ENVIE.
TOUJOURS ENVIE.
Je ne sais pas pourquoi, mais avec le printemps revenu, les 1Ăšre chaleurâŠ
Jâai toujours envie...
Le fait de me promener dehors en short, polo, et Ă©videmment comme dâhabitude, sans sous-vĂȘtement.
Jâai toujours envie...
Et c'est encore le cas aujourdâhui en faisant mes courses et en traĂźnant dans les allĂ©es du magasin.
Jâai encore envie...
Et ce qui devait arriver, arriva !
Je me masse les couilles, discrĂštement, dans un coin du supermarchĂ©, dans le fond, prĂȘt des cabines dâessayages, lĂ ou pas grand monde ne circule.
Je passe mes doigts dans les poches de mon short, que jâai prĂ©alablement dĂ©coupĂ©es et, allez savoir pourquoi, je bande.
Jâessaie tant bien que mal de cacher cette Ă©rection, mais rien n'y fait.
- « Pas évident, cela m'arrive aussi !! Mais laisser faire, votre queue va bien retrouver son état normal !!
Me dit une voie dâhomme derriĂšre moi.
- « Ou alors, je peux lui donner un coup de main !!!!
Je lui réponds sans hésitation :
- « effectivement un coup de main serait nécessaire !!! ou un coup de langue !!!
Mais pourquoi je lui dis ça, merde et merde.
Mais cela fait trop longtemps que j'attends un moment comme celui-ci.
L'homme sâapproche, se mets face Ă moi, et en me pousse encore plus loin dans un coin.
Une de ses mains rentre dans mon short et me touche la queue.
- « Regarde si personne ne vient !! »
Me dit-il !!!!
Ok !! tu parles que je regarde.
Mais pour plus de sĂ©curitĂ©, on se dirige discrĂštement vers les cabines dâessayages.
A peine rentré dans la cabine.
On n'a pas trop le temps de réfléchir.
L'homme se mets Ă me branler Ă travers mon short.
Puis dâun mouvement il le baisse et de nouveau me branle et de plus en plus vite.
Sentant ma bite gonflĂ©e Ă mort, prĂȘte Ă Ă©jaculer, celui-ci se mets Ă genoux, et prends tout mon jus entiĂšrement dans sa bouche.
Il se relĂšve.
Jâessuie et range ma bite dans mon short.
De lĂ une femme passe et nous regarde Ă©tonnĂ© par lâembrasure du rideau qui nâĂ©tait pas fermĂ© totalement.
On se retourne face Ă la glace, en faisant semblant de regarder nos affaires.
- « Ouf !! il était temps ! »
Lui dis-je !!!
Lâhomme me dit !!
- « Regarde ta queue, elle est revenue à son état normal. »
- « Au fait je m'appelle Steph ! »
- « Moi c'est Michel. »
Me dit-il.
AprÚs ces banalités, nous nous échangeons nos numéros de téléphone.
Avec l'envie cette fois d'ĂȘtre chez lui ou chez moi pour continuer ce hors dâĆuvre.
Vivement la suiteâŠ
Je ne sais pas pourquoi, mais avec le printemps revenu, les 1Ăšre chaleurâŠ
Jâai toujours envie...
Le fait de me promener dehors en short, polo, et Ă©videmment comme dâhabitude, sans sous-vĂȘtement.
Jâai toujours envie...
Et c'est encore le cas aujourdâhui en faisant mes courses et en traĂźnant dans les allĂ©es du magasin.
Jâai encore envie...
Et ce qui devait arriver, arriva !
Je me masse les couilles, discrĂštement, dans un coin du supermarchĂ©, dans le fond, prĂȘt des cabines dâessayages, lĂ ou pas grand monde ne circule.
Je passe mes doigts dans les poches de mon short, que jâai prĂ©alablement dĂ©coupĂ©es et, allez savoir pourquoi, je bande.
Jâessaie tant bien que mal de cacher cette Ă©rection, mais rien n'y fait.
- « Pas évident, cela m'arrive aussi !! Mais laisser faire, votre queue va bien retrouver son état normal !!
Me dit une voie dâhomme derriĂšre moi.
- « Ou alors, je peux lui donner un coup de main !!!!
Je lui réponds sans hésitation :
- « effectivement un coup de main serait nécessaire !!! ou un coup de langue !!!
Mais pourquoi je lui dis ça, merde et merde.
Mais cela fait trop longtemps que j'attends un moment comme celui-ci.
L'homme sâapproche, se mets face Ă moi, et en me pousse encore plus loin dans un coin.
Une de ses mains rentre dans mon short et me touche la queue.
- « Regarde si personne ne vient !! »
Me dit-il !!!!
Ok !! tu parles que je regarde.
Mais pour plus de sĂ©curitĂ©, on se dirige discrĂštement vers les cabines dâessayages.
A peine rentré dans la cabine.
On n'a pas trop le temps de réfléchir.
L'homme se mets Ă me branler Ă travers mon short.
Puis dâun mouvement il le baisse et de nouveau me branle et de plus en plus vite.
Sentant ma bite gonflĂ©e Ă mort, prĂȘte Ă Ă©jaculer, celui-ci se mets Ă genoux, et prends tout mon jus entiĂšrement dans sa bouche.
Il se relĂšve.
Jâessuie et range ma bite dans mon short.
De lĂ une femme passe et nous regarde Ă©tonnĂ© par lâembrasure du rideau qui nâĂ©tait pas fermĂ© totalement.
On se retourne face Ă la glace, en faisant semblant de regarder nos affaires.
- « Ouf !! il était temps ! »
Lui dis-je !!!
Lâhomme me dit !!
- « Regarde ta queue, elle est revenue à son état normal. »
- « Au fait je m'appelle Steph ! »
- « Moi c'est Michel. »
Me dit-il.
AprÚs ces banalités, nous nous échangeons nos numéros de téléphone.
Avec l'envie cette fois d'ĂȘtre chez lui ou chez moi pour continuer ce hors dâĆuvre.
Vivement la suiteâŠ
3 years ago