Sévices militaires

Alors âgé de plus de 18ans et ne poursuivant pas d’étude, je fus appelé sous les d****aux pour effectuer mon service militaire. J’avoue que ce n’était pas de gaité de cœur mais ma foi à l’époque ça existait et c’était obligatoire, donc pas vraiment le choix. Je devais rejoindre la caserne où j’allais faire mes classes en octobre, la 10 comme on disait à l’époque.
Mais parlons un peu de moi. Je m’appelle Julien, j’avais donc un peu plus de 18ans, j’étais un garçon longiligne, 1m70 pour 56kg, un peu fluet donc, avec un visage immature manquant de virilité. Je faisais encore adolescent malgré ma majorité, et j’en étais légèrement complexé quand je me comparais à des camarades qui devaient se raser régulièrement ce qui était loin d’être mon cas. Encore peu d’aventures avec les filles sinon quelques baisers. Mes satisfactions sexuelles m’étant données régulièrement par ma main. J’étais donc toujours puceau.
Je vous passe toutes les tracasseries de l’incorporation ; le stress du trajet, de l’arrivée en gare, la découverte de la caserne, le passage obligé chez le coiffeur, etc…
Un des moments qui m’a mis le plus mal à l’aise fut le passage à l’infirmerie pour contrôle par le médecin. Tous en rang d’oignons à attendre notre tour. Nous avions dû nous dévêtir, ne gardant que notre slip, et chacun pouvait à loisir reluquer son voisin. Certes peu d’entre nous faisait les malins mais les regards des autres me rappelaient ma fragilité, mon manque de pilosité, et ce que cachait mon slip n’avait rien de comparable avec le paquet de certains autres gars.
Je ne vous cache pas ma gêne lorsque ce fut mon tour de voir le toubib et que ce dernier s’enquit de regarder mes organes génitaux. Il me dit que j’avais un peu de retard dans ma croissance mais que le service militaire saurait rapidement y remédier. Bon pour le service…
A l’issue de cette journée d’accueil nous avons rejoint la chambrée. Une grande pièce en longueur avec une grande table devant la fenêtre au fond, de chaque côté de la pièce des lits superposés séparés par des armoires métalliques. De quoi accueillir 16 personnes.
Issu d’une famille citadine, je n’avais jusqu’à lors vécu autrement que chez mes parents, même les vacances étaient passées en famille chez des grands-parents campagnards. Autant vous dire que je n’avais jamais connu la vie en communauté et la promiscuité, alors se retrouver à 16 garçons dans cette pièce ne permettant quasiment aucune intimité n’était pas pour remonter le moral.
Au début chacun était un peu isolé, le temps de faire connaissance les uns avec les autres. Mais au fil des jours et par nécessité, des contacts se créaient et des petits groupes se forment en fonction des affinités et des comportements. Je me rapprochais donc de quelques-uns comme moi, plus réservés que d’autres et qui n’étaient pas des malabars. Plusieurs groupes de chambrée se sont donc formés et les jours ont commençaient à s’égrener au fil de notre formation militaire. Manœuvre à pied, cours en salle, pratique sur le terrain, séances de sport,….. Les journées bien remplies nous aider à oublier notre sort et les nuits étaient bercées de ronflements après que quelques bruits suspects mais révèle le besoin de certains de se soulager.
Mais avant ce sommeil réparateur, il y avait un moment que je redoutais. C’était celui de la douche. En effet déjà au lycée, après les séances de sport, la douche dans les locaux du stade était collective et je trainais le plus longtemps possible pour y aller, afin de limiter le nombre de personnes qui aurait pu voir ma frêle anatomie et mon petit sexe pratiquement imberbe.
Là les douches se trouvaient dans une grande salle, par rangées, des box composés d’un endroit pour se dévêtir puis d’un bac à douche équipé d’un frêle rideau comme semblant d’intimité. C’est donc résigné que je me rendais le plus discrètement possible aux douches pour faire disparaitre les transpirations successives dues aux activités qu’on nous imposées.
