SOUVENIRS.
SOUVENIRS D'ENFANCE.
Fantasmes ET Réalité / Fantasmes OU Réalité ??!!
Mes premiÚres sensations, comme je pense beaucoup de garçons, ont été au réveil en sentant mon zizi tout dur.
Quel plaisir de sentir les premiers Ă©mois Ă serrer son zizi tout raide.
Ă cette Ă©poque dans notre quartier, les papas travaillaient, les mamans restaient Ă la maison, nous les enfants nous jouions dans la rue.
Nous étions cinq, 2 garçons et 3 filles, de 11 à 15 ans.
L'été les mamans sortaient leurs chaises sur les trottoirs et parlaient entres elles souvent en cousant ou tricotant, certains hommes parlaient entres eux !
Nous, ont jouaient aux cow-boys et aux indiens, à la délivre ou à cache-cache surtout quand il commençait à faire noir.
Du mĂȘme mon Ăąge, il y avait Françoise.
Elle me suivait partout et ça depuis quâon Ă©tait tout petit.
Nous avons fait la découverte de nos corps ensemble.
On allait ensemble dans le jardin de son grand-pĂšre et on jouait au docteur, Ă touche pipi.
Câest elle qui dirigeait, elle me faisait me coucher et me baissait mon short et jouait avec mon zizi.
Elle aimait beaucoup le faire durcir avec des caresses maladroites, jouer avec.
Câest elle qui a eu lâhonneur de voir les premiĂšres goĂ»tes de prĂ©cum sortir de mon petit gland.
Câest aussi Françoise, la 1Ăšre fille Ă mâavoir branlĂ©.
Quand jâavais envie de faire pipi, elle sortait mon zizi et le tenait pour sentir lâurine passĂ© et elle en profitait pour jouer avec.
Quand câĂ©tait elle, je me couchais par terre pour la regarder faire pipi.
Jâaimais beaucoup voir le jet dâurine sortir de son petit abricot.
Quand elle avait fini elle me disait embrasse mon zizi, mon pĂšre embrasse celui de ma maman, je les ai vu le soir quand il croit que je dors et elle lĂšche son zizi, il est gros !
Et je glissais ma langue dans sa fente, elle sentait le pipi, mais câĂ©tait un pur bonheur ! Ensuite câĂ©tait Ă son tour.
Quand lâun dĂ©couvrait quelque chose il s'empressait de la dire Ă l'autre.
Elle me racontait que souvent, le soir, quand elle était couchée et que ses parents pensaient qu'elle dormait, elle les entendait parler tout bas et elle se levait doucement pour aller regarder.
Elle avait vu sa mÚre mettre la quéquette de son pÚre dans sa bouche et jouer avec.
AprĂšs son pĂšre lĂ©chait lâabricot de sa mĂšre et il lui mettait sa quĂ©quette dans le zizi de sa mĂšre et qu'il la faisait entrer et sortir et que quand ils avaient fini ils Ă©taient fatiguĂ©s et dormaient !
Et elle me disait que c'était comme ça que l'on faisait les bébés !
Souvent elle jouait avec ma quéquette et quand elle était raide, elle me faisait me coucher sur elle.
C'est peut-ĂȘtre elle que j'ai pĂ©nĂ©trĂ© pour la premiĂšre fois !
Elle m'a dit :
- « je sens elle est dedans ! »
- « Tu as mal ? »
- « Non ! ça fait drÎle, fait la bouger ! Avant, elle était dessus, mais là , elle est dans ma minette, je la sens bien ! »
AprÚs cette premiÚre fois, il a fallu à chaque fois que je la rentre dans sa fente ou l'on faisait des bébés !
Je lui demandais :
- « Qu'est-ce que ça te fait ? »
- « J'aime bien la sentir bouger, ça chatouille ! »
voilĂ comment au dĂ©but nous avons fait «lâamour» ensemble s'en vraiment s'en douter.
Ma petite bite ne devait pas aller trĂšs loin dans son vagin, peut-ĂȘtre quâelle ne la pĂ©nĂ©trait mĂȘme pas.
Surtout sans risque, je ne jutais pas grand-chose quand je glissais ma petite bite dans son abricot tout lisse, elle nâĂ©tait pas rĂ©glĂ©e !
On avait 11 ans !
Le mercredi, souvent entre garçons nous allions Ă la pĂȘche en dessous de chez nous ! On aimait bien ça mais ça nous permettait Ă©galement de nous isoler pour jouer avec nos quĂ©quettes.
