PRISONNIERE
Je ne voulais pas parler de ça.
Enfin, pas maintenant.
Je voulais raconter la fin du voyage avec Josy.
Mais l'un de vous, qui se reconnaîtra m'a conduite à commencer à lui parler du dimanche 25 juillet. il y a une semaine.
C'est vrai que je n'ai répondu à aucun message avant le 28..
Il n'a même pas eu besoin de poser trop de questions.
Comme quelques autres, il sait me faire parler de situations que j'aimerais garder pour moi.
Mais c'est vrai que les dire, ça m'excite terriblement.
Je me souviens et je commence à mouiller, à me caresser, à sentir des pulsations dans mon ventre, à me caresser plus, jusqu'au moment de la pause, pour essayer de me satisfaire.
Puis de me remettre à écrire, mais un peu "équipée", d'un vibreur, d'un plug.
Parfois, souvent, avant la fin, d'un double gode.
Je finis longtemps après avoir commencé, après avoir joui, le double gode, que j'ai bien nettoyé de ma langue, posé à coté de moi.
Je ne sais pas pourquoi ce long préambule.
Une façon, peut-être de demander pardon à Josy de la délaisser pour raconter ce qu'elle même aurait pu préparer pour moi.... et qui ne me serait sans doute jamais arrivé si je ne l'avais pas connue.
Depuis quelques années, on est un groupe de copains-copines, (rien de plus) à se réunir fin juillet chez un couple d'amis, pour fêter leur départ en vacances.
Ils habitent dans le 19ème, entre les Buttes Chaumont et le parc de La Villette, au 6ème et dernier étage d'un immeuble. Ils occupent tout l'étage et ont une grande terrasse.
Moi, j'adore les marchés, et j'apprécie beaucoup celui du dimanche matin, place des Fêtes.
Quand je suis à Paris, je partage un appart dans le 11ème, avec une amie hôtesse de l'air. On ne se voit pas si souvent, mais on est amie depuis nos 10 ans.
Je parlerai sans doute d'elle un jour.
De Place des Fêtes à chez mes amis, c'est 15 mn de marche.
J'avais mis ma tenue favorite pour faire le marché: une chemise type gand-père, les premiers boutons assez ouverts pour que le sillon entre mes seins bien tenus par un soutien-gorge pas très enveloppant attire l'oeil, et assez longue pour couvrir le haut du jean, jusqu'à la naissance de l'entre-jambe.
Sous le jean, rien...si ce n'est un petit stimulateur vibrant, plaqué par le jean sur mon bouton de plaisir et commandé par mon téléphone.
Assez rapidement le peu de mon jean qui s'aperçoit au bas de la chemise est mouillé.... et petit à petit, je vois au regards des gens qui me croisent ceux qui l'ont remarqué.
J'étais devant un des étals de poissonnier, dans une file de 8 à 10 personnes. Je n'avais rien à acheter, juste pour le plaisir d'une caresse furtive, ou plus précise sur mes fesses, mes seins ou mon entre-jambe.
Là ça a été plus précis.
Une main s'est plaquée sur mon pubis, deux doigts glissés dans mon entre-jambes, l'autre main sur mon ventre et à l'oreille:
"- T'es blanche, moi black. Viens chez moi, y'a du mulet cuisiné"
Je ne me suis pas retournée. J'ai quitté la file et je l'ai laissé me guider de son bras autour de mes épaules.
Il n'a pas dit un mot, ni moi pendant les 4 ou 500 m pendant lesquels on a marché.
Je connaissais ces bâtiments vieux, laids, sales, pour être passé devant pour allé chez mes amis.
On a monté 3 étages. je n'avais toujours pas vu à quoi il ressemblait.
Au lieu d'ouvrir la porte, en restant derrière moi, il a frappé.
Une femme a ouvert, assez forte, peut-être la cinquantaine, en boubou et avec le turban traditionnel.
"- C'est pas vrai! Tu ramènes une blanche ici! Tu veux la baiser dans ma maison peut-être. Allez rentre toi."
Elle m'a attrapée par le bras et m'a quasi tirée jusque dans la salle à manger.
Là, il y avait une autre femme, elle vraiment grosse, bien plus agée qui trônait presque dans un fauteuil.
"- Mama, regarde ce que ramène ton petit fils aujourd'hui. Il dit rien mais je sais qu'il veut l'emmener dans sa chambre. Dis ce que tu décides."
J'étais debout au milieu de la salle, complètement interloquée, sans comprendre à ce qui se passait. Mais si la grand-mère le voulait, je me voyais déjà jetée au milieu de la rue, comme une malpropre.
La grand-mére a fait un signe du menton, et le type, que je n'avais toujours pas vu m'a appuyé sur le dos pour que j'avance, à 2-3 pas de l'ancienne.
Un nouveau signe de tête et c'est la mère qui s'est mise devant moi pour ouvrir complètement ma chemise et en écarter les pans. Puis elle a fait glisser les bretelles de mon soutien-gorge pour dévoiler mes seins.
"- Cheir, viens regarder ses seins"
C'est à ce moment que je l'ai vu. Plutôt pas mal. Des lèvres épaisses, une grande bouche, le crâne complètement rasé, les yeux noirs, et un très beau sourire. 1,80m au moins, un corps musclé. Vraiment le genre auquel on a tendance à dire "oui" de suite.
