VENDREDI, SAMEDI, DIMANCHE;

Pour tout dire, fin Mars, je suis partie me confiner en Sologne, oĂč j'ai une longĂšre, lĂ©guĂ©e par mon pĂšre. C'Ă©tait son "pavillon de chasse", mais je suis sure que le seul gibier qu'elle a connu n'avait que 2 pattes et raffolait de jouer Ă  la "BĂȘbĂȘte Ă  2 dos". J'ai modifiĂ© tout l'intĂ©rieur, mais sa vocation n'a pas vraiment changĂ©; c'est restĂ© avant tout un lieu de rĂ©jouissances. En fait, j'ai supprimĂ© toutes les piĂšces, pour ne garder qu'une belle cuisine, une trĂšs grande salle, avec sa cheminĂ©e monumentale, dans laquelle on peut faire rotir un, voire deux sangliers entiers, une salle de bain avec douche pour plusieurs et une trĂšs belle baignoire Ă  remous. Et un sauna.
La salle n'a pas de meuble, juste 3 grands canapés, beaucoup de coussins, des sofas et différentes chaises et fauteuils "à thÚme".
Le petit village est Ă  environ 800m, et vendredi, je suis allĂ©e Ă  la superette, oĂč, comme chaque fois, j'ai demandĂ© Ă  ĂȘtre livrĂ©e. C'est le gĂ©rant qui fait les livraisons, et il passe vers 14h00. Mais lĂ , rien. C'est vers 18h45 que j'ai vu une petite voiture sans permis s'arrĂȘter dans ma cour.et j'ai aperçu un jeune garçon, 17/18 ans descendre et prendre un carton. Il y avait donc un livreur maintenant.
je lui ai indiqué la cuisine, pour qu'il dépose les paquets, sans vraiment le regarder.
Je pensais qu'il avait fini quand j'ai entendu qu'il m'appelait.
"-Vous avez besoin de quelque chose?
- Hé bien, il est 19h passées, et avec le couvre feu, j'ai peur de prendre une amende.
- Vous voulez quoi?, un mot d'excuses?"
En disant ça je l'ai mieux regardĂ©. MalgrĂ© la capuche de son sweat et la tĂȘte lĂ©gĂšrement baissĂ©e, il m'a semblĂ© qu'il avait des traits assez fins.
J'étais un peu agacée. La solitude sans doute.
"- DĂ©jĂ  tu pourrais enlever ta capuche quand tu rentres chez les gens.
-Vraiment, vous préférez?
- Au moins je pourrais voir Ă  quoi tu ressembles"
Au lieu de rabattre la capuche, en un clin d'oeil c'est le sweat entier qui s'est retrouvé sur la table. La surprise, la douceur apparente de ses seins trop blancs, avec leurs aréoles sombres et larges. Je n'ai pas de suite regardé son visage.
"-Est-ce que je pourrais dormir ici cette nuit, pour Ă©viter les ennuis. Je partirai de bonne heure demain matin."
Pour toute réponse, je me suis approchée, et j'ai fait glisser son jean jusqu'à ses pieds.
-"je m'appelle Nina, j'ai presque 19 ans et..."
Le reste c'est perdu contre la pointe de ma langue avec laquelle je caressais ses lÚvres, qu'elle a ouvertes un peu plus pour que je découvre la douceur de sa bouche.
Elle est partie Ă  6h, sans mĂȘme prendre le temps d'un cafĂ©.
J'étais toujours sous le charme de son corps presqu'encore adolescent, de ses caresses assez douces, assez osées et précises pour savoir qu'elle aimait vraiment les femmes, depuis assez longtemps, quand le téléphone a sonné.
"-Je m'appelle Régine. Nina a passé la nuit chez vous. Je vais travailler. Je serai chez vous à 3 h. On va parler toutes les 2"
Aie! la mĂšre en furie.
Un sale 1/4 d'h m'attend cet aprĂšs-midi.
Elle n'a pas attendu 15h.
A 14h ça a frappé à ma porte.
Devant moi, une superbe femme, la trentaine, (je me suis dit que ça ne pouvait pas ĂȘtre sa mĂšre), brune, les cheveux courts, lĂ©gĂšrement maquillĂ©e, vĂȘtue d'un pantalon en cuir noir, d'un magnifique pull dont j'ai de suite reconnu la marque et un blouson en daim.
Elle a semblé interloquée aussi en me voyant.
