1ère rencontre d'une longue série
Stephane a Disposition
1ère rencontre
Notre rencontre a commencée par de nombreux échanges par mail et très souvent ils ont été houleux… tout cela à cause de l’empressement à écrire et même à lire les textes sans y apporter toute l’attention nécessaire ou tout simplement parce qu’il n’est pas possible d’apporter aux écrits les nuances voulues que l’on peut faire passer de visu ou par téléphone.
Après une rupture définitive elle m’a jeté comme l’on peut jeter un vieux kleenex
Persuadé qu’il s’agissait d’un énorme malentendu... Je l’ai inondée de mails pour lui demander de bien vouloir reprendre contact avec moi afin qu’elle daigne me tester au moins une fois pour vérifier qu’elle pouvait réellement faire de moi son esclave dévoué
Suite à une très longue conversation téléphonique elle me convoqua dans un bar place de la Madeleine à 15h00 précise. En signe de reconnaissance je devais tenir aussi discrètement que possible à la main gauche le collier de cuir qu’elle m’avait demandé d’acheter.
Inutile de dire que je suis arrivé à 14h45 à la table qu’elle m’avait indiquée… tout au fond de ce bar dans un recoin. J’étais excité comme un gosse la veille de Noël…
Je ne connaissais rien d’elle, ni son apparence physique, ni même comment elle serait habillée… je savais simplement d’après nos conversations... que nous avions de nombreuses affinités BDSM, et qu’au moins sur ce plan, je devrais être à même de pouvoir lui donner satisfaction… même si d’après ses dires j’avais de nombreux progrès à faire, mais ce n’était pas un problème puisqu’elle se chargerait de me les faire faire.
Une... Puis deux… Puis trois femmes pouvant correspondre à l’idée que je me faisais d’elle passèrent près de la table… Cette dernière me voyant avec le collier à la main ralentit jeta un regard insistant sur l’objet… me regarda droit dans les yeux avec un petit sourire qui en disait long sur sa pensée…
Etait ce elle ?
Non… elle continua son chemin comme les précédentes… je compris plus tard qu’en fait elles descendaient au téléphone ou aux toilettes qui étaient au sous-sol… Mais personne n’était venu m’aborder…
15h00… personne… 15h05… personne... 15h10… personne… 15h15 personne… je commençais à penser qu’une fois de plus j’étais tombé sur une fantasmeuse ou alors… qu’elle était venue, m’avait vu, et que je ne lui convenais pas physiquement. Je pensais qu’au moins elle aurait pu me le dire afin que je ne passe pas mon après midi à l’attendre pour rien.
Je me fixe comme dernière limite 15h30, après c’est décidé, je pars et tant pis… j’aurais une fois de plus été trop naïf.
A peine avais je terminé cette pensée que je la vis apparaître… Evidemment cela ne pouvait être qu’elle.
Une vraie déesse… Une femme superbe, la quarantaine… Grande brune aux cheveux longs … Elancée à l’allure très hautaine… un grand chapeau noir au large bord… une veste rouge… jupe de cuir noir... bas noirs… et perchée sur des chaussures à talons qui me parurent gigantesques.
Elle s’approche de moi… je tremble d’émotion… C’est elle, cette fois j’en suis certain, vu le regard glacial qu’elle me lance…
Comme elle s’approche de moi… je me lève… elle me lance d’un ton autoritaire
- Stéphane ?
- Oui Maîtresse
- Je ne suis pas ta Maîtresse appelle moi Madame
- Bien Madame (cela met tout de suite dans l’ambiance)
Elle s’approche de moi et passe sa main sous ma veste pour vérifier que je porte bien les pinces à seins comme elle me l’avait demandé. Elle vérifie en passant d’un téton à l’autre en suivant la chaîne qui relie les deux pinces… Elle plaque sa main et appuie légèrement sur la deuxième pince… puis pousse de plus en plus fort… jusqu'à ce que je commence à gémir, la douleur commençant à devenir trop forte.
- Hummm c’est parfait je vois que tu es obéissant et que tu supportes assez bien.
Elle s’assied… je fais de même…
- T’ai je autorisé à t’asseoir à ma table ?
Je me relève aussitôt en lui répondant
- Non Madame… je suis désolé… et je vous prie de bien vouloir me pardonner
Je reste ainsi planté là, ne sachant plus quoi faire Elle passe plusieurs minutes à me regarder d’un air narquois en manipulant le collier que j’avais laissé sur un coin de la table. Le temps passe… d’un air dédaigneux me fixant d’un regard glacial elle m’ordonne de baisser les yeux elle me toisa ainsi de haut en bas… de très longues minutes… puis elle me dit d’une voix douce mais autoritaire
- Assieds toi !
J’obéis illico… voyant mon désarroi elle sourit sournoisement… et me lance
- Tu commences très très mal…
Néanmoins, elle engage la conversation en parlant de choses et d’autres n’ayant rien à voir avec le BDSM… puis au cours de la conversation elle me lance
- As tu apporté les objets dont tu m’avais parlé ?
