ÂGÉ

AVEC UN HOMME PLUS ÂGÉ.

Le temps passe et passe vite...
Une expérience vécue il y a quelques années que j'ai envie de relater.
J'avais une quarantaine d’année.
Attiré depuis toujours par les hommes plus âgés que moi, ayant déjà à cette époque eu quelques expériences entre hommes, je regardais sur un chat vieillissant mais existant depuis bien longtemps, si un homme mature s'y trouvait.

C'est assez difficile à trouver :
60 ans et plus, sans limite d’âge, actif et sympa si possible...

Comme d'habitude, personne ne correspond au profil, j'abandonne, et retourne voir une heure plus tard.
Un contact est établi avec un homme de 68 ans, pas très bavard, mais il doit partir…
À ma demande, il me donne son mail, et coupe.
Je lui envoie un mail dans la foulée pour conserver une trace, en n'y croyant pas.

Quinze jours plus tard, je trouve une réponse.
Toujours pas bavard, il vit seul, pas bien loin, très discret et actif.
Il semble ennuyé par son âge.
Il me dira plus tard qu'à la soixantaine, trouver un partenaire, c’est dur...
Je lui demande une photo.
Il m'envoie une photo banale.
Un homme dans la soixantaine avec des lunettes.

Encore quelques semaines passent, je lui dis que son profil me plaît.
Là, réponse dans la minute.
Il confirme son profil, m'explique que je peux lui téléphoner.
Je stresse…
Ça devient réel.
Je me motive en me disant que ce profil est difficile à trouver.
Je suis certain de ne pas être dérangé pour quelques heures, finalement je l’appelle.

Une voix âgée, sympa me répond.
Je suis plus en confiance.
Je lui explique que son profil me conviendrait, et un jour, peut-être, on ne sait jamais, bref, je recule…
De nouveau, il se détaille : son âge, ses poils sont blancs, circoncis…
Il s’appelle Denis
Il me fait envie.
Là se produit l'événement :
- « Ta voix me plaît, tu me fais de l'effet, tu me troubles. »
Me dit-il.
Gloups, je suis à mon tour troublé.
Je lui demande bêtement s’il bande, et il me répond :
- « Oui, je l'ai en main, j'enlève mon pantalon, elle est toute grosse. »
Je ne savais plus que dire derrière mon téléphone, hésitais à couper, mais d’un seul coup je lui dis :
- « Denis, tu devrais avoir honte, à ton âge !!! »
Et je me suis entendu lui demander irréellement :
- « Tu veux que je vienne ? »
- « Oui ! »
Me répond-il et me donne son adresse...

Petite toilette intime, un jeans pas mal, et je suis devant son immeuble trente minutes plus tard…
Je sonne.
Je resonne…
Personne !
Je l’appelle, son téléphone ne répond pas !
J'abandonne stresser, soulagé mais avec beaucoup de regrets...

Trente minutes plus tard, me remettant de l'émotion, un SMS :
"dis-moi quand tu seras-là"
Coup de fil immédiat, il m'explique que son téléphone est "aussi vieux que moi", et "que je n'ai qu'à revenir, il m'attendra en bas".

Stress à fond de nouveau, j'y retourne, il est là.
Un homme âgé.
Fait touchant, ne sachant comment s'habiller, il est vêtu de ce qui semble être ses vêtements du dimanche, un peu démodés.
Un pantalon velours, une chemise blanche, une cravate et un gilet sans manches.

- « Suis-moi. »
Me demande-t-il gentiment, et on se dirige vers l’ascenseur.
La porte se ferme, nous sommes seuls dans cette cabine.
Je m'en rends compte, en tête à tête, ne sais quelle attitude adopter, sans plus réfléchir d'avantage, nos bouches se rapprochent et on s'embrasse durant le défilement des étages.

Son appartement, la porte qui se ferme, nous nous déshabillons mutuellement, nous embrassons à nouveau.
Il me dit qu'il adore embrasser, que je réponds bien à ses baiser.
Je suis en confiance.
Nous sommes nus, un homme âgé, ses poils sont blancs comme ses cheveux, son sexe bande bien pour son âge, sa peau est pale, ridée par endroits…
J'adore, il me plaît.

Il m'embrasse, je me serre dans ses bras.
Il me pelote les fesses.
Son pénis est dans ma main, il me dit :
- « J’ai envie de toi, tu me plais beaucoup. »
Il explore mon anus avec son majeur, tout va très vite.
Je lui réponds dans un songe le désirer et lui demande de me prendre.

