Jade, chienne totale

Début janvier, le temps du couvre-feu. Pour Jade, c'est surtout un peu plus de liberté et encore plus de plaisir. Durant ces neuf mois propices au télétravail, elle ne s'est jamais lassée des bites de David, de Guillaume et de Thomas. Son jeune voisin passe la voir tous les jours afin de remplir sa bouche et son cul. Auprès de sa mère, la presque sage Chantal, il prétexte que Jade se montre efficace pour vulgariser ses cours de compta et d'économie.
Ainsi depuis le 16 mars, la bouche de la putain bourgeoise, sa gorge, ses seins, sa chatte et son cul n'ont pas été épargnés. De fait, ses rosebuds ont peu servi. Elle s'est fait ramoner en tous sens par les trois lascars qui, entre deux sessions de travail, s'en sont donnés à cœur joie. Il y a eu du foutre et du jus en très grosses quantités. Durant cette période, Jade n'a pas manqué d'allumer les trois mecs à coups de chaînes de cheville, de bas couture plissés, d'escarpins aux talons vertigineux, de mules sexy, de serre-tailles coquins.
La Boîte ayant tout misé sur le télétravail, la pute anale a très peu bougé de son appartement, sauf cet été où elle a passé deux semaines au Cap d'Agde avec ses deux complices.
Aujourd'hui, ils l'ont baisé dès le réveil. Une double pénétration comme les adore Jade. Puis, c'est devenu une habitude, Thomas est arrivé vers dix heures.
Comme à chaque fois, il a apporté son classeur dont il n'ouvrira pas la moindre page. Juste ceci afin de rassurer sa mère. Comme à chaque fois, il est subjugué par la tenue portée par la putain bourgeoise.
Un chemisier blanc dont deux boutons sont négligemment ouverts. Thomas sait qu'il n'y a jamais de soutien-gorge dessous. Une jupe noire ultra-moulante sous laquelle il est facile de deviner les contours du serre-taille. En provenance de la maison Cervin, des bas couture Tentation noirs que Jade n'a pas trop tendus. Même si la pute anale se tient debout devant lui, le nylon fait déjà des plis aux genoux et aux chevilles. D'ailleurs, à l'une d'elles, brille l'éclat d'une chaîne de cheville. Enfin, elle a chaussé ses pieds de superbes escarpins de la maison Ernest. Bien sûr, ses ongles sont vernis de rouge et son maquillage est celui d'une chienne affirmée.
Jade a à peine refermé la porte que Thomas fait tomber son classeur et se frotte contre elle.
- Tu es une pute.
- Je sais.
- Une grosse pute bourgeoise.
- Et fière de l'être.
Il fait mine de se pencher pour récupérer ses documents mais il n'en est rien. Bien au contraire, ses mains, partant des talons, s'attardent sur les bas en suivant la couture, remontent sous la jupe jusqu'à la raie des fesses gardée par un rosebud chromé.
Le jeune homme s'accroupit. Il n'éprouve aucune difficulté pour retirer le précieux bijou. La pute anale écarte un peu les cuisses, cambre les reins afin qu'il puisse lui lécher la rosette. Thomas, les mains sur les fesses musclées de sa voisine, s'y emploie avec des coups de langue précis et bien dosés.
- Putain, tu sais me faire plaisir, toi ! Mmmmmmm...
Sous l’œil averti de Guillaume et David, l'étudiant poursuit son œuvre avec application. Ses doigts s'immiscent dans le fondement de la putain bourgeoise, sans manquer de trouver le chemin de sa chatte. Le jus s'y fait déjà abondant. Il coule en traînées épaisses sur les cuisses de Jade. Thomas porte le nectar à ses lèvres et s'en délecte.
Dans le couloir, les gémissements de la pute anale commencent à monter. Son excitation grimpe. Sa corolle et son anus sont investis par la langue et les doigts agiles du jeune homme. Il poursuit son traitement pendant quelques minutes alors que la cyprine coule désormais avec ampleur, atteignant le revers des bas couture.
Puis Thomas, le visage imbibé de jus de moule, se relève. Il colle sa bite ferme contre la raie de la putain bourgeoise. Il lui embrasse la nuque, l'incite à se retourner et à s'accroupir contre le mur. Jade fait désormais face à une bite épaisse. En chienne habituée, elle ouvre grand la bouche. Thomas a été très bien doté par la nature.
Le jeune homme s'enfonce d'une seule poussée. Jade fait rouler sa langue le long de la hampe ferme, émet beaucoup de salive. Thomas reste ainsi une bonne dizaine de secondes avant de se reculer. En expulsant la bite de son voisin, Jade a aussi recraché de gros filets de bave qui ont atterri sur le parquet. Acculée contre le mur, elle est à la merci du jeune homme. Celui-ci, après avoir laissé un répit à la pute anale, reprend son va-et-vient. Il s'enfonce dans sa bouche, jusqu'à la garde, et applique désormais un mouvement régulier. La putain bourgeoise bave de plus belle. Son jus de bouche s'immisce à travers son chemisier, se répand sur ses seins, sur sa jupe relevée de façon obscène.