"- Alors, tu vois quoi? Ils sont pas très gros, droits, ils se tiennent sans soutien-gorge. Elle a quoi? 30 ans; et des seins comme ça, ça veut dire qu'elle a pas eu d'enfants. Donc c'est pas une vraie femme."
D'un geste de la main, elle a fait signe à sa fille d'ouvrir mon jean, qu'elle a fait glisser jusqu'à mes chevilles.
"- Pas de culotte, le jean mouillé. C'est une salope"
Un nouveau geste, une nouvelle petite poussée dans le dos, je me retrouvais à 50 cm de la grand-mère.
Elle a tendu le bras vers moi, et avant que je puisse réagir, elle a mis son index et son majeur, en crochet dans ma vulve.
Mais ses doigts!!!!
Ses 2 doigts en faisaient au moins 3!
"Ca rentre tout seul tellement c'est mouillé. Je pourrais en mettre un autre."
J'ai failli dire "non", mais j'ai crains de la provoquer. Visiblement personne n'était autorisé à la contredire.
Elle a replié son bras et me tirant par la chatte m'a fait avancer jusqu'au bord de son fauteuil.
"- Montre ton cul"
Je me suis tournée, elle a écarté mes fesses.
"- Tu prends aussi par là plus qu'a ton tour. c'est vraiment une salope. T'as que ça à ramener ici? Allez va chercher Aya, Dis-lui de mettre un dashiki, elle va s'assoir sur mes genoux."
Quelques minutes après ,est entré une jeune fille, très jolie, les yeux baissés, dans une robe magnifiquement colorée, du même tissu dont sont fait les boubous. Mais une robe taillée à "l'européenne", avec la fantaisie africaine. Très courte.
Une superbe vision !
Mais pourquoi appeler cette adolescente? Pour voir une blanche presque nue, dépenaillée, avec un Jean aux chevilles?
"- Aya ma fille, tu vas avoir tes 15 ans dans 10 jours. Ce sera le jour de tes fiançailles avec Cheir..Tu sais que tu dois rester vierge jusqu'à tes 16 ans et demie, jour de ton mariage . Mais à partir de tes fiançailles, tu dois pouvoir satisfaire quelques désirs de ton fiancé. Cette pute qu'il a ramené va te montrer. Toi ma fille, viens sur mes genoux pour bien voir."
Cheir s'est mis de profil devant le fauteuil de sa grand-mère, et m'a attirée devant lui.
J'étais toujours un peu éberluée par la situation, mais je comprenais ce qu'on attendait de moi et je commençais à être émoustillée.
J'ai détaché la ceinture, baissé la fermeture Eclair du pantalon, sorti le sexe de Cheir de son boxer.
Un beau sexe de black au repos. Long, assez épais.
Je l'ai fais rebondir dans le creux de ma main, pour le soupeser, Je me suis mise à genoux et j'ai approché le bout du gland de mes lèvres. Je lui ai fait quelques bisous-pigeons avec juste quelques coups de langue. Je sentais son sexe légèrement vibrer dans ma main.
Puis j'ai pris le gland entre mes lèvres, et je l'ai téter comme un bébé le seins de sa mère, en commençant à le masturber doucement.
Petit à petit j'ai aspiré plus fort, que sa bite entre en bouche. Elle était encore demie molle: et tout en le branlant plus fort, de l'autre main je caressais ses couilles. La queue a gonflé d'un coup, alors je l'ai vraiment sucée, mes lèvres glissant du haut de son gland à la base de sa tige. Elle tapait au fond de ma gorge. Il donnait des grands coups de rein pour la faire pénétrer plus loin. J'avais la bouche pleine de salive, mais je ne desserrais pas les lèvres, que sa bite baigne, qu'il baise ma bouche comme si je le suçais dans une piscine.
Quand ma bouche était trop pleine, sa queue bien au fond, j'ai ouvert la bouche en grand. Toute la salive lui est tombée sur les couilles que je malaxais pour bien l'enduire. Elles étaient devenues dures. Il allait pas tarder à m'exploser en bouche. Alors, j'ai reculé la tête, pris sa tige à pleine main, ouvert la bouche en grand, et avec un mouvement de haut en bas fait cogner son gland à tour de rôle sur mes dents.
Sa grand-mère a compris:
"-Arrete. La leçon pour Aya n'est pas finie. Cet incapable va pas se retenir"
J'ai tourné la tête vers la grand-mère. La petite Aya était sur un de ses genoux, la robe retroussée La main de la vieille lui caressant la fente.
"- Aya, ça aussi tu auras droit de le faire, mais juste là. La première fois ça fera un peu mal, mais je serai là, avec les crèmes qu'il faudra. Elle, tu vas voir ça va rentrer tout seul, sans onguent"
J'avais compris ce qu'elle attendait, alors je me suis mise à 4 pattes, les fesses bien relevées, en attendant le sexe encore raide de Cheir.
Il a été assez doux. Il pensait sans doute à sa petite fiancé, qu'il allait dévierger de l'anus dans pas longtemps.
Il était si près de me remplir la bouche de son foutre qu'à peine 2 mn après sa grand-mère est intervenue:
"- Sors de là, tu vas pas la remplir. Et Aya, elle a pas le droit de voir la semence qui lui fera ses enfants?"
Il est sorti d'un coup et m'a tout laché sur les fesses.
Aya soupirait sous les caresses de la vieille.
