'en a fait aucun cas. J'ai agrippé le siège, tenté de retenir un râle de libération.. mais la voilà m'enserrant de ses lèvres, jouissant tout sur sa langue. Plus douce, elle a continué aussi plus lentement, comme si elle souhaitait prolonger le moment et savourer.. avant de lacher prise, me sourire et passer sa langue sur sa lèvre inférieure.
J'ai vite remonté mes vetements avant qu'elle ne me glisse un baiser sur la joue et me demande de la rejoindre à la fin de mon quart.
A nouveau seul et comblé, j'avais conscience d'un rêve éveillé, puis d'avoir manqué à mes devoirs pendant une quinzaine de minutes...