David et Guillaume se sont approchés un peu plus. Habitués de ces moments où Jade se livre totalement, avec une envie profonde de faire plaisir, où elle s'abandonne totalement aux desiderata de de ces messieurs. Une chienne soumise qui aime être le centre des attentions masculines. À la vue des garçons qui viennent de sortir leurs bites, la pute anale s'excite encore plus. Elle pompe avec plus d'ardeur et sa cyprine est devenue un torrent que rien n'arrête.
- Mets-toi à genoux, fait Guillaume. Ce sera plus simple pour qu'on te baise la bouche tous les trois.
Thomas se recule, laissant ainsi une pause à Jade qui profite de cet intermède pour porter sa main à son minou et se lécher le bout des doigts.
La voilà désormais à genoux sur le parquet, les trois queues impérieuses face à elle. La main gauche sur le chibre de David, la main droite sur celui de Thomas, la putain bourgeoise entreprend de gober la bite de Guillaume avec ferveur. Sa salive se fait encore plus conséquente et vient se mêler à son jus de pute.
Avec ces trois queues rien que pour son appétit de pute insatiable, Jade est aux anges. Sa cyprine, déjà très abondante est devenue un fleuve en crue que rien ne pourra tarir. La putain bourgeoise pompe, gobe toujours plus fort, passant d’une bite à l’autre sans discontinuer. C’est à peine si elle marque des pauses pour reprendre son souffle. Sa salive est à l’image de son jus de pute. Conséquente, avec un débit qui n’est pas prêt de s’arrêter. Son chemisier n’est plus qu’un tissu poisseux de bave.
Les trois hommes sont à point. Ils pourraient cracher leur foutre tout de suite sur la visage de la pute anale mais elle en veut plus. Jade a envie de se faire tringler violemment, qu'on ne prenne aucune précaution avec son cul déjà dilaté.
La putain bourgeoise se relève, le visage ravagé par sa propre salive, le chemisier totalement imbibé de son jus de bouche, la jupe en bataille, les bas couture plissés. Sans cesser de flatter ses seins et son cul, les garçons l'emmènent dans le salon.
Derechef, elle prend place sur le canapé, croupe tendue et offerte, reins creusés. Sa raie est complètement trempée et, totalement excitée par la situation, Jade ne manque pas de porter ses doigts vers sa chatte plus qu'humide. Sans attendre, Guillaume vient goûter à sa rondelle. Il joue avec les muscles fessiers de la pute anale, aspire l’œillet dilaté. Ses doigts s'immiscent de plus en plus dans le conduit anal et, petit à petit, parviennent à agrandir l'entrée. Jade fait preuve d'une remarquable souplesse. Alors que l'intérieur de son anus est pleinement offert aux regards, elle gémit, elle hurle, elle couine qu'elle est une chienne. Sa chatte n'est pas en reste et gicle avec intensité sur le cuir du canapé ainsi que sur le visage de Guillaume. L'homme se repaît de son jus épais avec délice. Prompt à dévorer la chatte et le cul de la putain bourgeoise, il lape la cyprine sans aucune retenue. La belle catin continue de décharger fort, sans donner l'impression que la source puisse se tarir.

Enfin repu, Guillaume se redresse et, d'un coup sec, pénètre la rondelle de sa patronne. Il s'y enfonce avec délectation pendant que Thomas et David entreprennent, à tour de rôle, de ramoner la bouche de la pute anale. Sa salive se répand sur l'accoudoir, sur le cuir. Son jus de bouche est, une fois de plus, tellement épais que Thomas parvient à en prélever et à en badigeonner le visage de sa voisine. Les trois hommes, dans diverses positions, continuent de la baiser, de la ramoner, de la défoncer, se relayant dans ses trous de chienne à foutre. Sa bouche, sa chatte, son cul systématiquement remplis de chibres aux couilles pleines.
Les trois mâles, particulièrement attentifs à ses directives et à ses désirs multiples, n'ont pas manqué, chacun leur tour, de décharger leur foutre au fond de son cul.

Pour ce soir, alors que les garçons ont continué de la traiter comme une chienne durant tout l'après-midi, Jade n'est pas toujours pas rassasiée. Elle a une constante envie de bites. Elle vient de téléphoner à quelques-unes de ses relations masculines. Des mecs qui ont l'habitude de lui ramoner tous les trous dans les clubs de la capitale. Ils seront trois, en plus de David, Guillaume et Thomas qui va ainsi vivre sa première séance de dogging. Six bites affirmées rien que pour elle. Jade est définitivement une grosse pute bourgeoise. Rendez-vous a été donné à vingt heures près des bâtiments de l'INSEP, comme une provocation face au couvre-feu.
En chienne avertie, Jade a rapidement préparé sa tenue. Un trench-coat, sous lequel les mâles pourront trouver un serre-taille rouge sang, des bas couture noirs Cervin Swing Time, une chaîne pour chaque cheville et des escarpins Ernest rouges au talon fou de quatorze centimètres. Maquillage de putain et vernis vermillon sont de rigueur.

