JOSY: AVANT DERNIERE ETAPE ( 1ière partie)
Josy m'a reveillée vers 6h30.
Normalement elle démarrait et me laissait dormir. J'ai commencé par sentir des picotements juste au bas de mon triangle intime, et ses levres douces sur mon cou, puis mes levres, juste effleurées. Je me suis un peu remuée sur la couchette, pas pour dormir plus. Juste montrer que je voulais ses caresses. Elle a du deviner la pointe de mes seins qui durcissaient car elle a pris un téton entre son pouce et son index pour le faire rouler en le pressant juste un peu, pendant que ses doigts glissaient dans mon intimité. Je desserrais un peu plus mes cuisses. Ma bouche entr'ouverte a accueilli sa langue. Je commençais à respirer plus fort.
-"t'es toujours chaude ma chérie. Je suis folle de toi. Mais là on part. Beaucoup de route aujourd'hui.
-Tu vas pas me laisser comme ça. On a bien un peu de temps. Regarde, je suis déjà mouillée.
- De toute façon, pour toi, aujourd'hui, c'est journée sans sexe
.- Quoi????? tu me réveilles en me caressant, en m'excitant, et tu me dis ça! Je te crois pas
- Et pourtant amour, pas de sexe aujourd'hui. Tu vas voir que tu peux vivre sans.... et sans t'ennuyer"
Je me suis renfrognée, calée dans un coin de la couchette, mais assise en tailleur, qu'elle voit bien ma chatte en demande. Mais elle s'est mise au volant et a démarré.
En plus il faisait un temps horrible. une pluie fine, assez drue. Il faisait sombre. Je boudais, et je voulais qu'elle le comprenne.
"- Tu sais si tu veux boire un café ou un thé, c'est maintenant. Dans 1/2 h ou sera à Bordeaux, notre premier arrêt. Elle faisait comme si de rien n'était.
je restais silencieuse.
Environ 1/4 d'h plus tard, elle arrêtait le camion au bord de la route, sur un de ces dégagements prévus pour une pause pipi ou autre. Sans presque même me regarder, elle m'a dit de prendre le trench-coat qui pendait au pied de la couchette, et que je n'avais même pas remarqué.
"-Tu le mets et tu sors
- Mais Josy, tu vas pas me jeter comme ça? Avec ce temps de chien. Et je suis nue
.- Mets-le, tu seras plus nue et descends!"
J'ai senti des larmes me monter aux yeux. Ainsi ça allait finir comme ça! et bêtement la seule chose que j'ai pu dire c'est
"- Il a même pas de capuche ton truc"
Alors Josy a quitté son siège, a pris mon visage entre ses mains, m'a regardé avec ce regard auquel je ne pouvais pas résister
"- mets-le, descend reste sous la pluie, mais ne t'éloigne pas du camion."
Puis elle m'a donné un baiser sur la bouche et je suis descendue, nue sous le trench, qui arrivait juste au dessus de mes genoux.
En 5 mn, j'avais les cheveux trempés, l'eau qui coulait dans mon cou, malgré le col relevé et mes cheveux tirés en arrière.
"- C'est bon. remonte, on repart."
J'étais dégoulinante. je me suis un peu essuyée avec une serviette, mais pas trop elle m'a dit
"- Tu es parfaite comme ça."
On arrivait à l'entrepôt. Visiblement on était un peu en avance. Aucun autre camion en vue.
"- Mets ces lunettes noires, et tu ne dis plus un mot. Ou alors des sortes de grognements incompréhensibles"
Elle s'est mise à quai, est descendue du camion et a ouvert ma porte.
"- Viens. Compris, plus un mot, et tu es moitié aveugle. Alors aucune réaction à ce que tu pourrais voir."
Elle m'a prise par le bras et guidée jusqu'à l'entrée de l'entrepôt.
"- Ben Josy, t'es matinale. On t'attendait pas avant 1/2h, 1 H. Et c'est qui avec toi; Elle a pas l'air bien.