C'était un passe-temps que l'on aimait beaucoup, la plus grosse, la plus grande, celui qui pissait le plus loin et la branlette, celui qui durait le plus longtemps avant que pour les plus avancés, quelques goûtes de jute perles au bout de nos glands !
Alors certain goûtait pour connaßtre le goût de se divin liquide !
Avec Françoise on était allé jouer dans le bois prÚs que chez nous et avions été intrigué par le comportement d'un homme et d'une femme que l'on voyait souvent vers le cimetiÚre que l'on traversait !
On sâest cachĂ© derriĂšre une tombe pour les observer.
Quand ils se sont crus seuls, ils sont passé derriÚre le mur qui donnait sur le bois !
Nous nous sommes approchĂ©s doucement et regardĂ© par-dessus le mur et avons vu la femme dĂ©jĂ nue se coucher par terre et l'homme finir de se dĂ©vĂȘtir !
L'homme se mit à genoux au-dessus de la femme et lui mis sa quéquette dans la bouche !
Au bout d'un petit moment son zizi est devenu raide.
L'homme se mis sur la femme, lui mis sa bite dans lâabricot et commença Ă bouger !
Françoise me tira en arriÚre et me dit à l'oreille :
- « il font des bĂ©bĂ©s, comme je te lâai dĂ©jĂ dit, je vois souvent mon pĂšre et ma mĂšre le faire ! »
Et on remonte sur le mur !
Ils ne nous ont pas vu et sont trop occuper.
Nous les regardons finir.
L'homme se remet sur la femme et lui met sa quéquette dans la bouche qui la suce.
Il se retire et commence Ă s'embrasser !
Nous redescendons Françoise rie en me regardant et me dit :
- « Tu as vu, quand on sera grand on fera comme eux ta quéquette sera grande comme la sienne et je la sucerais comme une sucette ! »
On entends bouger et parler alors on prend nos jambes Ă notre cou et on va se cacher derriĂšre une tombe.
Françoise me dit :
- « Montre-moi la tienne ».
Je baisse mon short.
Elle prend ma quéquette qui devient dure et la regarde.
- « Il faut encore qu'elle grossisse pour faire des bébés et on est encore trop petit !
Mais je peux te la sucer ».
Elle absorba mon zizi et fit comme la femme.
Ravie de voir me tortiller.
- « Tu aimes bien ? »
- « Oh oui !!! Tu me fais des chatouilles ! »
Elle continue Ă jouer avec moi et puis subitement me dit viens on rentre !
Nos petits jeux sexuels n'Ă©tait pas encore tout Ă fait aboutis !
Sensiblement la mĂȘme Ă©poque, ou un peut plus tard, le mercredi et le vendredi soir, deux cousins dormaient chez nous, parce qu'ils Ă©taient tous seul, leurs parents travaillants.
Le matin au réveil le plus grand se branlait en rejetant les couvertures.
JâĂ©tais Ă©merveillĂ© de voir une aussi belle quĂ©quette.
Un matin, me voyant le mater, il me demanda :
- « Tu veux essayer ? »
JâĂ©tais heureux de prendre dans ma main une belle quĂ©quette et quand je senti le jus traverser sa tige et s'Ă©prendre sur son ventre et ma main, jâĂ©tais fier !
TrĂšs vite je me mis Ă les branler tous les deux, chacun leurs tours ou ensemble.
Jâaimais beaucoup ça.
Un peu plus tard, le plus grand, un matin, me demanda de prendre sa bite dans ma bouche et au bout de quelques minutes je senti un jus chaud se rependre dans ma bouche.
Il me dit dâun ton sec :
- « avale !! câest bon !!! »
Et oui, jâai adorĂ© ça.
Jâai vite pris du plaisir Ă les branler et les sucer tous les deux.
Jâaimais sentir la jute, je ne savais pas encore que câĂ©tait du sperme, arriver dans ma bouche.
Le plus jeune me branlait aussi, j'aimais beaucoup et quand un peu de jute câest Ă©coulĂ© de ma petite quĂ©quette, mon cousin m'a dit :
- « on ne vas pas la laisser perdre !! ».
Et il lécha mon petit gland !
JâĂ©tais trĂšs heureux !!!
Le soir, dans mon lit, quand ils nâĂ©taient pas-lĂ , je me faisais plaisir tout seul.
Et ensuite Ă chaque nouvelle branlette, j'avais un peu de jute que je prenais en bouche avec mon doigt !
Il mâest arrivĂ© de juter dans les draps ou dans mon slip, jâimagine que maman sâen apercevait mais elle ne mâa jamais fait une rĂ©flexion !!!
Je suis devenu Bisexuel Ă 12 ans !!!