Dix-neuf heures, c'est l'heure du départ. Le vent frais du soir s'engouffre sous le trench-coat de la pute anale. Ses talons claquent sur le trottoir. Le quatuor progresse à bonne allure jusqu'à l'entrée de la station de métro Jasmin alors que la rue se vide peu à peu. On s'apprête à se calfeutrer chez soi, la politique répressive fait son effet sur les citoyens lambda.
Les quatre larrons grimpent dans la première rame qui s'amène et s'installent au fond, sur un carré. Loin des visages harassés par la situation sanitaire. Le métro conduit tout ce beau monde vers la station Roosevelt. Dans le carré, Jade s'est positionnée de façon à ce que les trois hommes aient une belle vue sur sa chatte toujours parfaitement épilée. Ils peuvent constater, tout comme le petit vieux qui se tient debout de l'autre côté, que son minou est déjà bien trempé.
À Roosevelt, il faut changer de ligne. Jade prend les devants et quitte la rame en montrant sa croupe divine au vieux qui manque de faire une attaque. Ce ne sera pas le premier, se dit-elle. Les trois lascars la suivent avec une envie qui ne cesse de grandir.

19 heures 19. La ligne 1, nettement plus bondée, va les emmener jusqu'au château de Vincennes. Seize arrêts sont au programme. Pas de places assises. Jade parvient à se faufiler entre deux hommes afin d'agripper une barre de maintien. Sans attendre, celui qui est dans son dos se colle à elle. Contre ses fesses, elle devine une bite qui commence déjà à prendre de l'ampleur. Sans hésiter, la chienne y porte la main. Elle commence à le branler et l'homme pousse des soupirs d'aise. Elle le masturbe avec son énergie coutumière. Elle sait qu'il ne lui faudra pas longtemps pour le faire jouir sur un des pans de son trench. Malgré le bruit de la rame, Jade parvient à saisir quelques mots prononcés par le pervers. Pute. Chienne. Salope. Catin. Putain. Tout ce qu'elle est. D'un geste ferme du poignet, elle accélère la cadence. La pute bourgeoise devine que l'homme se contracte, elle sent son souffle sur sa nuque. La semence chaude et grasse vient poisser ses doigts et, d'une posture totalement naturelle, Jade entreprend de lécher ce que son voisin y a répandu. Elle ferme les yeux en savourant l'offrande pendant que le métro se rapproche de la station Bastille. L'homme, après s'être rajusté tant bien que mal, descend de la rame sans un regard pour la catin qui vient de lui donner un plaisir immédiat.
De leur côté, les garçons ont assisté à la scène. Avec une mine réjouie, Jade parvient à se rapprocher d'eux.
- T'as pas pu t'en empêcher, hein ? fait David.
- J'adore allumer. J'adore provoquer. J'adore exciter les hommes. C'est naturel chez moi. Et même quand je ne fais rien, les mâles viennent vers moi. Je suis une grosse chienne depuis bien longtemps et ce n'est pas prêt de changer, crois-moi. Je vais même vous dire : j'ai obtenu tous mes jobs comme ça. En faisant la pute avec mes collègues, en étant une vraie salope avec mes patrons. J'ai toujours fonctionné comme ça.
Face à elle, Guillaume sourit. Un sourire qui vient marquer l'évidence :
- Je présume que tu as obtenu tous tes diplômes de cette façon ?
Jade passe une langue mutine sur ses lèvres bien rouges.
- Vous voulez une liste ? J'ai couché avec mes profs de lettres, avec mes profs de maths, avec mes profs de droit... Au lycée, j'étais déjà une putain. J'étais la seule à y porter des bas couture. Même le vieux documentaire, je lui ai vidé les couilles. Ma réputation a fait que j'ai été convoqué pas mal de fois chez le directeur. Je ne vous fais pas de dessin.
Jade, émoustillée par son récit, continue de raconter ses aventures à son trio de mâles alors que le métro parvient à son terminus. Il leur restera dix minutes de marche. Tant bien que mal, le quatuor se hâte pour rejoindre les fourrés qui jouxtent les bâtiments de l'INSEP. Le coin est connu de tous les baiseurs parisiens et même au-delà. Par rapport à la Porte Dauphine, il n'y a que la clientèle qui change.
Leur progression n'est pas aisée à cause des talons aiguilles de Jade mais qu'importe, ils sont au bon endroit à l'heure dite. Entre l'INSEP et le vieux stade Pershing, un chemin où les noceurs ont leurs habitudes. Assis sur un banc éclairé par un lampadaire, trois hommes attendent Jade. Ni David, ni Guillaume ne les connaissent. Ce ne sont pas des employés mais plutôt des relations de club de la belle catin. Celle-ci fait rapidement les présentations :
- Voici Bob, Karl et Jimmy.
Si ce sont leurs vrais noms ou leurs pseudos, peu importe.
- Bonsoir, moi c'est David. Avec Guillaume et Thomas.
Chacun sachant à peu près qui est qui, le jeu peut démarrer. Debout, les six hommes se sont alignés face à la pute bourgeoise. Avec des gestes empreints de sensualité, elle défait la ceinture de son trench, retire le manteau léger avant de le jeter aux pieds de Thomas. Dans sa tenue de salope qui s'assume, Jade est irradiante de beauté. Ses bas couture commencent à plisser aux genoux et aux chevilles. Ce sera pire quand tous ses trous seront sévèrement pénétrés.