Mais à plusieurs occasions, j’ai pu croiser le regard moqueur de certains où les ricanements d’autres lors de mes déshabillages pour prendre ma douche. Il faut dire que les engins que ceux-ci arboraient sans aucune pudeur n’avaient rien de comparable avec le mien. J’entendis une fois un commentaire en ma faveur, dit par Lionel, un costaud de ma chambrée, qui quittait sa douche. En passant devant la mienne, où comme à mon habitude je me déshabillais tourné vers la douche pour ne pas trop montrer mes attributs j’entendis « humm, joli petit cul de tapette ». Ce genre de propos n’avait rien pour m’aider à apprécier le moment de la douche alors qu’elle aurait dû m’être bénéfique après les journées particulièrement physiques que je vivais.
Ce petit commentaire sur mes fesses, qui il est vrai était l’endroit le plus charnu de ma personne, me trotter continuellement dans la tête me mettant assez mal à l’aise lorsque je croisais le regard narquois de celui qui en était à l’origine. De plus, les bruits qui courraient sur ce qui pouvait se passer à l’armée entre mecs et que j’avais entendus avant mon incorporation n’étaient pas pour me rassurer n’ayant d’ailleurs aucun penchant pour les mecs. Mon éducation ne m’autorisant même pas à penser que ce genre de déviance soit concevable.
Puis ce fut le premier week-end de nos classes, celui de nos vaccinations, où nous furent tous confinés dans nos chambres. Repas légers, pas ou peu d’activités compte-tenu des risques de réactions aux injections que nous avions subies.
Nous passions le temps comme nous le pouvions, lecture, révisions des cours, parties de cartes, les seules sorties de chambre autorisées l’étaient pour aller aux sanitaires et aux douches. L’énervement de certains étaient palpable du fait de ce manque d’activité et vraisemblablement qu’une semaine sans baiser devait peser dans les caleçons.
C’est dans l’après-midi, que je décidai d’aller prendre une douche, le taux de fréquentation des lieux étant plutôt tranquille en cette journée d’oisiveté. Je me déshabillai tranquillement dans mon box, en ôtant un à un les éléments de la tenue de sport que nous portions pendant ces journées de consignation sanitaire. Il semblait n’y avoir que peu de monde à la douche malgré le nombre de chambrées que comptait le bâtiment à notre étage, j’étais alors presque nu lorsque que quelqu’un passa devant ma douche, je reconnu furtivement Lionel et je me débarrassai rapidement de mon dernier vêtement pour rejoindre la douche. Je m’apprêtai à ouvrir les robinets afin de régler la température de l’eau avant d’y pénétrer, quand je fus soudainement propulsé au fond de la douche. Le rideau fut tiré rapidement, plaqué contre le fond de la douche, une main fermement appliquée sur ma bouche pour m’éviter la moindre parole, j’entendis me chuchoter à l’oreille « si tu cries, tu vas le regretter et de toute manière il n’y a que nous désormais ». En effet plus aucun bruit de douche et la porte d’accès aux douches venait de se refermer après le départ de la dernière personne.
Je savais que je ne faisais pas le poids à côté de Lionel, plus grand que moi, costaud et musclé, des mains comme des battoirs. Il me fit retourner fermement tout en maintenant sa main sur ma bouche en me faisant signe de la fermer. Puis il enleva sa main et je commençai à vouloir parler, je reçu alors une claque magistrale qui raisonna dans la douche et je me ravisai d’essayer d’appeler.
Il me regarda alors avec un sourire de vainqueur, souriant à la vue de ma petite bite qui n’avait pas fière allure compte-tenu de la situation. Il ajouta « on va s’amuser un peu toi et moi, ça nous passera le temps » et promptement il baisa son pantalon de survêtement en accompagnant son slip au passage qui libéra un membre comme je ne pouvais pas imaginer que cela puisse exister. Son engin faisait facilement 2 à trois fois le mien en longueur sans parler de son épaisseur. La situation l’avait mis dans ton ses états puisqu’il exhibait une bandaison faisant monter sa pine au-dessus de l’horizontal. Puis il ajouta « je pense qu’elle va plaire à une petite tapette comme toi ». Je n’osai répondre sachant que je m’exposais à recevoir un nouvelle claque.
« Allez prend là et caresse moi, j’en ai marre d’utiliser ma pogne depuis une semaine».
