Feminisation
AprĂšs une bonne sĂ©ance de sexe, mon copain Thomas me susurre Ă lâoreille :
- La semaine prochaine, câest ton anniversaire. Jâai rĂ©servĂ© une table dans un resto un peu chic, alors ce serait bien quâon ne soit pas en retard. Arrive chez moi samedi vers 18 h. Et jâaimerais que tu te sois rasĂ©, mon chĂ©ri.
Bon OK, ça ne fait pas plaisir de prendre un an de plus. Mais câest aussi la perspective de recevoir plein dâattentions de son mec, alors lâun dans lâautre, ça compense.
Le samedi comme prĂ©vu, je suis lĂ un peu avant lâheure, douchĂ©, sapĂ©, prĂȘt Ă passer une bonne soirĂ©e. Thomas est lĂ , lui aussi bien habillĂ©, sexy dans son jean moulant, un polo de marque lui desinant ses pectoraux parfaits. Thomas mâaccueille avec un petit sourire entend.
- Passe dans la chambre, avant quâon parte, jâai une petite surprise pour toi.
Ok, je me dis. Le RDV un peu tĂŽt, ce nâest pas pour lâheure du resto, câest pour un petit hors-dâĆuvre du type « saucisse Ă la crĂšme « ! De toute façon, je suis toujours partant pour ça, donc je mâexĂ©cute.
ArrivĂ© dans la chambre, je suis surpris de voir Ă©talĂ©s sur le lit un ensemble de vĂȘtement fĂ©minins, robe bas, sous-vĂȘtements.
- Tu vois, me dit-il, on va bien aller au resto tous les deux, mais ce soir on va donner lâimage dâun couple hĂ©tĂ©ro. Et câest toi qui sera ma femme ! Ne tâinquiĂšte pas je vais tâaider Ă te travestir
Pour un cadeau, câest un cadeau. Thomas le sait, le travestissement, les sous-vĂȘtements fĂ©minins, câest mon plaisir, câest mon fantasme. Donc ce soir, câest un magnifique cadeau quâil me fait.
- Dâabord, dĂ©shabille toi, entiĂšrement, bien sur.
AussitÎt demandé, aussitÎt fait
Il me tend un string en dentelle noire que jâenfile prestement
- Ton petit cul est magnifique lĂ -dedans, me dit-il en attrapant une de mes fesses. Jâai hĂąte de te lâenlever, mais ce sera pour plus tard.
Il me fait ensuite enfiler une paire de bas, noirs, sobres et magnifiques. Puis il me tend ce que je reconnais ĂȘtre un porte-jarretelles, que je passe immĂ©diatement et auquel jâattache mes bas. Franchement, Ă ce stade, jâai lâimpression dâavoir fait cela toute ma vie.
- Bon maintenant, la poitrine. Ne tâinquiĂšte pas, je tâai choisi une robe pas trop d »colletĂ©e, tu nâauras pas Ă tâĂ©piler les seins. Et puis jâadore lĂ©cher tes tĂ©tons velu de mec !
Il me tend alors une paire de faux-seins et un soutien-gorge noir lui aussi. Je regarde ma silhouette dans le miroir de la chambre, je peine Ă y voir celle dâun homme.
- Avant de passer la robe, assieds-toi, je vais te maquiller. DĂ©solĂ©, je vais commencer par tâĂ©piler un peu la moustache pour que tu sois nickel, mais cela va faire un peu mal.
Effectivement, la séance est peu agréable. La suite est mieux : avec différents massages, soins, crÚmes hydratantes ou je ne sais quoi, Thomas me fait passer un moment super tendre à prendre soin de moi.
Puis vient le maquillage proprement dit : fond de teint, fard Ă paupiĂšre, eye-liner. Et enfin le gloss. Thomas me montre comment faire, mais me laisse mâexĂ©cuter.
- Tu comprends, tu risque de devoir aller te refaire une beautĂ©, et je ne serai pas lĂ pour tâaider.
Une fois maquillé, je ne ressemble plus à un garçon, je ne me ressemble plus ! La suite est une évidence : la robe, rouge vif, effectivement pas décolletée, mais courte, trÚs trÚs courte, du genre « ras-la-moule »
Puis la perruque blonde bien ajustĂ©e, cheveux jusquâau milieu du dos.
- Et maintenant la touche finale !