- Oui Madame
- Fais moi voir cela.
- Je sors de ma poche le carcan de sexe en cuir couvert à l’intérieur de punaises à 3 têtes ainsi que la sangle à couilles également couverte de ces punaises à 3 têtes
- Hummm intéressant mais c’est encore pire que tu ne me l’avais dit… J’AIME…
Elle les manipule… les examine… les teste avec ses doigts… et me demande combien de temps je suis à même de les porter.
- Je n’ai jamais calculé… mais je pense plusieurs heures…
- Hummmm c’est PARFAIT...
Tout en continuant à les manipuler, elle reprend la conversation en me questionnant sur ce que j’avais déjà vécu... subit… sur mes préférences… mes désirs… mes limites… sur ce que je pense pouvoir subir ou faire, etc…
Après une bonne heure et demi de conversation qui me paraissait intéressante et productive… elle me dit
- Cà suffit pour aujourd’hui… maintenant… tu vas aller au bar demander pour téléphoner… ils vont t’indiquer et tu m’attendras à coté de la cabine
Je me dirige donc vers le bar pour demander. Le barman étant occupé avec un client je patiente… Une fois sa commande prise il se tourne vers moi… Je lui demande pour téléphoner… Il m’indique que le téléphone se trouve au sous-sol à coté des toilettes.
Je prends donc la direction du sous-sol. Mais en passant près de la table ou nous étions… plus personne… Je crains le pire… Qu’ai je pu dire ou faire qui l’aurait froissée? Elle aurait disparue ainsi sans explication? Je n’ose y croire… J’essaie de me rappeler rapidement ce que j’aurai pu dire ou faire de travers.. mais je ne trouve aucune réponse…
Que faire… descendre comme elle me l’avait demandé ? Partir avec ce doute ?
Perdu pour perdu je décide tout de même de descendre…
A peine arrive en bas… au fond d’un couloir mal éclairé… j’aperçois sa silhouette dans la pénombre près de la cabine téléphonique.
Je suis rassuré… je m’approche… mais à peine suis je arrivé à deux mètres d’elle, qu’elle claque du doigt la main tendue vers le sol et me dit :
- Prosterne toi devant moi
Surpris, et terrassé par la peur de mal faire, je n’ai aucune idée de la façon de gérer cet événement… Comprenant mon désarroi elle me lance
- Tu es vraiment nul… Mets toi à genoux et prosterne toi devant moi et embrasses mes chaussures
A partir de cet instant, j’ai compris qu’elle avait décidé que j’allais lui appartenir.
Je n’ai jamais vécu ce genre de situation. Je suis fébrile et excité mais j’éprouve une certaine hantise à exécuter cet ordre. L’idée que quelqu’un puisse arriver et me voir dans cette position me fait perdre tout mes moyens.
- Bon tu te dépêches ? Tu obéis ?
J’exécute je me mets à genoux devant elle et j’embrasse ses chaussures…
- Allez continue et mieux que cela…
J’exécute je suis à la fois excité et troublé par la situation… mélange de plaisir, de trouble et de peur… Et si quelqu’un arrivait ?
- Très bien... tu sembles très obéissant… et relativement bien dressé… Maintenant lèche mes chaussures
- J’ai honte… mais j’exécute à nouveau… Je fais de mon mieux pour lui plaire… bien que je sois en panique totale… j’ai peur d’être surpris dans cette position mais également et surtout j’ai peur de ne pas lui donner satisfaction…
Elle me laissa ainsi lui lécher les chaussures plusieurs secondes qui me parurent des heures…
Je sentais qu’elle prenait un malin plaisir à faire durer…
Elle s’assied avec classe les jambes légèrement écartées sur le grand tabouret qui était là, à coté du téléphone. Une jambe tendu un pied par terre et l’autre jambe légèrement repliée son pied reposant sur le barreau. Malgré les yeux baissés j’avais vue entre ses jambes et je me rendis compte qu’elle était nue sous sa jupe de cuir… Cette vue m’excita elle s’en aperçu et me dit en souriant :
- Ca va ? tu profites bien de la vue ?
J’étais gèné qu’elle s‘en soit aperçu. Je ne savais pas quoi répondre et je n’ai pas eu le temps de lui répondre, qu’elle me dit de lui retirer sa chaussure… Elle me tend son pied et je lui retire sa chaussure. Elle commence par faire glisser lentement son pied entre mes cuisses… tout en remontant elle insiste et en appuie sur mon sexe quelques secondes… puis continue et remontant encore… jusqu’aux tétons qu’elle pris soin d’exciter avec son orteil… elle joue quelques instant avec les pinces qui me font de plus en plus mal… pendant ce temps son autre pied se frotte sur mon sexe dressé. Je suis de plus en plus excité. puis elle continue et remonte son pied jusqu'à ma bouche…
J’étais prêt à embrasser ou lécher à nouveau quand elle me dit
- Suce le
Je prends son pied entre mes main et je commence à le lécher
- Tu es sourd ? Je ne t’ai pas dit LECHE mais SUCE LE!
