DOGGING.
SEANCE de DOGGING pour ma FEMME.
Séance Dogging pour ma BBW sur une aire de repos
L'histoire se déroule alors que nous nous étions accordé une semaine de vacances, mon épouse et moi, du côté de la région Bourgogne.
Il est tard, nous sommes sur l'autoroute, nous rentrons d'une journée passée à Beaune.
La température est encore très agréable malgré l'heure tardive.
Ma femme est habillée pour la circonstance, mini robe noire qui fait bien ressortir ses bonnes cuisses bien grasses ainsi que son énorme cul.
Pour rappel Françoise est ce qu’on appelle une femme gironde, autrement dit une «grosse».
Du haut de son mètre soixante-huit, elle arbore un peu honteusement ses 95 kgs, Essentiellement réparti sur son ventre, ses cuisses et son gros cul de madone.
Nous roulons donc pour rejoindre notre location.
Mais la vue des gros jambonneaux de ma femme commence sérieusement à m'échauffer les sens.
Je pose donc ma main sur la cuisse de Françoise, qui ne marque aucune réaction.
Je remonte donc doucement vers sa culotte et lorsque j'atteins celle-ci, je l’écarte et je commence à titiller son petit bouton.
Elle tente de resserrer instinctivement les cuisses, mais je l'en empêche d'une poigne assez ferme, pour que cela ne souffre d'aucune contestation.
Elle sait très bien qu'il n'est pas question de résister quand je prends les choses en main.
Je reprends donc mes caresses en passant plus de doigts sous la fine culotte.
Françoise ne tarde pas à devenir très réceptive à mes attouchements.
Tout en continuant de rouler je lui enfonce 2 doigts dans la chatte et les agitent de plus en plus rapidement pour la faire monter en température.
Merci les boites automatiques.
J'aperçois alors un panneau indiquant une aire de repos à 2 km, je ralentis donc et, 2 minutes plus tard je m'engage sur la bretelle de l'aire en question.
Deux voitures et un poids lourd sont stationnés.
Je me gare un peu à l'écart.
Je remarque une ombre près de la table de pique-nique ou je me stationne.
Les doigts toujours profondément plantés dans la chatte de plus en plus baveuse de ma cochonne d'épouse.
Je lui demande d'ôter les fines bretelles de sa robe afin de mater ses mamelles (115B).
Ma femme est grosse, mais n’a pas de très gros seins.
Je me penche et lui prend alors le mamelon entre les dents, elle adore ça.
Je commence à le mordiller tout en augmentant la vitesse de mes doigts fourrageant sa chatte désormais méchamment élargie et totalement trempée.
Françoise râle de plus en plus, lorsque je perçois de nouveau un mouvement à côté de la table de pique-nique.
Un vieux fantasme me revient alors à l'esprit :
Celui de la voir soumise à une séance de dogging avec des inconnus, et l'occasion semble trop belle pour passer à côté.
Je me redresse donc sur mon siège tout en attrapant la nuque de ma grosse.
D'une main je défais les boutons de mon bermuda pour faire jaillir ma queue, et lui fourre aussitôt dans la bouche.
Surprise elle hoquète avant d'entreprendre une pipe comme elle sait si bien les faire
Moi : - « Vas-y suce moi bien ma grosse salope, tu l'aimes la bite de ton mari hein...?? »
Françoise : - « Oui, j'aime surtout quand t'es excité et que tu prends ce côté dominateur et sauvage ! »
M : - « Alors ferme la et suce moi bien sale chienne, je vais te remplir la bouche de jus grosse salope...t'es une bonne petite femme bien docile qui suce quand on lui dit, pas vrai ?? »
F : - « humpppff..ui...humpfff «
M : -« parle pas la bouche pleine !!! »
Tout en maintenant fermement la tête de ma femme sur ma bite, je regarde de nouveau dehors pour tenter d'apercevoir ce qui m'a semblé être un voyeur.
Bingo !!!
Une silhouette plutôt athlétique se tient adosser à la table et branle une belle queue en nous matant.