Résigné, j’avançais ma main vers ce sexe, ce premier sexe d’homme que j’avais l’occasion de rencontrer autre que le mien. Ma main enserra le mandrin dont la douceur de la peau me surpris, et je commençais de l’animer d’un mouvement d’aller et venue que j’étais coutumier de faire à ma propre quéquette. Son propriétaire semblait apprécier et se laisser faire en me regardant, je lisais dans ces yeux qu’il appréciait le traitement que ma main lui prodiguait. En fait mon objectif après réflexion était de satisfaire au mieux sa demande pour en finir le plus rapidement avec son membre.
Il ajouta ces quelques mots durant que ma main s’activait à lui prodiguer ce qu’il exigeait « tu te débrouilles bien avec ta main, mais j’espère que tu sauras être à la hauteur avec ta bouche ». Cette phrase me glaça, car j’imaginai naïvement qu’une petite branlette de ma main aurait satisfaction de son besoin et que ce serait suffisant. Et j’osai dire « non, j’ai jamais fait, s’il te plait ». Et vlan une deuxième claque pour me rappeler que je n’avais pas à la ramener…
Deux mains de déménageurs s’appuyèrent alors sur mes épaules pour me forcer à me mettre à genoux devant mon tortionnaire. J’avais alors devant ma figure le membre turgescent de Lionel et celui-ci s’amusa à me fouetter le visage de son chibre. Puis en souriant, il mit ma tête en contact de sa verge en présentant le gland devant mes lèvres qui n’avaient pas encore l’intention d’obtempérer.
« Allez suce, petite tapette » dit-il en forçant mes lèvres et en me menaçant d’une prochaine baffe.
Résigné je n’avais d’autre alternative que d’ouvrir mes lèvres pour prodiguer à un homme une chose que l’on ne m’a avait encore même pas fait à moi-même.
Je ne savais trop comment m’y prendre mais même si fait de sucer était humiliant il devait certainement être plus efficace pour venir à bout des exigences de mon partenaire et en finir avec ce moment était mon seul objectif.
Je prenais donc ce sexe que j’avais du mal à engloutir au plus profond de ma gorge alors que les mains de mon bourreau accompagnaient mes mouvements de succions en me tenant la tête et en poussant des gémissements accompagnés de remarques du genre « suces bien, ma petite salope, régales-toi »
Le sexe de Lionel me semblait grossir au fur et à mesure de ce traitement et malheureusement pour moi je me suis surpris à constater que mon petit sexe prenait à son tour du volume.
La situation bien que violente, car je me faisais violer la bouche, avait le don de me faire réagir sexuellement. Jamais je n’aurai pensé que cela fut possible compte-tenu de l’angoisse qui était la mienne. Et je fis en sorte de n’y pas prêter attention de manière à en finir rapidement avec le scélérat qui profitait de ma faiblesse, de ma timidité et de sa force.
C’est après quelques minutes de ce traitement qu’il me sembla que la bite de Lionel donnait l’impression de vouloir éjaculer et que j’essayais de me libérer de la pression de ses mains sur ma main afin d’éviter de recevoir sa semence dans ma bouche.
Malgré mes efforts je ne puis totalement me reculer avant que ce dernier m’arrose la figure de son foutre. C’est en plusieurs grognements libérateurs qu’i se soulagea sur moi en me souriant d’un air dominateur.
Promptement il se réajusta après avoir essuyé les dernières gouttes de son sperme sur ma figure et en ajoutant « je me doutais que tu étais une bonne suceuse, on est appelé à se revoir Julien, ou Julie peut-être ».
Il sortit de la douche en ajoutant « Laves toi un peu, tu pue s le sperme… »
Je restai là anéanti, humilié, la quéquette ne demi-érection, chose que Lionel avait remarqué mais sans y faire allusion.
Que devais-je faire, aller voir le Maréchal des logis-chef qui était responsable de notre encadrement pour lui faire part des sévices que j’avais subis. Ma tête encore parfumée de l’odeur du sperme qui la couvrait n’avait pas le pouvoir de résonner convenablement et je me mettais sous la douche pour enlever toutes ces salissures en sanglotant doucement.
