Trois Lesbiennes

Expérience à trois filles, Solange, Jacquie et Dany.

Après notre dernière conversation chez Jacquie, j’invite mes copines à la maison. Nous avions parlé du plaisir, de la façon de le prendre. J’avais soutenu qu’avec un bon gode, j’arrivais à jouir presque aussi bien qu’avec une bite.

Bien sûr Solange ne me croyais pas : elle retarde un peu sur les façons de se donner du plaisir, pour elle la seule méthode reste la masturbation toute simple. Avec Jacquie nous étions persuadées du contraire.

Aussi j’ai sorti mon « matériel » juste avant qu’elles viennent chez moi. J’avais laissé en vue mon gode tout bête, le premier dont je ne me servait que pour la sodomie, le Rabbit qui me servait surtout quand j’avais envie d’avoir le sexe rempli et le clitoris caressé, ainsi que les boules de geisha que je mets souvent pour aller faire des courses en ville. Solange, elle, nous avait dit se servir le plus souvent d’un gode simple.

Nous n’avions jamais eu de rapports entre nous. Nous étions libre de parler de nos orgasmes comme d’autre peuvent parler de couture ou de cuisine. Nous nous connaissions depuis le collège, nous nous sommes suivies ensuite longtemps ; bref nous étions des amies sincères. A une époque nous nous partagions même nos amants pour ensuite les comparer entre nous : un tel est nul, l’autre à une grosse queue, celui-là est un bon coup…
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A 15 heures comme prévu arrivent d’abord Jacquie que j’aime bien, malgré son caractère un peu vieillot et peu de temps après Solange. En entrant elle dépose un baiser sur ma joue, nous commençons à bavarder sur les autres comme souvent. Enfin Solange relance le sujet sur les godes. Elle a porté le sien qu’elle nous montre. C’est un objet basique dont elle se contente surtout quand son mari est là. C’est même lui qui s’en sert le mieux : quand ils font l’amour, il le lui enfonce dans le cul : elle adore jouir ainsi doublement pénétrée.

Je sens que ma culotte se mouille petit à petit. Le visage de Jacquie commence à pâlir.

Je n’ose pas demander à Solange de nous montrer en détail sa façon de jouir. A mon tour d’étaler mes jouets. Si Solange s’intéresse de près à mon attirail, Jacquie pâlit encore plus. Elle remue sur sa chaise comme si elle était pleine de fourmis. En plus elle n’ose pas prendre mes objets dans les mains, elle ne fait pas comme Solange qui prend le Rabbit, l’examine en détail : - Ca doit être bon ce machin dans la chatte !!!

- Ca me fait bien jouir quand je me branle avec lui. Je dois lui montrer ; je mime sur ma jupe comment je fais. Brusquement Jacquie nous demande de ne plus parler de ces objets : elle a mal au bas ventre.

Innocemment, Solange lui demande si elle a envie de jouir. - Bien sur je ne suis pas de bois ; - Si tu veux mets-toi nue, et caresse toi. - Vous êtes folles, je ne suis pas lesbienne.

- Nous nous plus, n’empêche que si tu me le demande je te donne ma chatte à lécher, moi aussi j’ai envie.

Je lui demande si c’est une invite parce que moi aussi je suis excitée ; - Bien sur si vous ne voulez pas, je me masturbe devant vous.
Alors je succombe à la tentation : je me lève, commence à me déshabiller suivie de Solange. Ce ne serait pas la première fois que nous serions nues devant les autres : à la piscine, sur la plage, par exemple. Toute rougissante enfin Jacquie aussi est à poil. Elle est bien faite Jacquie, sans doute la mieux du trio, avec ses seins qui tiennent en l’air et sa taille très fine

Jacquie nous surprend quand elle pose sa main sur sa chatte pour la caresser. Elle change de siège pour aller sur le divan où elle s’installe le plus confortablement possible, les jambes ouvertes, sa chatte toute mouillée. Elle commence à se masturber comme elle sait. Solange lui prête son gode, comme elle ne sait pas s’en servir, Solange le lui met en place, elle commence les va-et-vient. Jacquie prend le gode dans sa main pour continuer seule.

Je la regarde, ses traits sont détendus, elle prend son pied. Elle pose son dos contre le siège : elle est presque totalement allongée. Elle me donne envie moi aussi d’en faire autant. Quand j’écarte les jambes, Solange) me voit et en fait autant pour, finalement, quand nous commençons à nous caresser demander qu’on le fasse mutuellement. Au point où nous en sommes, pourquoi pas. Je crois bien que c’est la première chatte que je touche : elle est mouillée, comme la mienne certainement, par contre il me semble qu’elle est moins douce que moi. Ça ne m’empêche pas de trouver son clitoris. Je sens ses doigts sur le mien. Elle me branle mieux que moi.

Devant nous Jacquie se laisse aller à une série de plaintes comme si elle avait mal, alors qu’elle se fait du bien, beaucoup de bien. Je ne tiens plus, je jouis. Solange, elle, attend un peu pour s’envoyer au 7° ciel. Juste avant elle approche sa bouche de la mienne pour m’embrasser. Bien sûr, j’accepte, surtout que j’ai envie depuis longtemps de sa langue contre la mienne.
Quand Jacquie jouit elle nous demande de nous aimer à trois. Ça y est, elle est décoincée, au point de nous demander de nous mettre à trois pour jouir.

Je nous dirige vers la chambre : nous serons bien mieux sur un lit. Elles connaissent le chemin ; je les suis en regardant les deux paires de fesses qui se trémoussent devant moi. J’ai des envies de les caresser, de les sucer qui me démangent. Arrivées avec les godes, nous pouvons faire ce que nous voulons.

La plus gourmande est Jacquie qui veut être enculée. Solange, la spécialiste, la fait coucher sur le ventre, prend sa propre cyprine pour la mettre sur le petit trou de notre amie. Je vois les fesses qui s’offrent : elle écarte même ses fesses à deux mains pour se donner totalement. Je regarde avec excitation : je suis obligée de me branler devant les deux autres, pas longtemps puisque la secourable bouche de Solange, juste après avoir entré son gode dans le cul de Jacquie prend ma chatte dans sa bouche. Elle me lèche longuement jusqu’à ce que je n’en puisse plus : je jouis encore.

Je vais poser ma langue sur le dos de Jacquie. Je la lèche depuis le cou jusqu’aux fesses où se trouve le gode et la main de Solange que je lèche. Je retourne vers la tête de celle qui se fait enculer : je l’embrasse aussi sur la bouche. Sa langue répond favorablement. Elle jouit à cet instant, dommage, son baiser était des meilleurs.

Nous changeons de place, je suis couchée sur le dos, je demande à Jacquie de me mettre un gode dans le cul et à Solange de me baiser avec l’autre. : J’ai besoin d’une double. Elles se mettent à deux pour me satisfaire. Ce n’est pas que je sois privée de cette faveur, mon mari me baise en m’enculant avec le gode, mais là je suis prise dans un tourbillon de filles déboussolées. Solange, celle qui me baise vient s’assoir sur ma bouche. Je retrouve sa chatte toujours mouillée. Dès que ma langue la lèche, elle se laisse aller sur moi, ses seins contre moi, sa bouche sur mon clitoris. Prise de partout à la fois je ne fais pas un pli : je me laisse aller à la rafale d’orgasme. Je ne sais même pas si ce soir je pourrais satisfaire mon mâle.