M : - « J'ai envie de te voir sucer une autre queue que la mienne grosse pute...t'entends ? »
Surprise de mes propos, elle tente de se relever, mais je l'en empêche et d'un coup de rein je lui renfonce profondément ma bite dans la bouche.
M : - « Ça fait longtemps que j'ai envie de voir ça, et c'est l'occasion rêver ma chérie. Juste à côté de nous il y a un type qui se branle en te regardant me sucer comme une bonne pute que tu es, et j'ai très envie de te voir le rejoindre pour lui faire la même chose, t'as compris ? »
Je relâche mon étreinte pour lui permettre de répondre.
F : - « Ça ne va pas, j'ai la trouille ! »
M : - « Tu veux qu'il t'arrive quoi a part sucer une bonne grosse bite comme tu les aimes ? »
La sentant hésitante et un peu apeuré, je ne lui pas le temps de réfléchir.
Je sors de la voiture, en fais le tour pour ouvrir sa portière.
J'att**** ma femme par le bras et la tire hors du véhicule sans trop de ménagement.
Ses yeux s’humidifient.
M : - « A poil sale pute, dépêche-toi !! »
Sans trop sourciller, ce qui est surprenant, Françoise retire sa robe ainsi que sa culotte et son soutien-gorge, pour se retrouver en talon et exhiber son corps laiteux.
Le tout, devant le regard médusé de l'individu qui a assisté à toute la scène.
Le regard de ma salope toujours embué, je lui fourre 3 doigts dans la chatte et lui glisse a l'oreille
M : -« Maintenant tu vas aller jusqu'à la table et tu vas sucer la grosse bite du Monsieur, c'est compris ?
Tel un automate, Françoise se dirige vers l'inconnu qui la saisit par les cheveux pour la mettre à genoux devant son énorme chibre ou perle déjà quelques gouttes de liquide séminal.
Sans dire un mot, il lui enfonce la totalité de son membre dans la bouche, en la maintenant bien par les cheveux, et commence un ramonage en règle de son œsophage.
M'étant rapproché du «couple», je recommence à fouiller la chatte de ma grosse tout en la regardant déguster de plus en plus voracement la grosse queue de notre inconnu.
Elle y met tellement de cœur a l'enfoncer au plus profond de sa gorge que des filets de bave la relie au membre dressé.
M : -« Vas-y ma grosse pute, suce le bien...t'es un bon sac à jus !!! »
Je remonte mes doigts jusqu'à effleurer son petit trou, que je perfore d'un coup sec de l'index.
Surprise, elle en lâche la bite qu’elle a dans la bouche mais reprend rapidement sa succion.
Et moi, je lui rajoute deux doigts de plus dans son gros cul
Après quelques minutes, elle reprend son souffle et j'en profite alors pour la redresser et la coucher, plié en deux sur la table de pique-nique
Je me place sur le côté pour att****r ses fesses gélatineuses dans chaque main pour bien écarter son petit trou avant de m'adresser à notre étalon d'un soir
M : - « Vas-y encule la et démonte-lui son gros cul à cette pétasse, elle adore ça se faire éclater la rondelle. »
Il s’approche d'elle, en enfilant une capote, crache sur son anus et lui plante d'un coup sec son gros calibre dans le fondement.
F : - « HAAAAAAARGGGGGG !! ça fait mal putain !!!
Inconnu : - « Ta gueule grosse pute !! Ton cocu veut que j'te perfore le petit trou, alors déguste sale pute. Ton gros cul est juste parfait pour ça !!! »
Je n'ai pas remarqué tout de suite, mais les feulements de ma femme et les insultes de notre invité ont éveillé la curiosité des autres automobilistes et chauffeurs qui stationnaient là.
C'est maintenant 3 nouveaux individus qui se paluche sans retenue devant le «couple».
L'un d'eux, sans doute plus téméraire ou tout simplement excité, s'approche de ma femme toujours pliée en deux et pilonnée avec ardeur, pour lui saisir les cheveux et lui introduire sa bite dans la bouche.
Celle-ci est moins impressionnante que notre premier invité, mais le jeune homme n'en est pas moins très vigoureux, et baise littéralement la bouche de Françoise qui en a des hauts le cœur.