- Tu parles d'une affaire. Je l'ai ramassée au bord de la route, trempée. Elle parle pas. Je crois qu'elle voit rien. Mais elle pue. je sais pas quand elle s'est lavée, mais c'est pas hier. C'est pour ça que je suis venue plus tôt. vous êtes sympa, vous allez peut-etre la laisser se nettoyer dans votre vestiaire.
- Ben oui, Josy, emmene-là"
Je me suis laissée conduire par Josy, accompagnée par les 4 gars de l'entrepôt.
En moi-même je me disais "c'est ça ta journée sans sexe. 4 types avant 8h du matin"
Arrivées dans les vestiaires, Josy leur a dit
"- Allez les gars dehors. Je sors aussi. Elle est assez grande pour se laver seule. Je lui montre juste où sont les affaires, vu qu'elle y voit presque rien".
Les 4 ont reculé, mais sont resté à la porte. Josy a pris le savon dans la trousse de toilette tout en me donnant ses consignes
"- Tu commences à te laver le visage, puis tu détaches le trench, sans l'ouvrir, pour te laver les aisselles, et tu l'ouvres un peu pour te laver les seins, et tu te tournes, tu le quittes et tu te laves le cul et ta chatte, tranquillement, en face d'eux qui vont pas bouger d'ici. Mais tu fais comme si tu ne voyais rien";
j'ai suivi ses instructions à la lettre. A peine j'ai entr'ouvert le trench coat pour me laver les seins que le premier a sifflé. Je me suis tournée brusquement vers eux, en refermant les 2 pans.
J'ai entendu un "ta gueule connard"
Je suis restée un moment comme ça, comme si je cherchais d'où venait le sifflement, Puis j'ai rouvert les pans, j'ai passé une main sur ma fente, puis j'ai porté mes doigts à mon nez, et fait une grimace, comme si vraiment ça sentait mauvais.
Un n' a pas resisté plus. Il a sorti son sexe et a commencé à se masturber doucement.
J'ai mouillé ma main, je l'ai bien savonnée, et j'ai commencé à savonner mon pubis, que mes poils soient couverts de mousse. puis mes doigts sont descendus le long de ma fente, très délicatement, en frottant bien partout.
Les 3 autres bites ont jaillit presqu'en même temps.
Josy faisait la gardienne
"- Bande de dégueulasses. Masturbez-vous, mais vous l'approchez pas. elle se rend compte de rien. ce serait comme un viol. Je pourrais pas laisser faire"
Alors j'ai appuyé un pied sur le lavabo, et j'ai poussé mes doigts jusqu'à ma petite rondelle.
Le premier a laché un jet a presque 10 cm. Il s'est mis à se branler frénétiquement en poussant des AHHHHHH comme un agonisant. Son sperme coulait sur sa main, sur son pantalon, jusque sur ses chaussures.
Les autres ont suivi.
Moi je me rinçait tranquillement, en leur tournant le dos, pour qu'ils matent bien mes fesses.
"-Josy, suce-moi. Je t'en supplie. T'es une lesbienne, mais sucer une bite, ça changera rien.
- si tu veux qu'on reste copains, tu te finis comme tu peux et tu vas aux putes.
- C'est toi qui vas te faire cette beauté. Tu te la reserves.
- J'ai pas le temps et je sais qu'elle en aura pas envie. Elle a été traumatisée. ca se voit. Maintenant que vous vous etes bien vidés, déchargez ma remorque. Je l'emmene chez les flics et je file à Toulouse"
ils sont partis comme un seul homme. Josy est venue
"- tu as été parfaite. j'ai du lutter pour ne pas venir te savonner moi même. T'as vu comme ils ont déchargé. Et toi ma petite salope d'exhib, tu t'es retrouvée comme dans ta cabine du sexshop.
Mais pas de sexe pour toi. Je t'avais prévenue.
- T'es la plus perverse que j'aimerais toute ma vie. Josy, il y a longtemps que j'ai pas dis ça. En tout cas jamais avec cette force et ce sentiment de plénitude.