"- j'ai encore des choses à expliquer à Aya. Alors, la pute à la cave"
En fait de cave, c'était ce qui aurait du servir de garage à vélo. Mais de vélo point. juste un canapé à moitie défoncé, 2 tréteaux, et 2 anneaux scellés à un mur, à environ 1,50m du sol;
J'avais quitté mon jean que je tenais dans mes bras. J'avais descendu les 3 étages, plus les marches qui conduisent aux caves, quasi à poil.
Là, Cheir m'a dit:
"- tu gueules, on te baillonne, tu te débats, on t'attache aux anneaux.. Pose ton jean et quitte le reste., et va t'appuyer sur un tréteau."
"- Putain tu nous a trouvé du premier choix. on va l'éclater la pouf. Si elle aime pas les queues de Noirs elle va être servie."
Ce sont les premières mains mâles qui ont caressé et pincé mes seins, fouillé ma chatte et mon cul.
"- La salope, elle aime ça, elle mouille déjà Ho, Keba, regarde ce cul qui t'attend. honneur à toi, mais la déchire pas."
J'ai senti une chose énorme s'appuyer sur ma rondelle. C'était pas un sexe. De cette taille non. Ils voulaient me goder plutôt que me baiser.
Une poussée forte et continue m'a dilatée. J'ai serré les dents pour ne pas crier. des larmes ont coulé sur mes joues.
C'était aussi long que gros. Ca entrait doucement, régulièrement, mais sans pause.
Au bout d'un moment qui m'a paru infini, ça c'est arreté, et des petits va et vient ont commencés.
C'est à ce moment que j'ai senti des couilles frapper ma vulve. de plus en plus vite et fort.
Jamais j'aurai cru qu'un sexe humain puisse avoir cette taille.
"- Vas y Keba défonce-là. C'est pas si souvent que tu peux la rentrer toute entière". Il a commencé à la sortir, aussi doucement qu'il l'avait faite entrer. Je sentais un vide se faire en moi. Au moment ou son gland allait sortir, j'essayais de resserrer mon anneau, pour la garder. Je me suis entendue dire "non, non, pas déjà
D'un coup de rein, elle est entré jusqu'au fond.
"- Ouiiiiiiiiii, comme ça. Baise-moi, mon cul est a toi"
- OUI OUI OUI OUI.
Il n'arretait pas d'alterner des grandes enfilades, des pénétrations lentes, des coups de rein quand il était tout au fond. Je ne sais plus ce que je disais.
Je n'ai pas senti de suite la bite dans ma bouche. Il devait la prendre comme un trou parce que je ne faisais que râler et dire des mots sans suite.
Ma vie se résumait à cette formidable queue qui me pistonnait, m'écartelait du cul, me faisait jouir sans arrêt.
Il s'est retiré d'un coup, sans un mot.
J'étais brisée, sans force.
je me suis sentie portée, mise à califourchon sur un sexe, que j'ai bien senti dans ma chatte.
"- Couche-là sur toi. Après Keba, on peut l'enculer à 2"
3 bites en moi, une autre dans la bouche, une autre qui demandait à être branlée, dans ma main, les seins malaxés, caressés, pincés.
Je gémissais, je coulais comme jamais encore je crois.
De temps en temps je sentais du sperme chaud sur mes fesses, mon dos mon visage, dans ma bouche, sur mes seins....;
Je ne sais pas combien de bites j'ai sucées, combien m'ont baisée et combien m'ont enculée.
J'étais comme une zombie, recroquevillée sur le canapé quand Cheir a posé ma chemise sur moi, et est sorti en refermant la porte à clefs.
Je n'avais même plus la force de parler, ni de m'inquiéter d'être là, sans défense.
PRISONNIERE.
Plus tard j'ai entendu la clef dans la serrure. Machinalement je me suis mise en boule.
Non, pas de nouveau. Ils vont me tuer.
C'était Aya.
Elle avait un pot à la main, toujours sa dashiki qui me plaisait tant. Et une poignée de petites branches de je ne sais quel arbre, bien qu'elles aient encore leur feuilles.
Elle s'est approchée sans un mot, m'a faite m'allonger, et a commencé à me passer sa crème sur les seins, très doucement, en la faisant bien pénétrer. puis elle a fait de même sur ma fente, en entrant un peu ses doigts pour en faire mettre à l'intérieur de mon vagin.
Les caresses étaient si douces que j'ai senti ma mouille de nouveau, et mes soupirs. Je les entendais, mais je ne voulais pas prendre du plaisir sous ses doigts. Pas encore 15 ans, je me répétais. dans ma tête. Mais ses caresses duraient.
Sans que j'en aie eu vraiment conscience, une de mes mains s'est levée pour caresser un de ses petits seins qui semblaient si fermes et si doux.
Elle a repoussé ma main, m'a fait signe de me retourner, mettre mon ventre sur ses genoux.
Elle allait soulager mon petit anneau tellement dilaté et mes fesses endolories.
La brassée de feuilles m'a cinglé les fesses, puis le dos, les jambes, à nouveau les fesses.
J'essayais de me débattre, mais elle avait une main en tenaille sur ma nuque. Et une force que je n'imaginais pas. Impossible de lever la tête.
J'ai subi la punition jusqu'à ce que mes larmes qui coulaient jusqu'à ses jambes lui parussent suffisantes;
Alors toujours sans un mot; elle a recommencé à me masser, le dos, les jambes les fesses. Quand j'ai senti un de ses doigts passer délicatement, longuement la crème sur ma rondelle, puis pénétrer pour calmer le feu intérieur, j'ai à nouveau couler de plaisir. Je sais que ses cuisses ont été mouillées.
