Centre de redressement (2)
Ma joue Ă©tait brulante, une gifle comme je nâen avais jamais reçu. La dame me demande de la suivre, on monte Ă lâĂ©tage, elle ouvre une porte rouge et on entre dans lâobscuritĂ© totale dans la piĂšce. La dame allume une petite lampe posĂ©e sur un meuble, me demande de me mettre Ă genoux devant elle, elle ouvre un tiroir et en sort un collier quâelle me passe autour du cou, puis elle y attache une laisse. Elle me tire avec jusquâau fond de la piĂšce ou se trouve un grand miroir et un fauteuil noir. La piĂšce est trĂšs sombre et les murs comme le plafond sont noirs. La dame me dit « pour ta punition, tu vas ĂȘtre mon larbin et mon esclave pendant deux heures, tu as bien compris esclave !!! Ou faut il une autre gifle pour te rafraichir la mĂ©moire ». Je me demandais ce quâelle voulait exactement, je nâavais aucune idĂ©e aucune expĂ©rience dans le domaine quâelle voulait mâemmener, jâavais juste lu quelques information sur la suprĂ©matie fĂ©minine. Voyant que je mettais longtemps Ă rĂ©pondre, je reçu la mĂȘme gifle sur lâautre joue. Je lui rĂ©pondis immĂ©diatement « oui madame » ce quâil me valut deux belle gifles supplĂ©mentaires qui me font basculer sur le cotĂ© tellement elles Ă©taient puissantes. Jâavais le visage en feu, je ne comprenais pas ce qui mâarrivĂ©, jâĂ©tais complĂštement abasourdi par ces gifles. La dame tire sur la laisse et me regarde droit dans les yeux en me disant « je suis ta MAITRESSE, nâoubli jamais ça esclave, tu dois me respecter, rĂ©pondre toujours par OUI MAITRESSE, tu dois mâobĂ©ir sinon je te garantie que tu vas souffrir comme jamais une femme tâa fait souffrir, tu as bien compris cette fois ci esclave !!! » je lui rĂ©pondis un petit oui maitresse, plus fort quâelle me dit, je lui rĂ©pĂ©tai OUI MAITRESSE. Elle parut satisfaite de ma rĂ©ponse. Il Ă©tait 14h30, donc ma punition se terminerai Ă 16H30 ou 18h00 si je voulais quâelle me raccompagne jusquâĂ ma voiture. AprĂšs rĂ©flexion, je me dis que je devais ĂȘtre encore loin de lâarrivĂ©e, et quâen me dĂ©posant directement Ă ma voiture, je gagnerais beaucoup de temps mĂȘme en Ă©tant puni jusquâĂ 18h00. Je pris ma dĂ©cision et lui annonça que je serais son esclave et son larbin jusquâĂ 18h00, ce qui parut lui plaire encore plus. Elle me demanda de me dĂ©shabiller entiĂšrement, me donna un tablier de bonne, et mâemmena dans son garage. Elle me demande de laver sa voiture entiĂšrement Ă lâintĂ©rieur comme Ă lâextĂ©rieur, elle doit ĂȘtre propre et briller au soleil. Elle regarda sa montre et me dit que je dois avoir terminĂ© dans 1heure, sinon toutes les minutes supplĂ©mentaires faites pour terminer le lavage serait transformĂ© en heures qui se rajouteraient aprĂšs 18h00. Elle me sortie un sceau, des Ă©ponges, un produit de lavage et des chiffons, puis un aspirateur. Je dĂ©cidai de commencĂ© par lâintĂ©rieur qui nâĂ©tait pas trop sale, puis la carrosserie. Maitresse sortie une chaise longue quâelle posa devant la porte du garage et sây allongea. Elle me regarda travailler et regarder souvent sa montre en espĂ©rant que jâallais dĂ©passer le temps. Moi, jâĂ©tais nu avec seulement un tablier et je nâavais aucun repaire sur le temps qui passe. Lorsque le travail fut terminĂ©, elle se leva, sorti un mouchoir blanc de sa poche et frotta un peu partout sur et dans la voiture. Elle regarda le mouchoir, il y avait quelques traces marron dessus. Maitresse mâattrapa par les cheveux, me colla le mouchoir sous yeux et me dit en mâhurlant dessus « câest quoi ça, quand je dis propre, câest quâil doit y avoir aucune petites traces sur le mouchoir, tu vas tout recommencer et attention il ne te reste pratiquement plus de temps me dit elle en rigolant. Maitresse Ă©tait trĂšs vicieuse, sa voiture Ă©tait Ă©tincelante et nickel, elle avait passĂ© son mouchoir sous les siĂšges avant et sous les pares chocs. Il me fallu au moins vingt minutes supplĂ©mentaires pour tout terminer, ce qui fait 1h10 au total. Maitresse me dit « tu resteras 10H00 de plus avec moi, je tâavais prĂ©venu. Je commençais Ă rĂąler et Ă lui dire qu elle nâavait pas le droit de faire ça, mais elle me rĂ©pliqua que tout avais Ă©tĂ© filmĂ© depuis mon entrĂ© dans sa propriĂ©tĂ© privĂ© et menacer de me dĂ©noncer pour intrusion dans sa propriĂ©tĂ© privĂ©e, et que pour sortir du garage il fallait un code quâelle seule connaissait. Jetais coincĂ©. Me voila Ă rester son esclave jusqu'Ă 2 heures du matin, et je doutais quâĂ cette heure de la nuit elle me raccompagnerait
4 years ago