MON ÉPOUSE
MON ÉPOUSE BAISÉE PAR UN INCONNU.
Il fait beau et chaud sur cette petite plage du sud de la France.
La mer est bleue, l’endroit est idyllique.
Elle est généralement fréquentée par des nudistes.
C’est le cœur battant que, Françoise, ma femme et moi, nous nous sommes engagés sur ce petit chemin qui mène à une petite crique, à l’abri des regards indiscrets.
Qu’allions-nous y découvrir ?
Nous avions profité de cette journée de semaine pour venir ici.
Nous avions envie de nous mettre nus et de voir l’effet que cela ferait de se montrer à d’autres personnes.
Manque de chance pour l’excitation, l’endroit est désert, mais il pouvait encore arriver d’autres baigneurs.
Fébriles d’excitation, nous nous sommes dévêtus et avons laissé de côté nos maillots de bain. Une heure passe, nous sommes seuls au monde, déçus.
Allongés l’un à côté de l’autre, nous ne tardons pas à nous embrasser.
Cet endroit même désert nous échauffe et agit sur notre libido.
Je bande et ma petite femme m’ouvre ses cuisses.
L’invite est sans équivoque.
- « Viens, prends-moi, fais-le-moi ! »
- « T’es folle et si quelqu’un vient ? »
- « Il n’y a personne, baise-moi mon chéri, j’ai trop envie ! »
- « Coquine, l’endroit t’excite ? »
- « Oui, il doit y avoir plein de gens qui, avant nous, l’ont fait ici. »
C’est trop tentant !
Je m’allonge sur ma femme, et je commence à la baiser lentement.
Françoise, sous moi, ferme les yeux.
Ça l’excite de faire çà ici.
Tout en la limant, je regarde autour de nous.
Merde, là, à quelques dizaines de mètres, à demi caché dans les rochers, un homme, un pêcheur nous observe !
Il a vu que je l’ai aperçu et ne bouge pas.
Le cochon se rince l’œil !
Voyant que je ne réagis pas à sa présence, il en profite.
Sous moi, Françoise, geint doucement à mes poussées.
Mon gland frappe le fond de sa grotte d’amour.
Elle bouge sous moi, remue son gros cul et l’autre se régale.
La situation m’excite.
Le cochon doit bander, sans doute se branle-t-il !
- « Ma chérie ! »
- « Quoi ? »
- « Un type est là-bas dans les rochers et nous regarde. »
- « Il nous voit ? »
- « Oui ! »
- « On fait quoi ? »
- « Rien ma chérie, il mâte et alors ? Cela m’excite, pas toi ? Il nous regarde baiser. »
- « Cochon ! »
- « Ça ne t’excite pas ? »
- « Euh... »
- « Petite cochonne avoue, ça t’excite toi aussi ? »
- « Oui mais tu crois qu’il me voit toute nue sous toi ? »
- « Oui, ma chérie, tu es belle, il en profite. Je crois qu’il se branle. »
- « T’es sûr ? Il se caresse en me regardant ? »
- « Oui !!! »
Sous moi, Françoise, s’anime de plus en plus.
Puis elle parle, je vois l’excitation intense dans ses yeux.