Thomas sort de sous le lit une longue boĂźte en carton. Il lâouvre pour me montrer les cuissardes quâil a prĂ©vues pour moi. Hyper sexy, noires, avec les talons aiguille de 5 cm ! MĂȘme pas peur, jâai dĂ©jĂ essayĂ© ce genre de chaussures, donc jâai compris le truc pour ne pas sâĂ©taler lamentablement. Je les enfile, et me regarde, mâadmire dans la glace. Une femme, vous dis-je et sexy Ă vous rendre hĂ©tĂ©ro !
Avec la touche finale, une veste de crĂ©ateur, et un sac Ă main de la mĂȘme marque, Thomas me conduit jusquâĂ un restaurant chic du centre-ville. Le serveur qui nous accueille ne fronce pas un sourcil en nous voyant et nous conduit Ă notre table, nous installe et nous tend les menus.
AprĂšs lâentrĂ©e, je dis Ă Thomas que je dois aller me refaire un beautĂ© (et oui, le rouge Ă lĂšvres quâil a mis dans mon sac va servir !). Il me dit alors de ne pas me tromper et de bien aller dans les toilettes pour femmes !
Dans les toilettes, alors que je suis devant le miroir pour remettre mon gloss, arrive une jeune femme qui, visiblement, veut faire la mĂȘme chose et sâinstalle devant le miroir voisin du mien. Je lâavais repĂ©rĂ©e dans le resto, avec une autre femme, sa sĆur ou une amie peut-ĂȘtre. Elle me sourit, hĂ©site.
- Salut, me dit-elle, tu es une femme magnifique. Vous ĂȘtes un trĂšs beau couple, vous ĂȘtes mariĂ©s ?
- Non.
- Tant mieux. Moi je suis avec une copine, on vient de se rencontrer, je la trouve canon mais je mâennuie dĂ©jĂ un peu avec elle. Alors je me dis que si tu as envie de tâamuser, on peut Ă©changer nos 06. Comme ça, quand tu auras envieâŠ
- On peut mĂȘme faire mieux, lui dis-je en lâembrassant. Par contre tu vas avoir une surprise.
Je commence par la soulever pour lâasseoir sur le plan des lavabos, je soulĂšve sa jupe. La salope nâa pas de culotte. JâĂ©carte ses cuisses, la belle se laisse faire. Je mâaccroupis devant elle le visage et surtout la bouche Ă hauteur de son minou rasĂ© et commence Ă luis caresser les lĂšvres de ma langue. Mes mains aux ongles rouge caressent en mĂȘme temps ses cuisses nues. Je sens sa respiration sâaccĂ©lĂ©rer, la belle est en train de jouir ou peu sâen faut, juste avec ma caresse buccale !
- ArrĂȘte, câest trop bon, jâai pas envie de jouir si vite. Et pas seule. Laisse moi te lĂ©cher Ă mon tour.
- Va-s-y, mais tu vas avoir une GROSSE surprise.
La belle descend et Ă son tour sâaccroupit devant moi. La caresse de ses mains sur le faible espace entre le haut de mes bottes et ma robe est Ă©lectrisante.
Rapidement, la caresse se fait plus prĂ©cis, dâabord pour soulever ma robe et dĂ©gager mon string, puis pour se glisser entre mes cuisses, sur mes fesses, tirer mon string vers le bas et dĂ©gager ma chatte quâelle devine trĂšs humide.
- Oh mince, ce nâest pas ce Ă quoi je mâattendais ! Dit-elle.
Mon Ă©rection volumineuse sâest en effet libĂ©rĂ©e une fois dĂ©gagĂ©e de la dentelle pour se rĂ©vĂ©ler au grand jour.
- Ce nâest pas ce Ă quoi je mâattendais, mais je vais quand mĂȘme en profiter !
Elle me prend en bouche, dâabord par de petit coup de langue sur mon gland dĂ©calottĂ©, puis en lâenserrant entre ses lĂšvres et le titillant de sa langue. Elle me suce comme on suce une glace, les doigts Ă la base de mon sexe, la langue sortie qui parcourt toute la longueur de mon membre, puis totalement en bouche, elle tĂȘte ma queue comme un biberon.
AprĂšs cinq minutes de ce traitement dĂ©licieux, je la fait sâarrĂȘter
- Jâai envie de te prendre, lĂ , par derriĂšre. Promis je ne tâenculerai que si tu me supplies.
