Mon expérience avec un mec
J’étais adolescent, aux alentours des 15 ans. Un samedi après-midi, il me semble que ça devait être vers le printemps, j’étais chez un pote, Stéphane. On était tous les deux dans sa chambre assis sur son lit 2 personnes. On ne faisait rien de précis, on papotait, on glandait. Il s’absente aux toilettes.
Il revient avec le jean déboutonné, la ceinture pendante. Il se rassoit sur le haut du lit. Moi, j’étais sur le bas. Il me dit « vas-y met toi à l’aise ». Et il se soulève les fesses pour baisser son jean jusqu’aux chevilles. Il était en slip, les jambes écartées. Je me lève, déboutonne mon pantalon, et je le baisse aux chevilles et me rassoit. Me voilà moi aussi en slip. Je me souviens avoir eu des fourmillements dans le bas ventre.
Stéphane a commencé à caresser sa queue sur son slip. Je le regardais, voyant sa queue durcir dans son slip. Je sentais la mienne durcir aussi. Sans même m’en rendre compte, je me caressais aussi. Je ne me souviens plus les paroles qu’il a eues, mais ça voulait dire « autant être bien à l’aise ». Il finit d’enlever son jean, et enleva son slip. Je vis sa queue toute dure, bien redressée. Il m’a dit que je pouvais en faire autant. Je ne me suis pas privé. J’ai moi aussi enlevé mon jean et mon slip. Ma queue était bien dure. On s’est branlé. Chacun de son côté. On a finit dans un mouchoir en papier.
On a recommencé plusieurs fois. On se mettait directement la queue à l’air en entrant dans sa chambre. Et on se branlait, toujours chacun de son côté. On était au début des années 1990. Un après-midi, il a voulu me montrer l’ordinateur que son père venait d’acheter. On était seul dans la maison de ses parents. Dans le bureau de son père, après avoir vu l’ordi. On s’est foutu à poil, et on se branlait. Il m’a proposé d’échanger. J’ai accepté. Choppant sa queue, et lui la mienne. On se branlait mutuellement. Je n’ai pas trouvé ça top. Je ne lui ai rien dit. J’ai joui quand même. Il me semble que c’était un mercredi.
Le samedi après-midi suivant, dans sa chambre, tous les deux la queue à l’air, bien bandantes, il me propose de recommencer à se branler mutuellement. Je lui avoue que je n’ai pas trouver ça top. C’est alors qu’il me propose que je m’allonge et que lui allait me branler, sans que moi je le lui fasse. J’ai accepté. Là c’était bon, bien différent. Il alternait les mouvements rapides et lents, me caressait le gland et les couilles. J’adorais. Je ne sais pas si de voir que j’aimais ça, mais il m’a proposé de me sucer. J’ai hésité. Je ne suis pas homo. Il m’a dit de fermer les yeux et de penser à une fille qui me plaisait. C’est ce que j’ai fait. J’ai pensé à Karine, une jolie blonde aux yeux bleus de ma classe qui me plaisait à mort. Il a pris ma queue dans sa bouche, et m’a sucé. Putain que c’était bon !!! Il a arrêté au bout de quelques secondes, me demandant s’il pouvait continuer. Un peu que j’ai accepté !
Il m’a proposé de le sucer. J’étais tellement exciter, je croyais que ma queue allait finir par exploser tellement je bandais. J’ai accepté. Je l’ai d’abord branlé et je me suis approcher de sa queue. Je l’ai placer dans ma bouche. J’avoue. J’ai aimé. Je l’ai sucé. J’ai arrêté, il m’a resucé. Puis encore moi… On s’est fini dans les Kleenex, comme d’hab.
C’était devenu habituel. Quasiment tous les mercredis et samedis après-midi, on se suçait et se branlait. J’adorais ça. Secrètement, j’avais envie qu’il invite un autre gars à se joindre à nous, mais une fille, ça ça aurait été top… Jamais ça ne s’est produit.
Durant l’été, on allait des fois à un ancien lavoir isolé. L’eau y était claire et fraîche. Un vrai régale de s’y tremper à poil, la queue en érection. On en profitait pour se branler et se sucer, éjaculer dans l’eau… J’adorais aussi les ballades en vélo, vêtu d’un short un peu ample, sans slip. Je faisais dépasser ma queue ! On se trouvait des coins isolés et on se mettait à poil pour faire nos cochonneries.
La dernière fois de cet été où on a joué avec nos queues est allée plus loin. On était en forêt, à poil. On se branlait, on se suçait, comme d’habitude. J’étais debout et il me suçait. J’ai senti sa main venir me caresser le cul. Je me suis laisser faire. Il est venu glisser son doigt pour me toucher l’anus. Ça je n’ai pas aimé. Je lui ai demander d’arrêter. Ça m’a même fait débander… Il voulait aller plus loin, qu’on se branle et qu’on se suce ne lui suffisait plus. Il voulait aussi qu’on s’encule. L’enculer ? Pourquoi pas. Mais moi, non, ça ne voulait pas et je ne veux toujours pas…
On s’est perdu de vu avec la rentrée scolaire. Je n’ai plus jamais eu de jeux de bites. J’aimerais bien recommencer avec un pote. Passer du temps à se branler devant des pornos. Pourquoi pas le sucer, le branler, mais sans bite dans le cul.
