EMOIS
PREMIERS EMOIS.
Une premiĂšre.
J'avais 12 ans, et n'ayant pas atteint la puberté, ma bite était sans poils et petite.
Mon ami avait 14 ans et avait une belle bite poilue.
Nous avons d'abord commencĂ© Ă nous faufiler dans notre jardin ou dans les bois, oĂč nous «pratiquions» le baiser français, le French Kiss, pour savoir quoi faire avec les filles.
C'Ă©tait tellement excitant !
L'embrasser rendait ma petite bite toute dure.
Je voulais l'embrasser tout le temps.
Un jour, nous nous promenions dans les bois, sans aucun plan, je l'ai attrapé et je l'ai embrassé goulument, presque violement.
Et en retour il mâa fait pareil, câĂ©tait excitant !
C'Ă©tait tellement bon de se tĂątonner et d'explorer la bouche de l'autre avec nos langues.
Jâen voulais plus de lui.
Je savais exactement quoi faire :
Une soirée pyjama.
On lui a permis de dormir chez moi et je lui ai exposé mes plans.
J'ai obtenu la permission de dormir sur le canapé-lit en bas avec lui.
Mes parents ne pensaient pas Ă mal.
Ce jour-lĂ , j'ai volĂ© des sous-vĂȘtements et des vĂȘtements de ma mĂšre et je les ai cachĂ©s dans le canapĂ©.
La nuit de la soirée pyjama, nous avons regardé la télévision, volé de l'alcool dans le placard.
Nous nous sommes un peu enivrés, il en fallait peu.
J'ai dit que je devais aller aux toilettes et attrapa les vĂȘtements en chemin.
MĂȘme si ma bite Ă©tait petite et sans poils, elle Ă©tait dure comme de la pierre.
Je mettais les sous-vĂȘtements et enfilais une nuisette par-dessus.
Tout ceci Ă©tait bien trop grand pour moi.
Il faisait noir quand je suis retourné au lit, il était immobile.
Je me suis glissé sous les couvertures et je me suis approché de lui.
Sa main glissa sur mon corps, et il eut un halĂštement audible en touchant le soutien-gorge.
Mon cĆur battait la chamade et je tremblais de maniĂšre incontrĂŽlable.
Il roula vers moi et m'embrassa, longtemps, humide et profond.
Ses mains Ă©taient partout Ă la fois, sentant ma poitrine, ma bite, mon visage.
Il a pris le dessus sur moi et a commencé à caresser ma petite bite bien dure.
J'Ă©tais au paradis.
Il sâallongea sur moi, comme un homme le fait avec une femme.
J'enroulai mes jambes autour de ses hanches et le serrai fort.
Il faisait semblant de me baiser, et mĂȘme si je n'avais que 12 ans, je voulais en moi.
Je le lui demandais.
Il me rĂ©pondit quâil nâĂ©tait pas prĂȘt pour çaâŠ
Mais par contre il voulait que je lui suce la bite !
Parfait !
J'ai glissé sous les draps et enroulé ma bouche autour de sa belle bite dure.
Il a attrapĂ© l'arriĂšre de ma tĂȘte et poussĂ© sa queue dans ma bouche.
Je lâai avalĂ© au plus profond que je pouvais.
Il a gémi
- « oui, oui, oui ».
J'ai jouĂ© avec ses couilles comme je l'avais dĂ©jĂ faitâŠ
TrĂšs vite, il a dit :
- « ArrĂȘte, je vais venir !!! ».
Mais bien sĂ»r, je ne me suis pas arrĂȘtĂ©.
J'ai continué à sucer sa magnifique bite et quand il a joui, j'ai avalé chaque goutte de ce délicieux sperme.
Il Ă©tait aux angesâŠ
Je me suis pelotonné à cÎté de lui pendant qu'il s'endormait.
JâĂ©tais heureux.
Nous avons eu lâoccasion de le refaire Ă plusieurs repriseâŠ
Dans les bois, une grange, au bord de la riviĂšreâŠ
Et bien sûr à chaque fois nous allions plus loin dans la découverte de nos corps et de nos plaisirs.
Et le jour arriva ou il accepta de prendre mon petit trou.
Ce fut un moment de bonheur de sentir cette bite sâinsinuer dans mon rectum.
De le sentir jouir au fond de mon cul.
De sentir son sperme coulé le long de mes jambes imberbes.
JâĂ©tais devenu sa petite salope.
Mais peu de temps aprÚs, son frÚre aßné eu des soupçons sur notre relation.
Il lui a expliquĂ© que nous faisions quelque chose que nous ne devrions pas faire entre garçons, que câĂ©tait contre nature.
Il a eu peur que son frĂšre le dĂ©nonce auprĂšs de ses parents et il a fini par sâĂ©loigner de moi.
J'Ă©tais triste de perdre mon premier «amour», mais Ă cet Ăąge-lĂ on sâen remet vite.
Et jâai surtout retrouvĂ© un autre camarade avec qui jouerâŠ
Une premiĂšre.