Je la prends pas les hanches et la retourne. Elle sâappuie sur le lavabo. Je lui Ă©cart les jambes, att**** mon chibre dâune main et le prĂ©sente devant son abricot humide. Je mâenfonce facilement en elle, doucement, tendrement. Mes hanches font des va-et-vient rĂ©guliers, parfois doux, parfois plus violents. Je lâentends de nouveau haleter, monter vers le plaisir, prĂȘte Ă jouir.
- Encule-moi, me dit-elle. Tu est pĂ©dĂ©, nâest-ce pas ? Donc tu dois savoir faire ça bien ?
Jâaime relever ce genre de dĂ©fi. Je me retire de son abricot, prends dans mon sac deux doses de gel avec lesquelles je badigeonne son petit trou par une caresse dâabord douce, puis plus insistante. Câest dâabord un doigt, qui pĂ©nĂštre lĂ©gĂšrement, puis complĂštement son anus, puis deux qui la branlent.
- Tu es prĂȘte, lui-dis-je en me mettant devant son trou. Tu peux encore dire non, mais dĂ©pĂȘche toi !
Elle ne dit rien, je la pĂ©nĂštre alors tout doucement, sans trop mâenfoncer au dĂ©but, puis en allant de plus en plus loin, jusquâĂ lâenculer complĂštement.
- Ca y-est, ma belle, je suis complĂštement en toi. Tu peux dire que tu as eu ta premiĂšre sodo ce soir.
Elle ne rĂ©pond pas, mais ses gĂ©missement montrent quâelle apprĂ©cie lâinstant.
Je recommence mes va-et-vient et ses soupirs, gĂ©missements et halĂštements me prouvent que mes annĂ©e avec les hommes mâont donnĂ© une certaine habiletĂ© dans lâart de donner du plaisir par la sodomie. Mes aller-retours se font plus rapides, plus violents aussi, au fur et Ă mesure que je sens mon plaisir monter. Au bout de quelques minutes, nous jouissons ensemble, je me libĂšre dans son cul qui dĂ©gouline de crĂšme.
Nous nous rhabillons, elle mâaide Ă remettre mon maquillage au clair et nous repartons chacun Ă nos tables.
Thomas mâaccueille dâun air soulagĂ©
- Tu en as mis du temps, tu nâarrivais pas Ă te remaquiller ?
- Si , ne tâinquiĂšte pas, mais jâai voulu aller aux toilettes et je nâai pas lâhabitude de tous ces vĂȘtements.
- La semaine prochaine, câest ton anniversaire. Jâai rĂ©servĂ© une table dans un resto un peu chic, alors ce serait bien quâon ne soit pas en retard. Arrive chez moi samedi vers 18 h. Et jâaimerais que tu te sois rasĂ©, mon chĂ©ri.
Bon OK, ça ne fait pas plaisir de prendre un an de plus. Mais câest aussi la perspective de recevoir plein dâattentions de son mec, alors lâun dans lâautre, ça compense.
Le samedi comme prĂ©vu, je suis lĂ un peu avant lâheure, douchĂ©, sapĂ©, prĂȘt Ă passer une bonne soirĂ©e. Thomas est lĂ , lui aussi bien habillĂ©, sexy dans son jean moulant, un polo de marque lui desinant ses pectoraux parfaits. Thomas mâaccueille avec un petit sourire entend.
- Passe dans la chambre, avant quâon parte, jâai une petite surprise pour toi.
Ok, je me dis. Le RDV un peu tĂŽt, ce nâest pas pour lâheure du resto, câest pour un petit hors-dâĆuvre du type « saucisse Ă la crĂšme « ! De toute façon, je suis toujours partant pour ça, donc je mâexĂ©cute.
ArrivĂ© dans la chambre, je suis surpris de voir Ă©talĂ©s sur le lit un ensemble de vĂȘtement fĂ©minins, robe bas, sous-vĂȘtements.
- Tu vois, me dit-il, on va bien aller au resto tous les deux, mais ce soir on va donner lâimage dâun couple hĂ©tĂ©ro. Et câest toi qui sera ma femme ! Ne tâinquiĂšte pas je vais tâaider Ă te travestir
Pour un cadeau, câest un cadeau. Thomas le sait, le travestissement, les sous-vĂȘtements fĂ©minins, câest mon plaisir, câest mon fantasme. Donc ce soir, câest un magnifique cadeau quâil me fait.
- Dâabord, dĂ©shabille toi, entiĂšrement, bien sur.
AussitÎt demandé, aussitÎt fait
Il me tend un string en dentelle noire que jâenfile prestement
- Ton petit cul est magnifique lĂ -dedans, me dit-il en attrapant une de mes fesses. Jâai hĂąte de te lâenlever, mais ce sera pour plus tard.