Cela faisait déjà un moment que j’étais là sous la douche à reprendre mes esprits et essayer de faire disparaitre tout le foutre qui me maculait le visage. J’avais l’impression de toujours en garder quelques traces suspectes et une des dernières phrases de Lionel n’arrêtait pas d’occuper mon esprit « on est appelé à se revoir Julien, ou Julie peut-être ». Mais c’est la voix d’un gradé à la porte des douches qui me vit revenir à la réalité des choses « Allez dépêchez-vous les derniers, dans 15 mn on part au mess pour le souper.
Le reste du week-end de consigné se passa calmement sans autre v******e à mon encontre. Je croisai parfois Lionel qui n’hésitait pas à mimer une fellation en appuyant sa langue sur sa joue ce qui rendait hilare deux de ses potes. Impossible de ne pas comprendre qu’il avait dû se vanter auprès d’eux du soulagement que sa bite avait pu trouver dans ma bouche.
La semaine passa assez rapidement ponctuée de toutes les activités militaires nécessaires à notre formation de bidasse. Et pour le week-end il était prévu un petit bivouac avec des exercices de combats dans un camp de manœuvre. Nous devions partir le vendredi après-midi pour ne rentrer que le dimanche matin, on nous autorisait un petit repos le dimanche après-midi.
Nous étions par binôme dans des petites tentes et bien que ce soit assez rudimentaire nous étions contents de retrouver notre duvet après une journée de marche ponctuée d’exercices de combat. J’étais avec un garçon sympa assez discret comme moi et j’étais donc en confiance avec lui. Nous devions bien entendu monter la garde du camp durant la nuit chacun notre tour à différents endroits qu’avaient définis nos cadres. Mon camarade de tente était désigné de 22h à 24h et moi à la suite cela me laisserai ensuite quelques bonnes heures à dormir avant le réveil général du camp.
A 21h50 mon camarade quitta donc la tente pour prendre ses consignes puis sa faction de garde et moi je me reposai en attendant la mienne. Soudain quelqu’un fit irruption dans la pénombre de la petite tente, je reconnu Lionel à sa carrure puis à sa voix qui m’intima de me taire. Un bâillon rapidement mis sur ma bouche et il me tira par les pieds hors de la tente. Je constatai qu’il n’était pas seul, un de ses potes était là. Je n’avais pas d’autre choix que d’obéir et ils m’emmenèrent avec eux, un peu à l’écart du camp dans les bosquets de végétation. Il y avait un petit rayon de lune qui permettait de se voir un peu dans la pénombre et je compris aisément où ils voulaient en venir lorsque bien à l’abri de la végétation, je me trouvais devant deux pantalons de combat descendus à mi-cuisse, deux slip baissés et deux verges qui demandaient leur dû. Lionel ajouta « mon pote a très envie de connaître lui aussi ta bouche, alors montre nous tes talents de suceuse Julie ».
Ils m’obligèrent d’abord à baisser mon pantalon et mon slip afin de s’assurer qu’il m’était impossible d’essayer de fuir dans de telles conditions, m’enlevèrent le bâillon en me menaçant d’une bonne raclée au moindre son de ma voix. Ils me firent mettre à genoux et les deux bites s’approchèrent de mes lèvres. Celle du deuxième garçon était plus longue mais moins trapue que la bite de Lionel dont ma bouche avait encore le format en mémoire. Je caressais donc les deux membres avant de les lécher longuement et de finir par les engloutir à tour de rôle. Celui de Lionel sentait plus fort et celui de l’autre garçon était plus ferme. Je m’évertuais à faire de mon mieux pour satisfaire mes bourreaux, léchant les glands, les bourses, j’essayais de les prendre en bouche ensemble mais cela me fut impossible. Au fur et à mesure de mon traitement je sentais les organes devenir plus raides, plus sensibles, et je sentais que moi aussi cela ne me laissait pas indifférent. En effet ma verge commençait à montrer son émoi et ne pendait plus lamentablement en mes jambes. Mon petit engin avait pris de belles proportions et se dressait fièrement en bas de mon ventre pour mon plus grand désarroi. Evidemment un de mes deux agresseurs finit par s’apercevoir de mon état en se marrant ils me firent lever pour juger de mon émoi. Ils caressèrent ma bite, mes couilles et Lionel ajouta « eh bien, petite tapette, on dirait bien que ça te plait de sucer nos bites, allez régales toi, suces bien mon pote ». Et il m’appuya sur la tête pour que le dos courbé ma bouche s’active à nouveau sur la bite de son pote. Pendant ce temps Lionel une main sur sa bite, s’amusait à me caresser les fesses en regardant ma bouche engloutir son pote et en plaisantant sur la douceur de mon cul. « Un petit cul de pucelle, ça, ce sera que du bonheur de l’enculer ». Et un de ses doigts commença à me titiller l’anus. Je frémis d’angoisse à ces mots et je serrai les fesses au contact de ce doigt, ce n’était pas possible ils n’allaient pas aller jusqu’à me faire subir cela. Mais Lionel ne semblait pas avoir cette intention pour le moment car il se rapprocha de ma bouche qui s’activait sur son pote pour me frapper la joue avec son membre. Son pote n’en pouvait plus du traitement que ma bouche lui infligeait et dans un râle qu’il essaya de faire le plus discret possible, il déchargea plusieurs abondantes giclées de foutre dans mon gosier.