Avec une lenteur à scier les nerfs de ces baiseurs bien excités, elle s'avance en direction de Jimmy. Elle lui att**** l'entrejambe, masse sa bite à travers le tissu tout en leur regardant dans les yeux. Puis, sans prévenir, elle lui roule une monumentale pelle. Une dernière pression sur les couilles et la queue de Jimmy est garde-à-vous.
Jade, dont on peut voir le jus de pute couler jusque sur ses bas, passe ensuite à Karl et renouvelle l'opération. Une fois qu'il est à point, elle fait de même avec Guillaume, Bob, David et Thomas. Leurs bites sont bien dures désormais. Chacun déballe son engin et, comme à la parade, la pute anale revient vers Jimmy. Elle s'accroupit et commence par lécher le gland proéminent. Sa langue agile et expérimentée descend le long de la hampe avant de remonter jusqu'au méat qu'elle aime agacer à petits coups de dents. Puis Jade ouvre grand la bouche et avale l'intégralité de la bite tendue. La gorge profonde, elle maîtrise toujours aussi superbement depuis le lycée. En recrachant la queue avec un gros filament de salive, elle se souvient de ce prof d'anglais qui avait failli s'évanouir face à sa science affirmée de la pipe ultra-baveuse. Elle avait laissé une quantité impressionnante de salive sur l'estrade.
Après un très léger répit, la pute anale reprend son œuvre, tout en accélérant la cadence. Jimmy, pourtant habitué à l'énergie mise par la catin, manque de défaillir.
- Putain, que c'est bon ! Vas-y, continue, grosse chienne à bites !
Jade n'a pas besoin d'encouragements. Elle s'y est habituée. Chaque jour, il lui faut son lot de bites à pomper et sur lesquelles elle peut baver goulument. Que ce soit celles des ses collaborateurs, de parfaits inconnus en club ou de gros clients de la Boîte, peu importe elle exige de la bite au fond de sa gorge, de sa chatte et de son cul.
La pute anale poursuit son activité intense, crachant d'importantes quantités de salive. Ses bas de pute bourgeoise plissent sans retenue. Autour d'elle, on se branle. Elle devine aussi d'autres présences masculines dans les fourrés. De quoi l'émoustiller encore un peu plus.
Après la bite toute mouillée de Jimmy, elle s'attaque à celle de Karl. Elle pratique la même fellation frénétique. Elle bave à s'en étouffer, s'enfonce le chibre bien au fond de sa gorge.
- Elle en redemande, cette putain !
- Incroyable ce qu'elle peut baver ! commente Thomas qui s'est positionné derrière elle afin de jouer avec sa rondelle.
- Elle est vraiment spécialiste pour ça, ajoute Guillaume qui, son tour, peut s'enfoncer dans la bouche de Jade.
Une main derrière la tête de sa patronne, une autre sur sa gorge, c'est lui qui impose le rythme. Dévastateur. La pute anale pompe bruyamment et bave de façon plus que conséquente. Sa poitrine aux tétons bien dardés est imbibée de grandes traînées de salive épaisse. Entre ses cuisses, sur le sol terreux, une mare s'est formée, mélange de jus de bouche et de jus de pute. Sa chatte , perpétuellement mouillée, coule à grands traits.
Jade peine à reprendre son souffle en changeant de queue. C'est désormais au tour de Bob de lui démolir la gorge. Il lui laisse peu de répit mais la putain bourgeoise adore ça. Le rendement de son jus de pute s'intensifie toujours un peu plus. La garce à bites gémit à chaque fois qu'elle recrache la bite. Elle s'applique aussi à bien lécher les grosses couilles de Bob. Sous le halo du lampadaire, les bites sont luisantes d'une bave épaisse. Dans les buissons, les commentaires fusent :
- Quelle grosse pute !! Quelle chienne incroyable !! Suceuse de première classe !!
La pute anale adore qu'on la complimente ainsi. Qu'on la traite de putain, de grosse salope, de catin depuis le lycée ne l'a jamais choqué. Bien au contraire, cela confirme ce qu'elle est vraiment.
Un nouveau chibre vient prendre place dans sa bouche. Celui de David. Lui non plus ne ménage pas sa patronne. De la salive à grands traits, de la cyprine en crue. À son grand plaisir, Jade se fait démolir la gorge sans aucune retenue. Elle vit complètement pour le stupre.
Thomas n'est pas en reste et, à son tour, vient s'engouffrer dans la gorge bouillante de la catin. On se bouscule autour d'elle. À force, elle ne sait plus quelle bite elle est en train de pomper. Sa salive passe d'une queue à l'autre, sans discontinuer. Jade multiplie les bruits de gorge tout en gigotant sur ses talons aiguilles.
Elle se relève, le maquillage complètement ravagé. Sa bave épaisse continue de couler de son menton. Elle constate que Bob vient d'ouvrir un sac à dos. Avec des gestes précis, il dépose une serviette sur le banc puis, sur celle-ci, un joli gode anal en silicone.