- « Putain ! Elle suce comme une reine cette chienne. »
I : - « Oui son cocu aime l'offrir a priori, alors ne le décevons pas et baisons la bien cette pute à sperme. Après on lui fera tous gouter notre nectar. »
Tout le petit groupe entoure maintenant ma femme et son baiseur, et les mains se font baladeuses sur tout le corps graisseux de mon épouse.
- « Putain quel gros tas ! »
- « Ouai ! Les grosses sont les plus salopes, et elle n’est pas loin d'en être la Reine cette chienne ! »
- « On va lui remplir le gosier et la barbouiller de foutre cette truie. »
Les quatre males en ruts se relaient maintenant dans les différents orifices de ma Françoise qui n'est plus qu'un pantin désarticuler entre leurs mains.
Le premier à venir est notre inconnu du départ qui demande aux autres de tenir les mains et de maintenir la tête de ma chienne à la bonne hauteur.
Il se branle de plus en plus vite et d'un seul coup éructe comme un porc et lui envoie cinq bonnes giclées très épaisse de jus bien blanc et gluant, qui vienne fouetter son palais et son visage.
I : -« Tiens ma salope , prends ça dans ta tronche de pute !!! »
Cela déclenche les éjaculations de ses compères en cascade.
Françoise se retrouve la bouche remplie et le visage totalement englué, à tel point qu'on ne discerne même plus ses yeux.
Je l'att**** à mon tour par les cheveux, également couvert de foutre et lui fourre ma queue dans la gorge ou je me déverse à mon tour
M : - « Tiens ! Ils ont raison t'es qu'une truie à sperme !! Avale tout !!! ça au moins, ça ne fait pas grossir. »
Une fois nos amis vidés et repus, certains nous laissent leur numéro de téléphone m'indiquant qu'ils aimeraient beaucoup nous revoir pour s'occuper de madame, qui de leur avis, possède un potentiel pour énorme de chienne soumise.
Nous les remercions et remontons dans notre véhicule.
J'interdis cependant à Françoise de se nettoyer durant le reste du trajet, car je compte bien la baiser de nouveau ainsi, une fois arrivé à destination...
Séance Dogging pour ma BBW sur une aire de repos
L'histoire se déroule alors que nous nous étions accordé une semaine de vacances, mon épouse et moi, du côté de la région Bourgogne.
Il est tard, nous sommes sur l'autoroute, nous rentrons d'une journée passée à Beaune.
La température est encore très agréable malgré l'heure tardive.
Ma femme est habillée pour la circonstance, mini robe noire qui fait bien ressortir ses bonnes cuisses bien grasses ainsi que son énorme cul.
Pour rappel Françoise est ce qu’on appelle une femme gironde, autrement dit une «grosse».
Du haut de son mètre soixante-huit, elle arbore un peu honteusement ses 95 kgs, Essentiellement réparti sur son ventre, ses cuisses et son gros cul de madone.
Nous roulons donc pour rejoindre notre location.
Mais la vue des gros jambonneaux de ma femme commence sérieusement à m'échauffer les sens.
Je pose donc ma main sur la cuisse de Françoise, qui ne marque aucune réaction.
Je remonte donc doucement vers sa culotte et lorsque j'atteins celle-ci, je l’écarte et je commence à titiller son petit bouton.
Elle tente de resserrer instinctivement les cuisses, mais je l'en empêche d'une poigne assez ferme, pour que cela ne souffre d'aucune contestation.
Elle sait très bien qu'il n'est pas question de résister quand je prends les choses en main.
Je reprends donc mes caresses en passant plus de doigts sous la fine culotte.
Françoise ne tarde pas à devenir très réceptive à mes attouchements.
Tout en continuant de rouler je lui enfonce 2 doigts dans la chatte et les agitent de plus en plus rapidement pour la faire monter en température.
Merci les boites automatiques.
J'aperçois alors un panneau indiquant une aire de repos à 2 km, je ralentis donc et, 2 minutes plus tard je m'engage sur la bretelle de l'aire en question.
Deux voitures et un poids lourd sont stationnés.
Je me gare un peu à l'écart.
Je remarque une ombre près de la table de pique-nique ou je me stationne.