Elle m'a fait signe de m'allonger sur le dos sur canapé, les jambes écartées, et elle a recommencé à me caresser. Mais sans crème cette fois. Ses doigts fins, assez longs, que je ne pensais pas si agiles jouant entre mes lèvres, excitant l'entrée du vagin, puis effleurant le clito, le faisant gonfler doucement, puis appuyant comme pour le faire rentrer sous son capuchon, comme une tortue sa tête sous sa carapace.
J'ai joui en silence sous ses doigts. Tout mon corps était relaxé, du fait de son onguent, de ses caresses, de sa punition peut-être aussi.
J'attendais, j'espérais à en crier qu'elle utilise sa langue.
Elle s'est relevée, toujours muette, et a refermé la porte à clef en sortant.
Le lendemain, assez tôt m'a-t'il semblé la porte s'est ouverte, sur la mère de Cheir.
"- Un peu de thé et quelques gâteaux. Aya viendra plus tard avec ce qu'il faut pour votre toilette. Mama a eu un compte-rendu de votre initiation. Il se dit que vous avez été bonne. Aucun homme ne reviendra aujourd'hui. Aya laissera la porte ouverte après sa venue."
Quelques temps plus tard, Aya est entrée, avec son pot d'onguent et son branchage. Elle était accompagnée de 5 autres jeunes filles, dont 2 semblaient plus agées.
Elle m'a fait signe de me lever. Elles se sont mises a tourner autour de moi, à détailler chaque partie de mon corps, comme si elles voyaient une blanche pour la première fois. Elles parlaient entre elles, mais je ne comprenais rien.
Une première a passé sa main sur ma toison. Elle a levé sa robe. la sienne était noire, les poils presque drus, assez longs. Elle a pris ma main pour me faire toucher. Ses poils étaient incroyablement durs, presque ****ux. J'ai quand même fait glisser mes doigts tout le long de sa toison, jusqu'à atteindre sa fente.
Une autre aussi s'était enhardie et caressait mes seins.
Les branchages ont été lancés avec une telle v******e que me fesses étaient presque lacérées.
Aya a retiré ma main de la toison de la fille et j'ai reçu de nouveau coups de branchage.
Toutes les filles avaient reculé et regardaient Aya me frapper en riant, en se donnant des coups de coudes selon la force ou les grimaces que je faisais.
Quand ça s'est arrêté, Aya m'a montré le canapé. Je me suis allongée à plat ventre et 3 ou 4 paires de mains ont commencé à me masser avec l'onguent, doucement, le faisant pénétrer profondément.
Je commençais à ne plus rien sentir des brûlures du branchage. Sur indication de Aya, je me suis mise sur le dos, jambes écartées. Aya a dit quelque chose à celle qui paraissait la plus agée.
Elle s'est aussitôt approchée, a caressé ma fente, assez longuement, puis a montré aux autres ses doigts gluants de ma mouille. Ca a semblé leur plaire.
La fille a sucé ses doigts. Elle a souri et fais un grand oui de la tête. Toutes elles ont regardé Aya qui a semblé donné son accord, et toutes se sont presque jetées sur ma chatte, s'engluant les doigts et les lechant. Le manège a duré un long moment. Je coulais de plus en plus et elles semblaient ravies..
Puis Aya a dit un mot. Elles se sont immédiatement arrêtées.
Aya s'est agenouillée à coté de moi, et a commencer à me lécher. Elle semblait vouloir se saouler de mon miel. Elle me lapait comme un cheval son abreuvoir. Elle a fait un nouveau signe. en quelques secondes toutes étaient nues, sauf Aya! Une m'a plaqué sa chatte sur la bouche. Je l'ai aspirée, j'ai enfoncé ma langue dans sa fente comme une privée de sexe depuis des années. Je ne cherchais pas son plaisir, mais le mien d'étancher la soif de chatte que m'avait donné Aya.
Elle se doigtaient, se caressaient, jouaient avec mes seins, m'embrassaient, me donnaient leur chatte à gouter.
De tout ce temps, Aya, seule encore vétue, buvait toute ma mouille qui n' arrêtait pas de couler. Aucune autre n'a eu le droit de gouter ma chatte.
Ca a duré un long, très long moment de plaisir et de douceur. Je n'ai pas été la seule à jouir. Les 5 autres aussi ont eu leur dose de jouissance. Seule Aya, qui s'est contenté de me boire.
Quand elle s'est relevée, toutes se sont arrêtées et se sont rhabillées, prêtes à sortir.
Alors Aya, debout devant moi encore allongée sur le canapé, a relevé sa robe, pris ma main qu'elle a conduit à sa fente. Elle a laissé mes doigts jouer un peu, et elle m'a fait signe de gouter.
Sa mouille était forte, assez fluide, mais comme relevée au piment. elle donnait une envie de la lécher aussi longtemps qu'elle m'avait léchée.
"- Tu peux repartir quand tu veux maintenant. Luvuma (elle désignait celle qui paraissait la plus agée) te dira quand et où le prochain rendez-vous. Mama est d'accord.
- Mais tu parles le français!"
Elle a éclaté de rire, comme ses complices et est sortie en brandissant le branchage. A la porte elle s'est retournée, m'a montré les branchages en battant l'air, avec un signe de tête, comme pour dire "pour toi".
J'ai souri et de la tête, j'ai fait "Oui".