Il me fait ensuite enfiler une paire de bas, noirs, sobres et magnifiques. Puis il me tend ce que je reconnais ĂȘtre un porte-jarretelles, que je passe immĂ©diatement et auquel jâattache mes bas. Franchement, Ă ce stade, jâai lâimpression dâavoir fait cela toute ma vie.
- Bon maintenant, la poitrine. Ne tâinquiĂšte pas, je tâai choisi une robe pas trop d »colletĂ©e, tu nâauras pas Ă tâĂ©piler les seins. Et puis jâadore lĂ©cher tes tĂ©tons velu de mec !
Il me tend alors une paire de faux-seins et un soutien-gorge noir lui aussi. Je regarde ma silhouette dans le miroir de la chambre, je peine Ă y voir celle dâun homme.
- Avant de passer la robe, assieds-toi, je vais te maquiller. DĂ©solĂ©, je vais commencer par tâĂ©piler un peu la moustache pour que tu sois nickel, mais cela va faire un peu mal.
Effectivement, la séance est peu agréable. La suite est mieux : avec différents massages, soins, crÚmes hydratantes ou je ne sais quoi, Thomas me fait passer un moment super tendre à prendre soin de moi.
Puis vient le maquillage proprement dit : fond de teint, fard Ă paupiĂšre, eye-liner. Et enfin le gloss. Thomas me montre comment faire, mais me laisse mâexĂ©cuter.
- Tu comprends, tu risque de devoir aller te refaire une beautĂ©, et je ne serai pas lĂ pour tâaider.
Une fois maquillé, je ne ressemble plus à un garçon, je ne me ressemble plus ! La suite est une évidence : la robe, rouge vif, effectivement pas décolletée, mais courte, trÚs trÚs courte, du genre « ras-la-moule »
Puis la perruque blonde bien ajustĂ©e, cheveux jusquâau milieu du dos.
- Et maintenant la touche finale !
Thomas sort de sous le lit une longue boĂźte en carton. Il lâouvre pour me montrer les cuissardes quâil a prĂ©vues pour moi. Hyper sexy, noires, avec les talons aiguille de 5 cm ! MĂȘme pas peur, jâai dĂ©jĂ essayĂ© ce genre de chaussures, donc jâai compris le truc pour ne pas sâĂ©taler lamentablement. Je les enfile, et me regarde, mâadmire dans la glace. Une femme, vous dis-je et sexy Ă vous rendre hĂ©tĂ©ro !
Avec la touche finale, une veste de crĂ©ateur, et un sac Ă main de la mĂȘme marque, Thomas me conduit jusquâĂ un restaurant chic du centre-ville. Le serveur qui nous accueille ne fronce pas un sourcil en nous voyant et nous conduit Ă notre table, nous installe et nous tend les menus.
AprĂšs lâentrĂ©e, je dis Ă Thomas que je dois aller me refaire un beautĂ© (et oui, le rouge Ă lĂšvres quâil a mis dans mon sac va servir !). Il me dit alors de ne pas me tromper et de bien aller dans les toilettes pour femmes !
Dans les toilettes, alors que je suis devant le miroir pour remettre mon gloss, arrive une jeune femme qui, visiblement, veut faire la mĂȘme chose et sâinstalle devant le miroir voisin du mien. Je lâavais repĂ©rĂ©e dans le resto, avec une autre femme, sa sĆur ou une amie peut-ĂȘtre. Elle me sourit, hĂ©site.
- Salut, me dit-elle, tu es une femme magnifique. Vous ĂȘtes un trĂšs beau couple, vous ĂȘtes mariĂ©s ?
- Non.
- Tant mieux. Moi je suis avec une copine, on vient de se rencontrer, je la trouve canon mais je mâennuie dĂ©jĂ un peu avec elle. Alors je me dis que si tu as envie de tâamuser, on peut Ă©changer nos 06. Comme ça, quand tu auras envieâŠ
- On peut mĂȘme faire mieux, lui dis-je en lâembrassant. Par contre tu vas avoir une surprise.
Je commence par la soulever pour lâasseoir sur le plan des lavabos, je soulĂšve sa jupe. La salope nâa pas de culotte. JâĂ©carte ses cuisses, la belle se laisse faire. Je mâaccroupis devant elle le visage et surtout la bouche Ă hauteur de son minou rasĂ© et commence Ă luis caresser les lĂšvres de ma langue. Mes mains aux ongles rouge caressent en mĂȘme temps ses cuisses nues. Je sens sa respiration sâaccĂ©lĂ©rer, la belle est en train de jouir ou peu sâen faut, juste avec ma caresse buccale !