Satisfait, il quitta ma bouche qui fut immédiatement occupée par la bite de Lionel qui m’empêcha de pourvoir recraché la semence que j’avais en bouche. Incapable de pouvoir faire autrement, je fus contraint de déglutir le foutre et je continuais à m’activer sur le membre de Lionel pendant que l’autre à son tour jouait avec mon arrière train. Il ventait la douceur de mes fesses, titillait mon anus et il n’hésita pas un instant à me pénétrer d’un de ses doigts qu’il avait préalablement humidifié de salive. J’essayais de me dérober à cette intrusion immonde mais fermement tenu par les mains de Lionel je n’avais d’autre choix que d’offrir mon cul et continuer à sucer la bite qui me cognait le palais. Heureusement, Lionel se libéra assez rapidement au fond de ma gorge, ses longues giclées puissantes m’arrosèrent jusqu’aux amygdales et malgré la situation je me mis à penser que son sperme n’avais pas tout à fait le même goût que le précédent. J’avais honte de cette pensée qui m’était venue comme ça, honte de bander encore alors que je venais de sucer jusqu’au bout deux bites, honte de reconnaitre que ce doigt qui partait à la découverte de mon intimité ne m’était foncièrement insupportable. Les deux larrons satisfaits, abandonnèrent mes deux orifices pour se rajuster et rejoindre leur tente. Lionel ajouta avant de disparaitre « A la prochaine tapette, on devrait encore mieux s’amuser… ».
Avant de me rhabiller, ma main s’activa un moment sur ma bite qui ne tarda pas à se libérer du trop-plein qui commençait à encombrer mes testicules. Honteux mais calmé, je retournais à ma tente en attendant l’heure de mon tour de garde.
Le reste de ce bivouac se passa assez calmement et le dimanche matin nous furent de retour à la caserne. Je profitai de l’affluence aux douches pour m’y rendre sans prendre de risque.
Ce fut dans l’après-midi que le maréchal des logis qui était responsable de notre étage entra dans notre chambrée et dit « Soldat Julien X, l’adjudant de compagnie veut te voir, tu te mets en treillis (nous étions en tenue de sport) et je passe pour t’accompagner dans 5 mn. »
Comme prévu cinq minutes plus tard, j’étais prêt, et je fus conduis chez l’adjudant, je me demandai quelles pouvaient être les raisons de cette convocation. En espérant que ce ne soit pas un problème familial à m’annoncer. J’étais inquiet comme on peut l’être dans ces conditions et pas rassuré du tout. Mis à part un problème chez moi rien ne semblait pouvoir justifier de me demander.
Mon accompagnateur frappa à la porte, une voix forte répondit, et le maréchal des logis avertit l’adjudant de ma présence. Il me fit entrer et l’adjudant lui demanda de fermer la porte et de ne pas le déranger.
Au garde à vous, je saluai et me présentai réglementairement, puis il me fit mettre au repos.