Sans un mot, elle a jeté un regard sur la piÚce et elle a tourné les talons en disant:
"-On n'est pas quitte. Je reviens trĂšs vite"
Je l'ai regardée partir sans n'avoir rien compris.
Une heure plus tard, une voiture s'arrĂȘtait. Elle est descendue. J'avais ouvert la porte, pour que, si elle Ă©tait trop dĂ©sagrĂ©able, elle ne puisse pas entrer.
"-vous ĂȘtes lĂ , c'est bien."
Elle s'est retournée et à lancer un :
"-Nina! descends!"
J'ai vu un fantĂŽme descendre de la voiture.
Elle Ă©tait nus-pieds, avec un drap qui la couvrait des Ă©paules aux chevilles.
Un drap blanc, avec une dĂ©coupe visiblement faite Ă  la hĂąte pour qu'elle passe la tĂȘte, et autour du cou, une corde de pendu, avec son gros noeud coulant.
En 3 pas elle était à coté de la femme, elle a ramassé la corde qui trainait par terre et la lui a présentée. La femme m'a écartée, sans brutalité mais fermement, est entrée dans la salle avec Nina. Elle s'est dirigée de suite vers la cheminée.
"-Vous avez gardĂ© les crochets intĂ©rieurs, oĂč on faisait pendre les saucisses et le lard?"
Son ton était tellement autoritaire que j'ai répondu "oui", sans un mot malgré son intrusion.
Nina était au bord de la cheminée.
Régine a sorti des menottes de son sac, et a attaché les poignets de Nina aux crochets, puis elle a sorti une barre télescopique qu'elle a déployée et aux extrémités de laquelle elle a attaché les chevilles de Nina.
La petite Nina était debout, en croix, dans son drap blanc, les yeux encore rouges de larmes. Elle paraissait une petite fille apeurée et perdue.
J'allais intervenir quand Régine s'est retournée.
Je n'avais pas vraiment fait attention, mais elle avait changé son pantalon pour une jupe, toujours en cuir, assez sage puisqu'elle descendait à environ 10 cm des genoux.
Elle a remonté un coté de sa jupe. Sanglé à sa cuisse, elle avait un couteau de chasse, un vrai, de ceux qui servent à achever les sangliers.
Elle l'a sorti de son étui, s'est retournée vers Nina, et sans le moindre mot, elle a glissé la lame sous son menton et a découpé le drap, sans le moindre effort jusqu'aux pieds.
je suis restée bouche bée devant le spectacle de Nina, attachée, nue, sans défense, complétement offerte. Il y avait de la tension dans la piÚce, je ne savais pas ce que voulait Régine, mais malgré ça des images me sont apparues..
C'est alors que Régine s'est de nouveau tournée vers moi, son couteau à la main. Elle s'est presque collée à moi et m'a dit dans un souffle:
"-Détache la sangle de ma cuisse, elle commence à me géner".
Son autorité, sa voix, son regard, un peu tout sans doute, je me suis baissée pour détacher les sangles.
"-Mets-toi Ă  genoux pour le faire, ce sera mieux pour ton dos"
Depuis Josy, personne n'avait eu cette emprise naturelle sur moi. Je pouvais l'Ă©couter et faire ce qu'elle demandait, sans chercher Ă  comprendre. Je sentais que ce serait bien pour moi.
Alors, à genoux, avec beaucoup de douceur, en caressant légÚrement, comme par accident le bas de soie qui habillait sa jambe, j'ai dépassé les ardillons des perforations, puis je me suis relevée pour lui présenter le harnais.
Elle a remis le couteau dans son étui, a fermé la languette de sécurité, puis m'a pris un bras pour qu'on soit toutes les 2 de profil face à Nina.
J'avais mis un jean et un polo, en prévision d'une entrevue que je craignais un peu orageuse, pour faire décontractée, mais un peu distante.
Elle s'est encore approchĂ©e de moi, presqu'Ă  ĂȘtre collĂ©e Ă  moi. Et j'ai senti le couteau se glisser entre mes cuisses et remonter au plus haut.
RĂ©gine me regardait avec un lĂ©ger sourire. Je devais ĂȘtre blĂȘme. Je savais que la lame Ă©tait dans son Ă©tui, mais j'ai eu le reflexe de serrer les cuisses. Le couteau Ă©tait dĂ©jĂ  en haut, et elle continuait Ă  vouloir le remonter, J'ai desserrĂ© les cuisses pour essayer d'enlever un peu de la pression sur mon sexe. Elle a commencer Ă  le faire osciller, jusqu'au bas de mes reins, comme si elle voulait prolonger et approfondir mes fentes naturelles.