- « Dis, il a une grosse queue ? »
- « Oui ma chérie, il bande et s’imagine dans toi en se caressant la bite. Il te baise en rêve le cochon. »
- « Il s’imagine qu’il me baise ? »
- « Oui, oui. Il bande pour toi, il a envie de te baiser, de te mettre son gros zob dans ta grosse chatte. Il la voit, il voit ma bite qui entre dans toi. Tu aimes qu’il te voie, qu’il voie ton cul, ta chatte ? »
- « Oh oui ! Sa bite, sa grosse bite ! Pas comme ton zizi que je ne sens ni dans ma chatte, ni dans mon cul ! »
- « Tu as envie de sa queue, qu’il te la mettre et te baise devant moi ? J’ai envie moi ! »
- « T’es fou ! »
- « Non ma puce, il te ferait jouir. Tu n’as pas envie d’une grosse queue ? »
- « Je ne sais pas. Et toi, tu veux ? Tu ne vas pas être jaloux s’il vient me le faire ? »
- « Oui, un peu mais c’est tellement excitant ! Tu te souviens avec Jean Louis quand nous étions jeunes ? »
- « Oui, il voulait me baiser devant toi. Il en avait un bien plus gros, mais il ne savait pas comment me le mettre. Il n’a pas pu l’entrer. »
- « Lui, il va pouvoir ma chérie, tu me dis toujours que tu as envie qu’un autre baise avec nous. »
- « Oui, je sais, je dis ça. Dis, il nous regarde encore ? Je ne le vois pas. »
- « Il est toujours là. Je crois qu’il a compris qu’on veut bien. Je lui fais signe de venir ma puce ? »
- « T’es fou ! »
- « C’est l’occasion, on ne le connait pas, après on le reverra plus. J’ai envie de te voir avec un autre. »
- « Oui, oui, vas-y ! Après tout, tu as raison, personne ne nous connait ici. Rien qu’une fois pour voir comment c’est. Je veux bien mon amour puisque tu en as envie. »
- « Toi aussi ? »
- « Quoi ? »
- « Tu as envie qu’il te baise ? »
- « Oui...mais tu ne seras pas jaloux après ? »
- « Non, promis ma chérie...promis, ça va être si bon de le voir sur toi ! De te voir jouir sous lui. »
- « Bon, dis-lui de venir... »
De la tête, tout en besognant Françoise, je fais signe au pêcheur.
Il est sans doute aussi excité que nous et après une courte hésitation, il sort de derrière les rochers.
C’est un homme de moyenne corpulence, assez petit.
Ma femme l’a vu. Elle tremble un peu sous moi, ne participe plus trop.
- « Chéri, c’est fou ! J’ai peur ! »
- « Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention. »
L’homme est vite tout près et nous regarde d’un air interrogatif.
Je lui souris, tourné vers lui, Françoise, aussi, mais timidement.
Je suis encore sur elle, mais mon membre n’est plus dans sa chatte.
- « Bonjour. »
Nous lui avons répondu.
Il y a un silence, un moment de gêne.
Si nous ne disons rien, il va repartir.
Alors je me lance.
- « Elle te plaît ? »
- « Oui ! »
- « Tu nous regardais baiser ? »
- « Euh...Oui ! J’ai vu que tu voulais bien, tu ne m’as pas fait signe de partir. »
- « Elle est belle hein ? Elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans ! »
Je vois la bosse de son zob encore bandé sous la toile de son short.
Françoise aussi le voit et a les yeux fixés dessus.
Cela encourage notre nouvel ami.
- « Oui ! Oh oui, elle est belle. C’est ta femme ? »
- « Oui. Elle a envie de...enfin tu comprends...avec toi. »
- « Baiser avec moi ? »
- « Oui ! Tu veux ? »
- « Oui, elle est belle ! Je ne l’ai jamais fait avec une femme aussi belle ! »
- « Viens ! Mets-toi sur elle, prends-la, elle en a envie de ta grosse queue ! »
Je me suis relevé, lui laissant la place.
Françoise, consentante, a gardé les cuisses ouvertes, lui expose sa grosse chatte avec impudence.
- « Oui, j’ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c’est Françoise, et toi ? »
- « Michel, t’es belle, tu as une magnifique chatte ! »
- « Ton zob est gros, mets-le-moi doucement, viens ! »
Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s’apprête à faire l’amour avec un autre. Elle a les yeux mi-clos et je devine qu’elle regarde cependant notre ami qui s’agenouille entre ses cuisses.
Il baisse son short.
Il ne porte rien dessous.
Comme je le pensais, il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi car il a bien cinquante ans notre gaillard.
Ma petite femme va la sentir passer.
Elle qui a envie d’une grosse bite va être bien servie.