- Hmmmmmm... J'adore cette idée, fait Jade en s'essuyant la bouche.
La pute bourgeoise vient prendre place sur le banc et sa rondelle, naturellement dilatée, trouve avec aisance le chemin du gode. L'introduction demande une certaine souplesse mais l'objet, préalablement graissé, parvient à progresser à travers les parois anales de Jade. Cuisses bien ouvertes, sa chatte gluante offerte aux regards concupiscents des six compères qui l'entourent.
- Putain ! Ce que j'aime me faire bourrer le cul !
La catin joint le geste à la parole. Elle s'enfonce encore un peu plus le gode au fond d'elle. Ses gémissements se font encore plus forts et sa cyprine s'écoule à grands traits, sans discontinuer.
- Mmmmmmmmm...
Tout en se branlant avec énergie, les six hommes la regardent attentivement. Le spectacle offert par la pute anale en vaut largement la peine. Ce n'est pas tous les jours qu'on peut voir une chienne se donner autant. Une putain qui assume autant ce qu'elle est naturellement. Son jus de pute gicle abondamment, arrose la terre autour d'elle. Des jaillissements impressionnants. Dans les buissons, il y a de l'activité aussi. Les remarques salaces se multiplient de fourrés en fourrés. Certains, plus enhardis, s'approchent pour mieux voir.
Le gode continue sa progression. La rondelle extrêmement humide de Jade s'écarte de plus en plus. De quoi y loger le poing. La putain bourgeoise ne gémit plus. Elle hurle son bonheur d'être perforée. Ses cris franchissent la verdure, se répercutent sur les murs de l'INSEP. De quoi troubler le voisinage a****lier. Son minou est dans le même état extatique. Très gluant et crachant du jus à très bonne distance.
- Elle est presque à point, fait David.
- Elle revendique son statut de pute anale, ce n'est pas pour rien, approuve Guillaume en se tournant vers Thomas.
Le jeune homme, la queue à la main, est presque écarlate face à l'exhibition de celle qui est pourtant sa voisine. Bob et Karl se sont approchés afin qu'elle les branle. Elle cale le rythme de ses poignets sur les va-et-vient de son cul.
Jimmy, de son côté, s'écarte légèrement de la scène pour allumer un cigare. Pendant qu'il enflamme son cylindre, il remarque des halos de lumière qui viennent rapidement dans sa direction. Il renonce à son plaisir cubain, fait demi-tour vers le groupe.
- Les flics arrivent !
Au pas de charge, ils sont quatre. Plus prompts, Bob, Jimmy et Karl remballent leur matos et s'enfuient vers la route de la Pyramide. Dans les fourrés, les voyeurs disparaissent. Le temps que Jade retire le gode et tente de se rhabiller, les policiers sont déjà là et ne se privent pas de mater la belle putain. Évidemment solidaires, Guillaume, David et Thomas n'ont pas cherché à s'échapper.
- Messieurs, madame, bonsoir. Papiers d'identité, s'il vous plaît, fait le moustachu qui semble diriger la cohorte. Messieurs, d'abord. Laissons un peu de temps à madame afin qu'elle ait une tenue décente.
- J'ai juste ça, monsieur l'agent, répond Jade avec un grand sourire.
Le moustachu, un dénommé Henri, fait comme s'il n'avait rien vu sous le trench et se tourne vers l'agent de la paix le plus jeune :
- Kevin, tu notes ? Exhibitionnisme.
Le Kevin en question, gardien de la paix fraîchement sorti de l'école de police, ne se sent absolument pas concerné par la question. Il garde les yeux sur les sublimes jambes de Jade, là où les bas couture font plein de plis délicats.
- Messieurs, madame, j'espère que vous avez constaté que le couvre-feu est en place, dit Moustache en rendant les cartes d'identité.
Sous l’œil goguenard de ses collègues, il consulte sa montre. Vingt-et-une heures quinze.
- Je vous propose de nous suivre au poste afin de tirer tout ça au clair. Vu ce que vous risquez je vous prierai de ne pas résister.
Une amende de cent trente-cinq euros, majorée si l'accusation d'exhibitionnisme est porté au dossier et une nuit en garde-à-vue. Pas grand-chose. Jade, Thomas, David et Guillaume obtempèrent. Direction l'hôtel de police de la rue Antoine-Julien Hénard. Sur le chemin, les policiers ne manquent pas d'émettre quelques commentaires salaces à propos de la pute anale. Kevin se montre le plus loquace en insistant sur sa tenue de putain bourgeoise.

Le quatuor de flicaillons pousse le quatuor de pervers à l'arrière d'un Peugeot Boxer. Kevin et Paul, les deux moins expérimentés, seront chargés de les garder. Tête basse, Thomas, David et Guillaume grimpent les premiers. Comme par hasard, Kevin prend place en face de la garce à bites. D'autorité, il place une main ferme sur son genou, remonte sur la cuisse. Ses yeux sont hypnotisés par le fin nylon qui plisse ça et là. Jade adore qu'on joue avec ses bas et ne s'oppose pas à la caresse du flic. D'un instinct totalement naturel, elle écarte les cuisses afin de faciliter la progression des doigts du jeune brigadier.