Enfin, pas maintenant.
Je voulais raconter la fin du voyage avec Josy.
Mais l'un de vous, qui se reconnaîtra m'a conduite à commencer à lui parler du dimanche 25 juillet. il y a une semaine.
C'est vrai que je n'ai répondu à aucun message avant le 28..
Il n'a même pas eu besoin de poser trop de questions.
Comme quelques autres, il sait me faire parler de situations que j'aimerais garder pour moi.
Mais c'est vrai que les dire, ça m'excite terriblement.
Je me souviens et je commence à mouiller, à me caresser, à sentir des pulsations dans mon ventre, à me caresser plus, jusqu'au moment de la pause, pour essayer de me satisfaire.
Puis de me remettre à écrire, mais un peu "équipée", d'un vibreur, d'un plug.
Parfois, souvent, avant la fin, d'un double gode.
Je finis longtemps après avoir commencé, après avoir joui, le double gode, que j'ai bien nettoyé de ma langue, posé à coté de moi.
Je ne sais pas pourquoi ce long préambule.
Une façon, peut-être de demander pardon à Josy de la délaisser pour raconter ce qu'elle même aurait pu préparer pour moi.... et qui ne me serait sans doute jamais arrivé si je ne l'avais pas connue.
Depuis quelques années, on est un groupe de copains-copines, (rien de plus) à se réunir fin juillet chez un couple d'amis, pour fêter leur départ en vacances.
Ils habitent dans le 19ème, entre les Buttes Chaumont et le parc de La Villette, au 6ème et dernier étage d'un immeuble. Ils occupent tout l'étage et ont une grande terrasse.
Moi, j'adore les marchés, et j'apprécie beaucoup celui du dimanche matin, place des Fêtes.
Quand je suis à Paris, je partage un appart dans le 11ème, avec une amie hôtesse de l'air. On ne se voit pas si souvent, mais on est amie depuis nos 10 ans.
Je parlerai sans doute d'elle un jour.
De Place des Fêtes à chez mes amis, c'est 15 mn de marche.
J'avais mis ma tenue favorite pour faire le marché: une chemise type gand-père, les premiers boutons assez ouverts pour que le sillon entre mes seins bien tenus par un soutien-gorge pas très enveloppant attire l'oeil, et assez longue pour couvrir le haut du jean, jusqu'à la naissance de l'entre-jambe.
Sous le jean, rien...si ce n'est un petit stimulateur vibrant, plaqué par le jean sur mon bouton de plaisir et commandé par mon téléphone.
Assez rapidement le peu de mon jean qui s'aperçoit au bas de la chemise est mouillé.... et petit à petit, je vois au regards des gens qui me croisent ceux qui l'ont remarqué.
J'étais devant un des étals de poissonnier, dans une file de 8 à 10 personnes. Je n'avais rien à acheter, juste pour le plaisir d'une caresse furtive, ou plus précise sur mes fesses, mes seins ou mon entre-jambe.
Là ça a été plus précis.
Une main s'est plaquée sur mon pubis, deux doigts glissés dans mon entre-jambes, l'autre main sur mon ventre et à l'oreille:
"- T'es blanche, moi black. Viens chez moi, y'a du mulet cuisiné"
Je ne me suis pas retournée. J'ai quitté la file et je l'ai laissé me guider de son bras autour de mes épaules.
Il n'a pas dit un mot, ni moi pendant les 4 ou 500 m pendant lesquels on a marché.
Je connaissais ces bâtiments vieux, laids, sales, pour être passé devant pour allé chez mes amis.
On a monté 3 étages. je n'avais toujours pas vu à quoi il ressemblait.
Au lieu d'ouvrir la porte, en restant derrière moi, il a frappé.
Une femme a ouvert, assez forte, peut-être la cinquantaine, en boubou et avec le turban traditionnel.
"- C'est pas vrai! Tu ramènes une blanche ici! Tu veux la baiser dans ma maison peut-être. Allez rentre toi."
Elle m'a attrapée par le bras et m'a quasi tirée jusque dans la salle à manger.
Là, il y avait une autre femme, elle vraiment grosse, bien plus agée qui trônait presque dans un fauteuil.
"- Mama, regarde ce que ramène ton petit fils aujourd'hui. Il dit rien mais je sais qu'il veut l'emmener dans sa chambre. Dis ce que tu décides."
J'étais debout au milieu de la salle, complètement interloquée, sans comprendre à ce qui se passait. Mais si la grand-mère le voulait, je me voyais déjà jetée au milieu de la rue, comme une malpropre.
La grand-mére a fait un signe du menton, et le type, que je n'avais toujours pas vu m'a appuyé sur le dos pour que j'avance, à 2-3 pas de l'ancienne.
Un nouveau signe de tête et c'est la mère qui s'est mise devant moi pour ouvrir complètement ma chemise et en écarter les pans. Puis elle a fait glisser les bretelles de mon soutien-gorge pour dévoiler mes seins.
"- Cheir, viens regarder ses seins"
C'est à ce moment que je l'ai vu. Plutôt pas mal. Des lèvres épaisses, une grande bouche, le crâne complètement rasé, les yeux noirs, et un très beau sourire. 1,80m au moins, un corps musclé. Vraiment le genre auquel on a tendance à dire "oui" de suite.
