Ma femme tripotée et baisée dans l'ascenseur.
En route pour une soirée chez des amis ligériens,
Géraldine et mois sommes arrivés en retard de plus de deux heures.
Une situation des plus cocasse dont les mystères de la technique provoquèrent une situation des plus coquine dans un endroit insolite.
Arrivés au pied de l'immeuble, nous prenions l'ascenseur avec 2 mecs, deux acolytes très intéressés par la tenue de Géraldine..
Tous quatre compressés dans ce volume clos collés les uns aux autres les deux compères, lançaient des regards insistant sur ma femme.
Après avoir franchi le premier étage, une coupure de courant stoppa l'ascenseur entre deux paliers totalement plongé dans le noir.
Surprise, pas de courant, pas de téléphone, l'interphone dépanneur H.S. nous voilà coincé dans le noir serré les uns contre les autres.
Géraldine, à son habitude, était habillée très courte, une jupe plissée avec des bas, une pair de bottes a talons aiguille et peut être un string.
Rien que d'y penser, je sentais pousser en mois une gaule dès plus dure, et l'idée de toucher ses fesses me vint à l'esprit.
À la faible lumière des téléphones, ma main droite part a la rencontre d'une fesse bien douce surprenant la misse qui ne savait pas que c'était mois.
Sans plus de réactions, Géraldine ne dit rien, ma main continuait a remonter cette jupette et les acolytes se rinçaient l'œil tout en gesticulant prêt a participer à une séance de tripotage.
Sans plus attendre, les mains du premier se posèrent sur les hanches,
Le deuxième saisi sa poitrine et sans perdre de temps libéra celle-ci.
Les mains se mirent à circuler de tout coter, Géraldine tripotée de partout se frottait aux hommes excités par tant de proximité.
Ses mains, ne perdant pas de temps, touchaient les bittes a travers le tissu des pantalons, ma main partie dans la ré de ses fesses titillait d'un doit impatient un anus dilaté prêt à recevoir le gral mérité.
Bittes libérées, l'impatience de ma douce, s'accrochait aux trois sexes
Totalement dévoués à son plaisir, branlait tout ce petit monde ébahit.
Pas plus, elle se mit à prier, le saint en bouche en changeant goulûment de délice allant au fond de sa gorge d'un vas et vient de précis.
Totalement lâché, je la fis monter sur mon sexe, accroché a mon cou montant et descendant sur ce dernier une queue bien raide pénétra sont anus dilaté en provoquant une série de cris des plus significatifs.
Géraldine surexcitée se faisait donner par qui voulais bien la pénétrer.
Essayant toutes, ces bittes dans sa chatte puis dans son cul.
Ceci dura longtemps, les allées et venu des sexes généreux, les cris de plaisir de Géraldine ont sûrement alerté les habitant de l'immeuble.
Une fois les sexes usés, vidés par un goulu sucrage, l'ascenseur du plaisir redémarra pour nous rendre notre liberté.
À l'ouverture des portes, une foule s'était formée, un silence lourd
nous regardait comme si des spectateurs curieux avaient assisté à nos ébats.
Géraldine et mois sommes arrivés en retard de plus de deux heures.
Une situation des plus cocasse dont les mystères de la technique provoquèrent une situation des plus coquine dans un endroit insolite.
Arrivés au pied de l'immeuble, nous prenions l'ascenseur avec 2 mecs, deux acolytes très intéressés par la tenue de Géraldine..
Tous quatre compressés dans ce volume clos collés les uns aux autres les deux compères, lançaient des regards insistant sur ma femme.
Après avoir franchi le premier étage, une coupure de courant stoppa l'ascenseur entre deux paliers totalement plongé dans le noir.
Surprise, pas de courant, pas de téléphone, l'interphone dépanneur H.S. nous voilà coincé dans le noir serré les uns contre les autres.
Géraldine, à son habitude, était habillée très courte, une jupe plissée avec des bas, une pair de bottes a talons aiguille et peut être un string.
Rien que d'y penser, je sentais pousser en mois une gaule dès plus dure, et l'idée de toucher ses fesses me vint à l'esprit.
À la faible lumière des téléphones, ma main droite part a la rencontre d'une fesse bien douce surprenant la misse qui ne savait pas que c'était mois.
Sans plus de réactions, Géraldine ne dit rien, ma main continuait a remonter cette jupette et les acolytes se rinçaient l'œil tout en gesticulant prêt a participer à une séance de tripotage.
Sans plus attendre, les mains du premier se posèrent sur les hanches,
Le deuxième saisi sa poitrine et sans perdre de temps libéra celle-ci.
Les mains se mirent à circuler de tout coter, Géraldine tripotée de partout se frottait aux hommes excités par tant de proximité.
Ses mains, ne perdant pas de temps, touchaient les bittes a travers le tissu des pantalons, ma main partie dans la ré de ses fesses titillait d'un doit impatient un anus dilaté prêt à recevoir le gral mérité.
Bittes libérées, l'impatience de ma douce, s'accrochait aux trois sexes
Totalement dévoués à son plaisir, branlait tout ce petit monde ébahit.
Pas plus, elle se mit à prier, le saint en bouche en changeant goulûment de délice allant au fond de sa gorge d'un vas et vient de précis.
Totalement lâché, je la fis monter sur mon sexe, accroché a mon cou montant et descendant sur ce dernier une queue bien raide pénétra sont anus dilaté en provoquant une série de cris des plus significatifs.
Géraldine surexcitée se faisait donner par qui voulais bien la pénétrer.
Essayant toutes, ces bittes dans sa chatte puis dans son cul.
Ceci dura longtemps, les allées et venu des sexes généreux, les cris de plaisir de Géraldine ont sûrement alerté les habitant de l'immeuble.
Une fois les sexes usés, vidés par un goulu sucrage, l'ascenseur du plaisir redémarra pour nous rendre notre liberté.
À l'ouverture des portes, une foule s'était formée, un silence lourd
nous regardait comme si des spectateurs curieux avaient assisté à nos ébats.
4 years ago