- Tu portes des bas de putain tous les jours ?
- Oui, monsieur l'agent. Quand je les enfile le matin, ça me fait mouiller. Vous devriez voir ça, tout ce jus qui sort de ma chatte. Je dors avec, si vous voulez savoir. Ma chatte est trempée toute la nuit, vous seriez impressionnée.
Sous le coup de la forte émotion provoquée par la chienne en face de lui, Kevin déglutit avec peine. Il bande fermement. Jade distingue le renflement de sa queue sous le pantalon réglementaire.
- Je constate que je vous plais beaucoup, monsieur l'agent. Vous souhaitez en voir plus ?
Kevin ne dit rien, se contente d'un mouvement du menton pour approuver l'invitation de la pute anale. Celle-ci ne se fait pas prier et révèle sa chatte parfaitement épilée.
- Alors, vous aimez ça, monsieur l'agent ?
Pour seule réponse, Kevin avance encore plus la main. Ses doigts n'ont aucune peine à s'insérer au cœur de la chatte gluante de cyprine.
- Hummmmm, c'est bon, continuez...
Thomas, David et Guillaume mais aussi le brigadier Paul admirent la manœuvre de la pute anale, tout son sens de la manipulation. Elle sait y faire pour emballer un mec. Kevin est complètement subjugué par les charmes qu'elle déploie avec une aisance stupéfiante. Il retire ses doigts complètement trempés et les donne à lécher à Jade tandis que le camion se gare dans le parking souterrain de l'hôtel de police.
Aux grands regrets de Kevin, Jade referme les pans de son trench. Ses talons aiguilles claquent sur le béton brut puis dans l'escalier qui mène aux bureaux et aux geôles de garde à vue. Henri, le brigadier-chef assigne les ordres.
- Vous me mettez les trois zigotos derrière les barreaux, on va s'occuper de la demoiselle. Prenez place, madame.
Paul a apporté une chaise tandis que Kevin et Désiré, un brigadier martiniquais, emmènent Thomas, Guillaume et David vers la geôle la plus proche du bureau. Celle qui leur permettra d'être de parfaits spectateurs. On apporte un café à Henri ; sa moustache en frémit.
- Bien, commençons. Nom, prénom, âge, profession.
- Mon nom ne vous intéressera pas. Je m'appelle Jade, j'ai quarante-deux ans. Je dirige une importante société et vous n'avez pas besoin d'en connaître davantage.
- Eh bien, vous avez du caractère, j'apprécie. Pour résumer les choses, on nous a appelé pour du tapage nocturne, des cris impressionnants, je cite, qui ne laissaient pas de place au doute. Pouvez-vous nous expliquer ?
- Je suis une salope, une catin, une putain. Un sac à foutre si vous préférez. J'adore me faire défoncer, qu'on me tringle comme la dernière des putes, qu'on ramone tous mes trous. J'adore que les hommes s'excitent sur mon passage. J'adore qu'on m'adresse des regards pleins de perversion. Je suis une chienne, monsieur, et rien ne pourra y déroger.
Henri déglutit. Heureusement que le bureau masque sa furieuse érection. Ça fait longtemps qu'il n'a pas eu affaire à une pute bourgeoise de ce niveau, qui évoque ce qu'elle est sans aucune pudeur. Il gesticule, peine à trouver la meilleure position. Jade a bien perçu le malaise et ouvre un peu plus les pans de son trench. Kevin, Paul et Désiré sont bien placés pour admirer l'offrande. Le haut de ses bas apparaît. Sans la moindre gêne, elle leur montre ses seins. De beaux tétons durcis par une excitation constante, prêts à être léchés. Les yeux du brigadier-chef descendent vers le minou offert et déjà bien dégoulinant d'un jus épais.
- Et donc... Vous avez l'habitude de ce genre de rendez-vous au bois de Vincennes ?
- J'en raffole, vous n'imaginez pas. Je suis une pute dont tous les trous doivent être remplis.
La belle bourgeoise se met debout, retire définitivement son trench. Sa beauté éclate aux yeux des flics. Repoussant le brigadier-chef ainsi que les dossiers qui chutent au sol avec un bruit mat, elle s'installe dos sur le bureau, cuisses écartées et tête dans le vide. Sa bouche est prête à être profondément investie.
Henri n'en peut plus d'attendre. Il déboutonne son pantalon et en extirpe une bite de belle taille.
- Pompe-moi, salope !
Ses trois subordonnés, Désiré, Paul et Kevin, ne sont pas en reste. On joue avec les tétons de Jade, on inspecte sa chatte gluante. Derrière les barreaux, Thomas, David et Guillaume profitent du spectacle. La chienne qui se donne ainsi, ils connaissent. Mais dans un commissariat, c'est une première.
Son maquillage, déjà pas mal ravagé lors de la séance de dogging, est totalement détruit. La salive de la pute anale dégouline sur ses yeux, jusqu'au sol. Une belle flaque s'est formée sur le lino. Henri, tout heureux d'avoir une vraie bourgeoise à sa disposition, détruit littéralement la gorge de Jade. À chaque coup de boutoir, il essaye de s'enfoncer toujours un peu plus au cœur des parois buccales surchauffées. La garce à bites, comme à son habitude, émet d'impressionnants bruits de succion. Sa chatte s'est mise au diapason et lâche de grands jets de jus sur les visages extatiques des trois jeunes brigadiers. Désiré, Kevin et Paul se relaient pour faire gicler la corolle bouillonnante. Le traitement réservé à la chienne lui arrache des gémissements entre deux gorges profondes.