"- Alors, tu vois quoi? Ils sont pas très gros, droits, ils se tiennent sans soutien-gorge. Elle a quoi? 30 ans; et des seins comme ça, ça veut dire qu'elle a pas eu d'enfants. Donc c'est pas une vraie femme."
D'un geste de la main, elle a fait signe à sa fille d'ouvrir mon jean, qu'elle a fait glisser jusqu'à mes chevilles.
"- Pas de culotte, le jean mouillé. C'est une salope"
Un nouveau geste, une nouvelle petite poussée dans le dos, je me retrouvais à 50 cm de la grand-mère.
Elle a tendu le bras vers moi, et avant que je puisse réagir, elle a mis son index et son majeur, en crochet dans ma vulve.
Mais ses doigts!!!!
Ses 2 doigts en faisaient au moins 3!
"Ca rentre tout seul tellement c'est mouillé. Je pourrais en mettre un autre."
J'ai failli dire "non", mais j'ai crains de la provoquer. Visiblement personne n'était autorisé à la contredire.
Elle a replié son bras et me tirant par la chatte m'a fait avancer jusqu'au bord de son fauteuil.
"- Montre ton cul"
Je me suis tournée, elle a écarté mes fesses.
"- Tu prends aussi par là plus qu'a ton tour. c'est vraiment une salope. T'as que ça à ramener ici? Allez va chercher Aya, Dis-lui de mettre un dashiki, elle va s'assoir sur mes genoux."
Quelques minutes après ,est entré une jeune fille, très jolie, les yeux baissés, dans une robe magnifiquement colorée, du même tissu dont sont fait les boubous. Mais une robe taillée à "l'européenne", avec la fantaisie africaine. Très courte.
Une superbe vision !
Mais pourquoi appeler cette adolescente? Pour voir une blanche presque nue, dépenaillée, avec un Jean aux chevilles?
"- Aya ma fille, tu vas avoir tes 15 ans dans 10 jours. Ce sera le jour de tes fiançailles avec Cheir..Tu sais que tu dois rester vierge jusqu'à tes 16 ans et demie, jour de ton mariage . Mais à partir de tes fiançailles, tu dois pouvoir satisfaire quelques désirs de ton fiancé. Cette pute qu'il a ramené va te montrer. Toi ma fille, viens sur mes genoux pour bien voir."
Cheir s'est mis de profil devant le fauteuil de sa grand-mère, et m'a attirée devant lui.
J'étais toujours un peu éberluée par la situation, mais je comprenais ce qu'on attendait de moi et je commençais à être émoustillée.
J'ai détaché la ceinture, baissé la fermeture Eclair du pantalon, sorti le sexe de Cheir de son boxer.
Un beau sexe de black au repos. Long, assez épais.
Je l'ai fais rebondir dans le creux de ma main, pour le soupeser, Je me suis mise à genoux et j'ai approché le bout du gland de mes lèvres. Je lui ai fait quelques bisous-pigeons avec juste quelques coups de langue. Je sentais son sexe légèrement vibrer dans ma main.
Puis j'ai pris le gland entre mes lèvres, et je l'ai téter comme un bébé le seins de sa mère, en commençant à le masturber doucement.
Petit à petit j'ai aspiré plus fort, que sa bite entre en bouche. Elle était encore demie molle: et tout en le branlant plus fort, de l'autre main je caressais ses couilles. La queue a gonflé d'un coup, alors je l'ai vraiment sucée, mes lèvres glissant du haut de son gland à la base de sa tige. Elle tapait au fond de ma gorge. Il donnait des grands coups de rein pour la faire pénétrer plus loin. J'avais la bouche pleine de salive, mais je ne desserrais pas les lèvres, que sa bite baigne, qu'il baise ma bouche comme si je le suçais dans une piscine.
Quand ma bouche était trop pleine, sa queue bien au fond, j'ai ouvert la bouche en grand. Toute la salive lui est tombée sur les couilles que je malaxais pour bien l'enduire. Elles étaient devenues dures. Il allait pas tarder à m'exploser en bouche. Alors, j'ai reculé la tête, pris sa tige à pleine main, ouvert la bouche en grand, et avec un mouvement de haut en bas fait cogner son gland à tour de rôle sur mes dents.
Sa grand-mère a compris:
"-Arrete. La leçon pour Aya n'est pas finie. Cet incapable va pas se retenir"
J'ai tourné la tête vers la grand-mère. La petite Aya était sur un de ses genoux, la robe retroussée La main de la vieille lui caressant la fente.
"- Aya, ça aussi tu auras droit de le faire, mais juste là. La première fois ça fera un peu mal, mais je serai là, avec les crèmes qu'il faudra. Elle, tu vas voir ça va rentrer tout seul, sans onguent"
J'avais compris ce qu'elle attendait, alors je me suis mise à 4 pattes, les fesses bien relevées, en attendant le sexe encore raide de Cheir.
Il a été assez doux. Il pensait sans doute à sa petite fiancé, qu'il allait dévierger de l'anus dans pas longtemps.
Il était si près de me remplir la bouche de son foutre qu'à peine 2 mn après sa grand-mère est intervenue:
"- Sors de là, tu vas pas la remplir. Et Aya, elle a pas le droit de voir la semence qui lui fera ses enfants?"
Il est sorti d'un coup et m'a tout laché sur les fesses.
Aya soupirait sous les caresses de la vieille.
