J'aime porter des couches.
Ce n'est pas mon trip principal, mais occasionnellement quand les circonstances s'y prêtent, dans le cadre d'un bon scénario j'adore ça.
D'aussi loin que je me souvienne, et avant même de m'intéresser à la chasteté, j'adorais mouiller mon pantalon, et me pisser dessus. et j'avais un peu expérimenté les couches par curiosité. Les raisons qui amènent à ce genre de trips peuvent être nombreuses : Dans le cas de la chasteté, c'est assez souvent lié au travestissement, la féminisation, ou à l'opposé au fist . Mais je ne me retrouve pas dans tout ça, ce que je recherche, c'est me sentir un homme soumis, inférieur : la cage est destinée à me faire avoir une petite bite impuissante, par opposition à celle des vrais mâles, j'aime bien me considérer comme un eunuque : et il ne faut pas le dire aux mecs qui me baisent, mais ma vraie source d'excitation quand je me fais baiser, c'est de sentir mon petit machin rester complètement inerte.
Donc pour ce qui est des couches, je ne me retrouve pas non plus dans la catégorie régression : je ne cherche pas à être langé ou traité comme un bébé. Mes trips sont beaucoup plus orientés vers la gêne et l'humiliation : porter une couche sous un short ou un jogging dans des lieux publics, et être confronté à cet embarras de me demander si les gens s'en rendent compte. Ou bien passer un moment d'intimité avec un pote. Un de mes meilleur souvenir, c'est quand j'ai eu l'occasion de passer 4 jours chez un copain sur la côte d'Opale.
Premier étape : le train, un voyage d'une heure et demi. Je me met moi même ma première couche, pas de cage pour une fois, mais quelle sensation de sentir mon petit zizi dans cette chose épaisse. J'ai l'impression que tout le monde le voit à travers mon jogging. Je monte dans le train, nous démarrons, je me laisse bercer par le mouvement, et je sens petit à petit monter une envie de pisser ... Je sais que je ne dois pas aller aux toilettes, mais il faut combattre le conditionnement, l'envie se fait pressante, je voudrais me relacher mais ça ne vient pas. Le type assis en face de moi est assez mignon, je ne peux pas m'empêcher de fantasmer. Je bande dans ma couche, mais je sens aussi que j'ai une petite queue. J'ai une envie furieuse de me branler, mais je ne peux pas. Je me détends, je sens que je débande, et dans cette détente je me mets à pisser, le liquide chaud coule sur moi avant d'être absorbé par la couche, sensation déroutante. Je suis amusé et excité à l'idée que ce mec en face de moi ignorera toujours que je me suis pissé dessus d'excitation grâce à lui.
Gare d'Etaples, mon pote est là : Il me fait la bise, et me glisse à l'oreille "tu n'as pas su attendre" ... gêne et excitation, s'il m'a repéré, d'autres ont pu le faire. Je fais semblant de rien, et en partant vers sa voiture, je lui dit "oui, et je n'ai pas su me retenir", il rit et me dit en montant en voiture "dès qu'on sera à la maison, je te changerai"
Ca c'est un week-end qui commence bien
D'aussi loin que je me souvienne, et avant même de m'intéresser à la chasteté, j'adorais mouiller mon pantalon, et me pisser dessus. et j'avais un peu expérimenté les couches par curiosité. Les raisons qui amènent à ce genre de trips peuvent être nombreuses : Dans le cas de la chasteté, c'est assez souvent lié au travestissement, la féminisation, ou à l'opposé au fist . Mais je ne me retrouve pas dans tout ça, ce que je recherche, c'est me sentir un homme soumis, inférieur : la cage est destinée à me faire avoir une petite bite impuissante, par opposition à celle des vrais mâles, j'aime bien me considérer comme un eunuque : et il ne faut pas le dire aux mecs qui me baisent, mais ma vraie source d'excitation quand je me fais baiser, c'est de sentir mon petit machin rester complètement inerte.
Donc pour ce qui est des couches, je ne me retrouve pas non plus dans la catégorie régression : je ne cherche pas à être langé ou traité comme un bébé. Mes trips sont beaucoup plus orientés vers la gêne et l'humiliation : porter une couche sous un short ou un jogging dans des lieux publics, et être confronté à cet embarras de me demander si les gens s'en rendent compte. Ou bien passer un moment d'intimité avec un pote. Un de mes meilleur souvenir, c'est quand j'ai eu l'occasion de passer 4 jours chez un copain sur la côte d'Opale.
Premier étape : le train, un voyage d'une heure et demi. Je me met moi même ma première couche, pas de cage pour une fois, mais quelle sensation de sentir mon petit zizi dans cette chose épaisse. J'ai l'impression que tout le monde le voit à travers mon jogging. Je monte dans le train, nous démarrons, je me laisse bercer par le mouvement, et je sens petit à petit monter une envie de pisser ... Je sais que je ne dois pas aller aux toilettes, mais il faut combattre le conditionnement, l'envie se fait pressante, je voudrais me relacher mais ça ne vient pas. Le type assis en face de moi est assez mignon, je ne peux pas m'empêcher de fantasmer. Je bande dans ma couche, mais je sens aussi que j'ai une petite queue. J'ai une envie furieuse de me branler, mais je ne peux pas. Je me détends, je sens que je débande, et dans cette détente je me mets à pisser, le liquide chaud coule sur moi avant d'être absorbé par la couche, sensation déroutante. Je suis amusé et excité à l'idée que ce mec en face de moi ignorera toujours que je me suis pissé dessus d'excitation grâce à lui.
Gare d'Etaples, mon pote est là : Il me fait la bise, et me glisse à l'oreille "tu n'as pas su attendre" ... gêne et excitation, s'il m'a repéré, d'autres ont pu le faire. Je fais semblant de rien, et en partant vers sa voiture, je lui dit "oui, et je n'ai pas su me retenir", il rit et me dit en montant en voiture "dès qu'on sera à la maison, je te changerai"
Ca c'est un week-end qui commence bien
4 years ago
mais j'aime aussi jouer avec ces zizis tout pisseux