Je ne suis pas certain de bien comprendre.
- Ouvre la bouche
J’exécute… et elle me rentre ses orteils dans la bouche puis tout doucement elle les enfonce de plus en plus en faisant de légers vas et viens
- Mais tu es une bonne petite salope pour sucer comme ca… continue comme cela et applique toi bien… je sens que tu vas plaire a beaucoup de monde…
Après quelques minutes elle retira son pied et me dit Soudain elle me dit
- Cela suffit redresse toi et baisse les yeux
Elle me passe le collier que j’avais acheté autour du cou, sort de son sac à main une laisse qu’elle accroche à l’anneau du collier. Elle me tient en laisse… elle enfile sa chaussure et me traînant derrière elle nous faisons quelques pas dans le couloir… Sa démarche chaloupée devant moi me met dans un état second… Arrivés au bout de ce couloir nous faisons demi-tour... elle me regarde d’un air amusé puis revenons vers la cabine… arrivé à coté de la cabine elle me demande de me remettre à genoux.
- Bon Il faut que je téléphone à des amis… Et puis non tiens c’est toi qui vas appeler… Tu vas tomber sur Anne ou Jacques et tu leur dis que je passerais dans 30 minutes. Mais je te préviens tu ne fais aucune allusion sur quoique ce soit… Tu ne dis que ce que je t’ai demandé.
Elle sort de son sac un carnet, le feuillette puis décroche le téléphone, fait le numéro et me tend le combiné.
Ca sonne... Une fois… Deux fois… On décroche… c’est Anne
- Bonjour Madame… Je suis Stéphane et je vous appelle de la part de Madame XXXX qui m’a chargé de vous prévenir de sa visite, elle sera chez vous dans environ 30 minutes
- Ok merci Stéphane Bonne fin de journée au revoir.
La conversation a été un peu plus longue mais cela ne présentait pas grand intérêt.
Madame me félicita pour cette conversation… puis les événements s’enchaînèrent…
Une fois le téléphone raccroché… elle tire sur la laisse et m’entraîne dans les toilettes des femmes…
De pire en pire… je ne sais plus quoi faire je panique totalement… Elle ouvre la porte des toilettes pour handicapés (plus large que des toilettes habituelles) et me pousse à l’intérieur… Elle entre et referme la porte en la verrouillant.
- Très bien tu me sembles être au niveau de ce que tu m’as dit être… dévoué... obéissant… soumis à souhait mais es tu capable de me donner totale satisfaction ?
- Je ne sais pas Madame… je ne sais pas ce que vous attendez de moi
- TOUT, je veux tout de toi et que tu me sois TOTALEMENT DEVOUE, que tu obéisses au moindre de mes ordres
- Oui Madame, je désire réellement vous appartenir afin de devenir votre esclave et assouvir vos désirs et plaisirs.
Elle s’esclaffe et me dit :
- PARFAIT, J’AIME CE LANGAGE mais tu as encore beaucoup de chemin à parcourir… Retire ta veste
A peine l’avais je retiré et accrochée au porte manteau qu’elle me plaque au mur face contre la paroi… elle se serre contre moi… les pinces touchant le mur me mordent les seins et j’ai de plus en plus mal… Elle me place un foulard sur les yeux… puis elle me retourne… tire la laisse de côté… et je la sens se frotter contre moi… une jambe entre les miennes… son genou remonte entre mes cuisses pour venir appuyer sur mon sexe (en érection depuis longtemps) Elle commence à me palper de partout… serre mes fesses à pleine main… m’enfonce deux doigts dans la bouche en faisant des vas et viens… Puis ses mains descendent sur mon torse, elle joue rapidement avec les pinces puis glisse sur mon ventre et à travers mon pantalon elle attrappe mon sexe à pleine main… Je n’en peux déjà plus… l’excitation est à son comble… je tremble de partout d’excitation et de plaisir... elle me comprime le sexe… m’écrase les couilles… puis elle s’écarte et me laisse ainsi dans un état proche de l’orgasme… elle me dit
- Baisse ton pantalon et appuis toi sur la réserve d’eau des toilettes.
J’exécute, Je suis maintenant pantalon baissé, le cul nu et offert à ses caprices, ses mains reprennent leur promenade sur mon corps … elle me masturbe avec vigueur 10 secondes puis arrête… elle me presse les couilles de plus en plus fort les tire avant de me caresser l’anus… Elle me demande…
- Je continue ou pas ?
- Oui Madame, utilisez moi comme vous le désirerez
- J’ADORE CELA mais sache que tu peux toujours me dire STOP j’arrêterais… et selon mon niveau de satisfaction atteint tu seras ou ne seras pas mon esclave c’est à toi de voir !