J’espère qu’elle va bien jouir.
Car avec moi c’est rare.
- « Oh ! Elle est belle, bien grosse, mets-la doucement mon chéri, mon vagin n’est pas habitué à une si belle bite ! »
Ma femme me regarde alors que l’homme se couche sur elle.
D’une main passée entre leurs deux ventres, je le vois qu’il se guide.
Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce.
Pour l’aider, Françoise ouvre largement ses jambes.
Elle m’a tendu sa main et je la prends dans la mienne.
Elle me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente et se place devant l’entrée de son vagin.
Je vois soudain ses yeux s’écarquiller, sa menotte serre fort la mienne.
D’une brève poussée, l’homme vient de la pénétrer.
D’abord le gland épais qui distend ses chairs intimes.
Puis le mâle pousse encore et la tige noueuse s’enfonce en elle.
Ma chérie pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore.
D’une dernière poussée, l’homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge.
Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer aux dimensions de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins.
Sous lui, ma femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros membre qui la prend, s’anime.
Elle a lâché ma main, s’accroche au cou de l’homme qui la chevauche.
Elle joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle.
Ils baisent.
Ils ont l’un à l’autre, moi je ne compte plus !
Moi, je regarde et je bande.
Je bande comme jamais cela ne m’est arrivé !
Les grosses fesses, ceintes des cuisses de ma douce s’élèvent, puis s’abaissent en cadence. Françoise gémit à chacune des poussées de l’homme.
Gémissements plaintifs au début car elle avait mal, puis de ravissement maintenant.
La tête nichée dans le creux de l’épaule de mon cocufieur, elle s’abandonne complètement, se livre toute entière à l’assaut fougueux de son amant improvisé.
Nous sommes seuls sur la plage tous les trois.
A part le bruit des vagues frappant le récif, je n’entends que le bruit des deux corps qui se frottent, se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l’homme qui la baise maintenant depuis plus de dix minutes.
Je vois le gros zob brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte de mon épouse. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l’effet qu’il lui fait.
Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l’homme, le prendre par les fesses comme pour l’enfoncer encore plus loin.
Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés.
L’homme accélère ses pénétrations.
Ils vont jouir !
Un long cri de femme comblée, le corps de mon épouse s’arque, soulève son amant pour l’avoir encore plus profond dans son minou.
Aux crispations des fesses de l’homme, accompagnées de son cri de délivrance, je devine les giclées de sperme qui s’épanchent dans le ventre de ma femme.
Sans me toucher, j’ai joui dans le sable chaud, tellement mon excitation était alors arrivée à son paroxysme !
Ils sont restés enlacés.
Lui dans elle, elle le gardant entre ses cuisses rondes.
Puis je les ai vus se regarder et ma femme a ouvert la bouche et l’a collée à celle de l’homme. Leur baiser a été long, si long !
J’en ai encore mal mais j’en bande encore en écrivant ce nous avons fait ce jour-là.
Quand l’homme, repu de ma femme, après l’avoir prise une seconde fois, s’est relevé et il est parti sans se retourner.
Après un bain purificateur, nous avons remis nos vêtements et avons regagné notre voiture.
Chez nous, dans notre lit, nous avons fait l’amour.
Françoise était déchaînée et j’en ai profité pour la visiter par la petite porte.
Celle que rarement elle m’a permis de forcer.
Sans doute a-t-elle alors pensé qu’elle avait des choses à se faire pardonner.
Après, après seulement, nous avons parlé de ce qui s’était passé sur la plage déserte.
J’ai dit à ma femme que, pour moi, cela avait été un acte d’amour.
L’homme, me l’a-t-elle dit, l’avait fait jouir si fort.
Longtemps après, par la suite, il a été avec nous quand nous faisions l’amour.
Quand Françoise, pâmée sous moi arquait son corps, parfois j’ai cru l’entendre prononcer :
- « Oh Michel !!! Oui…Oui…Encore mon chéri !!! ».