L’adjudant, la quarantaine, grand, large d’épaule, un visage de baroudeur était debout derrière son bureau et me toisa de la tête au pied certainement pour vérifier la conformité de ma tenue.
Et il partit alors dans un long monologue, où il m’expliqua qu’à l’occasion de sa ronde pour vérifier la garde des plantons lors du bivouac, il m’avait aperçu moi et deux autres nous éloigner du camps. Il nous avait discrètement suivi et avait pu constater à quoi nous nous étions livrés. Il rajouta un couplet sut l’éthique militaire et la non tolérance de l’homosexualité, et son devoir de faire remonter les faits à sa hiérarchie pour sanctionner durement de tels actes. Il allait devoir en référer au commandant de compagnie qui jugera des suites à donner. Mais pour lui il n’y avait que deux issues, l’envoie vers un régiment disciplinaire où la réforme pour homosexualité avec inscription au livret militaire.
J’étais atterré par ce qui était en train de se passer car je n’étais en fait que la victime des deux autres. J’essayai donc de me défendre et de me disculper afin de remettre les choses en ordre, et je racontai tous les événements successifs, la première fellation obligée dans les douches puis l’irruption dans ma tente lors du bivouac et la suite que l’adjudant avait pu voir.
Il m’écouta sans m’interrompre et après un instant de réflexion, il rajouta « victime peut-être, mais comment expliquer alors que ce genre d’agression vous oblige à vous satisfaire à l’issue ? Si ce n’est que vous y avez trouvé un certain plaisir… ».
Il avait vraiment tout vu, et je ne pus que baiser les yeux, ce qui était suffisant pour donner une réponse positive à sa question.
Je me laissais aller à sangloter en le suppliant de ne pas donner de suite à cette affaire, de nous sermonner tous les trois, de nous mettre de corvées, mais de ne pas ébruiter cet événement dont il était somme toute le seul témoin.
Il eut un instant de réflexion après mon dernier argument et il ajouta qu’en effet il pouvait très bien garder cela à son niveau mais qu’il allait devoir malgré tout sanctionner, que c’était son devoir, comme il le ferait pour ses propres enfants s’ils s’étaient rendus responsables d’une grosses faute.
Je ne voyais pas où il voulait exactement en venir mais j’étais rassuré de savoir qu’il pouvait éviter de faire part de cette affaire à ses chefs.
Il se rendit à la porte de son bureau pour en tirer le verrou et se posta devant moi en me regardant fixement puis il ajouta « voilà maintenant nous sommes certains de ne pas être dérangés, tu dois être puni et je vais m’en charger ». Il avait adopté volontairement le tutoiement et ce côté familier augmentait encore son pouvoir sur moi.
La pièce qui constituait se bureau, était faiblement meublée mais une grande table de travail y trônait presque au milieu et il m’ordonna de me pencher vers en y posant mes mains. J’obtempérai commençant à avoir une idée de la punition qu’il comptait m’infliger et qui j’imaginais comme un mauvais moment à passer comme lorsque je me faisais punir par mon père autrefois.
J’étais là penché en appui sur le bureau quand je reçu la première fessée du plat d’une main vigoureuse. Le coup me fit sursauté mais la douleur ni était pas encore et alternativement je me faisais fesser à droite puis à gauche. Je serrai les dents car au bout de quelques coups je commençai à sentir la chaleur irradier mes fesses malgré la protection de mon pantalon de treillis et de mon slip. Mais en plus de l’échauffement de mes fesses, je sentais que malgré moi la situation avait un effet sur mon sexe car je présentai un début d’érection. Le côté pervers de la situation me faisait de l’effet et plus j’y pensai moins je ne pouvais maîtriser cette réaction.
C’est après une bonne dizaine de claques sur mes fesses, que l’adjudant s’arrêta pour dire « une véritable fessée ne se fait pas dans de telles conditions … » et joignant le geste à la parole, il se saisit de la ceinture de mon pantalon de treillis pour la défaire et promptement le laisser descendre sur mes pieds. J’étais rouge de honte de me trouver ainsi, humilié devant ce gradé qui visiblement devait prendre un certain plaisir à me regarder dans cette position. Il releva ma veste de treillis qui cachait en partie mon derrière encore protégeait par le frêle rempart que représentait mon slip.