- Oui madame
Elle est derrière moi… Je lui tourne le dos… mais je l’entends fouiller dans son sac… sans rien voir de ce qui se passe… puis après quelques secondes… je sens un corps froid glisser sur mon anus… puis se faire insistant… puis se retirer… puis de nouveau se faire de plus en plus insistant… puis me forcer… de plus en plus fort… Puis me pénétrer d’un coup et d’une telle force que j’en vacille… de douleur… la douleur et le plaisir mélangés me font perdre mes moyens.
Je ne le saurais que plus tard mais en fait elle vient de me sodomiser avec un plug ENORME… qui de plus s’avèrera être vibrant.
Mais pour le moment elle n’a fait que de me le mettre violemment avec des vas et viens de plus en plus profonds
- SUPERBE, de plus tu es vraiment une bonne salope et tu prends bien Cela me plait énormément… Retourne toi et mets toi à genoux.
J’exécute. Elle me guide la tête sur son sexe et me demande de la lécher. Elle me plaque la bouche sur son sexe …
- Allez lèche moi et correctement petite salope
Je m’y emploie du mieux que je peux… elle m’empoigne par la tête et me guide pour son plaisir. Mes lèvres s’abîment sur son sexe … ma langue la pénètre et la lèche en douceur… je fais de mon mieux… Son goût est sucré… Son odeur suave… je suis son objet de plaisir. Je parcours les plis et les replis de son sexe… elle guide ma bouche… j’excite son clitoris… je l’entends gémir… Elle laisse à peine suinter son nectar dans ma bouche et d’un coup me rejette en arrière…
- Stop ca suffit.
Je l’entend baisser l’abattant des toilettes et me dit assieds toi sur les toilettes
J’exécute je m’assieds… je sens le plug me pénétrer encore plus profondément. Elle m’enfile un préservatif puis elle vient s’empaler sur mon sexe qui n’en peut plus d’être en érection.
Elle s’enfonce mon sexe en elle… Elle se pénètre sur le gode vivant que je suis devenu…elle s’excite elle même à son rythme avec les mouvements qui lui plaisent… je suis au bord de l’extase… Elle me viole… et je ne suis plus que son jouet sexuel à sa merci… quand enfin elle jouit en lâchant des gémissements de plaisirs. Je n’ai pas éjaculé mais le plaisir est intense… je reste tendu et cela m’en fait mal. Je n’en puis plus j’aurais tellement aimé l’accompagner dans ce plaisir.
Elle se dégage. Je prends mon sexe en me caressant pour me masturber et en finir quand je reçois une gifle magistrale
- Qui t’a permis de te branler ? espèce de sale petite pute… tu te prends pour qui pour décider de toi même ?
Je ne sais plus ou me mettre… elle me lance
- Ne recommence jamais à prendre des initiatives de ce genre. Tu veux être mon esclave …
A partir de maintenant tu l’es, je t’ai pris donc je te possède. A partir de maintenant je ne tolèrerais plus aucun écart que cela soit bien clair. Habilles toi. Cela suffit pour l’instant je n’ai pas de temps à perdre… j’ai rendez vous… et puisque tu n’as rien à faire tu vas m’accompagner.
- Oui Madame
Sans rien voir venir je me prends à nouveau une gifle magistrale…
- MAITRESSE... Tu es idiot ou quoi ? je viens de te le dire. A présent je suis TA MAITRESSE tu n’as pas compris ou quoi ? J’exige que tu utilises ce terme systématiquement à chaque fois que tu t’adresse à moi… sauf quand je t’appellerais Stéphane face à des gens non initiés… dans ce cas tu me diras Madame. Est ce bien clair salope
- Oui Maîtresse
- Parfait … Tout à l’heure tu as appelé chez Anne et Jacques… nous y allons ensemble… Mais j’exige une discrétion absolue, je ne veux aucune allusion sur notre relation Maîtresse Esclave c’est compris ? Ce sont des amis qui ne pratiquent pas, donc si on te questionne tu te présenteras comme une connaissance de travail, point barre. A la moindre incartade de ta part tu en subiras les conséquences Est ce bien clair
- Oui Maîtresse
- Bien, avant d’y aller je veux que tu mettes ton carcan a pointe il faut que je vois cela…
Je sors donc le carcan que je le fixe sur mon sexe encore en érection… Les pointes me mordent mais c’est supportable.
- Très intéressant… Regarde moi
Je lève la tête elle me fixe droit dans les yeux et je sens sa main empoigner le carcan en le serrant… Elle serre de plus en plus fort tout en me regardant fixement. Arrivé à un certain stade la douleur se fait trop grande et je grimace de douleur… Elle sourit avec un petit air de satisfaction sadique
- Tu me plais quand tu grimaces. J’aime que tu souffres par et pour moi. Bon habille toi nous y allons
Je remonte mon pantalon et je m’habille. Elle détache mon collier et le range dans son sac.
Nous sommes remontés et nous partîmes chez ses amis Anne et Jacques.