Il fait beau et chaud sur cette petite plage du sud de la France.
La mer est bleue, l’endroit est idyllique.
Elle est généralement fréquentée par des nudistes.
C’est le cœur battant que, Françoise, ma femme et moi, nous nous sommes engagés sur ce petit chemin qui mène à une petite crique, à l’abri des regards indiscrets.
Qu’allions-nous y découvrir ?
Nous avions profité de cette journée de semaine pour venir ici.
Nous avions envie de nous mettre nus et de voir l’effet que cela ferait de se montrer à d’autres personnes.
Manque de chance pour l’excitation, l’endroit est désert, mais il pouvait encore arriver d’autres baigneurs.
Fébriles d’excitation, nous nous sommes dévêtus et avons laissé de côté nos maillots de bain. Une heure passe, nous sommes seuls au monde, déçus.
Allongés l’un à côté de l’autre, nous ne tardons pas à nous embrasser.
Cet endroit même désert nous échauffe et agit sur notre libido.
Je bande et ma petite femme m’ouvre ses cuisses.
L’invite est sans équivoque.
- « Viens, prends-moi, fais-le-moi ! »
- « T’es folle et si quelqu’un vient ? »
- « Il n’y a personne, baise-moi mon chéri, j’ai trop envie ! »
- « Coquine, l’endroit t’excite ? »
- « Oui, il doit y avoir plein de gens qui, avant nous, l’ont fait ici. »
C’est trop tentant !
Je m’allonge sur ma femme, et je commence à la baiser lentement.
Françoise, sous moi, ferme les yeux.
Ça l’excite de faire çà ici.
Tout en la limant, je regarde autour de nous.
Merde, là, à quelques dizaines de mètres, à demi caché dans les rochers, un homme, un pêcheur nous observe !
Il a vu que je l’ai aperçu et ne bouge pas.
Le cochon se rince l’œil !
Voyant que je ne réagis pas à sa présence, il en profite.
Sous moi, Françoise, geint doucement à mes poussées.
Mon gland frappe le fond de sa grotte d’amour.
Elle bouge sous moi, remue son gros cul et l’autre se régale.
La situation m’excite.
Le cochon doit bander, sans doute se branle-t-il !
- « Ma chérie ! »
- « Quoi ? »
- « Un type est là-bas dans les rochers et nous regarde. »
- « Il nous voit ? »
- « Oui ! »
- « On fait quoi ? »
- « Rien ma chérie, il mâte et alors ? Cela m’excite, pas toi ? Il nous regarde baiser. »
- « Cochon ! »
- « Ça ne t’excite pas ? »
- « Euh... »
- « Petite cochonne avoue, ça t’excite toi aussi ? »
- « Oui mais tu crois qu’il me voit toute nue sous toi ? »
- « Oui, ma chérie, tu es belle, il en profite. Je crois qu’il se branle. »
- « T’es sûr ? Il se caresse en me regardant ? »
- « Oui !!! »
Sous moi, Françoise, s’anime de plus en plus.
Puis elle parle, je vois l’excitation intense dans ses yeux.