La bite dégoulinante de salive, Henri cède sa place à Désiré et, à son tour, vient titiller le minou de la putain bourgeoise. C'est un nouveau déluge de cyprine. Jade libère des jets puissants, dignes de son statut de pute anale.
- Quelle incroyable chienne ! commente Paul, tout heureux d'être d'astreinte nocturne.
- On en a connu des salopes, mais pas de ce niveau, ajoute Désiré.
L'Antillais est plus que ravi d'enfoncer son gros chibre dans la bouche ardente de Jade. La bite du black est tellement épaisse, tellement longue que la putain bourgeoise gémit et bave encore plus. On pourrait mettre un seau juste sous sa tête, celui-ci serait vite rempli.
Les trois brigadiers et leur chef se relaient de façon régulière, sans qu'ils ressentent le besoin de se concerter, comme si leur désir avait été préparé en amont, bien avant de prendre la direction du bois de Vincennes. C'est à croire qu'ils savaient d'avance sur quelle chienne ils allaient tomber. Désiré profite même de l'occasion pour jouer avec les tétons dardés de la putain. Il les triture, n'hésite pas à tirer dessus, arrachant de nouveaux gémissements à Jade.
La chatte de la catin bourgeoise est maintenant bien béante. Paul et Kevin, à tour de rôle, y passent le poing avec une facilité évidente et impriment un mouvement régulier qui assure une lubrification encore plus conséquente. Ce n'est plus un torrent mais un fleuve en crue. Un jus de pute d'un débit impressionnant.
- Continuez à bien me la faire hurler, cette grosse chienne ! ordonne le brigadier-chef. Une pute comme elle, c'est très endurant. Ne mollissez pas les gars, on en a pour la nuit !
La cyprine de Jade s'étale partout. Sur ses bas plissés évidemment, sur le sol de lino qu'il faudra probablement remplacer, mais sur les flics débarrassés de leurs uniformes. La pute anale leur envoie des jets violents, sans discontinuer. Un plaisir permanent s'insinue à travers son corps. Elle tremble sous l'effet du délice administré par les flics. Ils ont bien compris qu'ils tenaient une occasion unique de satisfaire les désirs de cette garce. La jouissance la gagne progressivement. Jade rugit, hurle des insanités quand on lui laisse la bouche libre pendant que sa salive coule sur son visage et sur ses cheveux.
- J'en veux encore plus, mes salauds !! Abusez de mes trous !!
Les quatre condés ne se le font pas dire deux fois. C'est Paul qui, le premier, prend l'initiative de s'occuper de l'anus de cette bourgeoise dépravée. Il y glisse ses doigts presque trop facilement et comprend très vite que c'est d'un bon poing qu'elle va avoir besoin.
Dans la cellule de garde à vue, à défaut de pouvoir satisfaire la profonde luxure de Jade, ses trois habituels partenaires se branlent et commentent la scène.
- Que ce soit des ouvriers, des maçons, des avocats ou des flics, peu importe qui la soumet, fait David, elle n'a aucune limite.
- On est bien placés pour le savoir, abonde Guillaume. Tous les mecs de Paname pourraient la défoncer, je crois qu'elle ne serait pas rassasiée. C'est quand même une incroyable putain !
Après Paul, c'est Désiré qui enfonce son poing dans le cul dévasté de la bourgeoise vide-couilles. Il lui impose un tempo encore plus violent, encore plus rageur, faisant bien ressortir la rondelle de Jade. Elle prolapse avec aisance et ne manque pas de gueuler sa joie d'être à la merci des forces de l'ordre.
- Allez mes chéris !! Plus fort !!
Cette fois, c’est au tour d’Henri de se positionner face à la divine croupe. Il crache un épais mollard sur l’œillet dilaté.
- Tu vas voir, grosse chienne, on va t’entendre crier jusqu’à l’autre bout de Paris ! Les bourgeoises comme toi, faut que ça hurle !
Le poing du brigadier-chef, élément d’expérience, est épais. Il l’insère sans peine sa main. Les parois anales s’adaptent facilement à sa progression. C’est un premier contact. Henri retire sa pogne brutalement, arrachant un nouveau râle de plaisir à la catin, ainsi qu’une masse conséquente de jus.
- Elle en veut encore cette traînée !
Il plonge son poing sans ménagement et, derechef, accentue son va-et-vient. Il lui baise littéralement la rondelle. Une cadence impressionnante qui fait expulser énormément du jus de putain. Le bureau en est totalement inondé, si bien qu’à cette cyprine épaisse d’un débit constant s’est mêlée l’abondante salive de Jade.
- C’est comme ça qu’il faut lui défoncer le cul !