Cette première rencontre a été le début d'une relation éducative qui a duré plus de 2 ans et le début d'une grande aventure qui a suivi
1ère rencontre
Notre rencontre a commencée par de nombreux échanges par mail et très souvent ils ont été houleux… tout cela à cause de l’empressement à écrire et même à lire les textes sans y apporter toute l’attention nécessaire ou tout simplement parce qu’il n’est pas possible d’apporter aux écrits les nuances voulues que l’on peut faire passer de visu ou par téléphone.
Après une rupture définitive elle m’a jeté comme l’on peut jeter un vieux kleenex
Persuadé qu’il s’agissait d’un énorme malentendu... Je l’ai inondée de mails pour lui demander de bien vouloir reprendre contact avec moi afin qu’elle daigne me tester au moins une fois pour vérifier qu’elle pouvait réellement faire de moi son esclave dévoué
Suite à une très longue conversation téléphonique elle me convoqua dans un bar place de la Madeleine à 15h00 précise. En signe de reconnaissance je devais tenir aussi discrètement que possible à la main gauche le collier de cuir qu’elle m’avait demandé d’acheter.
Inutile de dire que je suis arrivé à 14h45 à la table qu’elle m’avait indiquée… tout au fond de ce bar dans un recoin. J’étais excité comme un gosse la veille de Noël…
Je ne connaissais rien d’elle, ni son apparence physique, ni même comment elle serait habillée… je savais simplement d’après nos conversations... que nous avions de nombreuses affinités BDSM, et qu’au moins sur ce plan, je devrais être à même de pouvoir lui donner satisfaction… même si d’après ses dires j’avais de nombreux progrès à faire, mais ce n’était pas un problème puisqu’elle se chargerait de me les faire faire.
Une... Puis deux… Puis trois femmes pouvant correspondre à l’idée que je me faisais d’elle passèrent près de la table… Cette dernière me voyant avec le collier à la main ralentit jeta un regard insistant sur l’objet… me regarda droit dans les yeux avec un petit sourire qui en disait long sur sa pensée…
Etait ce elle ?
Non… elle continua son chemin comme les précédentes… je compris plus tard qu’en fait elles descendaient au téléphone ou aux toilettes qui étaient au sous-sol… Mais personne n’était venu m’aborder…
15h00… personne… 15h05… personne... 15h10… personne… 15h15 personne… je commençais à penser qu’une fois de plus j’étais tombé sur une fantasmeuse ou alors… qu’elle était venue, m’avait vu, et que je ne lui convenais pas physiquement. Je pensais qu’au moins elle aurait pu me le dire afin que je ne passe pas mon après midi à l’attendre pour rien.
Je me fixe comme dernière limite 15h30, après c’est décidé, je pars et tant pis… j’aurais une fois de plus été trop naïf.
A peine avais je terminé cette pensée que je la vis apparaître… Evidemment cela ne pouvait être qu’elle.
Une vraie déesse… Une femme superbe, la quarantaine… Grande brune aux cheveux longs … Elancée à l’allure très hautaine… un grand chapeau noir au large bord… une veste rouge… jupe de cuir noir... bas noirs… et perchée sur des chaussures à talons qui me parurent gigantesques.
Elle s’approche de moi… je tremble d’émotion… C’est elle, cette fois j’en suis certain, vu le regard glacial qu’elle me lance…
Comme elle s’approche de moi… je me lève… elle me lance d’un ton autoritaire
- Stéphane ?
- Oui Maîtresse
- Je ne suis pas ta Maîtresse appelle moi Madame
- Bien Madame (cela met tout de suite dans l’ambiance)
Elle s’approche de moi et passe sa main sous ma veste pour vérifier que je porte bien les pinces à seins comme elle me l’avait demandé. Elle vérifie en passant d’un téton à l’autre en suivant la chaîne qui relie les deux pinces… Elle plaque sa main et appuie légèrement sur la deuxième pince… puis pousse de plus en plus fort… jusqu'à ce que je commence à gémir, la douleur commençant à devenir trop forte.
- Hummm c’est parfait je vois que tu es obéissant et que tu supportes assez bien.
Elle s’assied… je fais de même…
- T’ai je autorisé à t’asseoir à ma table ?
Je me relève aussitôt en lui répondant
- Non Madame… je suis désolé… et je vous prie de bien vouloir me pardonner
Je reste ainsi planté là, ne sachant plus quoi faire Elle passe plusieurs minutes à me regarder d’un air narquois en manipulant le collier que j’avais laissé sur un coin de la table. Le temps passe… d’un air dédaigneux me fixant d’un regard glacial elle m’ordonne de baisser les yeux elle me toisa ainsi de haut en bas… de très longues minutes… puis elle me dit d’une voix douce mais autoritaire
- Assieds toi !
J’obéis illico… voyant mon désarroi elle sourit sournoisement… et me lance
- Tu commences très très mal…
Néanmoins, elle engage la conversation en parlant de choses et d’autres n’ayant rien à voir avec le BDSM… puis au cours de la conversation elle me lance
- As tu apporté les objets dont tu m’avais parlé ?