J'avais 12 ans, et n'ayant pas atteint la puberté, ma bite était sans poils et petite.
Mon ami avait 14 ans et avait une belle bite poilue.
Nous avons d'abord commencĂ© Ă nous faufiler dans notre jardin ou dans les bois, oĂč nous «pratiquions» le baiser français, le French Kiss, pour savoir quoi faire avec les filles.
C'Ă©tait tellement excitant !
L'embrasser rendait ma petite bite toute dure.
Je voulais l'embrasser tout le temps.
Un jour, nous nous promenions dans les bois, sans aucun plan, je l'ai attrapé et je l'ai embrassé goulument, presque violement.
Et en retour il mâa fait pareil, câĂ©tait excitant !
C'Ă©tait tellement bon de se tĂątonner et d'explorer la bouche de l'autre avec nos langues.
Jâen voulais plus de lui.
Je savais exactement quoi faire :
Une soirée pyjama.
On lui a permis de dormir chez moi et je lui ai exposé mes plans.
J'ai obtenu la permission de dormir sur le canapé-lit en bas avec lui.
Mes parents ne pensaient pas Ă mal.
Ce jour-lĂ , j'ai volĂ© des sous-vĂȘtements et des vĂȘtements de ma mĂšre et je les ai cachĂ©s dans le canapĂ©.
La nuit de la soirée pyjama, nous avons regardé la télévision, volé de l'alcool dans le placard.
Nous nous sommes un peu enivrés, il en fallait peu.
J'ai dit que je devais aller aux toilettes et attrapa les vĂȘtements en chemin.
MĂȘme si ma bite Ă©tait petite et sans poils, elle Ă©tait dure comme de la pierre.
Je mettais les sous-vĂȘtements et enfilais une nuisette par-dessus.
Tout ceci Ă©tait bien trop grand pour moi.
Il faisait noir quand je suis retourné au lit, il était immobile.
Je me suis glissé sous les couvertures et je me suis approché de lui.
Sa main glissa sur mon corps, et il eut un halĂštement audible en touchant le soutien-gorge.
Mon cĆur battait la chamade et je tremblais de maniĂšre incontrĂŽlable.
Il roula vers moi et m'embrassa, longtemps, humide et profond.
Ses mains Ă©taient partout Ă la fois, sentant ma poitrine, ma bite, mon visage.
Il a pris le dessus sur moi et a commencé à caresser ma petite bite bien dure.
J'Ă©tais au paradis.
Il sâallongea sur moi, comme un homme le fait avec une femme.
J'enroulai mes jambes autour de ses hanches et le serrai fort.
Il faisait semblant de me baiser, et mĂȘme si je n'avais que 12 ans, je voulais en moi.
Je le lui demandais.
Il me rĂ©pondit quâil nâĂ©tait pas prĂȘt pour çaâŠ
Mais par contre il voulait que je lui suce la bite !
Parfait !
J'ai glissé sous les draps et enroulé ma bouche autour de sa belle bite dure.
Il a attrapĂ© l'arriĂšre de ma tĂȘte et poussĂ© sa queue dans ma bouche.
Je lâai avalĂ© au plus profond que je pouvais.
Il a gémi
- « oui, oui, oui ».
J'ai jouĂ© avec ses couilles comme je l'avais dĂ©jĂ faitâŠ
TrĂšs vite, il a dit :
- « ArrĂȘte, je vais venir !!! ».
Mais bien sĂ»r, je ne me suis pas arrĂȘtĂ©.
J'ai continué à sucer sa magnifique bite et quand il a joui, j'ai avalé chaque goutte de ce délicieux sperme.
Il Ă©tait aux angesâŠ
Je me suis pelotonné à cÎté de lui pendant qu'il s'endormait.
JâĂ©tais heureux.
Nous avons eu lâoccasion de le refaire Ă plusieurs repriseâŠ
Dans les bois, une grange, au bord de la riviĂšreâŠ
Et bien sûr à chaque fois nous allions plus loin dans la découverte de nos corps et de nos plaisirs.
Et le jour arriva ou il accepta de prendre mon petit trou.
Ce fut un moment de bonheur de sentir cette bite sâinsinuer dans mon rectum.
De le sentir jouir au fond de mon cul.
De sentir son sperme coulé le long de mes jambes imberbes.
JâĂ©tais devenu sa petite salope.
Mais peu de temps aprÚs, son frÚre aßné eu des soupçons sur notre relation.
Il lui a expliquĂ© que nous faisions quelque chose que nous ne devrions pas faire entre garçons, que câĂ©tait contre nature.
Il a eu peur que son frĂšre le dĂ©nonce auprĂšs de ses parents et il a fini par sâĂ©loigner de moi.
J'Ă©tais triste de perdre mon premier «amour», mais Ă cet Ăąge-lĂ on sâen remet vite.
Et jâai surtout retrouvĂ© un autre camarade avec qui jouerâŠ
3 years ago