Ce que je craignais arriva, je sentis les mains de l’adjudant saisir mon slip de part de d’autre et commencer à le descendre malgré mon refus « Non, s’il vous plait, pas slip mon adjudant » et une de mes mains qui tentait de s’y opposer. Mais fermement il me remit la main sur la table et me somma de garder la position, puis il fit descendre mon slip. Malheureusement il rencontra un obstacle à la descente de ce dernier rempart, en effet la situation n’avait fait que raidir encore plus mon sexe qui perturbait la descende du bout de tissu. Il comprit très vite ce qui se passait et écarta un peu le slip pour laisser passer ma bite qui libérée se dressa fièrement. Il ajouta alors « j’avais bien raison mon garçon quand je trouvais curieux que tu te finisses après avoir sucé tes camarades. Tout cela a donc l’air de bien t’exister, tu te révèles, tu es une sacré petite tapette ».
Quand le slip eu rejoint le pantalon sur mes mollets, il y eu un grand moment de silence durant lequel j’étais certain que l’adjudant profitait du spectacle de mes petites fesses légèrement rougies et offertes. Les mains sur la table j’attendais que les prochaines claquent s’abattent sur mes fesses nues et j’avoue que quelques larmes coulaient au coin de mes yeux tant la tension était palpable.
Mais c’est soudainement sa main que je sentis me caresser les fesses, qui fut rejoint rapidement par la deuxième chacune d’elle jouant avant une fesse, pétrissant, caressant. J’entendais distinctement sa respiration qui semblait s’être accélérer pendant que ses mains écartaient mes deux lobes pour exposer mon petit trou. Je ne pouvais réagir, j’étais tétaniser par une situation qui était en train de rapidement dé****r. Il déclara « tu as un cul particulièrement bandant mon garçon, ce serait dommage de le fesser davantage, il y a mieux à faire pour le punir… ». Je frémis après ces mots car il était facile de comprendre à demi-mot où il voulait en venir.
Il présenta alors un doigt à mes lèvres, et força ma bouche pour que je le lèche et le couvre de salive. Puis il le mit sur mon petit trou et l’enfonça dans mon fondement. Je ne pus retenir un gémissement après cette intrusion. Il fit aller et venir son doigt quelque instants puis le sorti et me le représenta en bouche accompagné d’un deuxième. Une fois bien mouillés, il les présenta sur ma rondelle qui n’eut de choix que de les engloutir. Il les bougeait dans mon fondement, les écartait, les faisait coulisser, me faisant pousser des petits cris entre douleur et plaisir.
Je savais désormais l’orientation qu’allait prendre bientôt ma punition, et c’est sans surprise que je compris, au bruit d’une ceinture que l’on défait et à celui d’un vêtement qui tombe, que l’adjudant était en train de libérer sa bite. Je me permis de dire « Non mon adjudant, je ne l’ai jamais fait, pas ça, pas ça ». Ce faire prendre comme un homosexuel était de par mon éducation une des pires choses qui puisse advenir à un homme, et je le suppliai de pas me faire subir cela, que je pourrais le sucer s’il voulait mais qu’il ne m’humilie pas à ce point. La seule réponse qui me fut faite fut « il y a un début à tout mon garçon et un moment de honte est vite passé »
C’est alors que je sentis ses mains m’écarter fermement les fesses et que le gland entra en contact avec mon anus vierge.
« Ton cul à l’air vraiment accueillant, je sens que je vais adorer te le défoncer » dit-il en forçant le passage.
Ses doigts avaient déjà bien préparés le passage et mon petit trou était encore humide de sa salive. Aussi je sentis mon sphincter s’écarter pour la première fois de sa vie pour recevoir une bite. Je sentis mon cul lâcher et une douleur diffuse se répandit. J’avais l’impression qu’une barre brulante était en train de progresser en moi, me faisant serrer les dents, crisper mes mains sur la table, et fortement grogner au fur et à mesure de l’intromission de ce sexe dans mon intimité. Cette douleur que je ressentais me donnait aussi un plaisir qui me troublait? Il continua à pousser et je sentis sa queue avancer encore pour prendre plus encore ma virginité. Il commenta « Tu es bien serré, j’adore ça. Alors tu la sens bien ta punition ? »
Je lâchais un « Oh oui ! » résigné et soumis.