- Oui Madame
- Fais moi voir cela.
- Je sors de ma poche le carcan de sexe en cuir couvert à l’intérieur de punaises à 3 têtes ainsi que la sangle à couilles également couverte de ces punaises à 3 têtes
- Hummm intéressant mais c’est encore pire que tu ne me l’avais dit… J’AIME…
Elle les manipule… les examine… les teste avec ses doigts… et me demande combien de temps je suis à même de les porter.
- Je n’ai jamais calculé… mais je pense plusieurs heures…
- Hummmm c’est PARFAIT...
Tout en continuant à les manipuler, elle reprend la conversation en me questionnant sur ce que j’avais déjà vécu... subit… sur mes préférences… mes désirs… mes limites… sur ce que je pense pouvoir subir ou faire, etc…
Après une bonne heure et demi de conversation qui me paraissait intéressante et productive… elle me dit
- Cà suffit pour aujourd’hui… maintenant… tu vas aller au bar demander pour téléphoner… ils vont t’indiquer et tu m’attendras à coté de la cabine
Je me dirige donc vers le bar pour demander. Le barman étant occupé avec un client je patiente… Une fois sa commande prise il se tourne vers moi… Je lui demande pour téléphoner… Il m’indique que le téléphone se trouve au sous-sol à coté des toilettes.
Je prends donc la direction du sous-sol. Mais en passant près de la table ou nous étions… plus personne… Je crains le pire… Qu’ai je pu dire ou faire qui l’aurait froissée? Elle aurait disparue ainsi sans explication? Je n’ose y croire… J’essaie de me rappeler rapidement ce que j’aurai pu dire ou faire de travers.. mais je ne trouve aucune réponse…
Que faire… descendre comme elle me l’avait demandé ? Partir avec ce doute ?
Perdu pour perdu je décide tout de même de descendre…
A peine arrive en bas… au fond d’un couloir mal éclairé… j’aperçois sa silhouette dans la pénombre près de la cabine téléphonique.
Je suis rassuré… je m’approche… mais à peine suis je arrivé à deux mètres d’elle, qu’elle claque du doigt la main tendue vers le sol et me dit :
- Prosterne toi devant moi
Surpris, et terrassé par la peur de mal faire, je n’ai aucune idée de la façon de gérer cet événement… Comprenant mon désarroi elle me lance
- Tu es vraiment nul… Mets toi à genoux et prosterne toi devant moi et embrasses mes chaussures
A partir de cet instant, j’ai compris qu’elle avait décidé que j’allais lui appartenir.
Je n’ai jamais vécu ce genre de situation. Je suis fébrile et excité mais j’éprouve une certaine hantise à exécuter cet ordre. L’idée que quelqu’un puisse arriver et me voir dans cette position me fait perdre tout mes moyens.
- Bon tu te dépêches ? Tu obéis ?
J’exécute je me mets à genoux devant elle et j’embrasse ses chaussures…
- Allez continue et mieux que cela…
J’exécute je suis à la fois excité et troublé par la situation… mélange de plaisir, de trouble et de peur… Et si quelqu’un arrivait ?
- Très bien... tu sembles très obéissant… et relativement bien dressé… Maintenant lèche mes chaussures
- J’ai honte… mais j’exécute à nouveau… Je fais de mon mieux pour lui plaire… bien que je sois en panique totale… j’ai peur d’être surpris dans cette position mais également et surtout j’ai peur de ne pas lui donner satisfaction…
Elle me laissa ainsi lui lécher les chaussures plusieurs secondes qui me parurent des heures…
Je sentais qu’elle prenait un malin plaisir à faire durer…
Elle s’assied avec classe les jambes légèrement écartées sur le grand tabouret qui était là, à coté du téléphone. Une jambe tendu un pied par terre et l’autre jambe légèrement repliée son pied reposant sur le barreau. Malgré les yeux baissés j’avais vue entre ses jambes et je me rendis compte qu’elle était nue sous sa jupe de cuir… Cette vue m’excita elle s’en aperçu et me dit en souriant :
- Ca va ? tu profites bien de la vue ?
J’étais gèné qu’elle s‘en soit aperçu. Je ne savais pas quoi répondre et je n’ai pas eu le temps de lui répondre, qu’elle me dit de lui retirer sa chaussure… Elle me tend son pied et je lui retire sa chaussure. Elle commence par faire glisser lentement son pied entre mes cuisses… tout en remontant elle insiste et en appuie sur mon sexe quelques secondes… puis continue et remontant encore… jusqu’aux tétons qu’elle pris soin d’exciter avec son orteil… elle joue quelques instant avec les pinces qui me font de plus en plus mal… pendant ce temps son autre pied se frotte sur mon sexe dressé. Je suis de plus en plus excité. puis elle continue et remonte son pied jusqu'à ma bouche…
J’étais prêt à embrasser ou lécher à nouveau quand elle me dit
- Suce le
Je prends son pied entre mes main et je commence à le lécher
- Tu es sourd ? Je ne t’ai pas dit LECHE mais SUCE LE!