"- j'ai encore des choses à expliquer à Aya. Alors, la pute à la cave"
En fait de cave, c'était ce qui aurait du servir de garage à vélo. Mais de vélo point. juste un canapé à moitie défoncé, 2 tréteaux, et 2 anneaux scellés à un mur, à environ 1,50m du sol;
J'avais quitté mon jean que je tenais dans mes bras. J'avais descendu les 3 étages, plus les marches qui conduisent aux caves, quasi à poil.
Là, Cheir m'a dit:
"- tu gueules, on te baillonne, tu te débats, on t'attache aux anneaux.. Pose ton jean et quitte le reste., et va t'appuyer sur un tréteau."
"- Putain tu nous a trouvé du premier choix. on va l'éclater la pouf. Si elle aime pas les queues de Noirs elle va être servie."
Ce sont les premières mains mâles qui ont caressé et pincé mes seins, fouillé ma chatte et mon cul.
"- La salope, elle aime ça, elle mouille déjà Ho, Keba, regarde ce cul qui t'attend. honneur à toi, mais la déchire pas."
J'ai senti une chose énorme s'appuyer sur ma rondelle. C'était pas un sexe. De cette taille non. Ils voulaient me goder plutôt que me baiser.
Une poussée forte et continue m'a dilatée. J'ai serré les dents pour ne pas crier. des larmes ont coulé sur mes joues.
C'était aussi long que gros. Ca entrait doucement, régulièrement, mais sans pause.
Au bout d'un moment qui m'a paru infini, ça c'est arreté, et des petits va et vient ont commencés.
C'est à ce moment que j'ai senti des couilles frapper ma vulve. de plus en plus vite et fort.
Jamais j'aurai cru qu'un sexe humain puisse avoir cette taille.
"- Vas y Keba défonce-là. C'est pas si souvent que tu peux la rentrer toute entière". Il a commencé à la sortir, aussi doucement qu'il l'avait faite entrer. Je sentais un vide se faire en moi. Au moment ou son gland allait sortir, j'essayais de resserrer mon anneau, pour la garder. Je me suis entendue dire "non, non, pas déjà
D'un coup de rein, elle est entré jusqu'au fond.
"- Ouiiiiiiiiii, comme ça. Baise-moi, mon cul est a toi"
- OUI OUI OUI OUI.
Il n'arretait pas d'alterner des grandes enfilades, des pénétrations lentes, des coups de rein quand il était tout au fond. Je ne sais plus ce que je disais.
Je n'ai pas senti de suite la bite dans ma bouche. Il devait la prendre comme un trou parce que je ne faisais que râler et dire des mots sans suite.
Ma vie se résumait à cette formidable queue qui me pistonnait, m'écartelait du cul, me faisait jouir sans arrêt.
Il s'est retiré d'un coup, sans un mot.
J'étais brisée, sans force.
je me suis sentie portée, mise à califourchon sur un sexe, que j'ai bien senti dans ma chatte.
"- Couche-là sur toi. Après Keba, on peut l'enculer à 2"
3 bites en moi, une autre dans la bouche, une autre qui demandait à être branlée, dans ma main, les seins malaxés, caressés, pincés.
Je gémissais, je coulais comme jamais encore je crois.
De temps en temps je sentais du sperme chaud sur mes fesses, mon dos mon visage, dans ma bouche, sur mes seins....;
Je ne sais pas combien de bites j'ai sucées, combien m'ont baisée et combien m'ont enculée.
J'étais comme une zombie, recroquevillée sur le canapé quand Cheir a posé ma chemise sur moi, et est sorti en refermant la porte à clefs.
Je n'avais même plus la force de parler, ni de m'inquiéter d'être là, sans défense.
PRISONNIERE.
Plus tard j'ai entendu la clef dans la serrure. Machinalement je me suis mise en boule.
Non, pas de nouveau. Ils vont me tuer.
C'était Aya.
Elle avait un pot à la main, toujours sa dashiki qui me plaisait tant. Et une poignée de petites branches de je ne sais quel arbre, bien qu'elles aient encore leur feuilles.
Elle s'est approchée sans un mot, m'a faite m'allonger, et a commencé à me passer sa crème sur les seins, très doucement, en la faisant bien pénétrer. puis elle a fait de même sur ma fente, en entrant un peu ses doigts pour en faire mettre à l'intérieur de mon vagin.
Les caresses étaient si douces que j'ai senti ma mouille de nouveau, et mes soupirs. Je les entendais, mais je ne voulais pas prendre du plaisir sous ses doigts. Pas encore 15 ans, je me répétais. dans ma tête. Mais ses caresses duraient.
Sans que j'en aie eu vraiment conscience, une de mes mains s'est levée pour caresser un de ses petits seins qui semblaient si fermes et si doux.
Elle a repoussé ma main, m'a fait signe de me retourner, mettre mon ventre sur ses genoux.
Elle allait soulager mon petit anneau tellement dilaté et mes fesses endolories.
La brassée de feuilles m'a cinglé les fesses, puis le dos, les jambes, à nouveau les fesses.
J'essayais de me débattre, mais elle avait une main en tenaille sur ma nuque. Et une force que je n'imaginais pas. Impossible de lever la tête.
J'ai subi la punition jusqu'à ce que mes larmes qui coulaient jusqu'à ses jambes lui parussent suffisantes;
Alors toujours sans un mot; elle a recommencé à me masser, le dos, les jambes les fesses. Quand j'ai senti un de ses doigts passer délicatement, longuement la crème sur ma rondelle, puis pénétrer pour calmer le feu intérieur, j'ai à nouveau couler de plaisir. Je sais que ses cuisses ont été mouillées.