Les doigts toujours profondément plantés dans la chatte de plus en plus baveuse de ma cochonne d'épouse.
Je lui demande d'ôter les fines bretelles de sa robe afin de mater ses mamelles (115B).
Ma femme est grosse, mais n’a pas de très gros seins.
Je me penche et lui prend alors le mamelon entre les dents, elle adore ça.
Je commence à le mordiller tout en augmentant la vitesse de mes doigts fourrageant sa chatte désormais méchamment élargie et totalement trempée.
Françoise râle de plus en plus, lorsque je perçois de nouveau un mouvement à côté de la table de pique-nique.
Un vieux fantasme me revient alors à l'esprit :
Celui de la voir soumise à une séance de dogging avec des inconnus, et l'occasion semble trop belle pour passer à côté.
Je me redresse donc sur mon siège tout en attrapant la nuque de ma grosse.
D'une main je défais les boutons de mon bermuda pour faire jaillir ma queue, et lui fourre aussitôt dans la bouche.
Surprise elle hoquète avant d'entreprendre une pipe comme elle sait si bien les faire
Moi : - « Vas-y suce moi bien ma grosse salope, tu l'aimes la bite de ton mari hein...?? »
Françoise : - « Oui, j'aime surtout quand t'es excité et que tu prends ce côté dominateur et sauvage ! »
M : - « Alors ferme la et suce moi bien sale chienne, je vais te remplir la bouche de jus grosse salope...t'es une bonne petite femme bien docile qui suce quand on lui dit, pas vrai ?? »
F : - « humpppff..ui...humpfff «
M : -« parle pas la bouche pleine !!! »
Tout en maintenant fermement la tête de ma femme sur ma bite, je regarde de nouveau dehors pour tenter d'apercevoir ce qui m'a semblé être un voyeur.
Bingo !!!
Une silhouette plutôt athlétique se tient adosser à la table et branle une belle queue en nous matant.
M : - « J'ai envie de te voir sucer une autre queue que la mienne grosse pute...t'entends ? »
Surprise de mes propos, elle tente de se relever, mais je l'en empêche et d'un coup de rein je lui renfonce profondément ma bite dans la bouche.
M : - « Ça fait longtemps que j'ai envie de voir ça, et c'est l'occasion rêver ma chérie. Juste à côté de nous il y a un type qui se branle en te regardant me sucer comme une bonne pute que tu es, et j'ai très envie de te voir le rejoindre pour lui faire la même chose, t'as compris ? »
Je relâche mon étreinte pour lui permettre de répondre.
F : - « Ça ne va pas, j'ai la trouille ! »
M : - « Tu veux qu'il t'arrive quoi a part sucer une bonne grosse bite comme tu les aimes ? »
La sentant hésitante et un peu apeuré, je ne lui pas le temps de réfléchir.
Je sors de la voiture, en fais le tour pour ouvrir sa portière.
J'att**** ma femme par le bras et la tire hors du véhicule sans trop de ménagement.
Ses yeux s’humidifient.
M : - « A poil sale pute, dépêche-toi !! »
Sans trop sourciller, ce qui est surprenant, Françoise retire sa robe ainsi que sa culotte et son soutien-gorge, pour se retrouver en talon et exhiber son corps laiteux.
Le tout, devant le regard médusé de l'individu qui a assisté à toute la scène.
Le regard de ma salope toujours embué, je lui fourre 3 doigts dans la chatte et lui glisse a l'oreille
M : -« Maintenant tu vas aller jusqu'à la table et tu vas sucer la grosse bite du Monsieur, c'est compris ?
Tel un automate, Françoise se dirige vers l'inconnu qui la saisit par les cheveux pour la mettre à genoux devant son énorme chibre ou perle déjà quelques gouttes de liquide séminal.
Sans dire un mot, il lui enfonce la totalité de son membre dans la bouche, en la maintenant bien par les cheveux, et commence un ramonage en règle de son œsophage.
M'étant rapproché du «couple», je recommence à fouiller la chatte de ma grosse tout en la regardant déguster de plus en plus voracement la grosse queue de notre inconnu.