Josy, je t'aime.
Normalement elle démarrait et me laissait dormir. J'ai commencé par sentir des picotements juste au bas de mon triangle intime, et ses levres douces sur mon cou, puis mes levres, juste effleurées. Je me suis un peu remuée sur la couchette, pas pour dormir plus. Juste montrer que je voulais ses caresses. Elle a du deviner la pointe de mes seins qui durcissaient car elle a pris un téton entre son pouce et son index pour le faire rouler en le pressant juste un peu, pendant que ses doigts glissaient dans mon intimité. Je desserrais un peu plus mes cuisses. Ma bouche entr'ouverte a accueilli sa langue. Je commençais à respirer plus fort.
-"t'es toujours chaude ma chérie. Je suis folle de toi. Mais là on part. Beaucoup de route aujourd'hui.
-Tu vas pas me laisser comme ça. On a bien un peu de temps. Regarde, je suis déjà mouillée.
- De toute façon, pour toi, aujourd'hui, c'est journée sans sexe
.- Quoi????? tu me réveilles en me caressant, en m'excitant, et tu me dis ça! Je te crois pas
- Et pourtant amour, pas de sexe aujourd'hui. Tu vas voir que tu peux vivre sans.... et sans t'ennuyer"
Je me suis renfrognée, calée dans un coin de la couchette, mais assise en tailleur, qu'elle voit bien ma chatte en demande. Mais elle s'est mise au volant et a démarré.
En plus il faisait un temps horrible. une pluie fine, assez drue. Il faisait sombre. Je boudais, et je voulais qu'elle le comprenne.
"- Tu sais si tu veux boire un café ou un thé, c'est maintenant. Dans 1/2 h ou sera à Bordeaux, notre premier arrêt. Elle faisait comme si de rien n'était.
je restais silencieuse.
Environ 1/4 d'h plus tard, elle arrêtait le camion au bord de la route, sur un de ces dégagements prévus pour une pause pipi ou autre. Sans presque même me regarder, elle m'a dit de prendre le trench-coat qui pendait au pied de la couchette, et que je n'avais même pas remarqué.
"-Tu le mets et tu sors
- Mais Josy, tu vas pas me jeter comme ça? Avec ce temps de chien. Et je suis nue
.- Mets-le, tu seras plus nue et descends!"
J'ai senti des larmes me monter aux yeux. Ainsi ça allait finir comme ça! et bêtement la seule chose que j'ai pu dire c'est
"- Il a même pas de capuche ton truc"
Alors Josy a quitté son siège, a pris mon visage entre ses mains, m'a regardé avec ce regard auquel je ne pouvais pas résister
"- mets-le, descend reste sous la pluie, mais ne t'éloigne pas du camion."
Puis elle m'a donné un baiser sur la bouche et je suis descendue, nue sous le trench, qui arrivait juste au dessus de mes genoux.
En 5 mn, j'avais les cheveux trempés, l'eau qui coulait dans mon cou, malgré le col relevé et mes cheveux tirés en arrière.
"- C'est bon. remonte, on repart."
J'étais dégoulinante. je me suis un peu essuyée avec une serviette, mais pas trop elle m'a dit
"- Tu es parfaite comme ça."
On arrivait à l'entrepôt. Visiblement on était un peu en avance. Aucun autre camion en vue.
"- Mets ces lunettes noires, et tu ne dis plus un mot. Ou alors des sortes de grognements incompréhensibles"
Elle s'est mise à quai, est descendue du camion et a ouvert ma porte.
"- Viens. Compris, plus un mot, et tu es moitié aveugle. Alors aucune réaction à ce que tu pourrais voir."
Elle m'a prise par le bras et guidée jusqu'à l'entrée de l'entrepôt.
"- Ben Josy, t'es matinale. On t'attendait pas avant 1/2h, 1 H. Et c'est qui avec toi; Elle a pas l'air bien.