Le rythme est vif. Henri ne prend aucune pause. Jade hurle pour le grand plaisir de ses tourmenteurs. Son anus est complètement offert à tous les regards. La pose pourrait paraître obscène mais pas pour les quatre policiers ni pour Thomas, David et Guillaume.
- Kevin, va t'allonger devant la cellule, comme ça les lascars pourront se faire plaisir.
Le brigadier obtempère, prend place sur le lino détrempé. Jade cadre la situation, comprend vite ce qui l'attend. Elle se met debout, encore flageolante sur ses talons aiguilles du plaisir provoqué par les flics. Croupe particulièrement tendue, reins bien creusés, la pute bourgeoise s'installe à califourchon sur Kevin dont la queue bien dressée trouve immédiatement le chemin de la chatte extrêmement humide.
- Désiré, va prendre son cul.
Le black ne se le fait pas dire deux fois. Sans perdre de temps, il s'installe contre la croupe si tentante de Jade. Sans effort, tellement le conduit est humidifié, sa bite progresse contre les parois enfiévrées. Il applique d'abord un rythme lent afin que la catin s'habitue au gabarit de son chibre. Puis, après quelques va-et-vient, il impose une cadence beaucoup plus forte, bien en alternance avec celle de Kevin. Les deux hommes se complètent bien au cœur des entrailles bouillantes de la pute anale. La queue à la main, Henri et Paul les observent avec délice.
Sous les coups de boutoir, la putain bourgeoise est secouée en tous sens. Pas de répit pour cette chienne dont les jarretelles extrêmement tendues peinent à retenir des bas couture qui plissent au-delà du raisonnable. La vide-couilles gémit, hurle sans discontinuer.
- Encore !!!! Défoncez-moi !!!!
Encouragés, les deux flics mettent encore plus d'ardeur à l'ouvrage. Jade se fait ramoner la chatte et le cul avec une intensité qui la transporte dans une luxure totale.
- Paul, va lui exploser la bouche. Ça serait bien que les trois trous de cette pute soient bien remplis.
- Avec plaisir, chef.
Voilà Jade avec ses trois orifices obstrués. Les trois brigadiers parviennent à prendre une cadence bien synchronisée. Henri admire le tableau avant de se rapprocher de la cellule de garde à vue.
- Alors messieurs ? J'espère que ça vous plaît. C'est une chienne magnifique qui ne demande que ça.
- Peut-on participer ? demande Guillaume.
- Pardon ?
La pute anale hurle tellement fort que le brigadier-chef n'a pas entendu la question. La situation est totalement incongrue : voir un officier de police à poil et la bite ferme en train de négocier avec des suspects.
- On peut se joindre à vous ?
Le chef marque une pause dans son mouvement saccadé.
- Je pense qu'on peut maintenant vous libérer.
Les trois gardés à vue se regardent, hilares. Paul, dont les clés sont accrochés à sa ceinture, se retire de la bouche enfiévrée de Jade. Séance tenante, Thomas, David et Guillaume rejoignent la scène. C'est une véritable sarabande qui se forme autour de la pute anale. Chacun goûte à sa bouche, à sa chatte et à son cul. Sans la moindre gêne, on s'échange ses trous bien dilatés, bien écartelés. Au total, il y a sept bites rien que pour elle. Lors d'un passage de relais entre deux queues, elle a demandé à ce que tout le monde inonde au fond de son cul. Henri, le brigadier-chef, a précisé qu'il serait le dernier à y laisser sa semence.
Progressivement, sous le regard excité des flics, David, Thomas et Guillaume parviennent à se frayer une place au sein du cercle. Thomas démonte la gorge de sa voisine à grands coups de boutoir. David et Guillaume ne sont pas en reste et se sont installés tous les deux au cœur des parois bouillantes de l'anus de la pute bourgeoise. Les deux compères impriment une bonne cadence qui, encore une fois, fait hurler Jade de plaisir. Sensibles à sa jouissance, ils accélèrent progressivement jusqu'à obtenir un rythme frénétique. Ils ne vont pas tarder à gicler au fond de son trou.
C'est bientôt une semence bien épaisse qui se répand à grands jets. David est le premier à décharger, suivi par Guillaume, avant que ce soit le tour de Thomas. Enfin, les flics viennent y payer leur tribut et, à leur tour, arrosent ce superbe cul de leur foutre. L'orifice dilaté est tellement rempli que le sperme coule jusqu'au sol en longues traînées...
Published by devintaylor
3 years ago
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devintaylor
devintaylor Publisher 1 year ago
to Hand98 : Merci à toi !!
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devintaylor
devintaylor Publisher 1 year ago
to Hand98 : Merci à toi !
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Hand98
J'zdore ton récit beau moment de plaisir
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devintaylor
devintaylor Publisher 2 years ago
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encage57
encage57 2 years ago
magnifique, j'aurai aimé participer
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devintaylor
devintaylor Publisher 2 years ago
Absolument !!!
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devintaylor
devintaylor Publisher 2 years ago
Oui !!!!
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devintaylor
devintaylor Publisher 3 years ago
to caso29 : Merci à toi !! Yep !!
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caso29
caso29 3 years ago
Excellentissime !!! Elle a eu ce qu’elle mérite cette pute anale de Jade
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