Il revient avec le jean déboutonné, la ceinture pendante. Il se rassoit sur le haut du lit. Moi, j’étais sur le bas. Il me dit « vas-y met toi à l’aise ». Et il se soulève les fesses pour baisser son jean jusqu’aux chevilles. Il était en slip, les jambes écartées. Je me lève, déboutonne mon pantalon, et je le baisse aux chevilles et me rassoit. Me voilà moi aussi en slip. Je me souviens avoir eu des fourmillements dans le bas ventre.
Stéphane a commencé à caresser sa queue sur son slip. Je le regardais, voyant sa queue durcir dans son slip. Je sentais la mienne durcir aussi. Sans même m’en rendre compte, je me caressais aussi. Je ne me souviens plus les paroles qu’il a eues, mais ça voulait dire « autant être bien à l’aise ». Il finit d’enlever son jean, et enleva son slip. Je vis sa queue toute dure, bien redressée. Il m’a dit que je pouvais en faire autant. Je ne me suis pas privé. J’ai moi aussi enlevé mon jean et mon slip. Ma queue était bien dure. On s’est branlé. Chacun de son côté. On a finit dans un mouchoir en papier.
On a recommencé plusieurs fois. On se mettait directement la queue à l’air en entrant dans sa chambre. Et on se branlait, toujours chacun de son côté. On était au début des années 1990. Un après-midi, il a voulu me montrer l’ordinateur que son père venait d’acheter. On était seul dans la maison de ses parents. Dans le bureau de son père, après avoir vu l’ordi. On s’est foutu à poil, et on se branlait. Il m’a proposé d’échanger. J’ai accepté. Choppant sa queue, et lui la mienne. On se branlait mutuellement. Je n’ai pas trouvé ça top. Je ne lui ai rien dit. J’ai joui quand même. Il me semble que c’était un mercredi.
Le samedi après-midi suivant, dans sa chambre, tous les deux la queue à l’air, bien bandantes, il me propose de recommencer à se branler mutuellement. Je lui avoue que je n’ai pas trouver ça top. C’est alors qu’il me propose que je m’allonge et que lui allait me branler, sans que moi je le lui fasse. J’ai accepté. Là c’était bon, bien différent. Il alternait les mouvements rapides et lents, me caressait le gland et les couilles. J’adorais. Je ne sais pas si de voir que j’aimais ça, mais il m’a proposé de me sucer. J’ai hésité. Je ne suis pas homo. Il m’a dit de fermer les yeux et de penser à une fille qui me plaisait. C’est ce que j’ai fait. J’ai pensé à Karine, une jolie blonde aux yeux bleus de ma classe qui me plaisait à mort. Il a pris ma queue dans sa bouche, et m’a sucé. Putain que c’était bon !!! Il a arrêté au bout de quelques secondes, me demandant s’il pouvait continuer. Un peu que j’ai accepté !
Il m’a proposé de le sucer. J’étais tellement exciter, je croyais que ma queue allait finir par exploser tellement je bandais. J’ai accepté. Je l’ai d’abord branlé et je me suis approcher de sa queue. Je l’ai placer dans ma bouche. J’avoue. J’ai aimé. Je l’ai sucé. J’ai arrêté, il m’a resucé. Puis encore moi… On s’est fini dans les Kleenex, comme d’hab.
C’était devenu habituel. Quasiment tous les mercredis et samedis après-midi, on se suçait et se branlait. J’adorais ça. Secrètement, j’avais envie qu’il invite un autre gars à se joindre à nous, mais une fille, ça ça aurait été top… Jamais ça ne s’est produit.
Durant l’été, on allait des fois à un ancien lavoir isolé. L’eau y était claire et fraîche. Un vrai régale de s’y tremper à poil, la queue en érection. On en profitait pour se branler et se sucer, éjaculer dans l’eau… J’adorais aussi les ballades en vélo, vêtu d’un short un peu ample, sans slip. Je faisais dépasser ma queue ! On se trouvait des coins isolés et on se mettait à poil pour faire nos cochonneries.
La dernière fois de cet été où on a joué avec nos queues est allée plus loin. On était en forêt, à poil. On se branlait, on se suçait, comme d’habitude. J’étais debout et il me suçait. J’ai senti sa main venir me caresser le cul. Je me suis laisser faire. Il est venu glisser son doigt pour me toucher l’anus. Ça je n’ai pas aimé. Je lui ai demander d’arrêter. Ça m’a même fait débander… Il voulait aller plus loin, qu’on se branle et qu’on se suce ne lui suffisait plus. Il voulait aussi qu’on s’encule. L’enculer ? Pourquoi pas. Mais moi, non, ça ne voulait pas et je ne veux toujours pas…
On s’est perdu de vu avec la rentrée scolaire. Je n’ai plus jamais eu de jeux de bites. J’aimerais bien recommencer avec un pote. Passer du temps à se branler devant des pornos. Pourquoi pas le sucer, le branler, mais sans bite dans le cul.
4 years ago