- Tu parles d'une affaire. Je l'ai ramassée au bord de la route, trempée. Elle parle pas. Je crois qu'elle voit rien. Mais elle pue. je sais pas quand elle s'est lavée, mais c'est pas hier. C'est pour ça que je suis venue plus tôt. vous êtes sympa, vous allez peut-etre la laisser se nettoyer dans votre vestiaire.
- Ben oui, Josy, emmene-là"
Je me suis laissée conduire par Josy, accompagnée par les 4 gars de l'entrepôt.
En moi-même je me disais "c'est ça ta journée sans sexe. 4 types avant 8h du matin"
Arrivées dans les vestiaires, Josy leur a dit
"- Allez les gars dehors. Je sors aussi. Elle est assez grande pour se laver seule. Je lui montre juste où sont les affaires, vu qu'elle y voit presque rien".
Les 4 ont reculé, mais sont resté à la porte. Josy a pris le savon dans la trousse de toilette tout en me donnant ses consignes
"- Tu commences à te laver le visage, puis tu détaches le trench, sans l'ouvrir, pour te laver les aisselles, et tu l'ouvres un peu pour te laver les seins, et tu te tournes, tu le quittes et tu te laves le cul et ta chatte, tranquillement, en face d'eux qui vont pas bouger d'ici. Mais tu fais comme si tu ne voyais rien";
j'ai suivi ses instructions à la lettre. A peine j'ai entr'ouvert le trench coat pour me laver les seins que le premier a sifflé. Je me suis tournée brusquement vers eux, en refermant les 2 pans.
J'ai entendu un "ta gueule connard"
Je suis restée un moment comme ça, comme si je cherchais d'où venait le sifflement, Puis j'ai rouvert les pans, j'ai passé une main sur ma fente, puis j'ai porté mes doigts à mon nez, et fait une grimace, comme si vraiment ça sentait mauvais.
Un n' a pas resisté plus. Il a sorti son sexe et a commencé à se masturber doucement.
J'ai mouillé ma main, je l'ai bien savonnée, et j'ai commencé à savonner mon pubis, que mes poils soient couverts de mousse. puis mes doigts sont descendus le long de ma fente, très délicatement, en frottant bien partout.
Les 3 autres bites ont jaillit presqu'en même temps.
Josy faisait la gardienne
"- Bande de dégueulasses. Masturbez-vous, mais vous l'approchez pas. elle se rend compte de rien. ce serait comme un viol. Je pourrais pas laisser faire"
Alors j'ai appuyé un pied sur le lavabo, et j'ai poussé mes doigts jusqu'à ma petite rondelle.
Le premier a laché un jet a presque 10 cm. Il s'est mis à se branler frénétiquement en poussant des AHHHHHH comme un agonisant. Son sperme coulait sur sa main, sur son pantalon, jusque sur ses chaussures.
Les autres ont suivi.
Moi je me rinçait tranquillement, en leur tournant le dos, pour qu'ils matent bien mes fesses.
"-Josy, suce-moi. Je t'en supplie. T'es une lesbienne, mais sucer une bite, ça changera rien.
- si tu veux qu'on reste copains, tu te finis comme tu peux et tu vas aux putes.
- C'est toi qui vas te faire cette beauté. Tu te la reserves.
- J'ai pas le temps et je sais qu'elle en aura pas envie. Elle a été traumatisée. ca se voit. Maintenant que vous vous etes bien vidés, déchargez ma remorque. Je l'emmene chez les flics et je file à Toulouse"
ils sont partis comme un seul homme. Josy est venue
"- tu as été parfaite. j'ai du lutter pour ne pas venir te savonner moi même. T'as vu comme ils ont déchargé. Et toi ma petite salope d'exhib, tu t'es retrouvée comme dans ta cabine du sexshop.
Mais pas de sexe pour toi. Je t'avais prévenue.
- T'es la plus perverse que j'aimerais toute ma vie. Josy, il y a longtemps que j'ai pas dis ça. En tout cas jamais avec cette force et ce sentiment de plénitude.
Josy, je t'aime.
3 years ago