Son lit, tout devient confus, son sexe dans ma bouche, il me suce, je gobe ses couilles, il gémit.
Je suis sous tension nerveuse et de bonheur.
Enivré par l'odeur intime, ma langue sur son gland, je le fais gémir.
Il avait préparé le gel et quelques capotes.
Je me positionne les genoux au bord du matelas, écarte les genoux, me penche.
Je m'offre à lui sans honte.
Mes fesses probablement ouvertes, mon anus offert, ne sachant pas trop ce qu'il voit, j'ai envie de lui !
Son doigt me lubrifie.
Puis deux doigts élargissent doucement mon anus, encore du lubrifiant, le contact du gel est froid, ses doigts l'étalent tendrement à l'intérieur.

Son gland pousse doucement contre mon anus.
Il est très excité, s'enfonce lentement, une petite douleur, il attend, puis avance de nouveau, il en moi, et gémit.
Je ressent la forte pression, suis haletant, essaie de me détendre, ses mouvements doux, ses mains sur moi, son sexe est, il me semble entré totalement en moi !
Il me prendra plusieurs minutes, la notion du temps ne m’était plus très réelle.
Ses mouvements sont rapides, ou bien lents, il va jusqu’à sortir pour revenir lentement et enfoncer son pénis entièrement.
À ce moment, je peux en passant la main entre mes jambes caresser ses couilles.
Il reste sous cette caresse entièrement en mon anus et donne des petits coups .
Ses soupirs devenant parfois gémissements sont un délice..

La réalité revient, rester à genoux longtemps, bien écartés en plus, devient une position douloureuse, un moment donné, je bascule et m’assied.
Il comprends, me prends dans ses bras, m’embrasse tendrement, la tournure change lentement.
Je lui rend son baiser, il me plaît, je le désire…
Lui aussi, semble-t-il.
Il me caresse les seins, j’ai ses couilles dans ma main, mon doigt s’aventure entre ses fesses.
Je suce sa langue introduite dans ma bouche, c’est délicieux, interdit.

Il se relève, prépare le lit, empile 2 oreillers, s’allonge le buste relevé, et me dit :
- « je veux te voir pendant que nous faisons l’amour. »
Il demande de venir sur lui, m’asseoir sur son pénis..
Je le fais lentement, positionne mon petit orifice sur son gland et descend lentement.
C’est de nouveau un peu douloureux, mais dilaté toutefois, et il est de suite entièrement en moi.
Sa position couché-relevé me permet en me penchant, de l’embrasser en ayant son sexe en moi.
Ses mouvements va-et-vient reprennent, guidés par l’intensité de nos baisers.
Il me dit des choses banales, sur son sexe en moi, qui deviennent inouïes en ces circonstances.
Je lui avoue qu’il me plait, que je me sens bien, nu dans ses bras.

Nous baisons depuis un bon moment, il doit commencer à venir d’après ce qu’il dit, il devient cochon.
-« Je viens, branle toi, on jouis en même temps. »
Je n’avais jamais essayé, à ma surprise, je jouis en trois tirades, et lui jouis dans la capote, entièrement dans mon cul !

Nous restons encore un moment à nous embrasser, mon sperme sur son ventre se fait sentir.
Nous nous asseyons, il m’enlace, je me laisse aller. Il me plait toujours !
Il m’expliquera qu’à son âge, il est difficile de trouver un partenaire.
L’homme de sa vie est décédé depuis plusieurs années, et n’a semble-t-il jamais été remplacé.
Il a toujours espoir, mais à son âge…
Il me dit que je lui plais aussi.
Je l’embrasse.
Il restera discret, je ne dois pas m’inquiéter, il aimerait une liaison avec moi.
Je ne suis pas contre, et le lui dit.
C’est troublant de l’écouter, tout nu, de voir son sexe coquin qui vient de me prendre, et de parler d’autre chose.

L’heure est venue pour moi de partir.
Il me dit qu’il doit aller dans un magasin, me demande si je préfère partir le premier, et qu’il partira plus tard.
Je lui propose de le conduire en voiture, et que je trouve que nous pouvons sortir ensemble en rue après ce qu’il vient de se passer entre nous.

Il est surpris, touché, moi aussi.
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre, et il me dit « merci ».
Nous sortons, un dernier truc se produit.
Un homme se trouve sur le trottoir.
Il nous dévisage avec une intensité qui me laisse penser que ça se voit qu’il s’est passé quelque chose entre mon compagnon et moi…