Un ptit mec mature et cool

Vers la fin de Juillet 2019, je noue contact avec JC qui recherche un partenaire pour des plans sexe chauds sans prise de tête. On échange des messages durant quelques jours pour connaitre nos affinités, et le courant passe. On décide alors d'un premier rendez-vous au début du mois d'Aout.

Premier round. Mi Aout 2019.
Lorsqu'il entre dans la chambre de l’hôtel, j'ai face à moi un petit mec entre 40 et 50 ans, d'1m70 (peut-être 1m75 ?), mince (il ne doit pas faire plus de 70 kg), musclé, sec et très bronzé, avec des yeux gris/bleu. Il a des cheveux courts blonds, un peu grisonnants, une petite barbe et une petite moustache (look mousquetaire).
Ma première impression est qu'il est jockey, mais il me raconte qu'il est dans la restauration. A son look, il doit aussi être clubber et son physique doit plaire à la gente féminine comme masculine. Pour notre premier plan, on se limitera à se sucer et se procurer ce simple plaisir mutuel jusqu'à l'orgasme. C'était un peu rapide, intense, mais encore qu'un début.

Deuxième round. Septembre 2019.
Le mois suivant, en Septembre donc, c'est lui qui me reçoit dans l'appartement d'un de ses amis à Marcq-en-Barœul. Il m'emmène dans le séjour où il étale une couverture sur le sol. On se déshabille, on s'embrasse, on se caresse et on commence à se sucer chacun notre tour. J'ai encore de la chance car sa queue en érection doit faire environ 20cm de long pour 3,5cm de diamètre, des mensurations idéales pour moi. Il me demande de m'allonger sur la couverture et se place au dessus de moi en position de 69. J'ai une magnifique vue sur sa bite, ses couilles épilées et son petit trou lisse. J’entreprends de lécher passionnément et sucer tout ce qui m'est si généreusement offert. Lui aussi ne se fait pas prier et il me masturbe, me lèche et me suce tandis que mes mains caressent son dos, ses hanches, ses fesses. Soudain, je vois son bras gauche décrire un arc de cercle autour de nous : Mon cochon est en train de nous filmer avec son Iphone à bout de bras. Je suis un peu surpris qu'il ne m'ait pas prévenu, mais je le laisse faire. Il ramène son bras vers l'avant, s'appuie sur le coude droit en continuant de filmer de la main gauche et reprend la fellation avec tant d'ardeur que j'éjacule dans un grognement. Sur la vidéo, on le verra lécher méticuleusement tout mon sperme qui s'écoule et l'avaler, suivi d'un clin d’œil à l'objectif. Ensuite, il se redresse, va s'assoir sur le canapé, jambes écartées et c'est mon tour de sucer son sexe offert jusqu'à ce qu'il libère son jus.

Troisième round. Octobre 2019.
Début Octobre, nous nous retrouvons à mon hôtel où j'ai mes habitudes. On discute un peu, en toute simplicité puis on se déshabille. Les préliminaires s'enchainent : Baisers passionnés, caresses, léchage d'aisselles, d'anus, de bite. Je suis clean et lui aussi. Je m'étais préparé avant son arrivée (nettoyage interne et petite dilatation) et j'avais envie d'être sodomisé. Lorsque je le sens bien chaud et bien tendu, je lui chuchote de "me prendre". Il me sourit, comme s'il n'attendait que ça, me demande de m'allonger sur la moitié droite du lit, sur le flanc gauche. Il s'allonge lui aussi, à gauche du lit, derrière moi, dans la position de la cuillère. Il guide ma main droite pour qu'elle écarte mes fesses, tandis que sa main saisi son sexe et le guide vers mon trou. Il commence à frotter son gland contre mon anus, de haut en bas, puis appuie un peu plus fort pour essayer de le faire entrer, mais je suis encore trop serré. J'att**** un flacon de gel rangé dans la table de chevet, et j'enduis sa queue et mon trou de lubrifiant. Il se cale à nouveau contre moi, appuie lentement mais fermement son sexe bien dur...et cette fois je le sens rentrer, écarter mes muscles anaux, et me pénétrer au plus profond. C'est un peu douloureux mais aussi très fort et excitant. Il commence ensuite des mouvements de va et vient très lents. L'effet attendu ne tarde pas et je "m'ouvre" littéralement à lui. Je ne ressent plus de douleur, mais seulement la présence de sa queue tendue et gonflée en moi. Je l'entend souffler pendant qu'il me lime le cul mais il sait gérer son effort. Il me fait basculer sur le ventre, écarte mes jambes avec ses pieds et s'allonge sur moi. Les mouvements sont plus rapides, il souffle de plus en plus fort, sa bite tape au fond de mon trou et ses cuisses claquent contre mes fesses. Je savoure un bonheur inouï jusqu'à ce qu'il se retire rapidement, gémit et vient éjaculer sur mes fesses et mon dos. Je sens même une goutte de sperme atterrir sur ma nuque. J'aurais adoré qu'il jouisse à l'intérieur, mais j'ai déjà eu énormément de plaisir même si moi, je n'ai pas encore joui. Il se laisse tomber en sueur, sur le lit. Je bascule sur le dos et je me masturbe. Il vient alors m'embrasser tout en me caressant l’intérieur des cuisses et les couilles, ce qui ne tarde pas à me faire exploser.

Quatrième round. Mi Octobre 2019.
Je n'attends pas un mois pour recommencer. On se donne rendez-vous dès la semaine suivante, à la mi octobre, et là, c'est du délire. Après les échauffements habituels, il me couche sur le dos, relève mes jambes et me sodomise dans la position du missionnaire. J'adore le sentir aller et venir tout en le regardant penché au dessus de moi. Mais la position est rapidement fatigante pour lui, alors il me fait pivoter et je lui présente mon cul comme une chienne, en levrette. La pénétration est profonde et très légèrement douloureuse lorsqu'il tape au fond de mon trou, mais il me possède totalement. Essoufflé, il me tourne sur le coté, me prend "en cuillère" et s'abandonne dans un râle viril, en me remplissant. Il gardera un moment la position pour reprendre haleine, en restant en moi. C'est le meilleur plan que j'ai jamais eu, et s'il lit ces lignes, je lui suis à jamais reconnaissant pour cet après-midi de plaisir.

Nous nous sommes revus encore en décembre, janvier et février 2020.
Notre dernier rendez-vous a été rapide car il venait de changer de lieu de travail et il avait plus de trajet à faire pour me retrouver. Ensuite, le 1er confinement est arrivé. Nous ne pouvions plus nous voir, nos messages se sont espacés puis interrompus. Une longue période d'abstinence commence alors.