Elle a tournĂ© la tĂȘte.
"-Tu vois Nina, ta conquĂȘte n'est qu'une garce jouisseuse. Et toi petite salope tu te vautres avec n'importe qui.
Toi, enlĂšve ce jean. Et ton truc en haut aussi."
Pendant que je me dĂ©shabillais, elle s'est rapprocher de Nina, et lui a fait subir la mĂȘme caresse avec l'Ă©tui du couteau. Mais elle, nue, le fourreau Ă©crasait ou Ă©cartait ses grandes lĂšvres suivant le mouvement donnĂ© par RĂ©gine.
Nina tremblait, tout en commençant à gémir.
A entendre ces gémissements, comme ceux de la nuit, j'ai senti mes tétons durcir un peu.
C'est comme si Régine l'avait vu. Elle est revenue vers moi, à sorti le couteau, à tiré sur mon soutien-gorge et découpé un rond a chaque bonnet, comme l'ouverture du drap. C'était à mon tour de trembler, surtout quand la lame froide est descendue sur mon ventre, puis s'est glissée dans ma culotte.
J'avais tournĂ© la tĂȘte. Je regardais Nina intensĂ©ment, et j'ai vu qu'elle avait des larmes qui coulaient. RĂ©gine, elle, a pris ma culotte par l'Ă©lastique, Ă  tirĂ© fort, comme avec le soutien-gorge, et comme pour le drap de Nina, l'a fendue en 2.
Elle a jeté le couteau et l'étui par terre et elle commencé à me caresser;
"-Regarde Nina, cette salope mouille déjà; elle mouillait comme ça cette nuit avec toi?; Hein, espÚce de petite pute! Tu l'as fait mouiller aussi vite"
Les pointes de mes seins ressortaient par les découpes. Elle les a aspiré, et tété tout en me caressant.
"-Elle a les tétons tout durs. Tu veux gouter?"
Elle m'a approchĂ© de Nina, lui a fait pencher la tĂȘte vers mes seins, et au moment oĂč ses lĂšvres allaient me toucher, lui a rejetĂ© la tĂȘte en arriĂšre.
"-Non, non, non sale truie. Tu as eu toute la nuit, maintenant c'est moi qui vais la faire jouir cette chiennasse en rut"
Elle m'a fait reculer un peu, m'a fait m'allonger par terre, ,a posĂ© sa tĂȘte sur mon ventre et a recommencĂ© Ă  me caresser, trĂšs doucement, comme un sculpteur qui fait dĂ©couvrir Ă  ses doigts les contours du modĂšle qu'ils devront reproduire. Mon sexe devenait son jouet. Ce n'Ă©tait plus qu'un fourmillement qui pĂ©nĂ©trait dans tout mon corps, j'Ă©tais Ă  ses doigts. je me sentais couler, mon ventre Ă©tait dur et chaud Ă  l'intĂ©rieur. mon clitoris me semblait gonfler et se tendre encore et encore. puis sa bouche a remplacĂ© ses doigts. L'agilitĂ© de sa langue. Je croyais dĂ©faillir quand elle effleurait mon clitoris, je gĂ©missais quand elle le prenait entre ses lĂšvres pour l'aspirer, le tĂ©ter. je tressautais quand sa langue suivait toute ma fente, en appuyant plus fort au fur a mesure qu'elle remontait lentement.
Elle avait un doigt dans mon anus, puis 2. Et elle me lĂ©chait encore, jusqu'au moment de cette boule de feu qui du sexe remonte jusqu'Ă  la gorge, avec ce rĂąle qu'on ne peut pas retenir. Et les tremblements, puis tout le corps qui se dĂ©tend et cet immense vide qu'on ressent et le bien-ĂȘtre de ce corps lĂ©ger, comme flottant.
Il m'a fallu du temps pour retrouver mes idées.
Je me suis redressée, Régine était nue. Quelle beauté. Son corps était parfait, avec sa toison noire, si noire, presque bleue. Elle avait les jambes légÚrement écartées et je pouvais apercevoir ses lÚvres lisses, Je savais qu'elles étaient déjà humides.
J'ai tournĂ© la tĂȘte vers Nina. Elle pleurait en silence. Des larmes coulaient jusque sur ses seins.
Régine aussi la regardait, et sans la quitter des yeux, s'est approchée de moi, a plié un peu les genoux pour que son sexe soit devant ma bouche.