Je ne suis pas certain de bien comprendre.
- Ouvre la bouche
J’exécute… et elle me rentre ses orteils dans la bouche puis tout doucement elle les enfonce de plus en plus en faisant de légers vas et viens
- Mais tu es une bonne petite salope pour sucer comme ca… continue comme cela et applique toi bien… je sens que tu vas plaire a beaucoup de monde…
Après quelques minutes elle retira son pied et me dit Soudain elle me dit
- Cela suffit redresse toi et baisse les yeux
Elle me passe le collier que j’avais acheté autour du cou, sort de son sac à main une laisse qu’elle accroche à l’anneau du collier. Elle me tient en laisse… elle enfile sa chaussure et me traînant derrière elle nous faisons quelques pas dans le couloir… Sa démarche chaloupée devant moi me met dans un état second… Arrivés au bout de ce couloir nous faisons demi-tour... elle me regarde d’un air amusé puis revenons vers la cabine… arrivé à coté de la cabine elle me demande de me remettre à genoux.
- Bon Il faut que je téléphone à des amis… Et puis non tiens c’est toi qui vas appeler… Tu vas tomber sur Anne ou Jacques et tu leur dis que je passerais dans 30 minutes. Mais je te préviens tu ne fais aucune allusion sur quoique ce soit… Tu ne dis que ce que je t’ai demandé.
Elle sort de son sac un carnet, le feuillette puis décroche le téléphone, fait le numéro et me tend le combiné.
Ca sonne... Une fois… Deux fois… On décroche… c’est Anne
- Bonjour Madame… Je suis Stéphane et je vous appelle de la part de Madame XXXX qui m’a chargé de vous prévenir de sa visite, elle sera chez vous dans environ 30 minutes
- Ok merci Stéphane Bonne fin de journée au revoir.
La conversation a été un peu plus longue mais cela ne présentait pas grand intérêt.
Madame me félicita pour cette conversation… puis les événements s’enchaînèrent…
Une fois le téléphone raccroché… elle tire sur la laisse et m’entraîne dans les toilettes des femmes…
De pire en pire… je ne sais plus quoi faire je panique totalement… Elle ouvre la porte des toilettes pour handicapés (plus large que des toilettes habituelles) et me pousse à l’intérieur… Elle entre et referme la porte en la verrouillant.
- Très bien tu me sembles être au niveau de ce que tu m’as dit être… dévoué... obéissant… soumis à souhait mais es tu capable de me donner totale satisfaction ?
- Je ne sais pas Madame… je ne sais pas ce que vous attendez de moi
- TOUT, je veux tout de toi et que tu me sois TOTALEMENT DEVOUE, que tu obéisses au moindre de mes ordres
- Oui Madame, je désire réellement vous appartenir afin de devenir votre esclave et assouvir vos désirs et plaisirs.
Elle s’esclaffe et me dit :
- PARFAIT, J’AIME CE LANGAGE mais tu as encore beaucoup de chemin à parcourir… Retire ta veste
A peine l’avais je retiré et accrochée au porte manteau qu’elle me plaque au mur face contre la paroi… elle se serre contre moi… les pinces touchant le mur me mordent les seins et j’ai de plus en plus mal… Elle me place un foulard sur les yeux… puis elle me retourne… tire la laisse de côté… et je la sens se frotter contre moi… une jambe entre les miennes… son genou remonte entre mes cuisses pour venir appuyer sur mon sexe (en érection depuis longtemps) Elle commence à me palper de partout… serre mes fesses à pleine main… m’enfonce deux doigts dans la bouche en faisant des vas et viens… Puis ses mains descendent sur mon torse, elle joue rapidement avec les pinces puis glisse sur mon ventre et à travers mon pantalon elle attrappe mon sexe à pleine main… Je n’en peux déjà plus… l’excitation est à son comble… je tremble de partout d’excitation et de plaisir... elle me comprime le sexe… m’écrase les couilles… puis elle s’écarte et me laisse ainsi dans un état proche de l’orgasme… elle me dit
- Baisse ton pantalon et appuis toi sur la réserve d’eau des toilettes.
J’exécute, Je suis maintenant pantalon baissé, le cul nu et offert à ses caprices, ses mains reprennent leur promenade sur mon corps … elle me masturbe avec vigueur 10 secondes puis arrête… elle me presse les couilles de plus en plus fort les tire avant de me caresser l’anus… Elle me demande…
- Je continue ou pas ?
- Oui Madame, utilisez moi comme vous le désirerez
- J’ADORE CELA mais sache que tu peux toujours me dire STOP j’arrêterais… et selon mon niveau de satisfaction atteint tu seras ou ne seras pas mon esclave c’est à toi de voir !