Fantasmes ET Réalité / Fantasmes OU Réalité ??!!
Mes premiÚres sensations, comme je pense beaucoup de garçons, ont été au réveil en sentant mon zizi tout dur.
Quel plaisir de sentir les premiers Ă©mois Ă serrer son zizi tout raide.
Ă cette Ă©poque dans notre quartier, les papas travaillaient, les mamans restaient Ă la maison, nous les enfants nous jouions dans la rue.
Nous étions cinq, 2 garçons et 3 filles, de 11 à 15 ans.
L'été les mamans sortaient leurs chaises sur les trottoirs et parlaient entres elles souvent en cousant ou tricotant, certains hommes parlaient entres eux !
Nous, ont jouaient aux cow-boys et aux indiens, à la délivre ou à cache-cache surtout quand il commençait à faire noir.
Du mĂȘme mon Ăąge, il y avait Françoise.
Elle me suivait partout et ça depuis quâon Ă©tait tout petit.
Nous avons fait la découverte de nos corps ensemble.
On allait ensemble dans le jardin de son grand-pĂšre et on jouait au docteur, Ă touche pipi.
Câest elle qui dirigeait, elle me faisait me coucher et me baissait mon short et jouait avec mon zizi.
Elle aimait beaucoup le faire durcir avec des caresses maladroites, jouer avec.
Câest elle qui a eu lâhonneur de voir les premiĂšres goĂ»tes de prĂ©cum sortir de mon petit gland.
Câest aussi Françoise, la 1Ăšre fille Ă mâavoir branlĂ©.
Quand jâavais envie de faire pipi, elle sortait mon zizi et le tenait pour sentir lâurine passĂ© et elle en profitait pour jouer avec.
Quand câĂ©tait elle, je me couchais par terre pour la regarder faire pipi.
Jâaimais beaucoup voir le jet dâurine sortir de son petit abricot.
Quand elle avait fini elle me disait embrasse mon zizi, mon pĂšre embrasse celui de ma maman, je les ai vu le soir quand il croit que je dors et elle lĂšche son zizi, il est gros !
Et je glissais ma langue dans sa fente, elle sentait le pipi, mais câĂ©tait un pur bonheur ! Ensuite câĂ©tait Ă son tour.
Quand lâun dĂ©couvrait quelque chose il s'empressait de la dire Ă l'autre.
Elle me racontait que souvent, le soir, quand elle était couchée et que ses parents pensaient qu'elle dormait, elle les entendait parler tout bas et elle se levait doucement pour aller regarder.
Elle avait vu sa mÚre mettre la quéquette de son pÚre dans sa bouche et jouer avec.
AprĂšs son pĂšre lĂ©chait lâabricot de sa mĂšre et il lui mettait sa quĂ©quette dans le zizi de sa mĂšre et qu'il la faisait entrer et sortir et que quand ils avaient fini ils Ă©taient fatiguĂ©s et dormaient !
Et elle me disait que c'était comme ça que l'on faisait les bébés !
Souvent elle jouait avec ma quéquette et quand elle était raide, elle me faisait me coucher sur elle.
C'est peut-ĂȘtre elle que j'ai pĂ©nĂ©trĂ© pour la premiĂšre fois !
Elle m'a dit :
- « je sens elle est dedans ! »
- « Tu as mal ? »
- « Non ! ça fait drÎle, fait la bouger ! Avant, elle était dessus, mais là , elle est dans ma minette, je la sens bien ! »
AprÚs cette premiÚre fois, il a fallu à chaque fois que je la rentre dans sa fente ou l'on faisait des bébés !
Je lui demandais :
- « Qu'est-ce que ça te fait ? »
- « J'aime bien la sentir bouger, ça chatouille ! »
voilĂ comment au dĂ©but nous avons fait «lâamour» ensemble s'en vraiment s'en douter.
Ma petite bite ne devait pas aller trĂšs loin dans son vagin, peut-ĂȘtre quâelle ne la pĂ©nĂ©trait mĂȘme pas.
Surtout sans risque, je ne jutais pas grand-chose quand je glissais ma petite bite dans son abricot tout lisse, elle nâĂ©tait pas rĂ©glĂ©e !
On avait 11 ans !
Le mercredi, souvent entre garçons nous allions Ă la pĂȘche en dessous de chez nous ! On aimait bien ça mais ça nous permettait Ă©galement de nous isoler pour jouer avec nos quĂ©quettes.
