PAPY.

PAPY.

Cet été là, j’étais en vacances chez mes grands-parents.
Je devais avoir 12 ou 13 ans.
Mamie allais souvent au village vendre les produits de la ferme pendant que Papi s’occupait des animaux et dans les champs.
Un matin, en sortant de la salle de bain, l’envie me pris de fouiller dans la panière à linges sales.
Il y avait des sous-vêtements de Mamie, des culottes, soutien-gorge et sa chemise de nuit portée de la nuit.
J’en rêvais depuis longtemps.
Je commençais à me caresser doucement en regardant ces trésors sans me soucier de ce qu’il pouvait se passer.
D’un coup, la porte de la salle de bains c’est ouvert !
Papy étais là, devant moi.
C’était un homme grand, un peu rond, bourru parfois
Il m’a surpris le nez dans la culotte de Mamie.
Ma petite bite dure à la main.
Je n’ai même pas eu le réflexe de me cacher.
Trop surpris par son entré.
Il s’est avancé, il portait un bleu de travail et c’est écrié :
- « Voilà à quoi tu t’occupes petit vicieux !! Et avec la culotte de ta grand-mère !!! Et bien tes parents vont être surpris quand je vais leur raconter tout ça !!! »
En parlant il s’avançât vers moi.
Je voyais sa main droite bouger à l’intérieur de sa combinaison.
Il m’a pris la culotte, à regarder ma queue qui rétrécissait et a dit :
- « A moins que tu trouves une solution pour que personne ne le sache !!! je vais dire à tout le monde le vicieux que tu es !!! »
Je lui répondis :
- « Tout ce que tu voudras !! je travaillerais dur, je ferais tout ce que tu me demanderas !!
Il a souri et me dit :
- « Alors, continue ce que tu étais en train de faire !! vas-y caresse ta petite nouille !! Et regarde !!
Il sorti son sexe de sa combinaison.
Il n’était pas très long, un peu épais, tout rouge et l’a agité devant moi.

Je me suis de nouveau caressé ma petite bite devenue toute molle.
Papy tenais sa verge dans sa main et se caressait lentement en me regardant
Moi, j’évitais son regard.
Il a pris ma main libre.
A mis la culotte de Mamie sur son sexe et à poser ma main dessus en me serrant pour que je ne l’enlève pas.
Il faisait des va et vient de plus en plus rapide.
Moi j’étais de nouveau en érection.
Au bout de quelques minutes, Il me dit :
-« Crache ton jus, petite salope !! Vas-y, fait comme si Mémé était la !! »
J’ai joui d’un coup sur le slip car nous étions près l’un de l’autre.
Lui, a commencé à grogner en accélérant le mouvement de ma main il s’est collé contre moi et à cracher un jet de sperme épais sur mon ventre.
Après un petit moment, Il a essuyé sa bite et mon ventre avec la culotte de Mamie.
À regarder ma queue devenue molle et me dit :
- « Et bien on va passer un bon mois de juillet mon petit !!! »
Il m’attrapa par le cou en serrant ma petite queue dans sa main et m’a forcé à l’embrasser.
Sa grosse langue fouillant ma bouche.
En se retirant il dit :
-« Tu vas apprendre à être une bonne petite putain ! Ce sera notre secret !! La prochaine fois que Mamie ira au village, je m’occuperais de ton petit corps et aussi de ton petit cul de puceau !!
Là, j’ai vu un sourire que je n’avais jamais vu chez lui.
Il rangea sa bite, fit demi-tour et reparti à ses occupations.
Plus tard, Mamie est revenue.
Au déjeuner elle m’a demandé si ma matinée c’était bien passer.
Et là, j’ai vu Papy derrière elle me montrer la fameuse culotte en la reniflant et la remis prestement dans sa poche avant que Mamie s’en aperçoive.
Il lui dit :
- « Il a été parfait ! Il doit faire quelques efforts mais il va s’améliorer !!!
Mamie étais très heureuse de savoir que j’avais aidé mon Papy.
Le soir dans ma chambre, je me suis masturbé en repensant à ce qu’il c’était passé mais avec la crainte mélangée d’excitation de ne pas savoir ce qui allait arriver dans les prochains jours.