Elle m'a fait signe de m'allonger sur le dos sur canapé, les jambes écartées, et elle a recommencé à me caresser. Mais sans crème cette fois. Ses doigts fins, assez longs, que je ne pensais pas si agiles jouant entre mes lèvres, excitant l'entrée du vagin, puis effleurant le clito, le faisant gonfler doucement, puis appuyant comme pour le faire rentrer sous son capuchon, comme une tortue sa tête sous sa carapace.
J'ai joui en silence sous ses doigts. Tout mon corps était relaxé, du fait de son onguent, de ses caresses, de sa punition peut-être aussi.
J'attendais, j'espérais à en crier qu'elle utilise sa langue.
Elle s'est relevée, toujours muette, et a refermé la porte à clef en sortant.
Le lendemain, assez tôt m'a-t'il semblé la porte s'est ouverte, sur la mère de Cheir.
"- Un peu de thé et quelques gâteaux. Aya viendra plus tard avec ce qu'il faut pour votre toilette. Mama a eu un compte-rendu de votre initiation. Il se dit que vous avez été bonne. Aucun homme ne reviendra aujourd'hui. Aya laissera la porte ouverte après sa venue."
Quelques temps plus tard, Aya est entrée, avec son pot d'onguent et son branchage. Elle était accompagnée de 5 autres jeunes filles, dont 2 semblaient plus agées.
Elle m'a fait signe de me lever. Elles se sont mises a tourner autour de moi, à détailler chaque partie de mon corps, comme si elles voyaient une blanche pour la première fois. Elles parlaient entre elles, mais je ne comprenais rien.
Une première a passé sa main sur ma toison. Elle a levé sa robe. la sienne était noire, les poils presque drus, assez longs. Elle a pris ma main pour me faire toucher. Ses poils étaient incroyablement durs, presque ****ux. J'ai quand même fait glisser mes doigts tout le long de sa toison, jusqu'à atteindre sa fente.
Une autre aussi s'était enhardie et caressait mes seins.
Les branchages ont été lancés avec une telle v******e que me fesses étaient presque lacérées.
Aya a retiré ma main de la toison de la fille et j'ai reçu de nouveau coups de branchage.
Toutes les filles avaient reculé et regardaient Aya me frapper en riant, en se donnant des coups de coudes selon la force ou les grimaces que je faisais.
Quand ça s'est arrêté, Aya m'a montré le canapé. Je me suis allongée à plat ventre et 3 ou 4 paires de mains ont commencé à me masser avec l'onguent, doucement, le faisant pénétrer profondément.
Je commençais à ne plus rien sentir des brûlures du branchage. Sur indication de Aya, je me suis mise sur le dos, jambes écartées. Aya a dit quelque chose à celle qui paraissait la plus agée.
Elle s'est aussitôt approchée, a caressé ma fente, assez longuement, puis a montré aux autres ses doigts gluants de ma mouille. Ca a semblé leur plaire.
La fille a sucé ses doigts. Elle a souri et fais un grand oui de la tête. Toutes elles ont regardé Aya qui a semblé donné son accord, et toutes se sont presque jetées sur ma chatte, s'engluant les doigts et les lechant. Le manège a duré un long moment. Je coulais de plus en plus et elles semblaient ravies..
Puis Aya a dit un mot. Elles se sont immédiatement arrêtées.
Aya s'est agenouillée à coté de moi, et a commencer à me lécher. Elle semblait vouloir se saouler de mon miel. Elle me lapait comme un cheval son abreuvoir. Elle a fait un nouveau signe. en quelques secondes toutes étaient nues, sauf Aya! Une m'a plaqué sa chatte sur la bouche. Je l'ai aspirée, j'ai enfoncé ma langue dans sa fente comme une privée de sexe depuis des années. Je ne cherchais pas son plaisir, mais le mien d'étancher la soif de chatte que m'avait donné Aya.
Elle se doigtaient, se caressaient, jouaient avec mes seins, m'embrassaient, me donnaient leur chatte à gouter.
De tout ce temps, Aya, seule encore vétue, buvait toute ma mouille qui n' arrêtait pas de couler. Aucune autre n'a eu le droit de gouter ma chatte.
Ca a duré un long, très long moment de plaisir et de douceur. Je n'ai pas été la seule à jouir. Les 5 autres aussi ont eu leur dose de jouissance. Seule Aya, qui s'est contenté de me boire.
Quand elle s'est relevée, toutes se sont arrêtées et se sont rhabillées, prêtes à sortir.
Alors Aya, debout devant moi encore allongée sur le canapé, a relevé sa robe, pris ma main qu'elle a conduit à sa fente. Elle a laissé mes doigts jouer un peu, et elle m'a fait signe de gouter.
Sa mouille était forte, assez fluide, mais comme relevée au piment. elle donnait une envie de la lécher aussi longtemps qu'elle m'avait léchée.
"- Tu peux repartir quand tu veux maintenant. Luvuma (elle désignait celle qui paraissait la plus agée) te dira quand et où le prochain rendez-vous. Mama est d'accord.
- Mais tu parles le français!"
Elle a éclaté de rire, comme ses complices et est sortie en brandissant le branchage. A la porte elle s'est retournée, m'a montré les branchages en battant l'air, avec un signe de tête, comme pour dire "pour toi".
J'ai souri et de la tête, j'ai fait "Oui".
3 years ago