- « Dis, il a une grosse queue ? »
- « Oui ma chérie, il bande et s’imagine dans toi en se caressant la bite. Il te baise en rêve le cochon. »
- « Il s’imagine qu’il me baise ? »
- « Oui, oui. Il bande pour toi, il a envie de te baiser, de te mettre son gros zob dans ta grosse chatte. Il la voit, il voit ma bite qui entre dans toi. Tu aimes qu’il te voie, qu’il voie ton cul, ta chatte ? »
- « Oh oui ! Sa bite, sa grosse bite ! Pas comme ton zizi que je ne sens ni dans ma chatte, ni dans mon cul ! »
- « Tu as envie de sa queue, qu’il te la mettre et te baise devant moi ? J’ai envie moi ! »
- « T’es fou ! »
- « Non ma puce, il te ferait jouir. Tu n’as pas envie d’une grosse queue ? »
- « Je ne sais pas. Et toi, tu veux ? Tu ne vas pas être jaloux s’il vient me le faire ? »
- « Oui, un peu mais c’est tellement excitant ! Tu te souviens avec Jean Louis quand nous étions jeunes ? »
- « Oui, il voulait me baiser devant toi. Il en avait un bien plus gros, mais il ne savait pas comment me le mettre. Il n’a pas pu l’entrer. »
- « Lui, il va pouvoir ma chérie, tu me dis toujours que tu as envie qu’un autre baise avec nous. »
- « Oui, je sais, je dis ça. Dis, il nous regarde encore ? Je ne le vois pas. »
- « Il est toujours là. Je crois qu’il a compris qu’on veut bien. Je lui fais signe de venir ma puce ? »
- « T’es fou ! »
- « C’est l’occasion, on ne le connait pas, après on le reverra plus. J’ai envie de te voir avec un autre. »
- « Oui, oui, vas-y ! Après tout, tu as raison, personne ne nous connait ici. Rien qu’une fois pour voir comment c’est. Je veux bien mon amour puisque tu en as envie. »
- « Toi aussi ? »
- « Quoi ? »
- « Tu as envie qu’il te baise ? »
- « Oui...mais tu ne seras pas jaloux après ? »
- « Non, promis ma chérie...promis, ça va être si bon de le voir sur toi ! De te voir jouir sous lui. »
- « Bon, dis-lui de venir... »
De la tête, tout en besognant Françoise, je fais signe au pêcheur.
Il est sans doute aussi excité que nous et après une courte hésitation, il sort de derrière les rochers.
C’est un homme de moyenne corpulence, assez petit.
Ma femme l’a vu. Elle tremble un peu sous moi, ne participe plus trop.
- « Chéri, c’est fou ! J’ai peur ! »
- « Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention. »
L’homme est vite tout près et nous regarde d’un air interrogatif.
Je lui souris, tourné vers lui, Françoise, aussi, mais timidement.
Je suis encore sur elle, mais mon membre n’est plus dans sa chatte.
- « Bonjour. »
Nous lui avons répondu.
Il y a un silence, un moment de gêne.
Si nous ne disons rien, il va repartir.
Alors je me lance.
- « Elle te plaît ? »
- « Oui ! »
- « Tu nous regardais baiser ? »
- « Euh...Oui ! J’ai vu que tu voulais bien, tu ne m’as pas fait signe de partir. »
- « Elle est belle hein ? Elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans ! »
Je vois la bosse de son zob encore bandé sous la toile de son short.
Françoise aussi le voit et a les yeux fixés dessus.
Cela encourage notre nouvel ami.
- « Oui ! Oh oui, elle est belle. C’est ta femme ? »
- « Oui. Elle a envie de...enfin tu comprends...avec toi. »
- « Baiser avec moi ? »
- « Oui ! Tu veux ? »
- « Oui, elle est belle ! Je ne l’ai jamais fait avec une femme aussi belle ! »
- « Viens ! Mets-toi sur elle, prends-la, elle en a envie de ta grosse queue ! »
Je me suis relevé, lui laissant la place.
Françoise, consentante, a gardé les cuisses ouvertes, lui expose sa grosse chatte avec impudence.
- « Oui, j’ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c’est Françoise, et toi ? »
- « Michel, t’es belle, tu as une magnifique chatte ! »
- « Ton zob est gros, mets-le-moi doucement, viens ! »
Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s’apprête à faire l’amour avec un autre. Elle a les yeux mi-clos et je devine qu’elle regarde cependant notre ami qui s’agenouille entre ses cuisses.
Il baisse son short.
Il ne porte rien dessous.
Comme je le pensais, il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi car il a bien cinquante ans notre gaillard.
Ma petite femme va la sentir passer.
Elle qui a envie d’une grosse bite va être bien servie.
J’espère qu’elle va bien jouir.