- ArrĂȘte, câest trop bon, jâai pas envie de jouir si vite. Et pas seule. Laisse moi te lĂ©cher Ă mon tour.
- Va-s-y, mais tu vas avoir une GROSSE surprise.
La belle descend et Ă son tour sâaccroupit devant moi. La caresse de ses mains sur le faible espace entre le haut de mes bottes et ma robe est Ă©lectrisante.
Rapidement, la caresse se fait plus prĂ©cis, dâabord pour soulever ma robe et dĂ©gager mon string, puis pour se glisser entre mes cuisses, sur mes fesses, tirer mon string vers le bas et dĂ©gager ma chatte quâelle devine trĂšs humide.
- Oh mince, ce nâest pas ce Ă quoi je mâattendais ! Dit-elle.
Mon Ă©rection volumineuse sâest en effet libĂ©rĂ©e une fois dĂ©gagĂ©e de la dentelle pour se rĂ©vĂ©ler au grand jour.
- Ce nâest pas ce Ă quoi je mâattendais, mais je vais quand mĂȘme en profiter !
Elle me prend en bouche, dâabord par de petit coup de langue sur mon gland dĂ©calottĂ©, puis en lâenserrant entre ses lĂšvres et le titillant de sa langue. Elle me suce comme on suce une glace, les doigts Ă la base de mon sexe, la langue sortie qui parcourt toute la longueur de mon membre, puis totalement en bouche, elle tĂȘte ma queue comme un biberon.
AprĂšs cinq minutes de ce traitement dĂ©licieux, je la fait sâarrĂȘter
- Jâai envie de te prendre, lĂ , par derriĂšre. Promis je ne tâenculerai que si tu me supplies.
Je la prends pas les hanches et la retourne. Elle sâappuie sur le lavabo. Je lui Ă©cart les jambes, att**** mon chibre dâune main et le prĂ©sente devant son abricot humide. Je mâenfonce facilement en elle, doucement, tendrement. Mes hanches font des va-et-vient rĂ©guliers, parfois doux, parfois plus violents. Je lâentends de nouveau haleter, monter vers le plaisir, prĂȘte Ă jouir.
- Encule-moi, me dit-elle. Tu est pĂ©dĂ©, nâest-ce pas ? Donc tu dois savoir faire ça bien ?
Jâaime relever ce genre de dĂ©fi. Je me retire de son abricot, prends dans mon sac deux doses de gel avec lesquelles je badigeonne son petit trou par une caresse dâabord douce, puis plus insistante. Câest dâabord un doigt, qui pĂ©nĂštre lĂ©gĂšrement, puis complĂštement son anus, puis deux qui la branlent.
- Tu es prĂȘte, lui-dis-je en me mettant devant son trou. Tu peux encore dire non, mais dĂ©pĂȘche toi !
Elle ne dit rien, je la pĂ©nĂštre alors tout doucement, sans trop mâenfoncer au dĂ©but, puis en allant de plus en plus loin, jusquâĂ lâenculer complĂštement.
- Ca y-est, ma belle, je suis complĂštement en toi. Tu peux dire que tu as eu ta premiĂšre sodo ce soir.
Elle ne rĂ©pond pas, mais ses gĂ©missement montrent quâelle apprĂ©cie lâinstant.
Je recommence mes va-et-vient et ses soupirs, gĂ©missements et halĂštements me prouvent que mes annĂ©e avec les hommes mâont donnĂ© une certaine habiletĂ© dans lâart de donner du plaisir par la sodomie. Mes aller-retours se font plus rapides, plus violents aussi, au fur et Ă mesure que je sens mon plaisir monter. Au bout de quelques minutes, nous jouissons ensemble, je me libĂšre dans son cul qui dĂ©gouline de crĂšme.
Nous nous rhabillons, elle mâaide Ă remettre mon maquillage au clair et nous repartons chacun Ă nos tables.
Thomas mâaccueille dâun air soulagĂ©
- Tu en as mis du temps, tu nâarrivais pas Ă te remaquiller ?
- Si , ne tâinquiĂšte pas, mais jâai voulu aller aux toilettes et je nâai pas lâhabitude de tous ces vĂȘtements.
3 years ago