Il commença à ressortir et entama un lent va et vient. Je le sentais coulisser dans mon cul et aller de plus en plus profondément dans mes entrailles m’arrachant régulièrement des petits cris que je n’avais encore jamais émis de ma vie, des couinements de mecs se faisant défoncer le derrière. Bientôt je sentis son ventre taper contre mes fesses, il était au fond de moi, j’étais complétement enculé et je ne ressentais pas la honte que j’aurai pu imaginer, j’étais aussi rassuré de ne pas trop souffrir de cette intrusion. Se faire sodomiser n’était donc pas quelque chose d’insupportable.
Il déclara « Il est trop bon ton cul. Tu me sens bien au fond ? »
J’avouais « Oui, oh oui » tout en gémissant entre deux mots.
Il reprit les vat et vient mais avec plus de rapidité et plus d’amplitude, je le sentais taper contre mes fesses à chaque aller et venu, je commençais à haleter car il avait saisi mon sexe et me masturbait au rythme de ses coups de boutoirs. Je laissais échapper des bruits qui ne pouvaient que confirmer que sa bite et sa main commençaient à véritablement me donner du plaisir. Jamais je n’aurai pu imaginer, alors que j’avais une peur bleue de me faire sodomiser, que l’on pouvait ressentir tant de plaisir à sentir une verge coulisser dans son rectum.
Il le sentit et me dit « tu viens de découvrir quelque chose aujourd’hui, tu aimes ça te faire baiser ».
Sa main s’activait sur mon pénis et sa verge tapait fort dans mon cul, je sentais même parfois ses couilles contre les miennes. Je gémissais de plus belle, car il me baisait à fond et je sentais que j’allais rapidement prendre mon pied. Je ne pouvais dire si c’était le résultat de sa bite dans mon cul, ou de sa main sur mon sexe, mais je crachais soudainement plusieurs giclées de foutre entre ses doigts. Il s’en rendit compte et me dit « Putain c’est bon, t’aimes ça te faire défoncer le cul, tu viens d’en jouir dans ma main salope. Tiens prend encore ça ! »
Il s’activa encore quelques instants dans mon fondement et je le sentis se crisper puis souffler à plusieurs reprises pour accompagner les contractions de sa bite qui se libérait de son surplus de semence.
Après quelques instants nécessaires pour reprendre nos esprits, sa bite alors ramollie sortit de mon cul qui ne manqua pas de se libérer d’un liquide blanchâtre, et il me releva et me serra contre lui tendrement après m’avoir glissé un léger baiser sur la nuque.
Nous nous réajustâmes mutuellement après avoir repris nos esprits et lui repris ses fonctions, il m’assura que tout aller s’arranger pour moi très rapidement et me congédia après avoir appelé par téléphone le maréchal des logis responsable de l’étage de notre chambrée afin qu’il me raccompagne.
Je peux dire que le reste de mes classes fut un véritable bonheur, je ne fus plus importuné par Lionel et son pote, ma formation militaire devint moins rude et je fus affecté régulièrement aux corvées du bureau de l’adjudant de compagnie pour mon plus grand bonheur.
Published by balsamo70
4 years ago
Comments
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yannemily 1 year ago
comment mouiller la culotte de mon épouse
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tissou71 1 year ago
très bien raconté tu m'as fais bandé merci !!
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zefke69 2 years ago
j'ai bien aimé cette histoire. ❤️❤️❤️❤️
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remycelle
Ça m'a fait mouiller ma culotte 
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crisoumis 3 years ago
Humm ! très excitant...
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genesis9426 4 years ago
Hummmmm tu me laisse sans voie et surtout sans foutre........... une delicieuse lecture j' adore.
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nudemum 4 years ago
éxitant
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balsamo70 Publisher 4 years ago
to victrola91 : Qui ne peut aimer l'armée aprés celà?
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victrola91
victrola91 4 years ago
Quel chanceux 
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thiresias
thiresias 4 years ago
Belle initiation à la raideur militaire !
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