Elle y met tellement de cœur a l'enfoncer au plus profond de sa gorge que des filets de bave la relie au membre dressé.
M : -« Vas-y ma grosse pute, suce le bien...t'es un bon sac à jus !!! »
Je remonte mes doigts jusqu'à effleurer son petit trou, que je perfore d'un coup sec de l'index.
Surprise, elle en lâche la bite qu’elle a dans la bouche mais reprend rapidement sa succion.
Et moi, je lui rajoute deux doigts de plus dans son gros cul
Après quelques minutes, elle reprend son souffle et j'en profite alors pour la redresser et la coucher, plié en deux sur la table de pique-nique
Je me place sur le côté pour att****r ses fesses gélatineuses dans chaque main pour bien écarter son petit trou avant de m'adresser à notre étalon d'un soir
M : - « Vas-y encule la et démonte-lui son gros cul à cette pétasse, elle adore ça se faire éclater la rondelle. »
Il s’approche d'elle, en enfilant une capote, crache sur son anus et lui plante d'un coup sec son gros calibre dans le fondement.
F : - « HAAAAAAARGGGGGG !! ça fait mal putain !!!
Inconnu : - « Ta gueule grosse pute !! Ton cocu veut que j'te perfore le petit trou, alors déguste sale pute. Ton gros cul est juste parfait pour ça !!! »
Je n'ai pas remarqué tout de suite, mais les feulements de ma femme et les insultes de notre invité ont éveillé la curiosité des autres automobilistes et chauffeurs qui stationnaient là.
C'est maintenant 3 nouveaux individus qui se paluche sans retenue devant le «couple».
L'un d'eux, sans doute plus téméraire ou tout simplement excité, s'approche de ma femme toujours pliée en deux et pilonnée avec ardeur, pour lui saisir les cheveux et lui introduire sa bite dans la bouche.
Celle-ci est moins impressionnante que notre premier invité, mais le jeune homme n'en est pas moins très vigoureux, et baise littéralement la bouche de Françoise qui en a des hauts le cœur.
- « Putain ! Elle suce comme une reine cette chienne. »
I : - « Oui son cocu aime l'offrir a priori, alors ne le décevons pas et baisons la bien cette pute à sperme. Après on lui fera tous gouter notre nectar. »
Tout le petit groupe entoure maintenant ma femme et son baiseur, et les mains se font baladeuses sur tout le corps graisseux de mon épouse.
- « Putain quel gros tas ! »
- « Ouai ! Les grosses sont les plus salopes, et elle n’est pas loin d'en être la Reine cette chienne ! »
- « On va lui remplir le gosier et la barbouiller de foutre cette truie. »
Les quatre males en ruts se relaient maintenant dans les différents orifices de ma Françoise qui n'est plus qu'un pantin désarticuler entre leurs mains.
Le premier à venir est notre inconnu du départ qui demande aux autres de tenir les mains et de maintenir la tête de ma chienne à la bonne hauteur.
Il se branle de plus en plus vite et d'un seul coup éructe comme un porc et lui envoie cinq bonnes giclées très épaisse de jus bien blanc et gluant, qui vienne fouetter son palais et son visage.
I : -« Tiens ma salope , prends ça dans ta tronche de pute !!! »
Cela déclenche les éjaculations de ses compères en cascade.
Françoise se retrouve la bouche remplie et le visage totalement englué, à tel point qu'on ne discerne même plus ses yeux.
Je l'att**** à mon tour par les cheveux, également couvert de foutre et lui fourre ma queue dans la gorge ou je me déverse à mon tour
M : - « Tiens ! Ils ont raison t'es qu'une truie à sperme !! Avale tout !!! ça au moins, ça ne fait pas grossir. »
Une fois nos amis vidés et repus, certains nous laissent leur numéro de téléphone m'indiquant qu'ils aimeraient beaucoup nous revoir pour s'occuper de madame, qui de leur avis, possède un potentiel pour énorme de chienne soumise.
Nous les remercions et remontons dans notre véhicule.
J'interdis cependant à Françoise de se nettoyer durant le reste du trajet, car je compte bien la baiser de nouveau ainsi, une fois arrivé à destination...
3 years ago