J'ai collé ma bouche comme une goulue affamée, comme une sangsue. Ma langue s'agitait en tous sens entre ses lÚvres, je voulais laper tout son jus, m'en rassasier, m'en enivrer. Puis j'ai tendu la langue à m'en faire mal pour la pénétrer, pour la baiser avec ce petit gode naturel. Elle commençait à gémir, mais ses gémissements étaient parfois couverts par les sanglots de Nina, qui pourtant essayait de les retenir.
J'ai gouté son anus. J'ai refais avec ma langue ce que son couteau avait fait avec moi.
D'un coup, elle s'est allongée, jambes écartées.
"'Caresse-moi fort. Avec ta main!"
Elle a pris une de mes jambes pour que je me mette a califourchon sur son ventre. "'Plus vite, plus vite, appuies fort, t'arrĂȘte pas oui, oui va s'y"
Elle criait presque. Je me demandais si c'était du plaisir ou de la douleur. Ma main allait et venait de droite a gauche le plus vite possible. J'étais penchée sur son sexe, pour avoir plus de force dans les doigts.
D'un coup elle a presqu'arrachĂ© ma main et ça a jaillit. Un jet violent. j'en avais plein la figure, dans les yeux, le nez, la bouche. DĂšs que ça s'est arrĂȘtĂ©, j'ai collĂ© ma bouche sur son sexe, pour le lĂ©cher, partager cette eau magique. Mais elle m'a vite repoussĂ©e, c'Ă©tait un nouveau jet, moins puissant. elle s'est caressĂ©e elle mĂȘme et un 3ieme jet a explosĂ©. Tout son corps tremblait. Nina pleurait, en marmonnant des "pourquoi, pourquoi tu fais ça,"
Je me suis allongée prÚs de Régine, collée à elle. Elle respirait trÚs fort, ses seins montaient et descendaient au rythme de sa respiration. J'avais envie de les caresser, de les embrasser, de les sucer, mais quelque chose me disait de ne rien faire.
Elle a eu besoin d'un long moment avant de réagir de nouveau. Elle m'a regardée, m'a sourit,. Puis elle s'est levée, elle est allée voir Nina qui pleurait encore. Elle l'a embrassée. Un baiser d'amour. J'en étais presque jalouse, tellement je ressentais la force de son amour. Elle l'a regardée, a essuyé un peu ses larmes, et lui a dit
"-Tu vois ma chĂ©rie, je t'aime tant. je sais que tu ne peux pas t'empĂȘcher de me tromper, mais moi aussi, tu vois je peux faire l'amour avec d'autres que toi;
-oui, mais pourquoi, pourquoi tu as jaillit avec elle. Tu m'avais dit que c'était qu'avec moi, que pour moi, que j'étais la seule à te faire faire ça.
-Je le croyais . Mais tu vois, tu ne pourras plus me tromper avec elle. MĂȘme si vous ĂȘtes seules, je serai lĂ . Je te dĂ©tache ma chĂ©rie, et on va faire l'amour toutes les trois. On va jouir ensemble"
LĂ , je suis intervenue:
"- d'abord le sauna, et une douche froide et aprĂšs.... jusqu'Ă  lundi".
Elles sont parties dimanche avant 19h
Published by SoifdeSex2
3 years ago
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jolicouple20 3 years ago
tu aimes le texte :smile:
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blandinelolita
blandinelolita 3 years ago
J'adore, j'aimerais beaucoup jouer avec la petite Nina!
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caso29
caso29 3 years ago
TrÚs bon récit de soumission féminine
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cupidondu60
cupidondu60 3 years ago
Hummm !!! je viendrais bien passer des vacances en Sologne chez toi avec ma fille, tu lui apprendrait quelques trucs ?
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Guilliver571
Merci tu m'as fait jouir !
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RyoButters
RyoButters 3 years ago
Quelle belle plume et quelles histoires :heart: 
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rickwalk
rickwalk 3 years ago
TrĂšs bon
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Mr_Cunni
Mr_Cunni 3 years ago
to SoifdeSex2 : Cela me rend d'autant plus curieux 
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SoifdeSex2 Publisher 3 years ago
to Mr_Cunni : souvent, oui
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Mr_Cunni
Mr_Cunni 3 years ago
Toujours aussi soumise et coquine??
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switcherwan
switcherwan 3 years ago
❀❀❀❀❀?
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peterparker1968 3 years ago
Sorprendente, original, y muy inquietante este relato. No deja indiferente su lectura. Me gusta mucho. 
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