- Oui madame
Elle est derrière moi… Je lui tourne le dos… mais je l’entends fouiller dans son sac… sans rien voir de ce qui se passe… puis après quelques secondes… je sens un corps froid glisser sur mon anus… puis se faire insistant… puis se retirer… puis de nouveau se faire de plus en plus insistant… puis me forcer… de plus en plus fort… Puis me pénétrer d’un coup et d’une telle force que j’en vacille… de douleur… la douleur et le plaisir mélangés me font perdre mes moyens.
Je ne le saurais que plus tard mais en fait elle vient de me sodomiser avec un plug ENORME… qui de plus s’avèrera être vibrant.
Mais pour le moment elle n’a fait que de me le mettre violemment avec des vas et viens de plus en plus profonds
- SUPERBE, de plus tu es vraiment une bonne salope et tu prends bien Cela me plait énormément… Retourne toi et mets toi à genoux.
J’exécute. Elle me guide la tête sur son sexe et me demande de la lécher. Elle me plaque la bouche sur son sexe …
- Allez lèche moi et correctement petite salope
Je m’y emploie du mieux que je peux… elle m’empoigne par la tête et me guide pour son plaisir. Mes lèvres s’abîment sur son sexe … ma langue la pénètre et la lèche en douceur… je fais de mon mieux… Son goût est sucré… Son odeur suave… je suis son objet de plaisir. Je parcours les plis et les replis de son sexe… elle guide ma bouche… j’excite son clitoris… je l’entends gémir… Elle laisse à peine suinter son nectar dans ma bouche et d’un coup me rejette en arrière…
- Stop ca suffit.
Je l’entend baisser l’abattant des toilettes et me dit assieds toi sur les toilettes
J’exécute je m’assieds… je sens le plug me pénétrer encore plus profondément. Elle m’enfile un préservatif puis elle vient s’empaler sur mon sexe qui n’en peut plus d’être en érection.
Elle s’enfonce mon sexe en elle… Elle se pénètre sur le gode vivant que je suis devenu…elle s’excite elle même à son rythme avec les mouvements qui lui plaisent… je suis au bord de l’extase… Elle me viole… et je ne suis plus que son jouet sexuel à sa merci… quand enfin elle jouit en lâchant des gémissements de plaisirs. Je n’ai pas éjaculé mais le plaisir est intense… je reste tendu et cela m’en fait mal. Je n’en puis plus j’aurais tellement aimé l’accompagner dans ce plaisir.
Elle se dégage. Je prends mon sexe en me caressant pour me masturber et en finir quand je reçois une gifle magistrale
- Qui t’a permis de te branler ? espèce de sale petite pute… tu te prends pour qui pour décider de toi même ?
Je ne sais plus ou me mettre… elle me lance
- Ne recommence jamais à prendre des initiatives de ce genre. Tu veux être mon esclave …
A partir de maintenant tu l’es, je t’ai pris donc je te possède. A partir de maintenant je ne tolèrerais plus aucun écart que cela soit bien clair. Habilles toi. Cela suffit pour l’instant je n’ai pas de temps à perdre… j’ai rendez vous… et puisque tu n’as rien à faire tu vas m’accompagner.
- Oui Madame
Sans rien voir venir je me prends à nouveau une gifle magistrale…
- MAITRESSE... Tu es idiot ou quoi ? je viens de te le dire. A présent je suis TA MAITRESSE tu n’as pas compris ou quoi ? J’exige que tu utilises ce terme systématiquement à chaque fois que tu t’adresse à moi… sauf quand je t’appellerais Stéphane face à des gens non initiés… dans ce cas tu me diras Madame. Est ce bien clair salope
- Oui Maîtresse
- Parfait … Tout à l’heure tu as appelé chez Anne et Jacques… nous y allons ensemble… Mais j’exige une discrétion absolue, je ne veux aucune allusion sur notre relation Maîtresse Esclave c’est compris ? Ce sont des amis qui ne pratiquent pas, donc si on te questionne tu te présenteras comme une connaissance de travail, point barre. A la moindre incartade de ta part tu en subiras les conséquences Est ce bien clair
- Oui Maîtresse
- Bien, avant d’y aller je veux que tu mettes ton carcan a pointe il faut que je vois cela…
Je sors donc le carcan que je le fixe sur mon sexe encore en érection… Les pointes me mordent mais c’est supportable.
- Très intéressant… Regarde moi
Je lève la tête elle me fixe droit dans les yeux et je sens sa main empoigner le carcan en le serrant… Elle serre de plus en plus fort tout en me regardant fixement. Arrivé à un certain stade la douleur se fait trop grande et je grimace de douleur… Elle sourit avec un petit air de satisfaction sadique
- Tu me plais quand tu grimaces. J’aime que tu souffres par et pour moi. Bon habille toi nous y allons
Je remonte mon pantalon et je m’habille. Elle détache mon collier et le range dans son sac.
Nous sommes remontés et nous partîmes chez ses amis Anne et Jacques.
Cette première rencontre a été le début d'une relation éducative qui a duré plus de 2 ans et le début d'une grande aventure qui a suivi
3 years ago