C'était un passe-temps que l'on aimait beaucoup, la plus grosse, la plus grande, celui qui pissait le plus loin et la branlette, celui qui durait le plus longtemps avant que pour les plus avancés, quelques goûtes de jute perles au bout de nos glands !
Alors certain goûtait pour connaßtre le goût de se divin liquide !
Avec Françoise on était allé jouer dans le bois prÚs que chez nous et avions été intrigué par le comportement d'un homme et d'une femme que l'on voyait souvent vers le cimetiÚre que l'on traversait !
On sâest cachĂ© derriĂšre une tombe pour les observer.
Quand ils se sont crus seuls, ils sont passé derriÚre le mur qui donnait sur le bois !
Nous nous sommes approchĂ©s doucement et regardĂ© par-dessus le mur et avons vu la femme dĂ©jĂ nue se coucher par terre et l'homme finir de se dĂ©vĂȘtir !
L'homme se mit à genoux au-dessus de la femme et lui mis sa quéquette dans la bouche !
Au bout d'un petit moment son zizi est devenu raide.
L'homme se mis sur la femme, lui mis sa bite dans lâabricot et commença Ă bouger !
Françoise me tira en arriÚre et me dit à l'oreille :
- « il font des bĂ©bĂ©s, comme je te lâai dĂ©jĂ dit, je vois souvent mon pĂšre et ma mĂšre le faire ! »
Et on remonte sur le mur !
Ils ne nous ont pas vu et sont trop occuper.
Nous les regardons finir.
L'homme se remet sur la femme et lui met sa quéquette dans la bouche qui la suce.
Il se retire et commence Ă s'embrasser !
Nous redescendons Françoise rie en me regardant et me dit :
- « Tu as vu, quand on sera grand on fera comme eux ta quéquette sera grande comme la sienne et je la sucerais comme une sucette ! »
On entends bouger et parler alors on prend nos jambes Ă notre cou et on va se cacher derriĂšre une tombe.
Françoise me dit :
- « Montre-moi la tienne ».
Je baisse mon short.
Elle prend ma quéquette qui devient dure et la regarde.
- « Il faut encore qu'elle grossisse pour faire des bébés et on est encore trop petit !
Mais je peux te la sucer ».
Elle absorba mon zizi et fit comme la femme.
Ravie de voir me tortiller.
- « Tu aimes bien ? »
- « Oh oui !!! Tu me fais des chatouilles ! »
Elle continue Ă jouer avec moi et puis subitement me dit viens on rentre !
Nos petits jeux sexuels n'Ă©tait pas encore tout Ă fait aboutis !
Sensiblement la mĂȘme Ă©poque, ou un peut plus tard, le mercredi et le vendredi soir, deux cousins dormaient chez nous, parce qu'ils Ă©taient tous seul, leurs parents travaillants.
Le matin au réveil le plus grand se branlait en rejetant les couvertures.
JâĂ©tais Ă©merveillĂ© de voir une aussi belle quĂ©quette.
Un matin, me voyant le mater, il me demanda :
- « Tu veux essayer ? »
JâĂ©tais heureux de prendre dans ma main une belle quĂ©quette et quand je senti le jus traverser sa tige et s'Ă©prendre sur son ventre et ma main, jâĂ©tais fier !
TrĂšs vite je me mis Ă les branler tous les deux, chacun leurs tours ou ensemble.
Jâaimais beaucoup ça.
Un peu plus tard, le plus grand, un matin, me demanda de prendre sa bite dans ma bouche et au bout de quelques minutes je senti un jus chaud se rependre dans ma bouche.
Il me dit dâun ton sec :
- « avale !! câest bon !!! »
Et oui, jâai adorĂ© ça.
Jâai vite pris du plaisir Ă les branler et les sucer tous les deux.
Jâaimais sentir la jute, je ne savais pas encore que câĂ©tait du sperme, arriver dans ma bouche.
Le plus jeune me branlait aussi, j'aimais beaucoup et quand un peu de jute câest Ă©coulĂ© de ma petite quĂ©quette, mon cousin m'a dit :
- « on ne vas pas la laisser perdre !! ».
Et il lécha mon petit gland !
JâĂ©tais trĂšs heureux !!!
Le soir, dans mon lit, quand ils nâĂ©taient pas-lĂ , je me faisais plaisir tout seul.
Et ensuite Ă chaque nouvelle branlette, j'avais un peu de jute que je prenais en bouche avec mon doigt !
Il mâest arrivĂ© de juter dans les draps ou dans mon slip, jâimagine que maman sâen apercevait mais elle ne mâa jamais fait une rĂ©flexion !!!
Je suis devenu Bisexuel Ă 12 ans !!!
3 years ago