Car avec moi c’est rare.
- « Oh ! Elle est belle, bien grosse, mets-la doucement mon chéri, mon vagin n’est pas habitué à une si belle bite ! »
Ma femme me regarde alors que l’homme se couche sur elle.
D’une main passée entre leurs deux ventres, je le vois qu’il se guide.
Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce.
Pour l’aider, Françoise ouvre largement ses jambes.
Elle m’a tendu sa main et je la prends dans la mienne.
Elle me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente et se place devant l’entrée de son vagin.
Je vois soudain ses yeux s’écarquiller, sa menotte serre fort la mienne.
D’une brève poussée, l’homme vient de la pénétrer.
D’abord le gland épais qui distend ses chairs intimes.
Puis le mâle pousse encore et la tige noueuse s’enfonce en elle.
Ma chérie pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore.
D’une dernière poussée, l’homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge.
Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer aux dimensions de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins.
Sous lui, ma femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros membre qui la prend, s’anime.
Elle a lâché ma main, s’accroche au cou de l’homme qui la chevauche.
Elle joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle.
Ils baisent.
Ils ont l’un à l’autre, moi je ne compte plus !
Moi, je regarde et je bande.
Je bande comme jamais cela ne m’est arrivé !
Les grosses fesses, ceintes des cuisses de ma douce s’élèvent, puis s’abaissent en cadence. Françoise gémit à chacune des poussées de l’homme.
Gémissements plaintifs au début car elle avait mal, puis de ravissement maintenant.
La tête nichée dans le creux de l’épaule de mon cocufieur, elle s’abandonne complètement, se livre toute entière à l’assaut fougueux de son amant improvisé.
Nous sommes seuls sur la plage tous les trois.
A part le bruit des vagues frappant le récif, je n’entends que le bruit des deux corps qui se frottent, se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l’homme qui la baise maintenant depuis plus de dix minutes.
Je vois le gros zob brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte de mon épouse. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l’effet qu’il lui fait.
Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l’homme, le prendre par les fesses comme pour l’enfoncer encore plus loin.
Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés.
L’homme accélère ses pénétrations.
Ils vont jouir !
Un long cri de femme comblée, le corps de mon épouse s’arque, soulève son amant pour l’avoir encore plus profond dans son minou.
Aux crispations des fesses de l’homme, accompagnées de son cri de délivrance, je devine les giclées de sperme qui s’épanchent dans le ventre de ma femme.
Sans me toucher, j’ai joui dans le sable chaud, tellement mon excitation était alors arrivée à son paroxysme !
Ils sont restés enlacés.
Lui dans elle, elle le gardant entre ses cuisses rondes.
Puis je les ai vus se regarder et ma femme a ouvert la bouche et l’a collée à celle de l’homme. Leur baiser a été long, si long !
J’en ai encore mal mais j’en bande encore en écrivant ce nous avons fait ce jour-là.
Quand l’homme, repu de ma femme, après l’avoir prise une seconde fois, s’est relevé et il est parti sans se retourner.
Après un bain purificateur, nous avons remis nos vêtements et avons regagné notre voiture.
Chez nous, dans notre lit, nous avons fait l’amour.
Françoise était déchaînée et j’en ai profité pour la visiter par la petite porte.
Celle que rarement elle m’a permis de forcer.
Sans doute a-t-elle alors pensé qu’elle avait des choses à se faire pardonner.
Après, après seulement, nous avons parlé de ce qui s’était passé sur la plage déserte.
J’ai dit à ma femme que, pour moi, cela avait été un acte d’amour.
L’homme, me l’a-t-elle dit, l’avait fait jouir si fort.
Longtemps après, par la suite, il a été avec nous quand nous faisions l’amour.
Quand Françoise, pâmée sous moi arquait son corps, parfois j’ai cru l’entendre prononcer :
- « Oh Michel !!! Oui…Oui…Encore mon chéri !!! ».
3 years ago