CANICULE.
Jour de canicule.
Baise sur lâaire d'autorouteâŠ
En rentrant de Paris vers la Haute Savoie, je m'arrĂȘte sur mon aire d'Autoroute prĂ©fĂ©rĂ©e Ă la tombĂ©e de la nuit
Jâenfile une jupe courte, des bas noir, un petit haut et bien sĂ»r, pas de culotte.
Un collier de perles blanches, ma perruque rousse et un sac Ă main rouge (ou je range gel, capote, et clef de voiture) complĂšte ma tenue de pute.
Jâattends dans la pĂ©nombre derriĂšre les buissons
Un type arrive derriÚre moi et frotte sa bite déjà sortie, contre mon cul.
Je laisse faire.
Elle commence Ă durcir.
Je me retourne et me penche pour le sucer.
lĂ , je sens l'odeur de la transpiration et dâurine de la journĂ©e.
Mais rien ne mâarrĂȘte.
Je commence Ă le sucer, elle durci.
Jâaime ça.
Jâai l'odeur de sa bite qui me rentre dans le nez.
je continue Ă le sucer.
On entend une voiture qui se gare.
- « Continu salope, on sans fout !!! »
Dâun coup, je sens ma jupe se lever et un doigt qui me rentre dans le cul.
Un autre type Ă©tait lĂ .
Je ne lâavais pas entendu arriverâŠ
Deux bitesâŠ.
Le reve !
Je sens que le deuxiÚme type essaie de me pénétrer.
Il a lâair dâavoir une grosse bite.
je me penche plus en avant.
Je sens sa bite juste à l'entrée de mon rectum.
Ses mains sâagrippent Ă mes hanches.
Il pousse un grand coup sec et me pénÚtre avec vigueur.
- « Que câest bon. »
Dit-il.
Je lui répond :
- « vas-y, baise-moi, continu et laisse-toi aller jâai lâhabitude, mon cul est rodĂ© ! »
Pendant que lâun mâencule, je continue Ă sucer l'autre type.
Il pousse un rĂąle et pousse sa bite Ă fond dans ma bouche en jouissant.
j'avale tout.
Faut rien perdre.
Sa bite reste bien dure, il ne débande pas !
Jâaime ça, il devrait de nouveau jouir
Le deuxiĂšme type mâencule toujours.
Il pousse Ă son tour un grognementâŠ
Me pĂ©nĂštre Ă fond et sâarrĂȘte.
Il vient de jouir dans mon cul de salope.
Il ne ressort pas tout de suite.
Je veux tout garder en moi.
Je serre les fesses et fini quand mĂȘme Ă se retirer doucement.
Je le suce pour bien le vider.
Le premier type qui bande toujours, prend sa place.
Je suis bien dilaté, ça entre tout seul.
Il me pénÚtre à fond, comme j'aime.
AprĂšs de longues minutes, il finit par jouirâŠ
Jâai le cul en feu !
D'autres camions se sont garĂ©s pour la nuitâŠ
Je reste, il nâest que 23 heures !
Je nâattends pas longtemps pour que dâautres gars prennent la place.
Je me suis fait baiser jusqu'Ă 2 heures du matin !!!
Quatre sodomies et six fellations plus tard, je reprends la route.
Mon cul ne va pas se refermer tout de suite.
Jâai un bon gout de sperme dans la bouche.
Ce fut une bonne nuit, trĂšs torride !!
Baise sur lâaire d'autorouteâŠ
En rentrant de Paris vers la Haute Savoie, je m'arrĂȘte sur mon aire d'Autoroute prĂ©fĂ©rĂ©e Ă la tombĂ©e de la nuit
Jâenfile une jupe courte, des bas noir, un petit haut et bien sĂ»r, pas de culotte.
Un collier de perles blanches, ma perruque rousse et un sac Ă main rouge (ou je range gel, capote, et clef de voiture) complĂšte ma tenue de pute.
Jâattends dans la pĂ©nombre derriĂšre les buissons
Un type arrive derriÚre moi et frotte sa bite déjà sortie, contre mon cul.
Je laisse faire.
Elle commence Ă durcir.
Je me retourne et me penche pour le sucer.
lĂ , je sens l'odeur de la transpiration et dâurine de la journĂ©e.
Mais rien ne mâarrĂȘte.
Je commence Ă le sucer, elle durci.
Jâaime ça.
Jâai l'odeur de sa bite qui me rentre dans le nez.
je continue Ă le sucer.
On entend une voiture qui se gare.
- « Continu salope, on sans fout !!! »
Dâun coup, je sens ma jupe se lever et un doigt qui me rentre dans le cul.
Un autre type Ă©tait lĂ .
Je ne lâavais pas entendu arriverâŠ
Deux bitesâŠ.
Le reve !
Je sens que le deuxiÚme type essaie de me pénétrer.
Il a lâair dâavoir une grosse bite.
je me penche plus en avant.
Je sens sa bite juste à l'entrée de mon rectum.
Ses mains sâagrippent Ă mes hanches.
Il pousse un grand coup sec et me pénÚtre avec vigueur.
- « Que câest bon. »
Dit-il.
Je lui répond :
- « vas-y, baise-moi, continu et laisse-toi aller jâai lâhabitude, mon cul est rodĂ© ! »
Pendant que lâun mâencule, je continue Ă sucer l'autre type.
Il pousse un rĂąle et pousse sa bite Ă fond dans ma bouche en jouissant.
j'avale tout.
Faut rien perdre.
Sa bite reste bien dure, il ne débande pas !
Jâaime ça, il devrait de nouveau jouir
Le deuxiĂšme type mâencule toujours.
Il pousse Ă son tour un grognementâŠ
Me pĂ©nĂštre Ă fond et sâarrĂȘte.
Il vient de jouir dans mon cul de salope.
Il ne ressort pas tout de suite.
Je veux tout garder en moi.
Je serre les fesses et fini quand mĂȘme Ă se retirer doucement.
Je le suce pour bien le vider.
Le premier type qui bande toujours, prend sa place.
Je suis bien dilaté, ça entre tout seul.
Il me pénÚtre à fond, comme j'aime.
AprĂšs de longues minutes, il finit par jouirâŠ
Jâai le cul en feu !
D'autres camions se sont garĂ©s pour la nuitâŠ
Je reste, il nâest que 23 heures !
Je nâattends pas longtemps pour que dâautres gars prennent la place.
Je me suis fait baiser jusqu'Ă 2 heures du matin !!!
Quatre sodomies et six fellations plus tard, je reprends la route.
Mon cul ne va pas se refermer tout de suite.
Jâai un bon gout de sperme dans la bouche.
Ce fut une bonne nuit, trĂšs torride !!
3 years ago